Je pars en vacances : part 1 - histoire érotique

J'ai la quarantaine, célibataire et suis sportif. Demain, je pars en vacances et c'est la première fois depuis plus de cinq ans. Je me suis arrangé avec mon patron et en plus des quatre semaines légales, j'ai pu en avoir quatre de plus. J'ai donc décider de louer un mobil home et de partir à l'aventure sur les routes de l'Europe.
Premières étapes : Départ Bruxelles ensuite Reims, Auxerre, Clermont-Ferrand et Montpellier.
Le tout en passant par les nationales.
Samedi, 8h00, je m'installe au volant et me voilà en vacances. J'ai prévu un arrêt de 20 minutes toutes les deux heures. Le temps de me dégourdir les jambes, boire, manger et éviter le stress. Les vacances commence dès le départ. La première halte s'est passée sans problème et mais pour la seconde, je dois trouver un endroit où je pourrai me restaurer. Et ça tombe bien j'arrive à proximité d'un centre commercial non loin de Reims. Il est 12h30 et je m'y arrête pour me promener dans les allées à la recherche d'un endroit où me restaurer. Je choisi dans un fast-food et prends un menu. Assis dans un coin, je regarde les allées et venues de clients. Je peux aussi entendre les conversations et je suis attiré par une jeune couple. Ils ont plus ou moins 25 ans tous les deux et ils se disputent. Ce ne sont pas de gros éclats de voix, mais j'entends la fille reprocher à son copain de l'avoir trompée avec sa meilleure amie. Il essaye de se justifier, mais une telle chose est difficilement pardonnable. Je termine mon menu et alors que je me lève pour reprendre ma route, la jeune fille se lève aussi et furieuse part.
Je trouve la situation triste pour cette fille, elle est trop belle pour devoir pleurer. Mais bon, ce ne sont pas mes affaires.
Je suis dans mon mobil home et je range quelques courses que j'ai faits. Et en regardant par la fenêtre, je reconnais le jeune couple et stupeur je vois le garçon gifler la fille. Je ne suis pas un justicier, mais je ne peux pas accepter cela.Je sors à toute vitesse et commence à l'invectiver. Il est surpris et très peu courageux car dès qu'il me voit avancer ver lui il part en courant. Je m'approche de la jeune fille pour prendre de ces nouvelles, elle va bien. Elle a juste une marque rouge sur la joue.
Elle : Je vous remercie monsieur. C'était mon petit ami mais il m'a trompé et j'ai décider de le quitter. Il était furieux et m'a menacer.
Elle met la tête entre les mains et fond en larme. J'essaye de la rassurer, mais peine perdue. Je décide alors de lui proposer de venir se réfugier dans mon mobil home, le temps qu'elle reprenne ses esprits.
Elle accepte et me suis tout en continuant de sangloter. Je lui propose de s'asseoir à la table et je fais de même. Elle commence à m'expliquer ce qui s'est passé, mais je lui dis de se calmer. Je lui avoue que j'avais observé la scène dans le fast-food. Elle est gênée de s'être donnée en spectacle de la sorte et pendant une petite heure je la réconforte en discutant, mais surtout en l'écoutant. Pour finir, elle fini par me remercier pour mon intervention et surtout de l'avoir écouté.
Elle : Je peux vous demander encore une chose ?
Moi : Bien sûr !
Elle : Pourriez-vous me déposer à la gare la plus proche. J'étais en vacances dans la région avec mon copain, mais je vais rentrer chez moi maintenant.
Moi : Pas de soucis. Mais par curiosité, où allez vous ?
Elle : Je rentre chez mes parents. C'est un petit village pas loin de Bézier.
Moi : Bézier ? Ce n'est pas loin de Montpellier je crois !
Elle : Non, environ 70 kilomètres. Pourquoi ?
Moi : Et bien si vous avez le temps, je suis en vacances et je vais dans le sud. Je pourrai vous déposer ! Normalement j'allai à Montpellier, mais je n'ai pas de destination précise.
Elle : C'est très gentil, mais je ne voudrai pas vous déranger.
Moi : En réalité, je crois qu'il sera plus agréable de faire le trajet en votre compagnie que de le passer tout seul. En plus sur place, vous pourriez me conseiller quelques endroits à visiter. Ah, je me présente, Marc !
Elle : Moi c'est Adriana. Enchantée. Je ne sais pas, j'hésite car je ne vous connais pas réellement.
Je connaissais cet argument et il est toujours légitime. Mais j'avais déjà vu dans une émission télé comment une précaution à prendre.
Moi : Je te comprends,mais si tu es intéressée, je te propose de te montrer ma carte d’indenté et toi tu appelle une personne de confiance à qui tu donnes ces informations.
Je la regarde avec un grand sourire, priant pour qu'elle accepte. Et c'est le cas, elle se lève et viens me poser un baiser sur la joue.
Elle : OK, on fait comme cela. Mais pourriez-vous aussi me dire quand nous arriverions ?
Moi : Cela dépends, si vous êtes pressée, je dirais demain après 20h00. Sinon, on peut prendre son temps et profiter du voyage, je dirais alors deux ou trois jours.
Je lui passe ma carte et elle appelle ses parents. Ils doivent être inquiet car je l'entends les rassurer et leurs promettre de les appeler régulièrement.
Je prends ensuite le temps de lui faire visiter le mobil home pour qu'elle se sente plus à l'aise.
La cuisinière, le placard avec les vivres. La salle de bain, pas très grande mais avec une douche et un WC chimique. Un espace avec une table repliable et enfin la chambre. 1M40 sur la largeur du véhicule. Tout juste les dimensions du lit. On y accède par une porte accordéon au pied du lit.
Pendant cette visite j'ai essayé de détendre l'atmosphère avec quelques jeux de mots et ça a marché. Nous avons beaucoup ri maintenant on se tutoie.
Moi : Puisque on en a fait le tour je propose que l'on reprennent la route ?
Elle : Une dernière chose. J'étais en vacances dans un camping avec mon copain, pourrait-on passer chercher mes affaires ?
Moi : Pas de soucis.
Nous voilà en route et arrivé devant le camping, Adriana me demande de l'accompagner. Nous allons directement à l’accueil et elle explique la situation au responsable. Manifestant son désir de récupérer ses affaires mais ayant peur de la réaction de son ex-copain, elle demande de l'aide. Très compréhensif, il vient avec nous et demande à un vigile de nous accompagner. Sur place son copain est là. Et il sort furieux de la tente. Mais se rendant vite compte qu'elle n'est pas seule, il se calme et tout se passe sans problèmes. Le transfert de ses affaires terminé, elle se change. Son T-shirt était tâcher de rimmel et son jean's s'était déchiré quand elle était tombée suite à la gifle.
Elle revient vers moi et je ne sais pas pourquoi, mais elle s'est habillée beaucoup plus sexy. Une jupe jusqu'aux genoux et un chemisier blanc légèrement transparent déboutonner sur le dessus. Non seulement elle est très belle, mais aussi excitante.
Moi : Waouh, tu est très belle.
Elle : Merci, j'avais envie de me mettre à mon aise, la journée à été très stressante.
Alors que nous allions reprendre la route, je regarde l'heure. Il est déjà 16h30 et le prochain camping est à plus de 2h30.
Je me tourne vers Adriana, lui explique la situation et lui demande si ça ne la dérange pas que l'on reprennent la route demain matin. On prendraient un emplacement pour la nuit ici.
Elle : Pour moi il n'y a pas de problème, mais mon copain ?
Moi : Je vais m'arranger avec le propriétaire, mais en général les mobil home on un emplacement différent des tentes.
Les formalités remplies, les raccord à l'eau et l'électricité faits, je propose que nous allions faire un tour pour nous détendre de cette journée chargée en émotion.
Nous nous renseignons à l’accueil où l'on nous conseil une balade dans les alentours. Nous validons et nous partons. C'est un moment très agréable, nous apprenons à nous connaître tout en prenant l'air. Nous finissons par passé devant un restaurant et je décide de l'invité. Après quelques hésitations de convenances, elle finit par accepter.
Nous n’avons pas de réservation, mais nous avons tous les deux un « Covid safe ticket » en ordre ? Les mesures de distanciation étant appliquées, toutes les tables sont en retrait les unes des autres et cela permet une certaine intimité.
Elle : Tu as remarqué, on dirait un repas en amoureux !
Et elle rit. Son visage resplendissait, tout l'opposé de cet après midi. Mais je ne put m'empêcher de remarquer ses seins sautillant. Je crois même que le contact du tissu stimulait ses tétons car ils me semblait qu'ils pointaient sous le chemisier. De mon coté, je sentais que cela m'excitait.
Moi : C'est vrai, mais ce n'est pas plus mal, nous pourrons ainsi apprendre à mieux nous connaître. Notre voyage ne fait que commencer et nous en avons pour plusieurs jours.
Pendant le repas, nous nous sommes ouvert l'un à l'autre. Elle m'expliqua les petites violences quotidiennes de son ex-copain et je lui parla de mon pays, la Belgique. Je lui expliqua aussi que j’étais célibataire à 42 ans.
Moi : Je pourrais presque être ton père.
Elle : C'est vrai d'autant que tu es vraiment quelqu'un de très bien. Tu es si gentil que je préférerai presque que tu sois mon petit copain.
Gênée, elle rit se rendant compte de ce qu'elle venait de dire. Je tendis la main et là posa sur la sienne. Elle se reprit et me regarda dans les yeux.
Moi : C'est gentil ce que tu viens de dire. Moi aussi j'apprécie ta compagnie. J'aimerai aussi être ton petit copain, mais n'allons pas trop vite.
Je laisse un moment et je vois son visage devenir plus sérieux. Elle laisse pourtant sa main sous la mienne alors que je la retiens pas ? Je crois qu'elle ne sais pas où elle es en est. Elle doit se demander comment réagir. Cela veux dire qu'elle est hésitante sur la question.
Moi : Hé je rigole. On se connaît depuis à peine une journée. Détends toi !
Je sens qu'elle se relâche, elle à l'air soulagée, sûrement parce qu'elle ne dois pas prendre de décision.
Je serre un peu sa main.
Moi : On va passé de bons moments ensemble, nous sommes en vacances en amis.
Elle : Oui... tu as raison... nous sommes... des amis.
Je le sens elle est un peu perdue, il doit y avoir une quantité de questions qui se bousculent dans sa tête.
Moi : Allez, il se fait tard. Terminons notre repas et rentrons.
Elle finit pas se détendre à nouveau et lorsque que nous quittons le restaurant, elle se penche vers moi et pose un baiser sur la commissure des mes lèvres.
Elle : Je te remercie pour ce repas et cet agréable moment passé en ta compagnie. Je te suis aussi reconnaissante pour tout ce que tu as déjà fait pour moi aujourd'hui. Dès que j'en aurai l'occasion, j'espère pouvoir te le prouver.
Moi : Merci, mais c'est avec plaisir.
Nous reprenons le chemin du camping et pendant le trajet, elle passe son bras dans le mien et pose sa tête sur mon épaule.
Elle : CA ne te dérange pas ? Je suis fatiguée.
Moi : Non, vas-y.
Je ne suis absolument pas dérangé si ce n'est par mon sexe qui se met tout d'un coup à prendre du volume.
Arrivé au mobil home, nous passons par la salle de bain. Elle en ressort avec une simple nuisette en voile transparent bleu qui laisse franchement voir son string et ses seins.
Elle : J'espère que cela ne te dérange pas, je n'ai rien d'autre avec moi.
Comment être déranger par une aussi belle vue, encore une fois seul mon sexe me gène tant il commence à reprendre du volume.
Je me précipite donc dans la salle de bain pour qu'elle ne remarque rien.
Mais que fait-elle ? Es-ce volontaire ou ne se rend-elle pas compte de l'émoi qu'elle cause en moi ?
Peu importe, je vais devoir faire preuve de maîtrise. D'autant que je n'ai qu'un boxer qui puisse me servir de vêtement de nuit. D'habitude je dors nu.
Quand je ressors, elle est assise à table et semble m'attendre.
Moi: Je croyais que tu serai allé te coucher ?
Elle : Non l'air frais à fini par me réveiller. Je t'attendais.
Moi : Si tu veux on peut regarder un film dans le lit avant de dormir ?
Elle : C'est une bonne idée. Mais on fait comment pour le lit.
Moi : En toute honneur, je te propose de le partager, je sais qu'il n'est pas très large, mais si chacun on reste de son coté, il n'y aura pas de problème. Elle : D'accord, j'ai confiance en toi.
Je la laisse passé la première. Cela me permettra de ne pas devoir l’enjamber si je dois sortir. Et ensuite je lui propose plusieurs films. Je place de Blu-ray et tous les deux sous le drap,il fait chaud cet été, nous nous installons. Et j’éteins la lumière.
Elle à choisi un film que je connais « Scream ». Elle doit aimer avoir peur. Seule avec un étranger, dans un mobil home, au milieu d'un camping son choix est étonnant.
Tout se passe bien, même si parfois on ne sait pas éviter un contacte. L'étroitesse du lit lui laisse peu de place lorsqu'elle sursaute aux moment à suspens. A chaque fois elle s'excuse de m'avoir touché la jambe, le bras etc...
Elle fini par se blottir dans le coin du lit à mon opposé pour ne plus avoir à s'excuser. Je la regarde apeurée et finis par me décider.
Je tends mon bras vers elle et dit.
Moi : Tu veux venir ? Tu serai peut-être plus rassurée Elle : Ça ne te dérange pas ?
Moi : Non, puisque je te le propose.
Elle bondit et vient se blottir contre moi posant sa tête sur mon torse. Je sens sa respiration et ses bras serré contre sa poitrine presse aussi ses seins contre la mienne. Autant dire qu'heureusement qu'il fait sombre sinon elle aurai vite remarqué mon sexe déformant les draps. Je passe mon bras autour de son cou, pose ma main sur son bras dénudé et laisse glisser le bout de mes doigts sur sa peau douce.
Je la sens tout à coup beaucoup plus détendue, elle à trouvé du réconfort dans mes bras.
Nous continuons à regarder le film lorsque sans y penser, je pose un baiser sur son front.
Moi : Désolé, je ne sais pas ce qui m'a pris !
Elle : Ce n'est rien.
Quelques instants plus tard je sens sa main descendre sur mon torse en direction de mon ventre. Je n'ose pas bouger, j'espère qu'elle ne va pas aller trop bas, elle risque d'avoir une surprise.
En effet, ma bite est en pleine érection et elle est si grosse qu'une partie est en dehors de mon boxer, collée contre mon ventre jusqu'à hauteur de mon nombril. Je ne bouge pas si ce n'est ma main qui caresse son épaule.
Elle se rapproche de la zone dangereuse, que dois-je faire ?
Trop tard, je sens sa main au contact de mon gland, je baisse les yeux pour voir sa réaction, elle ne bouge pas si ce n'est sa main qui saisi mon sexe.
Elle : C'est à cause de moi ? C'est pour moi ce beau cadeau ?
Moi : Je suis désolé, mais comment rester insensible avec une aussi belle femme dans ses bras.
Elle : Ne sois pas désolé, tu me donne là une occasion de te remercier, non par obligation, mais parce que moi aussi j'en envie.
Maintenant elle me regarde et sens qu'elle écarte les jambes.
Elle : Vérifie par toi même je suis trempée tellement je suis déjà excitée.
Je glisse ma main libre jusqu'au contact de son sexe. Je sens qu'il est épilé, mais surtout qu'elle est trempée et chaude.
Au contact de mes doigts sur son clito, elle gémit, et cela s'intensifie lorsque je descends vers sa chatte et enfonce deux doigts dans son vagin.
Je la doigte et ma paume de main caresse son clito, alors qu'elle a dégager mon sexe de mon boxer et glisse sa mains tout du long dans un mouvement de vas-et-viens. Le plaisir envahi peu à peu chacun de nos corps. Elle gémit de plus en plus et elle doit sentir les spasmes parcourant ma bite.
Jusqu’où allons nous allez ? Lorsqu'elle retire les draps pour découvrir nos corps, je sais que nous passons à l'étape suivante de notre relation.
Elle : Laisse-moi faire.
Elle se redresse et se met face à moi entre mes jambe. Elle saisi mon sexe, glisse sa main sur toute sa longueur et sans me quitter du regard, elle baisse la tête jusqu'à ce que ses lèvres entre en contact avec mon gland. Là, avec d’habiles coups de langue le caresse. Son regard dans le mien intensifie l’excitation que je ressent. Ma bite est à son maximum de volume, elle est parcourue de veines qui forment de véritables bosses sur toute sa longueur. Je sens que je vais jouir.
Elle : Non pas encore maintenant.
Elle ouvre la bouche et l'avale sur toute sa longueur. Lorsque je touche le fond de sa gorge, elle la referme et avec de légères pressions de ses dents sur la bas de mon sexe, elle fait redescendre l'excitation.
Elle : Voilà, on va pouvoir continuer.
Elle me suce pendant de longues, très longues minutes et à chaque fois que je suis sur le point de jouir, elle parvient à faire redescendre la pression.
Je suis plus âgé qu'elle, mais jamais je n'avais ressenti tant de plaisir avec une fellation.
Elle : On va te laisser te calmer un peu. Que dirais-tu si je te proposai de t'occuper de ma chatte ?
Moi : Je dirai, couche-toi et laisse-moi faire.
Elle se couche et cette fois c'est moi qui prend place entre ses cuisses. Elle les ouvre bien grand me laissant libre accès à son clito, sa chatte et même son orifice anal si l'envie m'en prenait.
Mes mains sur ses cuisses, je plonge sur son sexe, elle est trempée et quand ma bouche entre en contact avec sa chatte, elle est immédiatement recouverte de cyprine. J'en bois littéralement et elle à l'air d'aimer cela. Rassasié, je glisse doucement ma langue vers son clito. Dès que je le touche, elle à un soubresaut tant elle est déjà excitée. Je le lèche encore et encore. Elle réagit à chaque coup de langue et alors que je m’apprête à le masser avec mes lèvres, j'enfonce en même temps deux doigts dans son vagin. Il n'en faut pas plus pour qu'elle aie son premier orgasme de la nuit.
Ses main collent ma bouche à son clito alors que mes doigts s'agitent en elle. Elle gémit, crie, se tord dans tous les sens et retombe épuisée de plaisir.
Elle : Waouh, qu'est ce qu'il était fort. Je n'en n'ai pas eu beaucoup de pareil.
Moi : Et ce n'est que le début.
Elle : Alors continue... j'en veux encore...
Je me redresse et doucement je la couvre de baisers en remontant doucement vers ses seins. Elle aime, le sens, le contact de sa peau est à lui seul excitant et je suis certain qu'elle est excitée à chaque fois que mon corps glisse sur son clito.
J'ai ses seins face à moi, je les saisi pour les masser et ma bouche commence à lui sucer les tétons. Je n'oublie pas chatte car à chaque mouvement, j'essaye de glisser mon sexe sur le sien sans pour autant jamais la pénétrer.
Elle : Oh oui... continue... encore, encore... prends moi...
Moi : Pas encore, je veux que tu me supplie de te prendre.
Elle finit par me repousser, non qu'elle ne voulait plus, mais parce que qu'elle voulait autre chose.
Elle me met sur le dos et me chevauche et colle son sexe sur mon visage tout en se penchant en avant pour avaler le mien. Nous nous lançons dans un 69 et alors que je suce son clito, j'en profite pour d'une main, lui mettre deux doigts dans le vagin et de l'autre délicatement forcer l'entrée arrière.
Elle est surprise et je sens qu'elle serre délicatement ma bite entre ses dents. A moi d'être doux sinon elle a de quoi me dissuader de continuer. Je m'active tant dans sa chatte que dans son cul et elle se détend.
Elle est vraiment douée pour sucer une bite et à plusieurs reprises et doit faire preuve de toute son expérience pour que je ne vide pas mes couilles dans sa bouche.
Je la sens de plus en plus excitée, ses jambes tremblent, ses seins sont gros et ses tétons durs. Et elle est de plus en plus hésitante avec sa bouche.
Elle : Je n'en peux plus. Je t'en supplie prends-moi, baise-moi.
Elle se couche et je me mets sur elle. Nous allons être très classique, mais j'espère qu'elle va aimer.
Elle écarte à nouveau ses cuisses, mais cette fois pour accueillir ma bite en elle. Sa chatte est rouge et luisante tant elle est excitée. Je saisis ma queue, la positionne mon gland contre son clito et les fait glisser doucement à l'entre de son vagin. Elle est impatient, je le vois, je le sens. Elle prends mes fesses en main et d'un coup me tire vers elle.
Elle : Baise-moi, Je n'en peux plus.
Et je rentre d'un trait en elle, je sens ma bite prisonnière entre les parois de son sexe. Mais je glisse facilement et à chaque mouvement on entend un bruit de sussions ainsi que le claquement de mes couilles sur ses fesses.
Je la pénétré de plus en plus vite et avec de plus en plus de force. J'aime et elle en demande de plus.
Elle : Oh oui... encore... plus fort, plus fort... viens, baise-moi, défonce-moi.
Je continue encore et encore pour finir par la faire jouir. Et alors qu'elle projette plusieurs jets de cyprine sur la base de ma bite, se cambre, tremble de tout son corps et elle fini par retombe sur le lit en sueur je jouis et l'inonde de sperme.
Elle: Oh que c'est bon, je sens tout ce sperme chaud en moi.
Et alors que je me retire je vois de sa chatte couler le surplus de sperme s'écouler. Elle se redresse, récolte cette semence avec ses doigts et les porte à sa bouche pour les lécher. Cela fait, elle se penche sur ma bite et la nettoie avec une dernière fellation. Elle parvient à aspirer un dernier jet et ensuite avale le tout.
Nous nous effondrons l'un à coté de l'autre épuisé.
Elle : Je dois aller me laver car tu m'as tellement remplis que je risque de tâcher les draps.
Elle m'enjambe pour sortir et je la suis. Elle entre dans la salle de bain, mais je lui demande de ne pas refermer la porte. Je veux continuer à la regarder. Elle est si belle et la regarder se laver, se caresser la chatte, rien que l'idée m'excite. Quand elle a fini nous retournons nous coucher. Je la prends dans mes bras, la serre contre moi et nous nous endormons ensemble nos corps nus serrés l'un contre l'autre.