Jules à nouveau

Récit érotique écrit par Titus71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Jules à nouveau
Bon, il est temps de s’occuper de cette histoire. Ça fait presque un mois qu’on se cache l’un de l’autre et que j’y repense régulièrement. Un petit doigt pendant la pipe, je connaissais, hein. Mais la queue de Jules qui me baise le cul, c’était vraiment autre chose.
Il n’est pas venu au rugby depuis plus de trois semaines, et ça a été pour moi un mélange de soulagement et de déception. Mais de toute façon ça n’aurait pas été ni le bon endroit, ni le bon moment pour discuter de ça, avec les potes autour, et encore moins sur le terrain. Même si ce n’est que du loisir et qu’on fait des matchs entre nous seulement, qu’on rigole et qu’on se défoule.
Mais quand même, me retrouver à nouveau plaqué sous tout son poids…
On est samedi matin, et ça y est, ma femme et les enfants sont partis. Enfin, pour le week-end, je veux dire, chez ses parents.
Donc c’est le moment de se confronter. C’est ce que je me dis, garé presque devant sa maison. Je veux savoir. En plus, sa déclaration au moment où il jouissait…
Sans réaliser plus que ça, je suis devant la porte, et je sonne.
La porte s’ouvre quelques minutes plus tard, et le visage de Jules se décompose.
- Salut Jules, je peux entrer ?
Il ne répond pas, figé, et je passe à l’intérieur, dans le salon. Il passe comme un robot à côté de moi et s’assied sur son canapé. Il a les traits tirés, ne me regarde pas en face, l’air de manquer de sommeil… Il se prend le visage dans les mains un moment, puis fini par prendre une inspiration.
La voix cassée il se lance dans une diatribe : il est désolé il n’aurait jamais dû faire ça, c’était horrible de profiter sans savoir si j’étais d’accord, vraiment désolé et de toute façon il est prêt à assumer quelle que soit la suite, c’est sa faute il n’aurait pas dû… Debout face au canapé, je le coupe, et franchement je ne réfléchis plus.
- Mais Jules t’as rien compris là !
- Quoi ? Il me regarde incrédule.
Les mots sortent de moi sans que je sache que j’étais venu dire ça :
- J’ai besoin de te voir. Enfin, non. Je veux voir ta bite.
- Quoi ???
- Je t’accuse de rien… je veux te voir à poil.
Il ne dit plus rien, surpris, hésitant. Lui qui étais si sûr de lui quand il me proposait ce massage qui à dérapé en sodomie, il se sent coupable de m’avoir enculé et n’ose plus bouger.
- Ecoute si tu veux que je te pardonne, tu te fous à poil et c’est tout.
Lentement il se lève, et ose enfin jeter un oeil vers mon visage. Puis détourne le regard en direction du sol. Et il enlève son t-shirt. Puis laisse tomber son short à ses pieds.
Il ne portait rien d’autre, et sa belle bite balance sur ses grosses couilles. Comme assommé, il se rassied sur le canapé.
Ok. Donc voilà. La bite de Jules, c’est la grosse bite qui m’a enculé, et qui m’a fait jouir comme je n’aurai jamais imaginé. Je me sens… Je ne sais pas. C’est un autre moi qui est aux commandes, et apparemment il sait ce qu’il veut.
- Et donc je te fais bander ?
Il ne répond pas.
Je quitte mon blouson, et le jette sur un fauteuil derrière moi. Puis mon polo dans la foulée.
- Regarde-moi s’il te plait. Tu m’aimes ? Je t’excite ? Tu aimes me voir à poil ?
C’est maintenant mon jean que je quitte, pour être en caleçon devant lui.
Je tourne doucement sur moi-même, les bras écartés, pour qu’il me regarde de tous les côtés.
Quand je reviens face à lui, la lumière est revenue dans ses yeux. Entre ses jambes, je vois bien que sa queue a commencé à gonfler. Plus que commencé même. Elle se redresse sous mes yeux. Elle devient plus longue, mais aussi et surtout plus épaisse.
Je vois enfin en action cette bite qui m’a déjà baisé. Je me rapproche, les yeux fixés sur ce gros sexe qui commence à décalotter de lui-même.
En pilote automatique, juste mon caleçon sur moi. Je fais mine de le baisser. Mais un reste de pudeur me vient, je suis pas là pour comparer… Donc je m’élance derrière lui.
- Mais ?! Qu’est-ce que...
Je sais où est la chambre, la porte est ouverte. J’entre, et je m’allonge sur le lit. Sur le ventre.
Il va venir et à nouveau me caresser et m’écraser de tout son poids, et… En me couchant, je me rends compte que ma queue est tendue dans mon caleçon.
Je l’entends arriver, il n’a pas beaucoup trainé, à peine le temps de la surprise. Il s’arrête au seuil de sa chambre. Sûrement qu’il me regarde, qu’il se demande si je sais ce que je fais. Non je ne sais pas ce que je fais, je me sens juste là où j’ai envie d’être depuis un mois.
Il s’est approché. au bord du lit, il pose les mains sur mon dos, le caresse, et descend vers mon cul. Je ne dis rien, je reste à apprécier la chaleur de se mains fermes sur moi. Il teste et me caresse les fesses en douceur, puis plus fermement. C’est bon.
Comme je ne l’arrête pas, il grimpe sur le lit derrière moi. Je sens ses couilles lourdes sur mon mollet alors qu’il passe par-dessus ma jambe.
Il me pétrit le cul a deux mains, presse et écarte mes fesses encore dans leur caleçon, puis fait glisser ses mains sur mes cuisses… Je gémis. Je me sens pris en main, et j’attends avec impatience de sentir le poids de son corps sur le mien. De sentir son sexe épais et déjà raide dans le creux de mes fesses.
Mais lui a décidé de baisser d’abord mon caleçon. ses mains sont remontées pour le faire glisser lentement, mais ma queue est prise dedans. Je dois soulever mon bassin pour libérer le calbut qui glisse maintenant a mes chevilles, avant d’être retiré.
Il a sans doute une vue plongeante sur mon dos, mes jambes et mes fesses qui ont l’air de tant lui plaire. Je sens qu’il se penche en avant. Sa langue lèche mon mollet gauche et remonte sur ma cuisse. Il s’est un peu décalé et je sens son gland frotter le long de ma jambe. Comme l’autre fois, c’est gluant, il mouille beaucoup contre mes poils.
Sa bouche est remontée vers mes fesses, qu’il embrasse à gauche puis à droite, avant de commencer à m’écarter le cul avec les mains pour coller sa langue dans ma raie. Oh mon dieu. On ne m’avait jamais fait ça non plus et je suis surpris du plaisir que ça me donne immédiatement. Je gémis à nouveau sous ses coups de langue gourmand, alors que lui commence à grogner.
Je ne sens que ses mains brulantes et sa langue épaisse qui s’acharne sur mon trou, le lèche, le contourne, essaye d’y entrer. Et je me relâche. Je m’attendais à la pression de son corps pesant sur le mien, et il s’y prend tout a fait différemment. Cette fois il ne cède pas à sa pulsion en profitant du contact de mon corps nu. Il profite de mon abandon volontaire.
Mon cul se tend en arrière vers sa bouche si impatiente de me bouffer en entier. C’est tellement bon que je dois mouiller aussi, je m’entends grogner de plaisir, et quand ses doigts caressent mon anus, avec une légère pression, je lâche un « oh oui ».
Je ne le vois pas, j’ai gardé la tête vers le matelas. Je l’ai vu bander tout à l’heure, j’ai vu cette queue à laquelle je pensais depuis un mois sans jamais l’avoir vue en érection. Mais maintenant je veux juste ressentir.
De son côté, il s’est redressé. Sa bouche a quitté mes fesses, et appuyé sur les avants bras il a glissé vers le haut. Son ventre a presque rejoint mon dos, le bout de sa queue est devant mon trou, et je vibre déjà de le sentir entrer. Mais il le garde juste contre, se retient, en m’embrassant la nuque.
- Vas-y !
- Je veux pas comme ça. Je veux te voir.
Il se redresse, et je ne sais comment, il me retourne. Sur le dos, je le vois a genoux au bout du lit, prêt à plonger sur moi. Mais je ne peux pas le regarder, pas encore. Mon bras glisse sur mes yeux et je tourne la tête sur le côté. Il voit ma queue tellement raide qu’elle pointe vers le haut, sans retomber sur mon ventre, il voit que j’ai envie et je ne suis pas prêt. Je pensais juste sentir sa belle queue, sans avoir à regarder en face le mec qui me pénètre...
Mais patient, il se penche. Soulève mes jambes. Et reprend son léchage d’anus. Cette fois en remontant sur mes couilles, d’abord. il s’est glissé presque sous moi, avec ses genoux soulevant le bas de mon dos, et tordu en deux, me soulevant, il me lèche avec application. il me déguste le cul, puis les boules, puis glisse sa langue sur ma bite. Et enfin, il prend mon gland entre ses lèvres.
Putain, c’est d’une douceur… Ma queue ne s’attendait pas à ce traitement, et elle l’adore. Un doigt fait des tours autour de mon anus et me fait gémir, alors que sa bouche tête mon gland, puis ma queue, à moitié, en entier, et je suis emporté par tout ce plaisir.
Il laisse redescendre un peu mes fesses, son doigt s’aventure plus précisément vers ma prostate. je suis ouvert, dès qu’il veut il peut me pénétrer, mais il joue avec mon cul, me fait gémir de bonheur, en continuant une pipe douce mais intense, comme on ne m’en avait jamais donné. Il me prend totalement en bouche, et sa langue ondule sous ma queue. Putain je vais jouir.
- Arrête je v…
Il retire sa bouche.
Il remet mon cul sur ses jambes, se glisse vers l’avant, remonte mes pieds vers ses épaules. Je sens à nouveau son gland sur ma pastille. Il est en contrôle et moi prêt à être possédé. S’il bouge d’un centimètre son gland va rentrer et vu l’état dans lequel il m’a mis, il peut me la mettre en entier immédiatement. Et je veux la sentir. D’ailleurs j’ai encore gémi en le sentant arriver.
Mais je risque de gicler à tout instant s’il me pénètre tout de suite.
Au lieu de ça, il se penche en avant. Il caresse mes épaules. puis mes pectoraux, et mon ventre, de ses deux mains. Puis se penche encore, son gland commence à ouvrir mon cul pour de bon, il est tout près de mon visage, je sens son souffle.
- Laisse-moi faire.
Il embrasse mon menton, prend appui sur un bras et de l’autre, il enlève celui qui me cachait les yeux. Pendant que sa bite commence à me pénétrer millimètre par millimètre, avance, recule…
Je ne suis plus là. Je n’assume pas d’être dans cette position devant un mec, encore moins devant un mec que je connais bien. Qui me voit bander à cause de sa bite.
Mais finalement je le vois, je le regarde. Il a repris des couleurs, il est allumé par le désir de me prendre et de me faire jouir. Ça se voit dans tout : ses yeux, sa posture, sa bouche. il est animé par ce qu’il est en train de me faire, heureux, il a presque envie de rire et en même temps il est soucieux d'en profiter au mieux, et de me faire du bien, de ne pas être égoïste.
Je sais que mes yeux sont dans le flou, que je rougis quand il approche sa bouche de mon visage, pour m’embrasser à pleine bouche. Alors que je suis plié en deux sous lui, c’est langoureux et passionné, et sa bite est entrée en moi jusqu’aux couilles.
J’ai le trou entièrement occupé, ouvert par sa queue imposante, dure, chaude, palpitante. Elle a glissé grâce à sa salive et sa mouille abondante. Mon anus est bien étiré et chauffe de plaisir, sous ses mouvement plus amples maintenant.
Je profite totalement des sensations, dans mon cul mais aussi dans tout mon corps, ses lèvres sur mes lèvres, sa langue sur ma cheville quand il se redresse pour me baiser plus rapidement à un moment. Sa main sur mes couilles qu’il caresse en me baisant lentement et pas trop profond, ses doigts sur ma bite quand il me branle en douceur… Il sort sa queue et tout mon corps proteste : je la veux encore ! Mais il récupère de sa mouille qui ne finit pas de couler, au bout de ses doigts, et s’en sert pour me lubrifier la bite avant de glisser à nouveau sa grosse queue en moi.
Oh ! C’est encore meilleur quand elle revient et reprend toute la place dans mon cul !
Je le vois vraiment maintenant, même si je ne réalise pas encore tout à fait ce qu’on est en train de faire. Ce que j’ai fait. Ce que je fais aujourd’hui. Je ne me l’étais pas avoué, mais mon cerveau avait déjà choisi : j’étais venu me faire baiser par mon pote.
Continuer de découvrir le plaisir de sa queue, de son corps, de son désir (amour ?) pour moi.
Ce gars musclé, viril, parfois distant mais souriant, ses gros bras, ses pectoraux, ses abdos qui dansent au rythme de ses va-et-vient dans mon cul. Son visage qui dit son plaisir et sa concentration.
Il me regarde le regarder, et mes mains s’avancent vers ses épaules, pour l’attirer vers moi.
Mes genoux glissent sur ses flancs mais mes jambes restent en l’air, il reste planté dans mon cul, pendant que c’est à mon tour de l’embrasser en grognant en le serrant contre moi, pour jouir aussi du poids son corps de mâle contre moi, être encore plus proche de lui, dans l’odeur de son corps chauffé par le sexe.
Je suis à la foi abandonné mais totalement là cette fois, et il recommence à me baiser plus rapidement, plus fort, plus profond et mes mains qui encerclaient son dos descendent sur son cul poilu pour encourager son mouvement.
Son ventre masse ma queue, à la limite de l’écraser mais c’est bon aussi d’être massé par ses abdos en sueur. Sa respiration est de plus en plus forte, il grogne du plaisir de me prendre et le mien monte alors qu’il m’embrasse profondément a bouche. Mon cul ressent tellement de plaisir que je gémis en continu, et que ma bite me semble presque sans importance… et pourtant, de mon cul part un orgasme qui monte comme je n’ai jamais ressenti, et je me mets à jouir aussi dans la bite, en giclant de grosses bordées de sperme sur mon ventre, jusqu’à mon menton.
Jules grogne de plus belle, ralentit son mouvement, se retire presque de mon cul… pour s’y enfoncer d’un coup complètement en gueulant de jouissance et en s’effondrant sur moi avec des sursauts de plaisir. Il est encore en train de jouir dans mon cul, je sens sa queue qui gonfle plusieurs fois et m’étire encore un peu plus si c’était possible.
Il est effondré sur moi, épuisé, me caresse, m’embrasse, me serre entre ses bras, sans ressortir sa bite bien plantée dans mon cul, il me fait rouler sur le coté puis revient sur moi, comme fou de plaisir et de joie de m’avoir dans son lit.
J’ai la tête qui tourne, je me sens à la fois vidé et tellement plein de jouissance.
Et sous son poids, je ferme les yeux et je m’endors.
Il n’est pas venu au rugby depuis plus de trois semaines, et ça a été pour moi un mélange de soulagement et de déception. Mais de toute façon ça n’aurait pas été ni le bon endroit, ni le bon moment pour discuter de ça, avec les potes autour, et encore moins sur le terrain. Même si ce n’est que du loisir et qu’on fait des matchs entre nous seulement, qu’on rigole et qu’on se défoule.
Mais quand même, me retrouver à nouveau plaqué sous tout son poids…
On est samedi matin, et ça y est, ma femme et les enfants sont partis. Enfin, pour le week-end, je veux dire, chez ses parents.
Donc c’est le moment de se confronter. C’est ce que je me dis, garé presque devant sa maison. Je veux savoir. En plus, sa déclaration au moment où il jouissait…
Sans réaliser plus que ça, je suis devant la porte, et je sonne.
La porte s’ouvre quelques minutes plus tard, et le visage de Jules se décompose.
- Salut Jules, je peux entrer ?
Il ne répond pas, figé, et je passe à l’intérieur, dans le salon. Il passe comme un robot à côté de moi et s’assied sur son canapé. Il a les traits tirés, ne me regarde pas en face, l’air de manquer de sommeil… Il se prend le visage dans les mains un moment, puis fini par prendre une inspiration.
La voix cassée il se lance dans une diatribe : il est désolé il n’aurait jamais dû faire ça, c’était horrible de profiter sans savoir si j’étais d’accord, vraiment désolé et de toute façon il est prêt à assumer quelle que soit la suite, c’est sa faute il n’aurait pas dû… Debout face au canapé, je le coupe, et franchement je ne réfléchis plus.
- Mais Jules t’as rien compris là !
- Quoi ? Il me regarde incrédule.
Les mots sortent de moi sans que je sache que j’étais venu dire ça :
- J’ai besoin de te voir. Enfin, non. Je veux voir ta bite.
- Quoi ???
- Je t’accuse de rien… je veux te voir à poil.
Il ne dit plus rien, surpris, hésitant. Lui qui étais si sûr de lui quand il me proposait ce massage qui à dérapé en sodomie, il se sent coupable de m’avoir enculé et n’ose plus bouger.
- Ecoute si tu veux que je te pardonne, tu te fous à poil et c’est tout.
Lentement il se lève, et ose enfin jeter un oeil vers mon visage. Puis détourne le regard en direction du sol. Et il enlève son t-shirt. Puis laisse tomber son short à ses pieds.
Il ne portait rien d’autre, et sa belle bite balance sur ses grosses couilles. Comme assommé, il se rassied sur le canapé.
Ok. Donc voilà. La bite de Jules, c’est la grosse bite qui m’a enculé, et qui m’a fait jouir comme je n’aurai jamais imaginé. Je me sens… Je ne sais pas. C’est un autre moi qui est aux commandes, et apparemment il sait ce qu’il veut.
- Et donc je te fais bander ?
Il ne répond pas.
Je quitte mon blouson, et le jette sur un fauteuil derrière moi. Puis mon polo dans la foulée.
- Regarde-moi s’il te plait. Tu m’aimes ? Je t’excite ? Tu aimes me voir à poil ?
C’est maintenant mon jean que je quitte, pour être en caleçon devant lui.
Je tourne doucement sur moi-même, les bras écartés, pour qu’il me regarde de tous les côtés.
Quand je reviens face à lui, la lumière est revenue dans ses yeux. Entre ses jambes, je vois bien que sa queue a commencé à gonfler. Plus que commencé même. Elle se redresse sous mes yeux. Elle devient plus longue, mais aussi et surtout plus épaisse.
Je vois enfin en action cette bite qui m’a déjà baisé. Je me rapproche, les yeux fixés sur ce gros sexe qui commence à décalotter de lui-même.
En pilote automatique, juste mon caleçon sur moi. Je fais mine de le baisser. Mais un reste de pudeur me vient, je suis pas là pour comparer… Donc je m’élance derrière lui.
- Mais ?! Qu’est-ce que...
Je sais où est la chambre, la porte est ouverte. J’entre, et je m’allonge sur le lit. Sur le ventre.
Il va venir et à nouveau me caresser et m’écraser de tout son poids, et… En me couchant, je me rends compte que ma queue est tendue dans mon caleçon.
Je l’entends arriver, il n’a pas beaucoup trainé, à peine le temps de la surprise. Il s’arrête au seuil de sa chambre. Sûrement qu’il me regarde, qu’il se demande si je sais ce que je fais. Non je ne sais pas ce que je fais, je me sens juste là où j’ai envie d’être depuis un mois.
Il s’est approché. au bord du lit, il pose les mains sur mon dos, le caresse, et descend vers mon cul. Je ne dis rien, je reste à apprécier la chaleur de se mains fermes sur moi. Il teste et me caresse les fesses en douceur, puis plus fermement. C’est bon.
Comme je ne l’arrête pas, il grimpe sur le lit derrière moi. Je sens ses couilles lourdes sur mon mollet alors qu’il passe par-dessus ma jambe.
Il me pétrit le cul a deux mains, presse et écarte mes fesses encore dans leur caleçon, puis fait glisser ses mains sur mes cuisses… Je gémis. Je me sens pris en main, et j’attends avec impatience de sentir le poids de son corps sur le mien. De sentir son sexe épais et déjà raide dans le creux de mes fesses.
Mais lui a décidé de baisser d’abord mon caleçon. ses mains sont remontées pour le faire glisser lentement, mais ma queue est prise dedans. Je dois soulever mon bassin pour libérer le calbut qui glisse maintenant a mes chevilles, avant d’être retiré.
Il a sans doute une vue plongeante sur mon dos, mes jambes et mes fesses qui ont l’air de tant lui plaire. Je sens qu’il se penche en avant. Sa langue lèche mon mollet gauche et remonte sur ma cuisse. Il s’est un peu décalé et je sens son gland frotter le long de ma jambe. Comme l’autre fois, c’est gluant, il mouille beaucoup contre mes poils.
Sa bouche est remontée vers mes fesses, qu’il embrasse à gauche puis à droite, avant de commencer à m’écarter le cul avec les mains pour coller sa langue dans ma raie. Oh mon dieu. On ne m’avait jamais fait ça non plus et je suis surpris du plaisir que ça me donne immédiatement. Je gémis à nouveau sous ses coups de langue gourmand, alors que lui commence à grogner.
Je ne sens que ses mains brulantes et sa langue épaisse qui s’acharne sur mon trou, le lèche, le contourne, essaye d’y entrer. Et je me relâche. Je m’attendais à la pression de son corps pesant sur le mien, et il s’y prend tout a fait différemment. Cette fois il ne cède pas à sa pulsion en profitant du contact de mon corps nu. Il profite de mon abandon volontaire.
Mon cul se tend en arrière vers sa bouche si impatiente de me bouffer en entier. C’est tellement bon que je dois mouiller aussi, je m’entends grogner de plaisir, et quand ses doigts caressent mon anus, avec une légère pression, je lâche un « oh oui ».
Je ne le vois pas, j’ai gardé la tête vers le matelas. Je l’ai vu bander tout à l’heure, j’ai vu cette queue à laquelle je pensais depuis un mois sans jamais l’avoir vue en érection. Mais maintenant je veux juste ressentir.
De son côté, il s’est redressé. Sa bouche a quitté mes fesses, et appuyé sur les avants bras il a glissé vers le haut. Son ventre a presque rejoint mon dos, le bout de sa queue est devant mon trou, et je vibre déjà de le sentir entrer. Mais il le garde juste contre, se retient, en m’embrassant la nuque.
- Vas-y !
- Je veux pas comme ça. Je veux te voir.
Il se redresse, et je ne sais comment, il me retourne. Sur le dos, je le vois a genoux au bout du lit, prêt à plonger sur moi. Mais je ne peux pas le regarder, pas encore. Mon bras glisse sur mes yeux et je tourne la tête sur le côté. Il voit ma queue tellement raide qu’elle pointe vers le haut, sans retomber sur mon ventre, il voit que j’ai envie et je ne suis pas prêt. Je pensais juste sentir sa belle queue, sans avoir à regarder en face le mec qui me pénètre...
Mais patient, il se penche. Soulève mes jambes. Et reprend son léchage d’anus. Cette fois en remontant sur mes couilles, d’abord. il s’est glissé presque sous moi, avec ses genoux soulevant le bas de mon dos, et tordu en deux, me soulevant, il me lèche avec application. il me déguste le cul, puis les boules, puis glisse sa langue sur ma bite. Et enfin, il prend mon gland entre ses lèvres.
Putain, c’est d’une douceur… Ma queue ne s’attendait pas à ce traitement, et elle l’adore. Un doigt fait des tours autour de mon anus et me fait gémir, alors que sa bouche tête mon gland, puis ma queue, à moitié, en entier, et je suis emporté par tout ce plaisir.
Il laisse redescendre un peu mes fesses, son doigt s’aventure plus précisément vers ma prostate. je suis ouvert, dès qu’il veut il peut me pénétrer, mais il joue avec mon cul, me fait gémir de bonheur, en continuant une pipe douce mais intense, comme on ne m’en avait jamais donné. Il me prend totalement en bouche, et sa langue ondule sous ma queue. Putain je vais jouir.
- Arrête je v…
Il retire sa bouche.
Il remet mon cul sur ses jambes, se glisse vers l’avant, remonte mes pieds vers ses épaules. Je sens à nouveau son gland sur ma pastille. Il est en contrôle et moi prêt à être possédé. S’il bouge d’un centimètre son gland va rentrer et vu l’état dans lequel il m’a mis, il peut me la mettre en entier immédiatement. Et je veux la sentir. D’ailleurs j’ai encore gémi en le sentant arriver.
Mais je risque de gicler à tout instant s’il me pénètre tout de suite.
Au lieu de ça, il se penche en avant. Il caresse mes épaules. puis mes pectoraux, et mon ventre, de ses deux mains. Puis se penche encore, son gland commence à ouvrir mon cul pour de bon, il est tout près de mon visage, je sens son souffle.
- Laisse-moi faire.
Il embrasse mon menton, prend appui sur un bras et de l’autre, il enlève celui qui me cachait les yeux. Pendant que sa bite commence à me pénétrer millimètre par millimètre, avance, recule…
Je ne suis plus là. Je n’assume pas d’être dans cette position devant un mec, encore moins devant un mec que je connais bien. Qui me voit bander à cause de sa bite.
Mais finalement je le vois, je le regarde. Il a repris des couleurs, il est allumé par le désir de me prendre et de me faire jouir. Ça se voit dans tout : ses yeux, sa posture, sa bouche. il est animé par ce qu’il est en train de me faire, heureux, il a presque envie de rire et en même temps il est soucieux d'en profiter au mieux, et de me faire du bien, de ne pas être égoïste.
Je sais que mes yeux sont dans le flou, que je rougis quand il approche sa bouche de mon visage, pour m’embrasser à pleine bouche. Alors que je suis plié en deux sous lui, c’est langoureux et passionné, et sa bite est entrée en moi jusqu’aux couilles.
J’ai le trou entièrement occupé, ouvert par sa queue imposante, dure, chaude, palpitante. Elle a glissé grâce à sa salive et sa mouille abondante. Mon anus est bien étiré et chauffe de plaisir, sous ses mouvement plus amples maintenant.
Je profite totalement des sensations, dans mon cul mais aussi dans tout mon corps, ses lèvres sur mes lèvres, sa langue sur ma cheville quand il se redresse pour me baiser plus rapidement à un moment. Sa main sur mes couilles qu’il caresse en me baisant lentement et pas trop profond, ses doigts sur ma bite quand il me branle en douceur… Il sort sa queue et tout mon corps proteste : je la veux encore ! Mais il récupère de sa mouille qui ne finit pas de couler, au bout de ses doigts, et s’en sert pour me lubrifier la bite avant de glisser à nouveau sa grosse queue en moi.
Oh ! C’est encore meilleur quand elle revient et reprend toute la place dans mon cul !
Je le vois vraiment maintenant, même si je ne réalise pas encore tout à fait ce qu’on est en train de faire. Ce que j’ai fait. Ce que je fais aujourd’hui. Je ne me l’étais pas avoué, mais mon cerveau avait déjà choisi : j’étais venu me faire baiser par mon pote.
Continuer de découvrir le plaisir de sa queue, de son corps, de son désir (amour ?) pour moi.
Ce gars musclé, viril, parfois distant mais souriant, ses gros bras, ses pectoraux, ses abdos qui dansent au rythme de ses va-et-vient dans mon cul. Son visage qui dit son plaisir et sa concentration.
Il me regarde le regarder, et mes mains s’avancent vers ses épaules, pour l’attirer vers moi.
Mes genoux glissent sur ses flancs mais mes jambes restent en l’air, il reste planté dans mon cul, pendant que c’est à mon tour de l’embrasser en grognant en le serrant contre moi, pour jouir aussi du poids son corps de mâle contre moi, être encore plus proche de lui, dans l’odeur de son corps chauffé par le sexe.
Je suis à la foi abandonné mais totalement là cette fois, et il recommence à me baiser plus rapidement, plus fort, plus profond et mes mains qui encerclaient son dos descendent sur son cul poilu pour encourager son mouvement.
Son ventre masse ma queue, à la limite de l’écraser mais c’est bon aussi d’être massé par ses abdos en sueur. Sa respiration est de plus en plus forte, il grogne du plaisir de me prendre et le mien monte alors qu’il m’embrasse profondément a bouche. Mon cul ressent tellement de plaisir que je gémis en continu, et que ma bite me semble presque sans importance… et pourtant, de mon cul part un orgasme qui monte comme je n’ai jamais ressenti, et je me mets à jouir aussi dans la bite, en giclant de grosses bordées de sperme sur mon ventre, jusqu’à mon menton.
Jules grogne de plus belle, ralentit son mouvement, se retire presque de mon cul… pour s’y enfoncer d’un coup complètement en gueulant de jouissance et en s’effondrant sur moi avec des sursauts de plaisir. Il est encore en train de jouir dans mon cul, je sens sa queue qui gonfle plusieurs fois et m’étire encore un peu plus si c’était possible.
Il est effondré sur moi, épuisé, me caresse, m’embrasse, me serre entre ses bras, sans ressortir sa bite bien plantée dans mon cul, il me fait rouler sur le coté puis revient sur moi, comme fou de plaisir et de joie de m’avoir dans son lit.
J’ai la tête qui tourne, je me sens à la fois vidé et tellement plein de jouissance.
Et sous son poids, je ferme les yeux et je m’endors.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle osmose entre deux corps qui se désirent.
Rien de tel que de recevoir en soi un très gros sexe désiré lorsque l’amant est respectueux. J’adore !
Rien de tel que de recevoir en soi un très gros sexe désiré lorsque l’amant est respectueux. J’adore !
Quelle belle histoire très bandante.

