Julie, Marc... et Ethan (2)

- Par l'auteur HDS MlleKnight -
Récit érotique écrit par MlleKnight [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Julie, Marc... et Ethan (2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Julie, Marc... et Ethan (2)
(...) Il la regarde s'effondrer dans les vibrations de son orgasme, son corps tremblant, sa poitrine haletante. C’est une vision divine. Mais il n’a pas terminé avec elle. Loin de là.

D’un geste fluide, il retire ses doigts, ce qui provoque un gémissement de frustration chez Julie. Il se débarrasse de son dernier vêtement, son boxer, libérant son membre déjà dur comme la pierre. Il est massif, prêt à la prendre. Légèrement poilu, viril.
Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, il se positionne et entre dans son vagin encore tremblant d’un seul coup puissant, la pénétrant jusqu’à la garde dans cette position qui la rend si vulnérable et si accessible. Il commence sans attendre des mouvements de vas et viens rapide tout en attrapant la chaîne de ses menottes sous ses jambes pour se tenir.

« Regarde-moi, Julie, » murmure-t-il, sa voix grave de désir.

La pénétration est brutale, profonde. Elle crie, de surprise et de pur plaisir, son corps encore hypersensible après son orgasme. La sensation d’être si complètement remplie, si possédée, la fait perdre à nouveau pied. Il est si profond, si massif, et cette position accentue chaque sensation. Elle gémit, cri sous ses coups de bassins.
Quand il attrape la chaîne, il la tire légèrement vers lui, forçant son dos à s’archer davantage, la présentant encore plus. Elle est totalement impuissante, un simple objet pour son plaisir, et l’idée la fait frémir.
Elle obéit, levant les yeux vers lui. Son regard est trouble, noyé par le plaisir, mais il y a aussi une adoration sans bornes. Elle le voit au-dessus d’elle, dominateur, puissant, et elle n’a jamais rien voulu d’autre.
Son regard trouble d’adoration est son carburant. Il voit en elle un abandon total, une confiance absolue qui l’émerveille et l’excite au plus haut point. Il la possède, oui, mais elle le possède aussi, d’une manière qu’il ne pourra jamais expliquer.
Il maintient sa prise sur la chaîne des menottes, utilisant cet appui pour accentuer la puissance de ses coups de reins. Chaque mouvement est calculé pour atteindre le plus profond d’elle, pour la faire sentir dans chaque parcelle de son être. Il la baise avec une brutalité maîtrisée, un mélange de domination et de passion pure.

« A qui appartient, ce trou ? » grogne-t-il, le souffle court. « Dis-le. Dis que c’est ma chatte. » Ses mots sont crus, possessifs, conçus pour la pousser encore plus loin dans la soumission qu’elle affectionne tant. Il veut l’entendre le dire, la rendre complice de sa propre possession.

Ses mots crus la frappent comme un fouet. Elle aime ça. Elle adore quand il parle comme ça, quand il la réduit à ça, à son objet de plaisir. Ça la fait se sentir vivante, désirée, essentielle.

« À toi ! » crie-t-elle, sa voix cassée par les coups de rein qui la secouent. « Elle est à toi ! Ma chatte… elle est à toi, Marc ! Seulement à toi ! »

Les mots sortent de sa bouche dans un torrent, une confession, une prière. Elle est sienne, entièrement, et elle le crie au monde entier, ou du moins, à lui seul.
Sa réponse est exactement celle qu’il voulait entendre. Une déclaration d’appartenance brute, sincère, qui enflamme son désir. Il sent une vague de fierté et de tendresse la submerger. Cette femme est incroyable.
Le vide qu’elle ressent est bref. D’un geste expert et autoritaire, il la saisit par les hanches et la retourne sur le lit. La position est incroyablement vulnérable : sa tête et son torse sont écrasés contre les draps, ses fesses sont offertes en l’air, et ses bras, toujours menottés sous ses genoux, la maintiennent coincée, arquée et impuissante. Sa chatte et son petit trou rose sont exposés, n’attendant que lui.

Il contemple le spectacle un instant, le cœur battant. « C’est comme ça que je veux te voir, » murmure-t-il, plus pour lui que pour elle. « Toute offerte, prête à me recevoir où je veux. »

Le changement de position la déstabilise complètement. Elle se retrouve le visage enfoui dans les draps. Cette nouvelle posture est encore plus humiliante, plus soumise.
Elle sent son souffle court contre les draps, une petite flaque de salive se formant sous sa joue. Elle est entièrement à sa merci, incapable de voir ce qu’il va faire. L’attente est angoissante et exaltante.
Elle tente de parler, mais seuls des gémissements étouffés sortent de sa bouche. Elle est trop perdue dans la sensation, trop soumise pour former des mots cohérents. Elle est sienne, et son corps le sait.
Il aime ces gémissements étouffés. Il voit son corps trembler d’anticipation, sa chatte baver de désir. Il prend son temps, savourant le tableau qu’elle lui offre. Il passe sa main plate sur sa fesse gauche, la caressant doucement avant de la lever haut dans les airs et de l’abattre avec un bruit sec.
La marque rouge immédiate de sa main fleurit sur sa peau claire. « Tu as aimé ça, hein ? » demande-t-il, sa voix un murmure rauque. Il ne lui laisse pas le temps de répondre avant de donner une deuxième fessée, sur la fesse droite cette fois, tout aussi puissante.

Puis, sans transition, il guide sa bite vers son entrée et s’enfonce à nouveau en elle d’un seul coup de rein puissant, la faisant crier dans l’oreiller.
La double fessée la fait hurler de plaisir. La douleur cuisante se transforme immédiatement en une chaleur liquide qui se répand dans tout son corps. Elle est trempée, plus que jamais.
Et puis il la pénètre à nouveau. Brutalement. Profondément. Elle crie dans l’oreiller, un cri de pur plaisir. Elle est remplie, possédé, utilisée. C’est tout ce qu’elle veut.
Elle ne peut pas bouger, ne peut pas résister. Elle est piégée, impuissante, et c’est parfait. Elle sent chaque centimètre de lui en elle, le frottement de ses hanches contre ses fesses endolories. Elle est sienne, complètement sienne.
Le rythme de ses coups de reins est implacable, régulier, la martelant avec une force qui la fait gronder dans l’oreiller. Ses mains sont fermement posées sur ses fesses, les écartant légèrement pour mieux la prendre.
Son pouce droit, lubrifié par sa propre excitation, quitte sa hanche et vient se poser sur son petit trou serré. Il le titille, le masse en cercles lents, insistant, sentant le muscle se contracter de surprise sous sa caresse.

Il se penche vers son oreille, son souffle chaud balayant sa nuque. « Et celui-là ? » murmure-t-il, sa voix grave et pleine d’intention. « A qui est ce petit trou, Julie ? Dis-le. Dis que c’est mon trou à moi. »

Le contact de son pouce sur son anus la fait sursauter. Elle gémit, un son étranglé par l’oreiller. Elle sent son muscle se contracter, puis se relâcher sous sa caresse insistante.
Sa question la fait frissonner de la tête aux pieds. Elle sait ce qu’il veut, et elle est prête à tout lui donner.

« À toi ! » crie-t-elle, sa voix étouffée mais pleine de conviction. « Ce petit trou… il est à toi aussi, Marc ! Il est à toi ! »

Elle est sienne, entièrement, dans chaque parcelle de son être. Elle est prête à tout, prête à le laisser prendre ce qu’il veut, où il veut.
Un sourire de triomphe se dessine sur ses lèvres. Sa réponse est une offrande, une permission totale. Il n’a pas besoin de plus.
Il continue de la baiser, son pouce maintenant pressé fermement contre son petit trou, testant sa résistance, la préparant mentalement et physiquement à ce qui va suivre. Chaque coup de rein la pousse un peu plus contre son pouce, augmentant la pression, la stimulation.

« Oui, mon ange, » grogne-t-il, le souffle court. « Tu es parfaite. »

Puis finalement il entre toute la première phalange du pouce, allant et venant tout en continuant à la baiser.
L'entrée de son pouce la fait gémir de surprise et de plaisir. Elle sent la pression monter à nouveau, une chaleur intense qui grandit dans son ventre. Elle est proche, si proche d'un nouvel orgasme, plus puissant que le précédent.
Il sent son corps se tendre, ses muscles se crisper autour de lui, à la fois dans sa chatte et autour de son pouce. Il sait qu’elle est au bord du précipice, prête à tomber dans un nouvel abîme de plaisir. Et il va la pousser.
Il accélère le rythme de ses coups de reins, devenant presque bestial, tandis que son pouce s’enfonce plus profondément, la pénétrant des deux côtés, la comblant, la possédant entièrement.

« Lâche-toi, Julie, » commande-t-il, sa voix cassée par l’effort et le désir. « Viens pour moi. Encore. »

Il la baise avec une fureur concentrée, cherchant son propre plaisir dans l’intensité du sien.
Son ordre est le déclencheur. Elle ne peut plus se retenir. Un cri s’échappe de sa gorge, noyé dans l’oreiller. Son corps se tord, secoué par des spasmes violents. Son orgasme l’envahit, une vague de chaleur si intense qu’elle en voit des étoiles. Elle tremble, incapable de contrôler son corps qui réagit à la puissance de son plaisir. Sa cyprine coulant allègrement le long de ses cuisses.
Les spasmes de son orgasme l’emportent avec lui. La sensation de sa chatte qui se serre sur lui, pulsant de plaisir, le fait perdre le contrôle. Il grogne son nom en expulsant une longue vague de chaleur en elle, la marquant de son essence.
Il reste un instant immobile, le front collé contre son dos, le souffle haletant, essayant de retrouver un semblant de lucidité. Il sent son corps trembler sous le sien, complètement soumis, vidé.
Très lentement, il retire son pouce, puis sa bite, la laissant vide et humide. Il défait les menottes avec une précaution infinie, libérant ses poignets qui portent de belles marques rouges. Puis il la prend dans ses bras, la retournant délicatement pour la plaquer contre sa poitrine. Tout deux allongés dans les draps. Il l’enveloppe de ses bras.

« Mon ange… Tu es incroyable. »

Libérée de sa contrainte, Julie se sent à la fois fragile et en sécurité. Elle s’enfonce dans les bras de Marc, son corps endolori mais comblé. Elle écoute le battement de son cœur contre son oreille, un rythme apaisant qui la ramène à la réalité.
Elle cache son visage dans son cou, respirant son odeur, un mélange de son parfum et de leur sueur. Elle est épuisée, mais heureuse, profondément heureuse.

« Je suis à toi… » murmure-t-elle, sa voix faible mais pleine d’émotion. « Reste avec moi cette nuit… »

Il serre Julie un peu plus fort contre lui, son corps réconfortant et chaud. Il pose un doux baiser sur le sommet de sa tête, sentant son parfum mêlé à l’odeur de leur amour.

« Chut, mon ange. Je ne vais nulle part, » murmure-t-il, sa voix douce et apaisante. « Je reste avec toi. Toute la nuit. »

Il la recouvre avec le drap et la couette, s’assurant qu’elle soit bien au chaud. Il prend sa main, l’amenant à ses lèvres pour y poser un baiser sur ses poignets marqués, un geste plein de tendresse et de possession.

« Dors maintenant, » dit-il en caressant doucement ses cheveux. « Demain matin, je t’emmène prendre le petit-déjeuner. Là où tu voudras. Juste nous deux. »

Il la garde serrée contre lui, savourant ce moment de calme après la tempête, prêt à veiller sur son sommeil.
Un soupir de contentement s’échappe des lèvres de Julie. La promesse de rester avec elle, de passer la nuit et de partager le petit-déjeuner la remplit d’une joie simple et profonde. Dans ce genre de moments, elle oublie l’argent, les arrangements, leur situation compliquée. Il n’y a plus que lui, elle, et cette bulle de bonheur qu’ils créent ensemble.
Elle se blottit encore plus contre lui, sa jambe s’entrelaçant naturellement avec la sienne. Elle pose sa main sur sa poitrine, sentant son cœur battre calmement sous sa paume.
Elle ferme les yeux, le sentiment de sécurité qu’il lui procure la berçant doucement jusqu’à ce qu’elle s’endorme profondément.

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