Titre de l'histoire érotique : Mon dieu, les enfants - histoire érotique

Mon dieu, les enfants ! Mon fils vient de rentrer de l’entraînement de rugby et il me dit :
- Maman, j’ai oublié ton portable dans le vestiaire.
Le téléphone de mon fils est HS (je ne connais toujours pas la raison) donc je lui ai prêté le mien pour qu’il puisse me contacter, à la maison, s’il avait du retard, etc. Evidemment, rien ne se passe comme prévu, il ne l’a plus. Après avoir crié légèrement (vraiment ?), je décide de retourner au stade pour le récupérer. Par bonheur, il est encore ouvert car un autre entraînement vient d’avoir lieu. Les derniers joueurs sortent tandis que je cherche le coach de Jonathan. Une vingtaine de minutes ont passées, j’ai déjà fait le tour des couloirs et je ne le trouve pas. Je suis à présent seule : il n’y plus de joueurs et apparemment ni même d’entraîneur. Et là, pour la énième fois, je passe devant le bureau de l’entraîneur. Je vois qu’il y a une légère lumière au fond de la pièce. Jamais je n’aurais pensé qu’il y avait une seconde salle derrière le bureau. Je frappe et personne ne me répond. J’entre dans le bureau et entend du bruit dans l’arrière-salle. J’essaie de me faire entendre mais personne ne me répond. Je décide de m’asseoir sur le coin du bureau et d’attendre. Et là, j’entends le bruit de l’eau qui tombe fortement sur le sol. Et alors, je pense que tout recommence. Si vous avez lu ma première histoire (vraie, je le rappelle), j’ai assisté à la douche des joueurs de l’équipe adverse de mon fils. C’était un moment plus érotique que sexuel. Mais il s’agissait de joueurs que je ne connais pas, que je ne reverrais pas tandis que le coach de mon fils est un homme que je vois assez souvent, quand je viens chercher ou déposer Jonathan ou en tant que client des magasins de la ville... Je suis une femme épanouie dans ma vie mais parfois j’ai des fantasmes, des envies, une curiosité qui me pousse à aller plus loin. Je décide de pousser la porte et d’entrer. La pièce semble divisée en deux parties : l’une sert de vestiaire, il y a des casiers, un banc et des patères et l’autre est celle des douches. Je remarque des affaires éparpillées au sol et je m’y approche. Il s’agit de vêtements de sport et parmi ceux-ci, je découvre un jockstrap ou en français, suspensoir. Ce vêtement maintient les organes génitaux de l’homme et laisse nues ses fesses. Si vous ne connaissez pas, effectuez une recherche car de beaux modèles vous présenteront cet outil de manière très photogénique... et surtout virile.
A côté, il y a un sac avec des affaires de rechange à l’intérieur: un jean, un joli pull, un très joli boxer de marque... Prise d’une envie dans le bas-ventre d’en voir plus, je me dirige vers les douches. De dos, le coach de mon fils est là. Je ne vous dirais pas son nom ni son prénom pour garder l’anonymat de celui-ci. Il est nu, ses jambes sont légèrement poilues, il a une démarcation de bronzage entre son corps et ses fesses, bien fermes. Son dos est musclé sans pour autant être déformé par un sport intensif (les body-builders, ce n’est pas mon truc). Il se retourne pour que l’eau dégouline dans son dos et me laisse ainsi le plaisir d’observer l’autre face de son corps. Son torse est parsemé de quelques poils clairs, il a encore de beaux restes côté muscles. Je le trouve très beau et très sexy (d’autant plus dans cette position de voyeuse). Il doit avoir entre 40 et 45 ans et je peux vous dire que beaucoup d’hommes ne lui ressemblent pas à cet âge-là. Il m’a déjà dit qu’il continuait à s’entretenir pour ne pas paraître « ridicule devant ces jeunes ». Qu’il se rassure, il ne l’est pas. Vous vous en doutez certainement, mes yeux se sont attardés sur son sexe. Une bite non circoncise laissant deviner un gland de belle taille sous le prépuce, poilue mais entretenue (une petite coupe de temps en temps, nous sommes en 2011, les hommes s’entretiennent et moi je dis oui !). Sous son sexe pendent de belles testicules qui semblent lisses. Avant qu’il ne puisse me voir, je décide de partir...

Attention, je ne vous laisse pas sur votre faim, cette histoire a une suite et bien réelle. Cela s’est passé hier et je voulais vous raconter ce récit dans l’ordre chronologique donc patientez.

Je vous propose quelque chose aussi, assez simple. Mes histoires sont réelles mais je vous propose d’en inventer une et c’est vous qui allez choisir le thème. Comment faire ? Commentez ce récit et indiquez moi le thème que vous aimeriez que j’aborde dans une prochaine histoire. Vous pouvez, pour les plus coquins, m’indiquez votre nom et l’histoire se passera entre vous et moi. C’est moi qui choisirez le gagnant ! A bientôt. Alizée.