jeune effrontée - histoire érotique

Nous sommes vers la fin du printemps. Mon véhicule garé, j'ai une centaine de mètres à parcourir à pieds pour rejoindre mon lieu de rendez-vous professionnel.
Je remarque une jeune femme à un arrêt de bus, je la regarde furtivement, elle est très jeune, peut-être lycéenne bien que sa tenue vestimentaire fasse plutôt penser à une jeune active.
Je me trouve sur le trottoir opposé au sien, d'instinct je regarde à nouveau dans sa direction et je suis surpris de constater qu'elle me fixe. Poursuivant ma marche mais ne la lâchant pas du regard, ma surprise s'amplifie car la gamine ne baisse pas les yeux, au contraire elle soutient mon regard.

Je poursuis mon chemin mais son attitude m'interroge: je plais aux femmes, certes, mais j'ai 55 ans, je mets cela sur le compte de l'insouciance et d'une volonté de défi.
J'analyse mentalement son apparence: entre 1m60 et 1m65 (je n'ai pas remarqué si elle portait des talons), mince, brune au cheveux longs, vêtue d'un chemisier blanc à manches courtes et d'un pantalon noir.

Arrivé sur mon lieu de rendez-vous, je chasse de mon esprit la vision mentale de cette gamine et je me reproche même de m'y être intéressé.

Une bonne demi-heure plus tard sur mon chemin de retour pour récupérer mon véhicule, je m'étonne d'apercevoir encore la silhouette de la jeune effrontée au loin, toujours à l'arrêt de bus.
Cette fois-ci je suis sur le même trottoir qu'elle, une cinquantaine de mètres nous séparent tandis que je continue de progresser dans sa direction. Je l'observe, elle semble lasse, sans doute exaspérée par l'attente de son bus.

Je suis maintenant à une dizaine de mètres d'elle. Elle regarde vers moi, je lui souris, je suis à quelques pas.
Moi, souriant, avenant:《il ne devrait plus trop tarder...》
Elle, soucieuse:《j'attends depuis 3/4 d'heure...》
Je m'arrête à sa hauteur et lui indique que ma voiture est garée au coin de la rue, je peux peut-être l'aider, l'avancer vers sa destination?
La jeune femme me jauge, elle a un joli visage, une peau très blanche et des yeux d'un bleu profond. Je dois lui inspirer confiance car elle accepte ma proposition.
Elle:《Je vais à T...... mais si vous pouvez m'avancer jusqu'aux boulevards ce sera déjà très bien》
Je lui souris à nouveau, je lis l'intelligence et la vivacité d'esprit dans son regard. Nous marchons côte à côte. J'apprends qu'elle est en école d'hôtellerie, aussitôt je fais le rapprochement avec sa tenue vestimentaire.

Nous sommes dans mon véhicule, je pourrais me permettre de la tutoyer mais volontairement je la vouvoie. Elle a 19 ans, fais ses études au Lycée Hôtelier de T.......
Cette gamine est charmante, sa voix est douce, elle ne se contente pas de répondre à mes questions par politesse, elle s'intéresse à moi également et me questionne en retour. Je décide de ne pas m'arrêter aux boulevards et de poursuivre ma route jusqu'à T...... même si ce n'es pas du tout mon chemin.

Elle s'appelle Lou, elle me remercie et exprime sa gêne de me dérouter ainsi.
Je décide d'être direct et je lui demande pourquoi elle m'a fixé d'un regard soutenu plus tôt dans l'après-midi.
Lou:《je ne sais pas...》《ce n'est pas dans mes habitudes vous savez...》
Moi:《non, je ne sais, je ne vous connais pas》
Elle tourne son visage vers moi, me sourit.
Lou:《vous aussi vous m'avez fixée...》
Un silence s'installe. Les silences ne m'ont jamais gêné.
Lou:《qu'est-ce que vous avez pensé de moi?》
Moi, d'un ton neutre:《je me suis dit que vous étiez une petite effrontée!》《et que vous méritiez une bonne fessée!》
La jeune femme ne semble pas choquée par mes propros osés, elle en sourit.
Lou, un brin provocante:《j'ai passé l'âge il me semble...》
Moi, sourire aux lèvres:《il n'y a pas d'âge pour les bonnes choses!》
Chers lectrices, lecteurs, petite parenthèse. Je suis adepte de jeux D/s et particulièrement la fessée. Je suis un fesseur ou spanker comme il vous plaira. J'ajoute que même si j'administre la fessée avec sérieux je ne me prends pas pour autant trop au sérieux et que ces jeux ne se pratiquent qu'entre adultes consentants.

Concentré sur la conduite de mon véhicule j'observe tout de même la jeune femme à ma droite qui demeure souriante mais pensive. Volontairement je change de sujet et Lou se livre un peu plus, elle n'a pas de petit ami, pas beaucoup d'amis, elle trouve les jeunes de son âge ennuyeux. Elle lit beaucoup, s'intéresse à l'art en général, particulièrement la peinture, écoute tous styles de musique, même de la musique classique.

Nous sommes presque arrivés, le temps passe vite lorsqu'on est en bonne compagnie. Lou m'invite à la tutoyer.
Moi, posé et autoritaire:《c'est moi qui déciderai du moment》《je vous donne mon numéro》
Étonnamment la jeune femme de 19 ans ne décline pas ma proposition, elle prend son téléphone dans son sac et y enregistre mon numéro.
Lou:《je vous donne le mien?》
Moi:《c'est inutile》
Je me gare devant le lycée hôtelier et coupe le moteur. Nous sommes tournés l'un vers l'autre, je lui souris, observe ses beaux yeux bleus et là quelque chose d'inoui se produit: Lou prend ma main droite posée sur le levier de vitesse et ses dix doigts fins et gracieux la porte à son visage, elle prend une grande inspiration puis y dépose un baiser délicat.
Lou:《merci Monsieur》
Les mots sont inutiles, je la regarde descendre promptement de ma voiture et s'éloigner en direction du grand portail, lieu d'attroupement et de vacarme.

Je ne redémarre pas de suite, j'observe sa longue chevelure noire et lisse qui ondule aux rythme de ses pas. Elle ne se retourne pas, elle disparaît dans la cohue.

Sur le chemin du retour vers mon bureau une pensée m'alerte: et si elle n'avait pas 19 ans! est-elle vraiment majeure?! Je me rassure mentalement en me disant que si une rencontre se produit je demanderai à voir sa pièce d'identité. Habituellement jamais je ne m'intéresse à une femme aussi jeune et je m'interroge sur l'intérêt que peut avoir une gamine de 19 ans à rencontrer un homme mûr de 55 ans...

Le soir, seul chez moi je reçois un appel d'une amie, Arianne, et je suis obligé d'inventer une excuse bidon pour ne pas la rejoindre chez elle ou qu'elle vienne chez moi. C'est la première fois que je n'ai pas envie de voir Arianne, cela fait presqu'un an que nous nous fréquentons, elle a 44 ans.

Toute la soirée j'essaie de chasser Lou de mon esprit et j'en viens à regretter d'avoir refuser de voir Arianne. Je me dis qu'être en sa compagnie  m'aurait aidé à ne pas focaliser sur la jeune femme de 19 ans rencontrée dans l'après-midi...
Pire je me surprends à attendre un appel ou un SMS de la lycéenne. Moi qui m'interdis d'être dans l'attente ou dans l'impatience voilà que je me comporte comme un gamin! Je décide d'appeler un ami et nous nous retrouvons vers 22h dans un bar du centre-ville.
Pour m'aider à me débarrasser de mes pensées obsédantes j'ai pris soin de laisser mon téléphone chez moi et l'alcool aidant je passe une bonne soirée en compagnie de mon ami.

De retour chez moi j'ignore mon mobile et ce n'est qu'après mon passage à la salle de bains, une fois couché, alors que je vérifie le réglage de mon réveil sur mon téléphone, que je constate avoir reçu plusieurs SMS dont un d'un numéro inconnu.
Évidemment seul celui qui émane du numéro inconnu m'intéresse, il ne peut être que de Lou. Je suis furieux contre moi, je constate que mon rythme cardiaque s'accélère, je n'aime pas ça, je garde toujours le contrôle habituellement. J'ouvre le SMS, c'est elle, il est écrit:《j'aime beaucoup votre parfum Monsieur...》heure d'envoi 23h12.
Je décide de ne pas répondre. Heureusement je suis fatigué et les effets de l'alcool m'aident à nouveau, je trouve facilement le sommeil.

Le lendemain je ne me manifeste pas, Lou non plus. Je suis rassuré de constater que je pense moins à elle.

Le surlendemain je décide de lui écrire vers midi:《Bonjour jeune effrontée, à quelle heure puis-je vous appeler?》
Réponse immédiate de la jeune femme:《Bonjour Monsieur, je termine à 14h30 et ensuite je ne reprends qu'à 16h》

J'appelle vers 15h, deux sonneries et la voix douce et envoûtante de la lycéenne se fait entendre. Elle s'excuse de m'avoir envoyé un SMS aussi tard il y a 2 jours, de manière détournée elle m'interroge sur ma situation familiale. Je décide de la tutoyer, je lui dis que je suis divorcé, qu'elle peux m'écrire sans restriction et la même chose pour les appels, si je suis disponible je lui répondrai. Elle est surprise et peut-être vexée que je me renseigne à nouveau sur son âge et me confirme qu'elle a bien 19 ans, enfin presque,  dans 3 mois exactement.
Moi:《tu veux qu'on se revoit?》
Lou, enthousiaste:《oh oui...》
Nous décidons de nous voir vendredi soir, nous sommes mercredi.

Échange de SMS dans l'après-midi.
Moi:《mon âge ne t'effraie pas?》
Lou:《vous avez quel âge Monsieur?》
Moi:《55》
Lou:《je vous donnais moins mais non, ça ne me dérange pas du tout...》
Moi:《j'étais très sérieux lundi quand je t'ai dit que tu méritais une bonne fessée!》
Lou:《ah bon?》

En soirée Arianne se fait insistante, elle me reproche d'être distant depuis quelques jours.
Je suis contraint d'accepter son invitation au restaurant. Pendant le dîner mon téléphone vibre plusieurs fois, mon amie est inquiète, me demande si j'ai rencontré quelqu'un d'autre. J'essaie de la rassurer mais je lui fais remarquer que nous ne sommes pas en couple, que nous sommes libres l'un et l'autre, que notre relation amis-amants est un choix réciproque.
Je profite d'un passage aux toilettes pour consulter mes SMS. Il y en a 3 de Lou:
1《hâte de vous revoir Monsieur》
2《vous faîtes quoi Monsieur?》
3《vous avez un compte Snapchat Monsieur?》

Le dîner se termine, Arianne insiste pour régler l'addition, je suis son invité.
Chez elle je lui fais l'amour sans conviction, mon amie en a bien consciente alors pour pimenter un peu nos ébats elle me chuchote à l'oreille qu'elle n'a pas été sage, qu'elle n'aurait pas dû me poser toutes ces questions aux resto, qu'elle mérite une fessée.
Je lui ordonne de se mettre en position et de choisir 2 accessoires. Elle se lève, je perçois le bruit caractéristique de ma ceinture s'extirpant des passants de mon pantalon posé sur une chaise, ses pas sur le parquet du couloir.  J'attends 2 à 3 minutes, sors du lit et me dirige vers le salon.
Arianne est en position, prête à recevoir sa punition. C'est une quadra bien conservée, sportive, son cul est magnifique, cambré, exhibé, parfaitement mis en valeur sur le point culminant du dossier du large canapé en cuir. Son buste, sa longue chevelure blonde, pendent de l'autre côté. Je ne vois que son cul, ses cuisses, ses molets, ses pieds.
À côté, sur l'assise, à droite ma large ceinture noire, à gauche une petite planche de cuisine en bois.
Arianne ne bouge pas, elle attend, elle attend sa punition. J'en profite pour déverrouiller mon téléphone et répondre à Lou. Cela fait plus de 2 heures qu'elle m'a envoyé son dernier SMS. Je lui envoie mon pseudo Snapchat pour seule réponse, sans plus de formalités.

Arianne sait que j'ai utilisé mon téléphone mais elle n'est pas en position de me faire le moindre reproche.
Je saisis la petite planche en bois, elle mesure environ 7 cm de large pour 15 de longueur et moins d'1 cm d'épaisseur.
Moi:《prête?》
Elle:《oui Maître》
Je ne tiens pas particulièrement à ce qu'une soumise m'appelle "Maître" mais certaines comme Arianne aime nommer leur Dominant ainsi.
Les coups de planche s'abattent à une cadence régulière sur les fesses de mon amie.
CLAC! CLAC!
Fesse droite! Fesse gauche!
Arianne compte et me remercie après chaque coup.
CLAC! 《1, merci Maître》
CLAC! 《1, merci Maître》
CLAC! 《2, merci Maître》
CLAC! 《2, merci Maître》
La pièce est faiblement éclairée mais le changement de couleur de son fessier est perceptible. Les 10 coups sont dépassés et Arianne commence à émettre un  petit cri de douleur avant chaque comptage suivi de son remerciement.
Je décide de stopper la série au 20 ème coup soit 40 au total.

Je pose la petite planche et récupère mon téléphone laissé sur la table basse. Un petit logo spécifique de Snapchat est visible, j'ouvre, accepte le pseudo de Lou et découvre une photo: le cul de la lycéenne de 19 ans en gros plan, bien cambré. Visiblement elle s'est positionnée à 4 pattes mais buste penchée vers l'avant pour faire ressortir au maximum le galbe de ses fesses. Ses cuisses et ses jambes sont serrées, son petit trou paraît bien serré et son abricot est tout lisse. Un petit texte agrémente la photo: 《cul de votre jeune effrontée》