jeune effrontée 8

Récit érotique écrit par OhMur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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jeune effrontée 8
(Chères lectrices, chers lecteurs, surtout lisez les épisodes précédents, cet épisode n°8 arrive 7 mois apres le n°7... veuillez m'en excuser.)
Je suis toujours à 4 pattes sur mon grand lit, c'est Arianne qui m'a fait découvrir ce plaisir d'être léché entre les fesses. J'ai tout de suite aimé même si je n'en étais pas l'initiateur. Au fil du temps mon amie s'est enhardie et s'est risquée à y glisser un doigt. Même si la première fois ma réaction a été brutale, la belle quadragénaire en femme expérimentée ne s'est pas découragée pour autant et sa persévérance à fini par me faire plier.
Moi, Dominant convaincu et convaincant j'ai accepté de me faire doigter.
Me faire lécher entre les fesses c'était facile, je l'interprète comme un acte de soumission de celle qui me procure ce plaisir, mais me faire doigter, cela a été beaucoup plus compliqué à accepter physiquement et encore plus cérébralement.
Bref, ce soir cela m'embarrasse en présence de Lou et je soupçonne Arianne d'avoir décidé de me procurer ce plaisir par pure jalousie. Pour casser quelque peu mon image aux yeux de la jeune étudiante.
Lou continue de me torturer les tétons en me regardant. La lueur dans la prunelle de ses magnifiques yeux bleus m'indique qu'elle prend du plaisir mais qu'elle est heureuse de m'en donner également. A chaque fois que je ferme les yeux pour profiter plus intensément encore du bonheur que ces deux femmes me procurent, la gamine de 19 ans m'invite de sa voix douce et puérile à les garder ouverts, à la regarder.
Lou:《tu aimes ce qu'elle te fait..? t'aimes ça..?》
Je ne veux pas lui répondre, c'est une question qui n'attend pas de réponse, mes soupirs suffisent et surtout je ne veux pas perdre le contrôle.
Lou:《tu veux que ce soit moi..?》
Les derniers mots de ma jeune soumise me font chavirer, ma bouche plonge vers la sienne, Lou cesse aussitôt de me pincer les seins et nous voilà repartis dans un long baiser passionné.
Je m'affaisse de tout mon poids sur le corps fragile de la jeune effrontée mais elle ne semble pas souffrir de cette pression. Arianne elle, n'existe plus, sa langue et ses mains sont devenues inutiles.
Ma jeune soumise tient maintenant mon visage entre ses deux mains graciles, sa petite langue habile tournoie à un rythme effréné dans ma bouche. Elle écarte ses cuisses, j'appuie ma verge redevenue dure et mes couilles contre sa chatte et je fais des petits mouvements pour écarter ses grandes lèvres.
La jeune femme de 19 ans s'abandonne, ses mains lâchent mon visage, ses bras basculent sur l'oreiller... je me redresse, je suis à genoux entre les cuisses de ma Princesse, je saisis à pleine main ma queue épaisse, chaude, gonflée de sang et la dirige à l'entrée de ce petit paradis préservé...
Lou, les yeux fermés, gémit. Sa longue chevelure brune ondule au même rythme que son bassin... Cette gamine de 19 ans me veut. Elle me veut en Elle!
Lou:《Ange! putain! vas-y!》《prends moi!》
Ce mélange de vulgarité, de désir et de candeur m'excitent au plus haut point! D'un mouvement de rein et guidé par ma main, mon sexe énorme s'enfonce doucement entre les lèvres roses et humides.
Lou pousse un cri et ses mains s'agrippent à mes hanches pour m'interdire d'aller plus loin. Je contemple le spectacle de la bouche ouverte de la jeune femme, haletante, puis son sexe, son petit triangle noir au dessus de sa vulve, bien démarqué, et ma bite épaisse qui écarte les chairs.
Je pousse un peu plus, je ne veux pas lui faire mal mais j'ai trop envie d'être en elle, plus profondément. Je perçois de la douleur dans les petits cris de ma jeune soumise mais surtout son visage se crispe.
Je déteste ça mais je décide de me retirer, je prends conscience que sans lubrifiant je n'arriverai pas à la pénétrer davantage. Le visage de Lou se détend quand mon chibre s'extirpe de son fourreau chaud et humide.
Je me lève promptement et rejoins la salle d'eau attenante où je récupère un sachet de lubrifiant. Quand je reviens la jeune effrontée est dans la même position, sur le dos, jambes pliées et écartées.
Arianne a disparu, j'entends un bruit de porte, partie sans un mot.
J'allume une petite lampe de chevet qui aussitôt éclaire la chambre d'une lumière ambrée.
Lou me suit du regard, je la devine embarrassée de n'avoir pu encaisser mon premier assaut.
Je me fige debout, face à elle, derrière le lit. Ma queue n'est plus parfaitement raide mais garde de belles proportions.
Moi:《mets toi au bord》
Lou glisse vers moi. En même temps que je lui donne des directives pour se positionner, je recueille une partie du gel dans le creux de ma main.
Moi:《relève tes jambes, plie les plus, écarte tes cuisses davantage, tiens les bien écartées avec tes deux mains》
Je contemple la jeune femme totalement offerte en me branlant pour étaler le lubrifiant sur ma verge. Je verse le reste du sachet sur le sexe rose et j'y introduis deux doigts inquisiteurs, fouilleurs, enfonceurs!
Lou gémit de plaisir et maintient bien ses cuisses écartées avec ses deux mains. Je décide de lui enfoncer trois doigts dans la chatte! Je la baise avec ma main! Mais pas profondément car je sens bien une résistance... Mes doigts tournent à l'entrée de son vagin pour élargir le passage puis remontent vers le clitoris. Les gémissements se transforment en petits cris! En cris de plaisir!
Puis ma petite pute me supplie, elle veut ma bite!
Lou:《ta queue Ange!》《ta queue!》《baise moi!》
Une pensée me traverse l'esprit, fister cette petite salope! Cette pensée m'excite à mort même si je sais que cela est irréalisable et impensable avec une jeune femme vierge.
Ma bite est redevenue dure comme du bois!
Du bout de mon majeur je titille son bouton rose, je tourne autour puis le pince légèrement. La jeune effrontée n'en peut plus, elle veut ma bite! Elle me le répète à nouveau!
Moi:《ferme la petite conne!》《c'est moi qui décide si je te baise ou pas!》《et quand!》
Pour lui donner une leçon mes doigts trempés de mouille et de lubrifiant abandonnent sa chatte et viennent s'écraser sur son beau visage! J'y étale sans douceur le mélange visqueux puis lui fourre le plus de doigts possible dans la bouche. La jeune effrontée suffoque, déglutit, son corps se tortille.
Très vite j'interromps le supplice et simultanément mon chibre s'introduit dans sa petite chatte humide, accueillante... et facilitée grâce au gel je commence une pénétration lente et progressive... déchirant l'hymen pour m'enfoncer profondément, inexorablement, jusqu'à la garde.
A la rupture du rempart de chair Lou a crié, un cri animal... mais maintenant que je suis figé en elle, mon pieu enfoncé de toute sa longueur, mon pubis collé au sien, elle me fixe, elle me sourit, comme pour exprimer sa fierté de pouvoir recevoir en elle toute la longueur, toute la largeur, de mon sexe de Mâle Dominant...
Moi je me sens impérieux, je suis le premier homme à lui faire l'amour. Avec un sentiment de toute puissance je commence à ramoner la chatte de cette gamine de 19 ans, qui ne lâche pas prise! Qui tient toujours fermement à deux mains ses cuisses bien relevées et bien écartées!
Surexcité je deviens brutal! Sans précautions! Je pilonne sans ménagement cette petite chatte offerte! Je regarde ma bite aller et venir, le contraste est saisissant entre son corps menu et blanc et ma bite imposante et foncée.
Lou grimace de plaisir et de douleur mélangés!Elle aussi veut voir! Elle redresse la tête péniblement pour tenter de visualiser ce gros chibre qui lui bourre la chatte sans répit!
Soudain dans un éclair de lucidité elle m'avertit qu'elle est sans contraception, que je ne dois pas jouir en elle.
Je devine que la rupture de son hymen atténue son plaisir mais je suis égoïste, alors je continue de la défoncer en la tenant fermement, mes deux mains plaquées sur sa taille. Lou crie sa douleur mais s'interdit d'atténuer ou stopper mon ardeur.
Enfin je la libère, je sors ma bite au moment propice et la dirige vers son triangle brun que je badigeonne de foutre.
Je suis épuisé, essoufflé, couvert de sueur, j'abandonne la jeune effrontée, poupée désarticulée dans mes draps souillés de sang, pour aller me doucher.
Je repense furtivement à cette soirée où Lou m'avait annoncé sa virginité, à mon étonnement, mes doutes même ce soir là. C'était donc vrai, l'état de mes draps en atteste.
Quand je reviens je la trouve en position de fœtus, visiblement endormie. Je m'allonge à côté d'elle, sur le dos.
Lou, plaintive:《tu m'as fait mal...》
Je n'ai pour seule réponse qu'une profonde inspiration, je ferme les yeux.
Lou insiste, sans bouger, sans se retourner:《je t'avais dit que c'était ma première fois...》
Moi:《il est 2h passées, tu veux que je te ramène chez toi?》
Cette réponse décalée, inapproprié, fait réagir la jeune effrontée, elle se retourne pour se lover contre moi: son beau visage, un bras, sa poitrine, son ventre, une cuisse, se pressent contre mon corps immobile.
Alors que ses doigts délicats caressent ma joue, Lou me déclare qu'elle veut rester avec moi, dormir avec moi, refaire l'amour avec moi...
Cette gamine est vraiment déconcertante, je pense à son sexe endolori, je doute qu'il soit raisonnable de le pénétrer à nouveau même après une demi nuit de sommeil...
Je la décolle doucement de moi pour me lever, elle s'étonne, je la rassure en lui disant que je vais lui prodiguer un soin.
Quand je reviens je place une serviette de bain sur le grand lit et m'y installe semi-assis. Je pose à côté de moi une serviette de table pliée contenant un glaçon. J'installe Lou dans la même position que moi, contre moi. Mon torse et mes 4 membres l'accueillent comme un fauteuil protecteur. Ses jambes sont pliées, raisonnablement écartées. Je saisis le glaçon au creux de ma main et l'applique contre sa vulve puis le fait rentrer doucement et le maintien là, à l'entrée de ce puits d'amour blessé. La jeune effrontée soupire de bien-être, gémit de réconfort. Je ne peux garder très longtemps prisonnier le petit iceberg alors qu'entre mes doigts l'eau glacée ruisselle...
Quelques heures plus tard nous nous réveillons ensemble. Lou est aussi belle au réveil qu'en pleine journée, le privilège de la jeunesse sans doute.
Nous prenons une douche commune, je tais mon émerveillement sans cesse renouvelé devant son corps parfait, son visage, ses yeux, ses cheveux, alors qu'elle, ne cesse d'être admirative en évoquant mes larges épaules, mes bras et mes cuisses musclés et surtout mon sexe, qu'elle pétrit, malaxe, jauge, sans retenue entre ses jolis doigts.
Je feins d'être indifférent à ses compliments en m'inquiétant de l'état de sa petite chatte. Elle me rassure mais avoue quelques petites douleurs persistantes.
En fin de matinée je la raccompagne chez elle. Je dois me garer une bonne centaine de mètres avant l'entrée de la résidence, elle ne veut pas prendre le risque que sa mère aperçoive ma voiture.
La jeune effrontée me regarde un temps qui me paraît infini après m'avoir embrassé.
Cette gamine me déstabilise avec ses yeux d'un bleu singulier, dévastateurs. Pour la première fois de ma vie, même si je m'en défends, j'ai peur d'une femme.
Sur le chemin du retour je tente de chasser ce sentiment. Je m'interroge mentalement: de quoi pourrais-je avoir peur?
Une sonnerie et l'animation visuelle sur l'écran tactile de mon tableau de bord m'arrachent à mes pensées.
C'est Arianne, elle est vexée, jalouse, elle m'inonde d'une pluie de reproches! Et surtout elle cherche à me faire culpabiliser.
Elle:《tu te rends compte Ange??? une gamine de 19 ans!!!》《tu baises une gamine de 19 ans!!!》《et c'est sa 1ère fois...》《tu as cinquante ans passés!!!》
Je ne me justifie pas, une fois déversé son flot de critiques je coupe la conversation le plus poliment possible.
Arrivé chez moi je me déshabille en traversant le salon, j'ouvre la grande baie vitrée comme un automate et je plonge dans ma piscine sans me soucier de la température de l'eau.
Je nage, je nage jusqu'à épuisement.
Un peu plus tard je me sèche sommairement et enfile une tenue de sport. J'ai besoin de courir, de souffrir et surtout de ne pas réfléchir.
Je suis toujours à 4 pattes sur mon grand lit, c'est Arianne qui m'a fait découvrir ce plaisir d'être léché entre les fesses. J'ai tout de suite aimé même si je n'en étais pas l'initiateur. Au fil du temps mon amie s'est enhardie et s'est risquée à y glisser un doigt. Même si la première fois ma réaction a été brutale, la belle quadragénaire en femme expérimentée ne s'est pas découragée pour autant et sa persévérance à fini par me faire plier.
Moi, Dominant convaincu et convaincant j'ai accepté de me faire doigter.
Me faire lécher entre les fesses c'était facile, je l'interprète comme un acte de soumission de celle qui me procure ce plaisir, mais me faire doigter, cela a été beaucoup plus compliqué à accepter physiquement et encore plus cérébralement.
Bref, ce soir cela m'embarrasse en présence de Lou et je soupçonne Arianne d'avoir décidé de me procurer ce plaisir par pure jalousie. Pour casser quelque peu mon image aux yeux de la jeune étudiante.
Lou continue de me torturer les tétons en me regardant. La lueur dans la prunelle de ses magnifiques yeux bleus m'indique qu'elle prend du plaisir mais qu'elle est heureuse de m'en donner également. A chaque fois que je ferme les yeux pour profiter plus intensément encore du bonheur que ces deux femmes me procurent, la gamine de 19 ans m'invite de sa voix douce et puérile à les garder ouverts, à la regarder.
Lou:《tu aimes ce qu'elle te fait..? t'aimes ça..?》
Je ne veux pas lui répondre, c'est une question qui n'attend pas de réponse, mes soupirs suffisent et surtout je ne veux pas perdre le contrôle.
Lou:《tu veux que ce soit moi..?》
Les derniers mots de ma jeune soumise me font chavirer, ma bouche plonge vers la sienne, Lou cesse aussitôt de me pincer les seins et nous voilà repartis dans un long baiser passionné.
Je m'affaisse de tout mon poids sur le corps fragile de la jeune effrontée mais elle ne semble pas souffrir de cette pression. Arianne elle, n'existe plus, sa langue et ses mains sont devenues inutiles.
Ma jeune soumise tient maintenant mon visage entre ses deux mains graciles, sa petite langue habile tournoie à un rythme effréné dans ma bouche. Elle écarte ses cuisses, j'appuie ma verge redevenue dure et mes couilles contre sa chatte et je fais des petits mouvements pour écarter ses grandes lèvres.
La jeune femme de 19 ans s'abandonne, ses mains lâchent mon visage, ses bras basculent sur l'oreiller... je me redresse, je suis à genoux entre les cuisses de ma Princesse, je saisis à pleine main ma queue épaisse, chaude, gonflée de sang et la dirige à l'entrée de ce petit paradis préservé...
Lou, les yeux fermés, gémit. Sa longue chevelure brune ondule au même rythme que son bassin... Cette gamine de 19 ans me veut. Elle me veut en Elle!
Lou:《Ange! putain! vas-y!》《prends moi!》
Ce mélange de vulgarité, de désir et de candeur m'excitent au plus haut point! D'un mouvement de rein et guidé par ma main, mon sexe énorme s'enfonce doucement entre les lèvres roses et humides.
Lou pousse un cri et ses mains s'agrippent à mes hanches pour m'interdire d'aller plus loin. Je contemple le spectacle de la bouche ouverte de la jeune femme, haletante, puis son sexe, son petit triangle noir au dessus de sa vulve, bien démarqué, et ma bite épaisse qui écarte les chairs.
Je pousse un peu plus, je ne veux pas lui faire mal mais j'ai trop envie d'être en elle, plus profondément. Je perçois de la douleur dans les petits cris de ma jeune soumise mais surtout son visage se crispe.
Je déteste ça mais je décide de me retirer, je prends conscience que sans lubrifiant je n'arriverai pas à la pénétrer davantage. Le visage de Lou se détend quand mon chibre s'extirpe de son fourreau chaud et humide.
Je me lève promptement et rejoins la salle d'eau attenante où je récupère un sachet de lubrifiant. Quand je reviens la jeune effrontée est dans la même position, sur le dos, jambes pliées et écartées.
Arianne a disparu, j'entends un bruit de porte, partie sans un mot.
J'allume une petite lampe de chevet qui aussitôt éclaire la chambre d'une lumière ambrée.
Lou me suit du regard, je la devine embarrassée de n'avoir pu encaisser mon premier assaut.
Je me fige debout, face à elle, derrière le lit. Ma queue n'est plus parfaitement raide mais garde de belles proportions.
Moi:《mets toi au bord》
Lou glisse vers moi. En même temps que je lui donne des directives pour se positionner, je recueille une partie du gel dans le creux de ma main.
Moi:《relève tes jambes, plie les plus, écarte tes cuisses davantage, tiens les bien écartées avec tes deux mains》
Je contemple la jeune femme totalement offerte en me branlant pour étaler le lubrifiant sur ma verge. Je verse le reste du sachet sur le sexe rose et j'y introduis deux doigts inquisiteurs, fouilleurs, enfonceurs!
Lou gémit de plaisir et maintient bien ses cuisses écartées avec ses deux mains. Je décide de lui enfoncer trois doigts dans la chatte! Je la baise avec ma main! Mais pas profondément car je sens bien une résistance... Mes doigts tournent à l'entrée de son vagin pour élargir le passage puis remontent vers le clitoris. Les gémissements se transforment en petits cris! En cris de plaisir!
Puis ma petite pute me supplie, elle veut ma bite!
Lou:《ta queue Ange!》《ta queue!》《baise moi!》
Une pensée me traverse l'esprit, fister cette petite salope! Cette pensée m'excite à mort même si je sais que cela est irréalisable et impensable avec une jeune femme vierge.
Ma bite est redevenue dure comme du bois!
Du bout de mon majeur je titille son bouton rose, je tourne autour puis le pince légèrement. La jeune effrontée n'en peut plus, elle veut ma bite! Elle me le répète à nouveau!
Moi:《ferme la petite conne!》《c'est moi qui décide si je te baise ou pas!》《et quand!》
Pour lui donner une leçon mes doigts trempés de mouille et de lubrifiant abandonnent sa chatte et viennent s'écraser sur son beau visage! J'y étale sans douceur le mélange visqueux puis lui fourre le plus de doigts possible dans la bouche. La jeune effrontée suffoque, déglutit, son corps se tortille.
Très vite j'interromps le supplice et simultanément mon chibre s'introduit dans sa petite chatte humide, accueillante... et facilitée grâce au gel je commence une pénétration lente et progressive... déchirant l'hymen pour m'enfoncer profondément, inexorablement, jusqu'à la garde.
A la rupture du rempart de chair Lou a crié, un cri animal... mais maintenant que je suis figé en elle, mon pieu enfoncé de toute sa longueur, mon pubis collé au sien, elle me fixe, elle me sourit, comme pour exprimer sa fierté de pouvoir recevoir en elle toute la longueur, toute la largeur, de mon sexe de Mâle Dominant...
Moi je me sens impérieux, je suis le premier homme à lui faire l'amour. Avec un sentiment de toute puissance je commence à ramoner la chatte de cette gamine de 19 ans, qui ne lâche pas prise! Qui tient toujours fermement à deux mains ses cuisses bien relevées et bien écartées!
Surexcité je deviens brutal! Sans précautions! Je pilonne sans ménagement cette petite chatte offerte! Je regarde ma bite aller et venir, le contraste est saisissant entre son corps menu et blanc et ma bite imposante et foncée.
Lou grimace de plaisir et de douleur mélangés!Elle aussi veut voir! Elle redresse la tête péniblement pour tenter de visualiser ce gros chibre qui lui bourre la chatte sans répit!
Soudain dans un éclair de lucidité elle m'avertit qu'elle est sans contraception, que je ne dois pas jouir en elle.
Je devine que la rupture de son hymen atténue son plaisir mais je suis égoïste, alors je continue de la défoncer en la tenant fermement, mes deux mains plaquées sur sa taille. Lou crie sa douleur mais s'interdit d'atténuer ou stopper mon ardeur.
Enfin je la libère, je sors ma bite au moment propice et la dirige vers son triangle brun que je badigeonne de foutre.
Je suis épuisé, essoufflé, couvert de sueur, j'abandonne la jeune effrontée, poupée désarticulée dans mes draps souillés de sang, pour aller me doucher.
Je repense furtivement à cette soirée où Lou m'avait annoncé sa virginité, à mon étonnement, mes doutes même ce soir là. C'était donc vrai, l'état de mes draps en atteste.
Quand je reviens je la trouve en position de fœtus, visiblement endormie. Je m'allonge à côté d'elle, sur le dos.
Lou, plaintive:《tu m'as fait mal...》
Je n'ai pour seule réponse qu'une profonde inspiration, je ferme les yeux.
Lou insiste, sans bouger, sans se retourner:《je t'avais dit que c'était ma première fois...》
Moi:《il est 2h passées, tu veux que je te ramène chez toi?》
Cette réponse décalée, inapproprié, fait réagir la jeune effrontée, elle se retourne pour se lover contre moi: son beau visage, un bras, sa poitrine, son ventre, une cuisse, se pressent contre mon corps immobile.
Alors que ses doigts délicats caressent ma joue, Lou me déclare qu'elle veut rester avec moi, dormir avec moi, refaire l'amour avec moi...
Cette gamine est vraiment déconcertante, je pense à son sexe endolori, je doute qu'il soit raisonnable de le pénétrer à nouveau même après une demi nuit de sommeil...
Je la décolle doucement de moi pour me lever, elle s'étonne, je la rassure en lui disant que je vais lui prodiguer un soin.
Quand je reviens je place une serviette de bain sur le grand lit et m'y installe semi-assis. Je pose à côté de moi une serviette de table pliée contenant un glaçon. J'installe Lou dans la même position que moi, contre moi. Mon torse et mes 4 membres l'accueillent comme un fauteuil protecteur. Ses jambes sont pliées, raisonnablement écartées. Je saisis le glaçon au creux de ma main et l'applique contre sa vulve puis le fait rentrer doucement et le maintien là, à l'entrée de ce puits d'amour blessé. La jeune effrontée soupire de bien-être, gémit de réconfort. Je ne peux garder très longtemps prisonnier le petit iceberg alors qu'entre mes doigts l'eau glacée ruisselle...
Quelques heures plus tard nous nous réveillons ensemble. Lou est aussi belle au réveil qu'en pleine journée, le privilège de la jeunesse sans doute.
Nous prenons une douche commune, je tais mon émerveillement sans cesse renouvelé devant son corps parfait, son visage, ses yeux, ses cheveux, alors qu'elle, ne cesse d'être admirative en évoquant mes larges épaules, mes bras et mes cuisses musclés et surtout mon sexe, qu'elle pétrit, malaxe, jauge, sans retenue entre ses jolis doigts.
Je feins d'être indifférent à ses compliments en m'inquiétant de l'état de sa petite chatte. Elle me rassure mais avoue quelques petites douleurs persistantes.
En fin de matinée je la raccompagne chez elle. Je dois me garer une bonne centaine de mètres avant l'entrée de la résidence, elle ne veut pas prendre le risque que sa mère aperçoive ma voiture.
La jeune effrontée me regarde un temps qui me paraît infini après m'avoir embrassé.
Cette gamine me déstabilise avec ses yeux d'un bleu singulier, dévastateurs. Pour la première fois de ma vie, même si je m'en défends, j'ai peur d'une femme.
Sur le chemin du retour je tente de chasser ce sentiment. Je m'interroge mentalement: de quoi pourrais-je avoir peur?
Une sonnerie et l'animation visuelle sur l'écran tactile de mon tableau de bord m'arrachent à mes pensées.
C'est Arianne, elle est vexée, jalouse, elle m'inonde d'une pluie de reproches! Et surtout elle cherche à me faire culpabiliser.
Elle:《tu te rends compte Ange??? une gamine de 19 ans!!!》《tu baises une gamine de 19 ans!!!》《et c'est sa 1ère fois...》《tu as cinquante ans passés!!!》
Je ne me justifie pas, une fois déversé son flot de critiques je coupe la conversation le plus poliment possible.
Arrivé chez moi je me déshabille en traversant le salon, j'ouvre la grande baie vitrée comme un automate et je plonge dans ma piscine sans me soucier de la température de l'eau.
Je nage, je nage jusqu'à épuisement.
Un peu plus tard je me sèche sommairement et enfile une tenue de sport. J'ai besoin de courir, de souffrir et surtout de ne pas réfléchir.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci chère lectrice pour votre délicieux commentaire!
Histoire qui me rend délicieusement humide…

