Jeux adolescents (suite 3) - histoire érotique

Cela fait un petit moment que j’écris, pourtant je n’ai toujours pas dévoilé mon identité. Seuls les détails les plus croustillants sur moi-même ont été contés au fil de mes histoires. Je vais donc revenir un peu à la genèse de ma sexualité et faire ici un petit flash-back.

Je m’appelle Krys et j’ai aujourd’hui 22ans. Je suis célibataire depuis un bon moment mais ça me permet de me concentrer sur mes études. Pré-ado (13ans) j’étais du genre un peu rondouillard, avec des lunettes de geek, genre 1er de la classe. Les filles commençaient à m’intéresser mais il semblait que ce n’était pas réciproque. J’ai alors décidé de changer radicalement. Je me suis mis au sport, et quel sport ! J’adore le rugby, c’est une véritable passion et ce que j’aime aussi c’est les potes. Du coup j’avais trouvé les deux. J’ai continué jusqu’à mes 16ans, avant qu’une blessure ne me contraigne à m’arrêter…

C’est à cet âge que les questions sont venues : les poils, la branlette, l’éjaculation, les filles … J’étais devenu musclé, mon corps était désormais sculpté comme j’en avais toujours rêvé. Brun aux yeux verts, les cheveux mi-longs avec une coupe sculptée, le teint halé par mes origines du Sud, j’avais tout pour plaire. Les lunettes était plus moderne et me donnaient un air BCBG que j’adorais afficher. D’ailleurs mes potes et moi passions pas mal de temps sur les sujets tels que le sexe après l’entrainement. Un soir de victoire tout a changé.

Nous avions battu haut-la-main l’équipe adverse, leur affligeant une défaite des plus humiliantes. Je n’ose encore révéler le score aujourd’hui par respect pour leur fierté. L’euphorie des vestiaires était à son comble. Après une bonne demi-heure de liesse collective, les douches vinrent nous apaiser. Au détour de la conversation qui s’était assagit, Jordan (un des piliers) nous dit :

« -Cette victoire est bandante ! Regardez-moi ça les gars ! Enfin ne complexez pas !

C’était la première fois que je voyais un homme en érection. L’eau ruisselait sur son corps robuste et s’échouait en cascade sur un membre de taille honorable d’environ 16cm se dispersant au milieu d’une forêt de poils non entretenue. Cette phrase fit sortir certains de mes coéquipiers quelque peur gênés de la douche. Nous étions 5 à rester en vannant la piètre érection de notre ami. Il y avait donc Jordan, Antonin, le talonneur style gueule cassée et bagarreur avec un peu le ventre à bière mais qui défonce tout sur son passage ; Geoffrey l’ailé droit au look de l’armée, grand droit, rasé de presque partout et qui conservait une touffe au-dessus de son sexe ; et en Marc, le mec mignon dans toute sa splendeur, mèche blonde à mi-chemin entre surfeur et Justin Bieber mais une bouille à faire craquer.

La grande gueule de Geoffrey ne mit pas longtemps à se faire remarquer :

« Tapette ! Je parie que la mienne est plus longue ! Franchement tu vaux rien !


- Arrêtez les gars ! J’vous bas tous, lança Antonin


Marc et moi étions pour l’instant restés silencieux. Les autres mâles tenaient fièrement leurs queues dans leurs mains pourtant seul Jordan avait la trique.


- On a qu’à comparer les mecs ! J’ai une règle !


Marc venait de donner le coup d’envoi d’une bataille pour le moins intéressante. J’étais à la fois excité et troublé. Mon sexe gonflait lentement, je n’en n’avais jamais pris la mesure. C’était l’occasion de voir si je ressemblais à tout le monde. Alors qu’il partait chercher sa règle, mes potes commencèrent à se charrier et à s’exciter pour faire bander leurs membres.

Celle de Jordan n’est plus à décrire et la queue d’Antonin est assez similaire. Non d’ailleurs en la regardant grossir elle doit être légèrement plus longue, d’un demi-centimètre peut-être, mais par contre elle est plus épaisse ! A la différence de Jordan, Antonin entretenait son terrain de jeu et les poils étaient courts, comme les miens. Surement rasés il y a peu d’ailleurs. Geoffrey n’avait pas mentit. Même si Antonin avait compris sa supériorité face à Jordan, il fit une mine déconfite lorsqu’il vit se dresser le sexe triomphant de Geoffrey presque à a verticale sur son nombril. Elle était majestueuse et devait bien atteindre les 18centimètres ! Ses deux gros testicules pendaient bien bas, comme deux grosses couilles bien lourdes. Désormais Geoffrey ne s’arrêtait plus, il se vantait de sa grosse queue mais Marc et moi n’avions pas dit notre dernier mot.

En réalité je me retenais de bander, j’avais peur. Ce qui me déclencha une érection fut tout bonnement celle que Marc affichait à côté de moi. Cette situation semblait l’exciter et moi aussi un peu d’ailleurs. Il était imberbe, aucun poil, juste un léger duvet et pourtant de bons testicules bien accrochés et un sexe dressé à 90°. Au fur et à mesure qu’il se touchait son sexe ne faisait que grandir encore et encore. Cependant son membre était très fin, plus fin que celui de Jordan, lui donnant des airs de baguettes assez craquant. Il avait, selon moi, dépassé Geoffrey d’au moins 2 cm. Mais et moi ? Devais-je m’avouer vaincu ? Mon braquemard se mit en émoi et une érection incontrôlée me prit soudain. Mon sexe était au summum de l’excitation et je ne savais pas quoi en penser. A en croire les regards de mes amis, j’avais un pénis de taille honorable. Après s’être mis d’accord sur l’ordre de passage et la façon de se mesurer c’est Jordan qui commença à placer le double-décimètre le long de sa verge dure. Les résultats tombaient un par un :

Jordan : 16cm
Antonin : 17cm (Je m’étais donc trompé sur la taille)
Geoffrey : 18cm
Marc : 19,5 cm (L’excitation m’avait fait voir les choses en grand)
Il ne restait plus que moi et j’avais un peu d’appréhension. Marc avait presque atteint le bout de la règle. C’était déjà énorme. Sans aucune conviction je plaçais le double-décimètre à la base de ma verge tendue. En baissant lentement les yeux je vis le gland dépasser de quelques millimètres. En repositionnant le tout ce devient quelques petits centimètres. La règle n’était donc pas assez longue ? Mes camarades me regardaient bouche-bée ! J’avais la plus longue ! Moi-même je n’en revenais pas.

Tous semblaient dégoûtés et partirent se rhabiller pendant que j’exhibais encore quelques instants mes centimètres. Tous partirent, sauf 1. Marc était resté avec moi, à mes côtés, sans que je m’en rende compte. Il scrutait mon engin. Ça m’excitait de me savoir observé. Il me fit alors la demande la plus étrange qui soit :

« - Ça te dirait de te branler devant moi ? »

J’étais scotché ! Pourtant je ne débandais pas, au contraire, la vigueur était toujours présente. Je ne sais pas pourquoi j’ai répondu oui mais ce fut une branlette mémorable. Nous n’étions plus que tous les deux. Je m’installais sur le banc central en m’allongeant de tout mon long. Je ne prêtais pas attention à mon ami qui s’était lui positionné dans un coin. Je commençais mes caresses comme à mon habitude. Je sentais l’excitation monter très vite. Mes vas-et-viens se faisaient tour à tour rapides, saccadés et lent pour prendre le plus de plaisir possible. Je massais mes testicules pour augmenter la sensation de bien-être que j’étais en train de vire. Mon ami aussi se masturbait en me regardant. Je sentais son regard insistant sur mon sexe ne pouvant être mesuré avec un double-décimètre.

L’envie me prit de me relever légèrement pour entrevoir Marc. Il ne me quittait pas des yeux, je le regardais aussi faire coulisser ses mains le long de son manche, astiquer son sexe de haut en bas avec un rythme semblable au mien. Cette vision m’excita, j’étais à l’apogée de mon plaisir. Tout en fixant mon pote dans les yeux, j’accélérais les mouvements jusqu’à l’extase. De gros et puissants jets vinrent s’écraser sur mon torse et le sol. L’un d’eux dépassa même ma tête à mon grand étonnement. Marc fit de même en voyant ma semence bien que ses jets soient plus modérés.

Je décidai de passer à la douche pour me nettoyer, lorsque j’en sortit j’étais seul. Marc était partit, sans rien dire…