Massage et première fois - histoire érotique

Il commence à se faire tard, je fais une dernière série et je passe à la douche !


Je reprends la barre pour commencer ma dernière série de tirages dorsaux, et il me semble entendre du bruit dans les vestiaires. Aie, c'était la série de trop, j’ai mal derrière l’épaule et l’omoplate. Je me lève en me massant et étirant mon épaule et je vais voir vers les vestiaires.


Il y a un autre sac et des fringues sur un banc. Je crois que c’est la place qu’aime souvent prendre Jules. Ça fait des années qu’on joue au rugby ensemble, et on est un petit nombre à pouvoir accéder aux équipements n’importe quand. Je l’aime bien Jules, mais il a toujours gardé une certaine distance vis-à-vis de moi, je ne sais pas pourquoi.


Je me dessape et je vais vers les douches collectives, et en effet, Jules est en train de finir de se doucher.


- Salut Jules, ça va ?
- Ah tu est là aussi ! Ça va oui, je profite des douches, j’ai fait été courir un moment.
- t’as du courage, je devrais courir aussi… mais je préfère soulever des poids moi…


Faut dire que Jules, est toujours aussi bien taillé et défini que quand il avait 25 ans, alors que moi je me suis un peu empâté, même si je reste bien costaud.


Je me mets sous une douche pas trop proche de la sienne pour respecter son intimité, mais pendant qu’on discute un peu je le regarde tout de même. Ouais franchement il est beau mec, bien foutu, et surtout il a l’air d’avoir une bonne queue en plus de sa grosse paire de couilles.
Je sais pas pourquoi il ramène jamais de nana.


- Et donc tu t’es fait mal au dos ? me demande-t-il en se séchant
- Ouais j’ai fait le con j’ai trop forcé.


Il est sorti des douches pour enfiler son slip, et il se retourne vers moi :
- Finis de te laver et sèche toi, je vais te soigner ça
- Ah c’est vrai tu te reconvertis dans le massage, j’avais oublié !
- Oui j’ai appris pas mal de choses ça te fera du bien


Je finis de me rincer, me sèche et me rapproche de lui :
- C’est gentil parce que là ça tire pas mal j’avoue. Je m’assieds où ?
- Non assis c’est pas le mieux, viens dans la salle, on va se mettre sur les tapis
- Ok je mets mon caleçon j’arrive
- Laisse tomber à cette heure y’aura personne et on vient de se doucher ensemble
- Ouais ok de toute façon il faut chaud en cette saison ici


Arrivé sur les tapis, il me fait signe et me demande de m’allonger sur le ventre. C'est un peu bizarre d’être à poil dans ce coin de la salle, mais bon, j’ai le dos qui douille.


Il s’agenouille d’abord à coté de moi, et me demande où j’ai mal en commençant doucement à me masser le dos, puis l’épaule. Putain il est doué, ses grosses mains pétrissent mes muscles, il y met pas mal de poids, je souffle de soulagement.


- T’es vachement tendu dis-donc, ton dos c’est comme un ressort. Bouge pas.


Il passe au dessus de moi, à califourchon sur mes cuisses, et je sens sens son poids sur mes jambes. Son paquet est posé juste sous mes fesses, il est toujours en slip. Je sens sa bite vers ma fesse droite et ses couilles me semblent bien lourdes.


- C’est bon, ça te gène pas ?
- Non c’est bon, on s’est déjà trouvé l’un contre l’autre.
- Ok parce que je vais tester sur toi le massage avec tout le corps.


Et dans le même mouvement, il s’allonge entièrement sur moi. Ouf, me souvenais pas qu’il était aussi lourd le Jules ! Comme on fait à peu près la même taille, tout porte sur moi : ses bras sur mes bras, son buste sur mon buste, ses jambes sur mes jambes… Son paquet contre mon cul.
La pression de son corps est intense mais a un effet bizarrement relaxant.


Après mon long soupir sous sa masse, je m’abandonne, et lui commence à se relever sur un avant-bras, en utilisant l’autre pour masser, sur mon bras, puis sur mon épaule, puis sur mon dos.
Vu qu’il repose entièrement sur moi, ses mouvement provoquent un massage sur mes cuisses, sur mon dos, sur mon cul. Je suis totalement


Son corps est doux et poilu, mais surtout encore très chaud de la douche, et ses muscles très fermes. Le massage me détend et comme souvent dans des mains expertes. Il change d’avant bras et je suis totalement abandonné. Je ne pense plus à grand chose, comme fondu entre le tapis et lui.Je réalise à peine que sa bite masse maintenant fermement ma fesse droite de haut en bas quand il ondule son bassin.


Il ne dit rien et respire calmement, avant de reposer ses bras sur mes bras, mains à côté de ma tête. Ouf encore, j’avais pas réalisé qu’il retenait son poids. Il ondule de plus en plus sur moi, et je me laisse totalement faire, les cuisses de plus en plus écartées, je profite pleinement de son massage, parti dans une autre dimension...


Je détaille mes sensations et je me rends compte qu’à force de se coller à moi, sa queue est totalement raide et sortie de son slip, qui ne suffisait plus à la contenir. Ça fait un bâton long et épais qui est venu se coller entre mes fesses… et je sens qu’elle glisse de mieux en mieux. Il doit beaucoup mouiller !


Je me sens tellement bien sous son corps que je ne suis même pas choqué. Je le laisse continuer de me masser de tout son poids, même si sa bite coulisse de plus en plus sur ma raie. il transpire un peu maintenant mais il y a aussi beaucoup de mouille sur mon cul et une sensation totalement nouvelle commence car il appuie de plus en plus sur mon trou.


Il se glisse plus bas et plus haut, et son slip a du descendre complètement car je sens ses couilles sur les miennes. Ses mains saisissent mes épaules, les masse fermement, se glisse différemment et d’un coup je sens que sa queue est orientée vers le bas.


Je sens couler sa mouille sur mes couilles, et la pression de sa queue sur mon trou a augmenté sou cet angle. Elle veut se redresser, ou trouver une entrée… Et moi je reste tout a fait disponible sous son poids, tous le corps chaud de ses massages, détendu, offert, les cuisses encore plus écartées maintenant.


A force de passer sa bite sur mon trou, je ressens une nouvelle sensation… Mon anus est chaud, détendu et lubrifié par sa mouille qui continue d’inonder mon cul. Mon esprit remonte un peu à la surface : je m’entends comme si c’était quelqu’un d’autre, grogner légèrement quand il passe son gland à nouveau vers mon anus… Il soupire et grogne aussi.


C’est tellement bon d’être entièrement sous lui, de le sentir peser de tout son poids sur moi… Et putain c’est tellement bon de sentir sa queue que je relève un peu le cul, comme je peux pour mieux sentir passer son gland vers mon trou.


Son gros gland insiste de plus en plus sur ma rosette, y dépose sa mouille et pousse légèrement… et mon cul s’ouvre de plus en plus. C’est tellement bon que je ne me pose pas de questions.


Je suis en train de me faire enculer pour la première fois, par la grosse bite de mon pote de sport, en plein milieu de la salle. Mais la je m’en fous totalement car mon cul commence carrément à réclamer la suite. Son gland est gros et large, mais il a trouvé son chemin dans mon cul et j’ai carrément couiné de plaisir. Un son totalement nouveau pour moi, qui continue pendant que sa queue ressort pour mieux revenir à la charge dans mon fion.


Je fais des bruits qui n’ont aucun sens et qui ressemblent à des oui, des non, mais ce qu je sais c’est que je veux en sentir plus. De mon corps totalement écrasé par le sien, je ne sens plus rien. Je suis entièrement concentré dans mon anneau rectal qui s’ouvre pour accueillir cette queue bien lubrifiée de mouille, chaude, raide et surement bien épaisse.


Sa bite continue de progresser, pour mon plus grand bonheur. Mon trou me semble écartelé au maximum par son épaisseur et j’adore ça ! Je perds la tête quand il arrive à un certain point dans mon cul, comme si j’allais exploser de plaisir. Je sais même pas si je bande alors que c’est trop bon.


Il a du comprendre, car il fait chemin arrière… pour mieux revenir exactement au meilleur endroit. Je crie de plaisir, mais cette fois-ci, il se colle complètement à moi et sa queue entre entièrement dans mon cul. Je sens sa chaleur et sa largeur occuper complètement mon fion. Écrasé par son corps massif, pénétré en profondeur par sa grosse bite, un plaisir indicible m’envahit et je me sens plein, possédé, comblé comme jamais je n’aurais imaginé.


Ses ondulations ont repris et ses grognements de plus en forts, comme ses coups de queue dans mon trou. D’abord de lents vas-et-viens, de plus en plus prononcés, avec des moments ou il se cale tout au fond de mon cul, où je sens ses couilles venir rencontrer les miennes. Il se fait plaisir et me fait un plaisir incroyable. Sa queue sort presque totalement, je sens la couronne de on gland passer et repasser mon anus assoupli par sa pénétration et mon plaisir monte de plus en plus à ce niveau.


C’est une jouissance toute neuve de mon trou qui me fait grogner, couiner, réclamer, et il me régale le fion en tapant plusieurs fois son gland sur ma prostate. Je n’en peux plus et je crie mon plaisir en lachant un gros jet de sperme sur le tapis pendant que mon anus et ma prostate jouissent comme jamais.


A ce moment il plante sa queue au plus profond de moi, et je comprends qu’il jouit aussi en grognant. Il doit gicler dans mon cul, c’est chaud et sa bite palpite. Il a comme des convulsions de plaisir ton en m’écrasant de son poids, et il souffle à mon oreille :


- Oh putain !!! Je t’aime !!!


Totalement étourdi par mon orgasme, je reste sous lui, rassasié de plaisir, le cul encore possédé par sa bite qui a peine dégonflé. Sans comprendre ce qu’il m’a dit. D’un coup, il se retire et se relève vivement alors que je reste allongé sur le ventre, cuisses écartées.

- Je... pardon, je dois…


Et il se rue aux vestiaires. Il a du remballer ses affaires vite fait et sauter dans un vêtement le plus vite possible car j’ai l’impression qu’il a disparu en 5 secondes.


Sur le tapis, totalement défait, je réalise toujours à peine ce qui s’est passé. Je suis resté sur le plaisir que j’ai ressenti, sans imaginer aucune conséquence. Putain ce que c’était bon, ce qu’il m’a fait ! Son poids me manque sur moi, son épaisseur dans mon cul aussi.


Puis le froid arrive.


Je me secoue. Je me lève. Je retourne prendre une douche. Mon cul est trempé de sa mouille, et je suppose que c’est son sperme que je sens couler de mes fesses. Sans énergie je me savonne lentement. Curieux, au moment de laver mes fesses je mets un doigt pour voir… mon cul est encore ouvert…


Je me rhabille, et je sors retrouver ma voiture. Je m’assieds au volant, prêt à rentrer retrouver ma famille à la maison. Putain c’était bon et je l’ai tellement laissé faire que je ne me sens pas coupable.


Mais ? Il a dit quoi à la fin ?? Je t’aime ????