Thibault et moi - La suite - histoire érotique

Je sortais ma langue et…

Non j’allais trop vite ! Il m’avait fait mariner toute la soirée, j’en ferai autant.
J’abaissais son slip au plus bas pour découvrir 2 belles burnes légèrement pendantes. J’entrepris de découvrir son odeur. Je m’appliquais donc à aller renifler sous ses testicules, à remonter le long de sa verge tout en soutenant son regard. Il ne tenait plus, il n’avait qu’une envie c’est que j’aille plus vite, plus loin !

Je remontais sur son pubis ou une toison extrêmement bien entretenue faisait place à un léger filet de poil remontant par son nombril. Ses abdos dessinés étaient parfaits. Mon nez parcourait son corps en remontant et je pris son bras pour découvrir ses aisselles poilues mais elles aussi bien entretenues. Je remontais enfin dans son cou quand il bascula la tête en arrière. Son plaisir n’était que décuplé par mes jeux sensuels. Je remontais alors pour déposer un baiser dans son cou pendant que mes mais prenaient enfin le relais sur son corps.

Ses tétons, durcis par l’excitation, roulaient sous les doigts pendant que mon autre main soupesait ses couilles presque lisses. Ma main entrepris d’enserrer son sexe et je pouvais presque sentir son cœur battre à travers sa queue impressionnante. J’avais du mal à l’enserrer au vue de son épaisseur. Mon premier mouvement de va-et-vient lui extirpa un râle de bonheur. A peine avait-il lâché ce son que ma bouche se colla à la sienne.

Il ouvrit grand les yeux et reste collé sans rien faire. J’éloignais mon visage pour entrevoir sa réaction, son sexe toujours dans ma main. Il avait l’air surpris. Surpris de mes gestes tendres, surpris que ça lui plaise autant. J’allais descendre vers son bas ventre quand il plaça ses bras sous mes aisselles pour me relever et m’embrasser à pleine bouche cette fois-ci.

Notre étreinte était passionnée, ses mains parcouraient mon corps à la recherche de mon sexe, des mes fesses, des mes tétons. Sa queue coincée entre nos corps humidifiait ma chemise tellement il mouillait.

Cela faisait peut-être 20min que nous étions dehors à nous exciter. Il fallait passer aux choses sérieuses !

Il se rhabilla à la hate pendant que j’arrangeais les cheveux et les reste de mes habits. On décida de rentrer séparément pour ne pas éveiller les soupçons.
La fête semblait s’essouffler quand j’indiquais a tout le monde qu’il était temps pour moi d’aller me coucher. Personne dans la chambre… ouf ! Nous allons donc pouvoir être tranquille. Le temps que mon amant d’un jour puisse me rejoindre, j’avais le temps de me préparer pour le recevoir dans les meilleures conditions.

Thibault prit plus de temps que prévu à me rejoindre mais il devait à tout prix être discret. Quand il arriva dans la chambre, il s’allongea sur le lit. Je vins alors me placer sur lui, le poids de mon corps faisant pression sur sa queue toujours aussi en forme. Il se déshabilla très rapidement pour se retrouver uniquement en slip. Il en fit de même pour moi et ôta mais vêtements un à un.

J’étais à califourchon sur lui quand il se releva légèrement pour embrasser le coin de ma bouche, mon cou, mes pectoraux, mon ventre et descendre jusqu’à mon pubis.
Je le plaquais contre le lit pour lui faire comprendre que j’allais désormais prendre les rennes. Je descendais alors jusqu’à son slip, trempé par l’excitation et sortie ma langue pour lécher, à travers le tissu, ce morceau de chair énorme. Il se cambrait à chacun de mes coups de langue, enfonçant la tête dans les oreillers.

C’en était trop ! Il fallait que j’arrête de le taquiner. D’un coup, le slips glissa jusqu’à ses cheville et se perdit dans le pénombre de la pièce. Mes mains enserrant son membre turgescent dont seul le gland dépassait encore, je sortis ma langue pour lécher délicatement ce que je pouvais.

Le premier coup de langue lui arracha un râle. Je desserrais mon étreinte pour pouvoir avaler ce que je pouvais de ce membre humide. A chaque aller-retour je tentais d’en rentrer toujours plus. Je soutenais le regard de mon partenaire quand il me regardait. Il tentait de contenir son plaisir mais je savais comment lui plaire. Il mit un oreiller sur sa tête au moment où son membre arrivait enfin à entrer entièrement jusqu’au fond de ma gorge.

Je fis ressortir son sexe presque aussitôt, n’y tenant plus. Mon amant du jour avait les battements du cœur qui s’emballaient et le pupilles dilatées de plaisir.
Je remontais pour lui rouler une pelle et descendis jusqu’à ses couilles, puis dépassais ses cuisses pour arriver à ses pieds.

Il se redressa et ouvert grand les yeux ! J’avais retenu son petit kif. J’humais d’abord l’odeur en passant mon nez et en reniflant chaque centimètre de son pied gauche d’abord. Puis je passais au droit avant de lécher enfin la plante de ses pieds depuis le talon jusqu’au bout de ses orteils.

Mon amant était en transe, son corps se tordait de plaisir et son visage crispé par mes coups de langue trahissant son extase. J’attrapais alors son gros orteils et le gobais avec ma bouche comme je venais de faire avec son gland.

Soudain son corps se contracta et sa queue, semblant possédée, déchargea de puissants jets de semence qui vinrent s’étaler sur son visage, son torse et dégouliner dans son nombril. Il resta quelques secondes immobile, comme paralysé de plaisir avant que ses muscles ne se détendent enfin.

Il me regardait fixement, son orteil toujours logé dans ma bouche et m’avoua :

« - C’est la première fois que quelqu’un arrive à me faire jouir sans toucher à ma queue ! Tu es un dieu… »

Il entreprit de se relever pour aller se nettoyer mais c’était hors de question ! C’était à moi de prendre mon pied maintenant !!!

Ma main plaqua son torse contre le lit, il tenta de m’expliquer qu’il devait se nettoyer et qu’il en avait partout mais rien n’y faisait. J’étais maintenant sur lui, collé à son corps, son foutre lubrifiait les mouvements de bassin que je faisais. Ma tête était enfin remontée près de la sienne et je l’embrasais une nouvelle fois.

Quelques gouttes de sueur, de semence et de mouille se mêlaient à notre échange buccale. Je sentais ma queue palpiter dans mon boxer et la sienne reprenait du volume petit à petit.

C’était parti pour un second round beau gosse !