Jogging sous la pluie.
Récit érotique écrit par Belinda [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Jogging sous la pluie.
Cela fait maintenant quelques mois que je me suis mise au jogging. Avec deux compagnons (Vincent et Amy) nous courrons chaque soir à partir de 18 heures quand le soleil se couche car il fait moins chaud.
Un vendredi au début du mois de Juin, Vincent nous a laissé tomber parce qu’il avait prévu une sortie entre garçon.
C’est donc Amy et mois qui avons prises le chemin du sport à 18 h.
Je portais un tee-shirt blanc, un short court et des tennis tandis qu’Amy avait un ensemble survêtement et ses tennis.
Au fil des mois, nous étions parvenus maintenant à courir durant 2 h d’horloge.
Ce jour là, au bout de 40 minutes de course, le temps commença à se gâter et Amy voulu arrêter.
--Il va pleuvoir très fort on dirait…tout le monde cherche à rentrer en courant. Dit-elle en ralentissant la cadence.
« Je vois bien mais on pourrait terminer tout de même notre parcours habituel » ai-je répondu.
Elle s’arrêta qu’en même et me dit qu’elle ne souhaitait pas poursuivre. Elle me proposa qu’on rentre en taxi avant la pluie car elle craignait de prendre un rhume (très frileuse quand il s’agit de pluie).
Mais je n’avais pas envie de rentrer et courir sous la pluie me paraissait intéressant. Me connaissant comme une tête de mule, elle due me laisser pour rentrer en taxi.
Je repris la course sans m’occuper des gens qui se dépêchaient de rentrer et au bout de dix minutes, il se mit à pleuvoir des cordes. J’étais trempée mais j’aime le contact de l’eau sur ma peau.
J’ai couru une demi-heure encore mais dus renoncer tellement la pluie avait redoublé en intensité. Je ne voyais pas à 5 mètres et je commençais à prendre froid malgré l’effort fourni.
Sur le côté de la route je vis un petit abri qui doit certainement servir à une vendeuse de grillades par beau temps.
Elle a dû rentrer bien avant la pluie et son petit coin pouvait me protéger le temps que l’orage passe.
C’est une fois sous la tôle que je m’aperçue que je n’étais pas la seule à être prise par la pluie.
Un couple était assis sur le seul banc qu’il y avait. Ils se serraient l’un contre l’autre mais ce n’était pas seulement à cause du froid. D’un rapide coup d’œil je compris qu’ils faisaient l’amour et que j’avais du les déranger.
Je fis comme si je ne m’étais aperçue de rien et salua de la tête. C’est la fille qui répondit et je vis du coin de l’œil le sexe de l’homme entre ses mains. Elle me proposa de m’asseoir près d’eux mais on allait être serrés sur le banc court. L’idée me plu. Mes tétons commençaient à pointer sous mon tee-shirt qui me collait à la peau et j’acceptai de m’asseoir.
Elle se mit à faire une pipe au mec puis se déshabilla complètement au moment où la pluie augmenta encore en intensité. L’homme enleva son pantalon entièrement et se rassit en attira la fille vers lui.
Elle se mise sur lui à califourchon, commença à monter et descendre avec le membre du mec fiché en elle en me fixant du regard.
Mes tétons étaient devenus durs et je ne tenais plus. Je passai alors ma main sous les fesses de la fille et toucha les testicules de l’homme. Il aimait et la fille aussi car ils accélérèrent leur cadence jusqu’à ce que la fille se cambre et explose de plaisir puis elle ondula doucement pendant un moment avant de se relever.
Le sexe luisant du mec battait encore et la fille se mise à m’enlever mon short. Je la laissai faire tellement j’étais heureuse de tomber sur des gens aussi délurés que moi. Elle passa en suite sa main entre mes jambes et vit que je mouillais. Elle m’attira vers l’homme et me dit de grimper sur sa bite. J’enjambai lentement le mec et m’assise tout aussi lentement sur le pénis dressé. Il me pénétra à mon rythme et quand je l’eu complètement englouti en moi, je commençai à onduler puis je cambrai ma hanche et entama une série de montées et descentes. La fille passa son doigt entre mes fesses et titilla mon orifice anal. Je ne pouvais plus me retenir et augmenta ma cadence avec frénésie. Le mec en profita pour enlever mon tee-shirt et je me retrouvai totalement à poil.
Il se leva du banc en me soulevant et me coucha sur le dos avec son sexe toujours en moi. Il me baisa ainsi un moment et se retira d’un coup pour rependre son sperme sur mon ventre et mes seins. Je me levai moi aussi et aperçu mon short par terre dans l’eau qui ruisselait. Je m’abaissai pour le ramasser et sentie le sexe humide du mec me caresser les fesses. Je gardai donc la pose et le laissa faire. Il fini par me pénétrer dans cette position et je dû tenir le cadre devant moi tellement il était déchainé derrière moi. Il éjacula encore, cette fois en moi et resta collé sur mon derrière un moment avant de se retirer. La fille me prêta quelque chose pour m’essuyer et quand j’eu fini, je compris que c’était son tee-shirt.
Je m’habillai et repris le chemin du retour car la pluie avait considérablement baissée pour ne faire place qu’à quelques gouttes.
Arrivée à la maison il ne pleuvait plus tout et ma mère me dit qu’elle était inquiète car Amy l’avait appelé pour lui dire que je continuais toute seule sous la pluie. Mais je la rassurai bien vite :
« En fait je ne savais pas que l’orage allait durer et être si violent. Mais j’ai trouvé un abris bien vite après le départ d’Amy et tout c’est bien passé ».
J’ai dîné très tôt ce soir là et me suis mise à lire un vieux bouquin qui traînait depuis dans ma chambre.
Vers 21 heures la sœur à mon Jules m’appelle et me demande si je peux l’accompagner le nuit même en boîte fêter la licence en droit de son ami. Elle me prévenait tard mais c’était mieux que de me tourner les pouces.
Ma mère et son mari avertis, je filais rejoindre Vanessa chez elle. Elle me remercia et s’excusa du retard de l’invitation.
La boîte de nuit était assez spacieuse et une partie avait été louée pour la célébration.
Sur l’une des pistes des filles pratiquement nues se trémoussaient sur une musique techno et les mecs semblaient apprécier cela...
C’est seulement une fois là-bas que je pensai à appeler Amy ma compagne de course. Elle fut ravie et me dit qu’elle n’était pas loin de là.
« Je t’expliquerai les détails de ma course sous la pluie, tu en baveras » lui ai-je dis avant de raccrocher.
Une demie plus tard elle savourait littéralement ma rencontre lubrique sous l’orage quelques heures plus tôt.
-- Ca aurait été chouette pour moi d'y participer sauf que la pluie me rend trop vulnérable après. Me dit-elle enfin.
« Ce n’est pas bien grave, tu pourras te rattraper cette nuit…y a de beaux mâles ! »
Elle me tira par la main :
-- Allez, viens danser !
Sous la lumière spéciale de la piste de danse, certains vêtements féminins laissaient entrevoir les dessous. Je me moquais du string d’Amy quand elle me fit remarquer que se sont mes fesses nues que les autres voyaient. Evidemment, puisque je ne porte pas de dessous.
Nous nous sommes retrouvés elle, deux mecs et moi dans l’un des salons privés pour une partouse.
La serveuse qui s’occupait de nous semblait aimer cela car elle ne perdait pas une seule occasion de venir nous demander si nous manquions de quelque chose. La troisième fois qu’elle revint, l’un des deux gars l’invita à lui faire la pipe. Elle s’y attela fort bien et au final, reçue une bonne giclée de sperme dans la bouche et sur le visage.
Elle prit provisoirement congé de nous après un grand verre de pastis.
Ce soir là, j’ai eu droit à une double pénétration qui me fit jouir sauvagement puis Amy se fit enculer pour la troisième fois. Nous sommes rentrées vers 2 heures du matin tandis que le reste de la bande continuait de festoyer.
Le taxi qui nous raccompagna eut le bonus de nous voir nous embrasser et nous peloter sur son siège arrière et il aima cela. C’est devant mon portail qu’il encula Amy avant d’aller la descendre. Je rentrai bien fatiguée et à moitié ivre au salon que j’ouvris avec ma clé. La maisonnée était endormie et je montais respecter mon rendez-vous avec le marchand de sable.
Vers 8 h 30, R. entra dans ma chambre pour voir selon lui si j’étais encore en vie…
Il me trouva nue et me dit qu’il serait à la maison pour la journée.
- Ta mère rentrera seule ce soir, sa voiture est réparée. Moi je dois travailler sur un document.
Il me fit remarquer que ma chambre sentait l’alcool et sortit…
.
Un vendredi au début du mois de Juin, Vincent nous a laissé tomber parce qu’il avait prévu une sortie entre garçon.
C’est donc Amy et mois qui avons prises le chemin du sport à 18 h.
Je portais un tee-shirt blanc, un short court et des tennis tandis qu’Amy avait un ensemble survêtement et ses tennis.
Au fil des mois, nous étions parvenus maintenant à courir durant 2 h d’horloge.
Ce jour là, au bout de 40 minutes de course, le temps commença à se gâter et Amy voulu arrêter.
--Il va pleuvoir très fort on dirait…tout le monde cherche à rentrer en courant. Dit-elle en ralentissant la cadence.
« Je vois bien mais on pourrait terminer tout de même notre parcours habituel » ai-je répondu.
Elle s’arrêta qu’en même et me dit qu’elle ne souhaitait pas poursuivre. Elle me proposa qu’on rentre en taxi avant la pluie car elle craignait de prendre un rhume (très frileuse quand il s’agit de pluie).
Mais je n’avais pas envie de rentrer et courir sous la pluie me paraissait intéressant. Me connaissant comme une tête de mule, elle due me laisser pour rentrer en taxi.
Je repris la course sans m’occuper des gens qui se dépêchaient de rentrer et au bout de dix minutes, il se mit à pleuvoir des cordes. J’étais trempée mais j’aime le contact de l’eau sur ma peau.
J’ai couru une demi-heure encore mais dus renoncer tellement la pluie avait redoublé en intensité. Je ne voyais pas à 5 mètres et je commençais à prendre froid malgré l’effort fourni.
Sur le côté de la route je vis un petit abri qui doit certainement servir à une vendeuse de grillades par beau temps.
Elle a dû rentrer bien avant la pluie et son petit coin pouvait me protéger le temps que l’orage passe.
C’est une fois sous la tôle que je m’aperçue que je n’étais pas la seule à être prise par la pluie.
Un couple était assis sur le seul banc qu’il y avait. Ils se serraient l’un contre l’autre mais ce n’était pas seulement à cause du froid. D’un rapide coup d’œil je compris qu’ils faisaient l’amour et que j’avais du les déranger.
Je fis comme si je ne m’étais aperçue de rien et salua de la tête. C’est la fille qui répondit et je vis du coin de l’œil le sexe de l’homme entre ses mains. Elle me proposa de m’asseoir près d’eux mais on allait être serrés sur le banc court. L’idée me plu. Mes tétons commençaient à pointer sous mon tee-shirt qui me collait à la peau et j’acceptai de m’asseoir.
Elle se mit à faire une pipe au mec puis se déshabilla complètement au moment où la pluie augmenta encore en intensité. L’homme enleva son pantalon entièrement et se rassit en attira la fille vers lui.
Elle se mise sur lui à califourchon, commença à monter et descendre avec le membre du mec fiché en elle en me fixant du regard.
Mes tétons étaient devenus durs et je ne tenais plus. Je passai alors ma main sous les fesses de la fille et toucha les testicules de l’homme. Il aimait et la fille aussi car ils accélérèrent leur cadence jusqu’à ce que la fille se cambre et explose de plaisir puis elle ondula doucement pendant un moment avant de se relever.
Le sexe luisant du mec battait encore et la fille se mise à m’enlever mon short. Je la laissai faire tellement j’étais heureuse de tomber sur des gens aussi délurés que moi. Elle passa en suite sa main entre mes jambes et vit que je mouillais. Elle m’attira vers l’homme et me dit de grimper sur sa bite. J’enjambai lentement le mec et m’assise tout aussi lentement sur le pénis dressé. Il me pénétra à mon rythme et quand je l’eu complètement englouti en moi, je commençai à onduler puis je cambrai ma hanche et entama une série de montées et descentes. La fille passa son doigt entre mes fesses et titilla mon orifice anal. Je ne pouvais plus me retenir et augmenta ma cadence avec frénésie. Le mec en profita pour enlever mon tee-shirt et je me retrouvai totalement à poil.
Il se leva du banc en me soulevant et me coucha sur le dos avec son sexe toujours en moi. Il me baisa ainsi un moment et se retira d’un coup pour rependre son sperme sur mon ventre et mes seins. Je me levai moi aussi et aperçu mon short par terre dans l’eau qui ruisselait. Je m’abaissai pour le ramasser et sentie le sexe humide du mec me caresser les fesses. Je gardai donc la pose et le laissa faire. Il fini par me pénétrer dans cette position et je dû tenir le cadre devant moi tellement il était déchainé derrière moi. Il éjacula encore, cette fois en moi et resta collé sur mon derrière un moment avant de se retirer. La fille me prêta quelque chose pour m’essuyer et quand j’eu fini, je compris que c’était son tee-shirt.
Je m’habillai et repris le chemin du retour car la pluie avait considérablement baissée pour ne faire place qu’à quelques gouttes.
Arrivée à la maison il ne pleuvait plus tout et ma mère me dit qu’elle était inquiète car Amy l’avait appelé pour lui dire que je continuais toute seule sous la pluie. Mais je la rassurai bien vite :
« En fait je ne savais pas que l’orage allait durer et être si violent. Mais j’ai trouvé un abris bien vite après le départ d’Amy et tout c’est bien passé ».
J’ai dîné très tôt ce soir là et me suis mise à lire un vieux bouquin qui traînait depuis dans ma chambre.
Vers 21 heures la sœur à mon Jules m’appelle et me demande si je peux l’accompagner le nuit même en boîte fêter la licence en droit de son ami. Elle me prévenait tard mais c’était mieux que de me tourner les pouces.
Ma mère et son mari avertis, je filais rejoindre Vanessa chez elle. Elle me remercia et s’excusa du retard de l’invitation.
La boîte de nuit était assez spacieuse et une partie avait été louée pour la célébration.
Sur l’une des pistes des filles pratiquement nues se trémoussaient sur une musique techno et les mecs semblaient apprécier cela...
C’est seulement une fois là-bas que je pensai à appeler Amy ma compagne de course. Elle fut ravie et me dit qu’elle n’était pas loin de là.
« Je t’expliquerai les détails de ma course sous la pluie, tu en baveras » lui ai-je dis avant de raccrocher.
Une demie plus tard elle savourait littéralement ma rencontre lubrique sous l’orage quelques heures plus tôt.
-- Ca aurait été chouette pour moi d'y participer sauf que la pluie me rend trop vulnérable après. Me dit-elle enfin.
« Ce n’est pas bien grave, tu pourras te rattraper cette nuit…y a de beaux mâles ! »
Elle me tira par la main :
-- Allez, viens danser !
Sous la lumière spéciale de la piste de danse, certains vêtements féminins laissaient entrevoir les dessous. Je me moquais du string d’Amy quand elle me fit remarquer que se sont mes fesses nues que les autres voyaient. Evidemment, puisque je ne porte pas de dessous.
Nous nous sommes retrouvés elle, deux mecs et moi dans l’un des salons privés pour une partouse.
La serveuse qui s’occupait de nous semblait aimer cela car elle ne perdait pas une seule occasion de venir nous demander si nous manquions de quelque chose. La troisième fois qu’elle revint, l’un des deux gars l’invita à lui faire la pipe. Elle s’y attela fort bien et au final, reçue une bonne giclée de sperme dans la bouche et sur le visage.
Elle prit provisoirement congé de nous après un grand verre de pastis.
Ce soir là, j’ai eu droit à une double pénétration qui me fit jouir sauvagement puis Amy se fit enculer pour la troisième fois. Nous sommes rentrées vers 2 heures du matin tandis que le reste de la bande continuait de festoyer.
Le taxi qui nous raccompagna eut le bonus de nous voir nous embrasser et nous peloter sur son siège arrière et il aima cela. C’est devant mon portail qu’il encula Amy avant d’aller la descendre. Je rentrai bien fatiguée et à moitié ivre au salon que j’ouvris avec ma clé. La maisonnée était endormie et je montais respecter mon rendez-vous avec le marchand de sable.
Vers 8 h 30, R. entra dans ma chambre pour voir selon lui si j’étais encore en vie…
Il me trouva nue et me dit qu’il serait à la maison pour la journée.
- Ta mère rentrera seule ce soir, sa voiture est réparée. Moi je dois travailler sur un document.
Il me fit remarquer que ma chambre sentait l’alcool et sortit…
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