Je pense au studio de la fille de mon amie, à mon mari et....au routier
Récit érotique écrit par Lolita_mimo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Je pense au studio de la fille de mon amie, à mon mari et....au routier
Me revoilà ! J’ai déjà écrit ici pour la toute première fois. Vous l’avez peut-être déjà lue mon histoire, non ? Bref, c’est toujours moi, Alizée. Je prends un peu de temps pour écrire. Mon mari et mes enfants sont absents. Je vais vous raconter une histoire qui m’est vraiment arrivée. C’est moins difficile de le faire par écrit car c’est anonyme et ici, tout le monde partage des histoires, qu’elles soient réelles ou non.
Il y a quelques jours, j’ai aidé la gamine d’une amie à emménager dans son studio. Bientôt la rentrée ! Eh oui, déjà ! J’y ai passé une bonne partie de la journée. J’étais partie avec ma voiture car mon amie restait chez sa fille une nuit. Je reviens donc seule et m’arrête sur une petite aire de repos. Quelques tables pour pique-niquer, des toilettes... Il n’y avait qu’une autre voiture et quelques camions. Je coupe le moteur et recule mon siège pour étirer un peu mes jambes. Je bois un peu d’eau et regarde ce qui se passe autour de moi. Les passagers de l’autre voiture viennent de finir de manger et remontent dans celle-ci avant de démarrer. Je les regarde s’éloigner. Je regarde les camions et les compte : il y en a 5 en tout. J’ai toujours pensé qu’être routier était un métier difficile. Passer sa vie sur les routes, seul dans sa cabine, sans famille autour de soi. Je vois passer un homme de 25 ans (je ne suis pas douée pour donner un âge approximatif) qui se dirige vers les toilettes. Il est habillé en pantalon de jogging, un t-shirt, des sandales aux pieds. Il a les cheveux courts. Il parle au téléphone. Je le fixe car je le trouve jeune pour être routier. J’ai l’habitude d’en voir des plus âgés. Il m’a donné une idée, celle d’aller aux W.C. Depuis mon départ, je ne me suis pas arrêtée et l’envie se fait sentir. J’arrive devant le « bloc » sanitaire et m’arrête. Je cherche les toilettes pour femmes. J’entends « C’est par là ! ». Je regarde vers la voix et voit le jeune routier aux urinoirs qui me sourit en pointant la direction. Je le remercie et vais dans la direction indiquée. Je m’enferme et fait ce que j’ai à faire. Je pense au studio de la fille de mon amie, à mon mari et....au routier. En sortant, je le vois assis à une table de pique-nique. Je prends place à côté de lui et engage la conversation.
- Vous venez d’où ?
- De Bordeaux.
- Une bonne route, non ?
- Ca va, ca va. J’ai l’habitude et il faut bien travailler.
- Eh oui.
Il a un beau visage et un beau sourire. On parle, on parle. Il me dit qu’il n’a pas de vraie petite-amie car « c’est difficile d’entretenir quelque chose quand on est loin l’un de l’autre ». Et là, je ne sais pas ce qui m’a pris, je pose ma main sur son biceps. Je sens son muscle se raidir. Il continue de parler, je bois ses paroles. Je me nourris de son sourire. Et là, ça ne me prend pas souvent, je lui dis :
- Moi aussi, je m’ennuies. Toute seule sur cette route depuis plusieurs heures. On va marcher ?
- Oui, oui. Si vous...
- Allez, dis-moi « tu ».
On s’éloigne vers un petit coin de pelouse. Je lui dis qu’il a l’air musclé. En plaisantant, il soulève son t-shirt et me montre un ventre plat, avec quelques abdos qui pointent. Ce n’est pas non plus un mannequin mais je trouve ça joli et prise dans le même délire, je les lui touche. On se regarde, il m’attire vers lui et m’embrasse. Entraînée dans un tourbillon d’excitation, de désir, d’interdit, je m’agenouille devant lui et lui baisse lentement son pantalon. Je tombe sur un boxer à fines rayures qui laisse entrevoir un sexe excité. Je le baisse et son sexe jaillit. Il n’a qu’un léger duvet de poils blonds qui surmontent son sexe non circoncis. Je m’active à lui faire une fellation. Après quelques minutes, je le sens venir, je me retire donc et le laisse jouir sur l’herbe. Nous nous quittons en silence. Il partit avant moi puis je rejoignis ma voiture.
Il y a quelques jours, j’ai aidé la gamine d’une amie à emménager dans son studio. Bientôt la rentrée ! Eh oui, déjà ! J’y ai passé une bonne partie de la journée. J’étais partie avec ma voiture car mon amie restait chez sa fille une nuit. Je reviens donc seule et m’arrête sur une petite aire de repos. Quelques tables pour pique-niquer, des toilettes... Il n’y avait qu’une autre voiture et quelques camions. Je coupe le moteur et recule mon siège pour étirer un peu mes jambes. Je bois un peu d’eau et regarde ce qui se passe autour de moi. Les passagers de l’autre voiture viennent de finir de manger et remontent dans celle-ci avant de démarrer. Je les regarde s’éloigner. Je regarde les camions et les compte : il y en a 5 en tout. J’ai toujours pensé qu’être routier était un métier difficile. Passer sa vie sur les routes, seul dans sa cabine, sans famille autour de soi. Je vois passer un homme de 25 ans (je ne suis pas douée pour donner un âge approximatif) qui se dirige vers les toilettes. Il est habillé en pantalon de jogging, un t-shirt, des sandales aux pieds. Il a les cheveux courts. Il parle au téléphone. Je le fixe car je le trouve jeune pour être routier. J’ai l’habitude d’en voir des plus âgés. Il m’a donné une idée, celle d’aller aux W.C. Depuis mon départ, je ne me suis pas arrêtée et l’envie se fait sentir. J’arrive devant le « bloc » sanitaire et m’arrête. Je cherche les toilettes pour femmes. J’entends « C’est par là ! ». Je regarde vers la voix et voit le jeune routier aux urinoirs qui me sourit en pointant la direction. Je le remercie et vais dans la direction indiquée. Je m’enferme et fait ce que j’ai à faire. Je pense au studio de la fille de mon amie, à mon mari et....au routier. En sortant, je le vois assis à une table de pique-nique. Je prends place à côté de lui et engage la conversation.
- Vous venez d’où ?
- De Bordeaux.
- Une bonne route, non ?
- Ca va, ca va. J’ai l’habitude et il faut bien travailler.
- Eh oui.
Il a un beau visage et un beau sourire. On parle, on parle. Il me dit qu’il n’a pas de vraie petite-amie car « c’est difficile d’entretenir quelque chose quand on est loin l’un de l’autre ». Et là, je ne sais pas ce qui m’a pris, je pose ma main sur son biceps. Je sens son muscle se raidir. Il continue de parler, je bois ses paroles. Je me nourris de son sourire. Et là, ça ne me prend pas souvent, je lui dis :
- Moi aussi, je m’ennuies. Toute seule sur cette route depuis plusieurs heures. On va marcher ?
- Oui, oui. Si vous...
- Allez, dis-moi « tu ».
On s’éloigne vers un petit coin de pelouse. Je lui dis qu’il a l’air musclé. En plaisantant, il soulève son t-shirt et me montre un ventre plat, avec quelques abdos qui pointent. Ce n’est pas non plus un mannequin mais je trouve ça joli et prise dans le même délire, je les lui touche. On se regarde, il m’attire vers lui et m’embrasse. Entraînée dans un tourbillon d’excitation, de désir, d’interdit, je m’agenouille devant lui et lui baisse lentement son pantalon. Je tombe sur un boxer à fines rayures qui laisse entrevoir un sexe excité. Je le baisse et son sexe jaillit. Il n’a qu’un léger duvet de poils blonds qui surmontent son sexe non circoncis. Je m’active à lui faire une fellation. Après quelques minutes, je le sens venir, je me retire donc et le laisse jouir sur l’herbe. Nous nous quittons en silence. Il partit avant moi puis je rejoignis ma voiture.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Moi même routier depuis la sortie du service militaire, c'est sans prétention que j'avoue que ce métier, même difficile, nous permet de faire beaucoup de rencontres féminines. Soit ce sont des auto-stoppeuses coquines, ou des femmes mûres qui veulent s'amuser, des vicieuses en manque qui savent que nous sommes souvent à jeun sexuellement et qui veulent en profiter. Il y a aussi des femmes exhib qui se jouent de nous "sans rencontre" sachant que vu notre position élevée nous avons un panorama agréable. Cela transforme ce métier difficile en un métier "sexuellement" très agréable. Je suis d'ailleurs moi même marié à une exhib vicieuse et Candauliste.
Mmmmmmmmmmmmmmmmmm.....je crois bien que c'est une situation vraiment vécue!
simple, clair, net j'ai aimé
Il y a là de quoi en faire une histoire ?
très beau récit comme il doit y en avoir , c'est l'occassion qui fait le laron, ce sont
des moments spontané que l'on apprécie le plus
des moments spontané que l'on apprécie le plus