Je pars en vacances : part 2 - histoire érotique

Pour rappel, Je m’appelle Marc j'ai 42 ans et alors que je pars en vacances dans le Sud de la France, J'ai rencontré Adriana, une jeune femme de 26 ans qui viens de quitter son copain.
Nous avons passé un bonne nuit réparatrice après un avoir fait l'amour.
Il est 8h30 lorsque j'ouvre les yeux et comme elle est toujours contre moi, je la réveille en me levant. Elle est la première à prendre une douche et à s'habiller. Pendant ce temps, je prépare le café. Après avoir enfilé un short et un t-shirt, je vais chercher des croissants au magasin du camping. Alors que je ressort avec mes croissants et des pains au chocolat, je tombe nez à nez avec l'ex d'Adriana. Il est tout aussi étonné de me voir que moi et je sens dans sont regard de la rage. Mais nous nous ignorons et je rentre au mobil home. Là m'attend Adriana, elle est assise et a mit la table. Il ne manque que ce que j'ai dans mon sac. Je vais prendre ma douche, pendant ce temps, elle refait le lits et nous prenons notre petit déjeuner. Il est 11h00 quand nous reprenons la route.
Les deux heures jusque Troyes sont des plus agréable nous rions et je peux lire autant d'amour dans ses yeux qu'il y en a dans mon cœur. Vers 13h30, nous nous arrêtons sur une aire de repos pour nous restaurer et se dégourdir les jambes. Aujourd'hui Adriana à mit une petite robe d'été et je parie qu'elle ne porte rien en dessous. Lorsque nous sortons pour marcher un peu, je remarque avec fierté le regard des hommes s'attarder sur la plastique du corps d'Adriana. Elle aussi le remarque.
Elle : Tu n'es pas jaloux ? Tu vois tous ces hommes qui me regarde ? Je suis certaine qu'il ne pense qu'à me baiser comme tu l'as fait hier.
Ces quelques mots à mon oreille suffise pour me faire bander.
Elle : Je vois que ce n'est pas jaloux que tu es.
Moi : Non, ce n'est pas jaloux, retournons au mobil home. Sinon je vais avoir des problèmes.
De retour, elle va se refaire une beauté pendant que je m'installe au volant. Et quand elle revient et s’assit, je ne peux qu'être surpris. Elle s'est aussi changée. Elle a enfilé une chemise qu'elle a unique nouée négligeaient sur son nombril. Le tissu est tellement relâche, que je peux voir ses seins nus par l'échancrure. Mais ce n'est pas tout, elle ne porte que cela et elle ne se gène pas pour écarter les cuisses me montrant ainsi sa chatte.
Elle : Alors, il est temps de partir. Allez, direction Nevers.
Moi : Tu es certaine.
Elle : Oui, il fait chaud et en ce qui te concerne, interdiction de toucher avec le prochain arrêt.
Sur les premiers kilomètres, j'ai difficile de rester concentré. Mais quand j'arrive enfin à me fixer sur le route, c'est là qu'elle se détache et se penche sur moi. Plus précisément sur mon sexe. Après avoir dézipper et déboutonné mon short, elle sort ma bite.
Elle : Tu as vraiment besoin que je m'en occupe. Si elle était restée enfermée, je suis certaine qu'elle t'aurai fait mal.
Moi : Arrête, je conduit.
Elle : C'est pour cela que j'ai attendu. Tu sais maintenant te concentrer sur la route. Alors continue et ne t'occupe de rien d'autre.
Heureusement que nous sommes sur les routes secondaires et je peux ainsi ralentir. Je dois préciser que ceci est dangereux et surtout punis par le code de la route. Mais maintenant, je ne pense pas à cela.
Elle me branle, faisant glisser mon crépus pour découvrir mon gland. Et tout en glissant ses doigts le long de cette hampe de chair, elle assené quelques coups de langue bien placé sur le dessus de mon nœud. Elle est vraiment trop douée et je suis obligé de m'arrêter après quelque kilomètres.
Il lui aura fallu moins de dix minutes pour me faire jouir et lui remplir la bouche. Après avoir nettoyé ma bite et avaler tout le sperme, elle se remet en place et nous continuons notre voyage. Elle quasi nue et moi derrière le volant avec la bite à l'air. Car elle n'a pas voulu que je me rhabille.
Après un bref arrêt pour nous arrivons à Nevers à 17h30. Nous trouvons un camping pour la nuit, mangeons un morceau, faisons l'amour et alors que nous allions nous endormir.
Elle : Je peux te demander quelque chose ?
Moi : Oui ?
Elle : Je crois que notre relation devient sérieuse !
Moi : Oui, j'aimerai que tu reste avec moi.
Elle : C'est de cela que je voudrai te parler. Tu sais, je suis institutrice et je ne reprends les cours qu'en septembre. J'aimerai que l'on passe toutes les vacances ensemble.
Je vois qu'elle redoute ma réponse, elle doit avoir peur que je refuse.
Moi : J'aimerai moi aussi. Mais cela change peut-être notre destination ?
Elle : Non, j'aimerai te présenter mes parents. Mais nous ne sommes plus tenus par le temps. Je vais juste les prévenir pour qu'ils ne s'inquiètent pas.
Et nous nous sommes endormis.
Ce matin je me réveille et Adriana est couchée à coté de moi, Je me penche et pose un baiser sur sa joue, elle bouge mais ne se réveille pas. Elle est belle et désirable et ce n'est pas ma bite qui va dire le contraire. Je m'approche d'elle commence à caresser ses seins. Elle réagit à peine, le fait elle exprès ? Je ne sais pas. Mais le fait est que suite à ses mouvements, elle est couchée sur le dos les jambes assez écartées pour que je puisse me glisser entre. Je tente ma chance même si je sais ne pas prendre beaucoup de risques. Je me mets au-dessus d'elle, ma bite en main , je la dirige vers sa chatte et sans lui demander son avis, je la pénétré. Naturellement elle se réveille, mais je suis déjà actif et la pénètre dans un mouvement de va-et-viens de plus en plus rapide. Elle ne fait rien pour se dégager, bien au contraire, elle me saisi les fesses pour m'inviter à continuer. Elle ne tarde pas gémir et alors qu'elle à un premier orgasme, je jouis en elle.
Elle : Mmm... que c'était un bon réveil. Attend je vais prendre un dessert.
Elle se redresse et prend ma bite pour la sucer et en extraire les dernière gouttes de sperme.
Nous nous levons et après le petit déjeuner, nous reprenons la route. Il nous faut deux jours pour arriver chez ses parents. Nous avons prit notre temps, de nombreuses pauses et pas mal de parties de jambes en l'air.
Il est 15h00 quand elle sonne et que sa mère vient lui ouvrir. Ses parents nous accueille à bras ouverts. Elle fait les présentations son père, Jean 47ans et sa mère Annette 45 ans. Mais je discerne une certaine méfiance à mon sujet. Que leur fille quitte son copain ne pose pas de problème, mais qu'elle revienne avec un type qui à seulement 5 ans de moins qu'eux les dérangent. Je m'efforce toutefois de les rassurer en m'ouvrant à eux. Je leurs explique d'où je viens. Je suis belge et j'ai pris deux mois de vacances pour parcourir un peu l'Europe, mais je crois que je vais me contenter de la France. Il y a tellement de belle choses à voir. Ce qu'ils veulent vraiment savoir quels sont mes intentions vis-à-vis de leur fille. Là c'est Adriana qui prend intervient.
Adriana : Papa, maman arrêter, ce son les vacances, il m'est venu en aide et je l'ai suivi de mon plein grès. Je couche avec lui, mais je sais que ce n'est peut-être qu'un amour de vacances. Alors soyez sympa, laissez le tranquille.
Jean : On a compris chérie. Marc tu es le bienvenu.
Moi : Je vous remercie Monsieur.
Jean : Pas de Monsieur, tu as à peine 5 ans de moins que moi. On se tutoie.
Annette : Je suis d'accord, je vais d’ailleurs préparer la chambre d'ami pour lui.
Adriana : Maman, arrête, il dormira dans ma chambre.
En début de soirée, une certaine Cathy nous rejoint. C'est une belle blonde de 30 ans, 1,70 m, belle poitrine. Elle est à peine arrivée qu'elle se montre très amicale avec moi. A la limite de la familiarité. C'est en fait l'ex belle-sœur d'Adriana. La femme de son grand frère qui est décédé il y a 2 ans dans un accident de moto. Elle habite habite encore avec eux car elle a toujours eu une relation privilégiée avec ses beaux-parents. Elle a le même age qu'Adriana et semblent très amies.
Mais il est temps de monté coucher. Sa chambre partage une salle de bain avec celle de sa belle-sœur. Adriana y passe la première et revient complètement nue. Avant que j'y aille, elle me prévient aussi de fermer la seconde porte à clé pour évité de rencontrer Cathy. Je vérifie la porte, elle est fermée. Je me déshabille et passe sous la douche. Après 5 minutes, on frappe sur le carreau de douche, ça doit être Adriana qui vient pour que l'on passe un bon moment ensemble.
Moi : Oui, entre.
Cathy : Salut, merci.
Moi : Mais que fais-tu là ? La porte est pourtant fermée.
Je me retourne pour cacher mon sexe.
Moi : Mais tu es nue !
Cathy : Une chose à la fois. Premièrement parle plus doucement, que dirait Adriana si elle nous trouvaient tous les deux nus sous la douche ? Deuxièmement, j'ai un double de la clé et enfin, je viens pour te sucer la bite.
Moi : Mais tu est folle. Il en est hors de question.
Cathy : Allez, ne fais ton timide, tous les mecs aiment se faire sucer et ça tombe bien, j'adore sucer les bites.
Moi : Sors tout de suite.
Cathy : Je vais faire simple, je te suce, tu jouis et je retourne dans ma chambre. Personne ne sera au courant. Ou alors tu compliques les choses, Adriana nous trouve tous les deux ici, elle pique une crise, les parents nous trouve, ils te vire de la maison, Adriana te déteste. Bref tu perds tout.
Le choix est simple pour elle, il est risqué pour moi.
Moi : D'accord. Mais fais vite.
Cathy : Ah mon cher ça dépend de toi.
Elle s’agenouille, prend ma queue et commence à me sucer. Sa langue est habile et j'ai vite une érection monstrueuse. C'est une vrai experte de la fellation, en moins de 5min elle est sur le point de me faire jouir. Mais elle s'arrête juste avant.
Cathy : Maintenant baise-moi.
Moi : C'est pas ce qui était prévu.
Cathy : Je sais mais j'ai changé d'avis et je veux ta bite en moi.
Moi : Pas question, sort d'ici.
Cathy : Si je bouge je vais faire du bruit, Adriana va entrer et elle va nous trouver. Son mec debout avec sa belle-sœur à genoux devant lui, la queue en bouche.
Moi : Je suis coincé. Tu es une vraie salope !
Cathy : Je sais et les hommes aime ça. Allez fourre là dans ma chatte.
Je suis obligé d'accepter. Elle se redresse, s’appuie sur le mur et je la prends en levrette. Sa chatte et serrée et elle sait l'utiliser. Je sens rapidement mon jus monter et je ne fais rien pour me retenir et je louis en elle.
Cathy : Merci, tu peux retourner près d'Adriana. J'ai eu ce que je voulais. A l'occasion si tu veux recommencer, n'hésites pas, je suis toujours disponible pour une bonne bite.
Elle sort de la salle de bain. J'éprouve du remord, mais qu'est-ce que j'aurais pu faire d'autre. Rien, je ne connais pas encore assez Adriana pour présumer de sa réaction. Je ne sais même pas qui elle aurait cru. Son ex copain venait de la quitter, alors pourquoi je ne l'aurais pas aussi fait.
Je la rejoins dans la chambre et elle m'attend couchée nue sur le lit. Elle attend sûrement que l'on fasse l'amour. Mais dans ce cas, elle risque de se poser des questions car je ne me sens pas au mieux de ma forme. Mais elle me demande de la rejoindre, elle veut me raconter une histoire de famille. Je me couche à coté d'elle...

A suivre