Julie, Marc... et Ethan

- Par l'auteur HDS MlleKnight -
Récit érotique écrit par MlleKnight [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Julie, Marc... et Ethan Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Julie, Marc... et Ethan
Julie est une jeune étudiante de 25 ans, en reconversion pour devenir puéricultrice, elle galère à payer son loyer et ses courses, tout en gérant ses études. Elle décide alors de s'inscrire sur un site d'escorte virtuelle pour améliorer sa situation financière. Elle partage des moments torrides avec des hommes, principalement en virtuel, contre une somme d'argent. Avec le temps, elle a noué une relation plus que professionnelle avec Marc, 45 ans, père de famille, marié, avec un poste à responsabilité. Il avait tout de l'homme à la vie parfaite, mais, sa femme ne le satisfaisait pas suffisamment, sans oublier qu'il avait une attirance particulière pour les femmes plus jeune que lui. Avec des moyens conséquents à sa disposition, il avait fait appel à Julie un grand nombre de fois au fil des derniers mois et ils avaient fini par se rencontrer. Ils entretenaient désormais une relation de sugar daddy sugar baby convenue entre eux. Basée sur le respect et une réelle affection mutuelle, ils partageaient une amourette qui leur convenait à tout les deux.

Il est 20h00. Julie porte une robe de soirée noire avec des strass, cintrée à sa taille fine, elle met en valeur ses longues jambes nues. Ses longs cheveux châtains légèrement bouclés tombent en cascade sur ses épaules, tandis qu'un petit chignon orne le haut de sa tête. Elle arrive au restaurant de l'hôtel que Marc a réservé pour leur soirée. Elle le reconnait tout de suite dans son élégante chemise légèrement retroussées aux manches et sa veste de costume ouverte. Ses cheveux court et noir avec sa barbe de trois jours dans un ton poivre et sel lui donne un air sérieux et sexy qui avait tout de suite fait craquer la jeune femme. Il a une carrure athlétique et une aura de dominant, il est sûr de lui. Elle se mord doucement la lèvre malgré elle et s'approche de sa table avant de se pencher en avant pour l'embrasser lentement mais passionnément, le sourire aux lèvres.

« Salut... » Dit-elle presque dans un murmure.

Marc, avec un sourire charmeur répond à son doux baiser sucré, admirant la beauté de la jeune femme devant lui. Il est comme toujours habité par cette dualité de désir et de tendresse qu’il ressent pour elle.

« Bonsoir mon ange, viens assis toi, je t’ai commandé un verre de rosé. »

Un frisson agréable parcourt son échine quand il l'appelle mon ange. Un nom doux qui résonne différemment dans sa bouche que dans n'importe quelle autre. Elle s'assoit sur la banquette en face de lui.

"C'est parfait, merci Marc." Dit-elle avec sa voix chaude.

Elle prend le verre de rosé que le serveur vient de poser devant elle et le porte à ses lèvres, son regard ne quittant jamais celui de Marc. Elle boit une petite gorgée, puis repose le verre avec un geste gracieux.

"Tu as eu une bonne journée ?" demande-t-elle, penchant légèrement le corps vers lui.

« Ma journée a été longue et ennuyeuse, comme souvent. Mais te voir là, magnifique comme ça, annule toute ma fatigue. » Sa voix est grave, un peu rauque, chargée d’une admiration sincère. Son regard balaye son visage, s’attarde un instant sur ses lèvres, puis redescend sur le décolleté avantageux de sa robe.

« Et toi, ma belle ? Tes études n’ont pas trop pris ta tête aujourd’hui ? J’espère que tu as eu le temps de souffler un peu avant notre soirée. »

Il pose sa main sur la table, paume ouverte, une invitation silencieuse. C’est un geste devenu familier entre eux. Il attend qu’elle y pose sa propre main.

Il ajoute, avec un léger sourire narquois : « J’ai hâte de voir ce que tu as mis sous cette robe… mais je suis patient. Pour l’instant. »

Le compliment la fait rougir légèrement. Elle aime cette façon qu’il a de la faire sentir unique, désirable. Quand il mentionne ses études, elle hoche la tête, un soupir feint traînant sur ses lèvres.

« Oh, tu sais… les cours de pédiatrie peuvent être si… soporifiques parfois. Heureusement, j’avais notre soirée en tête pour me motiver. »

Elle glisse sa main délicatement dans la sienne, entrelaçant ses doigts fins avec les siens, plus larges et puissants. Le contact est chaud, rassurant, et prometteur. A ses derniers mots, une étincelle malicieuse brille dans ses yeux. Elle se penche encore un peu plus vers lui, baissant la voix pour que seul lui puisse entendre.

« La patience est une vertu, Marc… Mais… Tu vas adorer je te le promets… » Dit-elle avant de rire doucement, sa voix pétillante et joueuse.

Le rire de Julie est comme une mélodie qui apaise son esprit fatigué. Il serre doucement sa main, son pouce caressant lentement le dos de sa main. La chaleur de sa peau contre la sienne est un rappel tangible de leur complicité.

« Je n’en doute pas une seconde, mon ange. Tu as un goût exquis et un talent pour les surprises… surtout celles que l’on découvre sous les tissus. »

Son regard s’assombrit légèrement, chargé de désir. Il apprécie son audace, ce mélange parfait d’innocence feinte et de provocation maîtrisée.
Le serveur s’approche pour prendre leur commande. Marc, sans lâcher la main de Julie, lui demande deux filets de bœuf sauce poivre, des frittes pour elle et une purée pour lui. Il connaît ses préférences, un détail qu’il ne néglige jamais.
Un sourire se dessine sur les lèvres de Julie lorsque Marc commande pour elle. Ce simple geste, cette assurance naturelle avec laquelle il anticipe ses désirs, la fascine. C’est l’une des choses qu’elle adore chez lui : cette dominance bienveillante qui la fait se sentir à la fois protégée et désirée, libérée du poids de la moindre décision.
Une fois le serveur parti, elle se penche davantage vers lui, son regard brillant d’admiration et de malice. Elle garde sa main dans la sienne, mais utilise son autre main pour effleurer délicatement le revers de sa manche, un contact à peine perceptible mais chargé de sensualité.

« Toujours aussi dominateur, même pour commander un steak… » murmure-t-elle, sa voix une caresse. « J’aime ça. J’aime quand tu décides pour moi. »

Elle laisse planer le silence un instant, savourant le pouvoir qu’elle a sur lui, simplement en se montrant telle qu’elle est.

« Ça me fait penser… à d’autres situations où tu aimes prendre les devants… »

Un sourire lent et prédateur étire les lèvres de Marc. Les mots de Julie sont le carburant parfait pour le feu qui couve en lui. Il sent son sang s’emballer légèrement, un pic d’adrénaline pure et primitive. Il aime cette façon qu’elle a de provoquer le lion, sachant pertinemment qu’elle ne risque rien, au contraire.

« Oh, tu aimes ça, hein ? » dit-il, sa voix descendant d’un ton, devenant plus grave, plus intense. Il incline la tête, son regard plongeant dans le sien, captivant. « Tu aimes abandonner le contrôle, te laisser guider… Te laisser posséder. »

Il sait le pouvoir que ses mots ont sur elle Il relâche sa main et, sous la nappe, sa main trouve sa cuisse nue. Le contact est direct, électrique. Il ne la caresse pas encore, il la pose simplement là, une affirmation de propriété chaleureuse et ferme.
Le souffle de Julie se coupe brièvement lorsqu’elle sent la chaleur de la main de Marc sur sa cuisse. L’électricité qui parcourt son corps est instantanée, intense. Elle frémit sous sa paume, une réaction physique qu’elle ne peut contrôler, ni ne veut contrôler. Elle croise son regard, ses pupilles légèrement dilatées par le désir naissant.

« Oui… » respire-t-elle, sa voix à peine plus qu’un murmure haletant. « J’adore ça… J’adore quand tu me montres à qui j’appartiens. »

Sous la table, elle écarte imperceptiblement ses genoux, une invitation muette, une offrande silencieuse. Sa propre main se pose sur celle de Marc, sur sa cuisse, encourageant son exploration, le poussant à aller plus loin.
L’invitation de Julie est tout ce dont il a besoin. Juste au moment où ses doigts s’apprêtent à tracer un chemin plus audacieux sur sa cuisse intérieure, l’ombre du serveur se projette sur leur table.

« Madame, monsieur. Voici vos plats. »

Marc retire sa main avec une lenteur calculée, non par précipitation, mais comme un acte de domination en soi. Il laisse un vide frustrant sur la peau de Julie, un souvenir brûlant de sa présence. Il adresse un signe de tête poli au serveur.

« Merci. »

Son regard se tourne immédiatement vers Julie, un sourire en coin, mi-amusé, mi-impitoyable.

« Patience, mon ange, » murmure-t-il, reprenant exactement ses propres mots de tout à l’heure.

Le départ de la main de Marc crée un manque soudain, un vide froid sur sa peau qui était pourtant embrasée. Elle frissonne, cette fois-ci de frustration et d'anticipation. Elle lève les yeux vers lui, et le sourire narquois sur son visage la fait rire doucement, un son cristallin qui tranche avec la tension palpable entre eux.

"Ah... La patience... Toi qui disais être patient tout à l'heure..." rétorque-t-elle avec un clin d'œil espiègle.

Elle prend sa fourchette, mais son regard reste fixé sur lui.

"Tu joues avec le feu, Marc. Et tu sais très bien que j'adore ça."

Elle coupe un morceau de son filet de bœuf, le porte à ses lèvres et le mange avec une lenteur étudiée, presque provocatrice. Ses yeux ne le quittent pas, transformant un simple geste en une promesse silencieuse de ce qui l'attend après le dîner.
Le spectacle est exquis. Chaque bouchée que Julie prend est une nouvelle torture délicieuse. Il savoure son jeu, cette danse provocatrice qu’elle mène avec tant de grâce. Il mange son propre plat sans jamais la quitter des yeux.
Quand le dernier morceau est avalé, il fait un signe au serveur pour l’addition, sans jamais détourner son regard de Julie. Le paiement est une formalité rapide, un geste machinal. Sa véritable attention est ailleurs.
Il se lève, contourne la table et s’approche d’elle. Il ne lui propose pas sa main. À la place, il se penche, son souffle chaud effleurant son oreille.

« Viens, » murmure-t-il.

Ce n’est pas une question, c’est un ordre doux, qui ne tolère aucune hésitation.
Le mot « Viens », prononcé sur ce ton si particulier, fait battre son cœur. Une vague de chaleur l’envahit, partant de son ventre pour remonter jusqu’à ses joues.
Elle se lève lentement, ajustant sa robe d’un mouvement gracieux, consciente de son regard posé sur elle. Sans un mot, elle le suit, marchant juste un demi-pas derrière lui, se laissant guider à travers le restaurant et le hall luxueux de l’hôtel. Le cliquetis de ses talons sur le marbre semble rythmer l’anticipation qui grandit en elle.
Arrivés devant la porte de la suite, il sort la carte magnétique et l’ouvre. Il la laisse entrer en premier, sa main posée un instant dans le creux de son dos, une pression légère mais possessive.
La porte se referme derrière eux avec un claquement doux et définitif, isolant leur bulle du reste du monde. Le silence de la suite n’est rompu que par le son de leur respiration, légèrement altérée.
Il ne met pas la lumière principale, seulement une lampe de chevet près du lit qui baigne la pièce d’une lueur chaude et tamisée. Il se rapproche d’elle à nouveau. Très lentement, il glisse ses mains sur ses hanches, la ramenant contre lui. Il penche la tête et ses lèvres frôlent son cou, juste au-dessus du col de sa robe.

« Maintenant, » murmure-t-il contre sa peau, sa voix vibrante de désir contenu. « Montre-moi ce que tu avais sous cette robe. »

Il prend une petite mèche de ses cheveux bouclés, la sentant entre ses doigts.

« Montre-moi la surprise que tu as préparée pour moi. »

Le contact de ses mains sur ses hanches, la proximité de son corps, le souffle chaud sur sa nuque… Tout cela la fait trembler de plaisir. Elle ferme les yeux un instant, savourant cette sensation d’être complètement à lui, dans cet univers clos qui n’appartient qu’à eux.
À ses mots, un sourire confident et plein de promesses se dessine sur ses lèvres. Ses mains montent sur sa poitrine, puis glissent jusqu’à son cou pour l’y attirer.

« Tout ce que tu voudras, Marc… » souffle-t-elle avant de l’embrasser, une langue audacieuse et profonde, pleine de tout le désir accumulé pendant le dîner.

Puis, elle se recule légèrement, juste assez pour que ses mains trouvent la fermeture éclair de sa robe sur le côté. D’un geste lent et théâtral, elle la descend.
Ses yeux suivent chaque millimètre du métal qui descend, révélant progressivement la peau de Julie. Quand la robe s’ouvre et glisse sur ses hanches pour s’amasser à ses pieds, il retient son souffle.
Devant lui, elle porte un ensemble dentelle noire, d’une finesse diabolique. Le soutien-gorge est un balconnet qui soulève à merveille sa poitrine, mettant en valeur ses courbes généreuses. Le string, assorti est attaché par de minuscules rubans satinés sur ses hanches, laissant deviner plus qu’elle ne montre. Mais c’est la jarretelle qui accroché à ses bas chairs qui achève de le faire vaciller. C’est classique, mais porté pour lui, c’est une arme de séduction massive.
Il ne dit rien pendant un long moment. Il la regarde, son regard sombre et intense, balayant chaque parcelle de sa peau offerte.
Elle voit dans ses yeux l’effet qu’elle lui produit, et ça la comble d’une fierté immense. Elle se sent belle, désirable, puissante. Lentement, elle fait un tour sur elle-même, lui donnant le temps d’apprécier l’ensemble, la finesse des bretelles de la jarretelle sur sa peau, la façon dont la dentelle épouse ses formes.

« Alors… ? » demande-t-elle d’une voix douce et un peu taquine. « La surprise te plaît ? »

Elle s’approche de lui, son corps presque effleurant le sien, mais sans le toucher. Elle lève une main et trace la ligne de sa mâchoire avec son index, son regard plongé dans le sien.

« Je me suis dit que… même un homme occupé comme toi mérite d’être récompensé pour sa patience. » murmure-t-elle, son souffle chaud contre ses lèvres. « Mais la patience a ses limites, n’est-ce pas, Marc ? »

Le contact léger de son doigt sur sa mâchoire est une étincelle sur une poudrière. Son regard s’assombrit, toute façade de contrôle tombant pour ne laisser place qu’à une faim brute. Il attrape son poignet, non pas avec violence, mais avec une fermeté qui ne souffre aucune contestation. Il immobilise sa main contre sa joue.

« Les limites de ma patience viennent d’être atteintes, Julie, » dit-il, sa voix un grondement sourd.

Sans lâcher son poignet, son autre main passe dans ses cheveux châtains, empoignant fermement mais sans lui faire mal, juste assez pour incliner sa tête et exposer sa gorge. Il la tire contre lui. Il sent la chaleur de sa peau à travers sa chemise.

« Il est temps de payer la facture de ton audace, » murmure-t-il contre ses lèvres, avant de les posséder dans un baiser vorace, dominateur, qui ne laisse aucune place au doute.

Le baiser de Marc la submerge. C’est exactement ce qu’elle voulait, ce qu’elle attendait avec une impatience fébrile. Elle rend son baiser avec la même intensité, abandonnant toute résistance, son corps s’affaissant contre le sien dans une soumission totale et volontaire.
Un petit gémissement s’échappe de sa gorge quand il empoigne ses cheveux. Le mélange de douleur et de plaisir la fait perdre pied. Sa main libre s’accroche à sa chemise, crispant le tissu dans son poing, cherchant un ancrage alors que le monde autour d’elle se réduit à la sensation de sa bouche sur la sienne, de sa main dans ses cheveux, de son corps pressé contre le sien.
Quand il se détache enfin, elle est haletante, ses lèvres gonflées et humides, ses yeux brillants de désir. Elle le regarde, entièrement à lui, prête à tout.

« Tu m’as manquée… » dit-elle avec une certaine émotion.

Les mots de Julie, simples et sincères, frappent droit au cœur de son armure de dominant. Ils résonnent plus fort que n’importe quel cri de passion. Il voit dans ses yeux non seulement le désir, mais l’affection, le besoin. Et ça l’inonde d’une vague de tendresse brutale.
Il relâche légèrement sa prise dans ses cheveux, caressant maintenant sa nuque avec son pouce. Son autre main quitte son poignet pour venir se poser à plat sur son dos nu, la tirant encore plus contre lui, comme s’il voulait fusionner leurs corps.

« Toi aussi, mon ange, » murmure-t-il, sa voix devenue rauque, chargée d’une émotion qu’il peine à contenir. « Tu n’imagines pas à quel point. »

Il baisse à nouveau la tête, mais ce baiser est différent. Moins vorace, plus profond, plus possessif encore. C’est un baiser qui dit « tu es à moi ». Sa main explore son dos, suivant la courbe de sa colonne vertébrale jusqu’au cordon de sa jarretelle.
Ce nouveau baiser la fait fondre. C’est une déclaration, une marque de possession qu’elle accueille avec une joie débordante. Quand ses doigts effleurent le cordon de la jarretelle, un frisson intense la parcourt. Elle se cambre légèrement contre lui, offrant davantage sa peau à son exploration, un consentement silencieux à tout ce qu’il voudra faire d’elle. Elle rompt le baiser, le souffle coupé, son front appuyé contre le sien.

« Alors prends-moi, Marc… » murmure-t-elle, sa voix brisée par le désir.

« Prends tout… Montre-moi que je suis à toi. » Ses yeux le supplient, le défient, l’aiment.

Le souffle court de Julie, sa supplication murmurée, sont le signal final. La dernière barrière de son contrôle s’effondre. Un grognement sourd s’échappe de sa poitrine, un son primal qui vient du plus profond de son être.

« Surtout ne t’en fais pas pour ça, » répond-il, de sa voix grave.

En un seul mouvement fluide et puissant, il passe un bras sous ses genoux et l’autre dans son dos, la soulevant de terre comme si elle ne pesait rien. Elle pousse un petit cri surpris, ses bras s’enroulant instinctivement autour de son cou.
Il la porte jusqu'au lit, son regard ne quittant jamais le sien, un regard de prédateur qui vient de capturer sa proie la plus précieuse. Il la dépose avec une infinie douceur sur le drap en soie, mais sa démarche est loin d’être terminée.
Il se penche sur elle, ses mains de chaque côté de sa tête, l’emprisonnant.

« L’impatience est un vilain défaut, mon ange, » dit-il, sa voix un velours râpé. « Mais j’avoue que sur toi, ça te va à ravir. »

Il fait alors glisser sa tête vers son ventre. Ses lèvres frôlent la peau délicate juste au-dessus de la bordure de son string en dentelle. Puis, avec une lenteur calculée, il attrape l’un des petits rubans qui maintiennent le vêtement. Avec ses dents, il tire doucement, faisant glisser la boucle. Le ruban se défait, libérant un côté de la pièce de tissu. Il répète le geste de l’autre côté, son nez frôlant sa hanche, son souffle chaud contre sa peau. Le string cède.
Le contact de ses dents sur le ruban, la friction du tissu, son souffle si proche de sa peau… Julie ferme les yeux, une vague de chaleur la submergeant. Elle se crispe, ses doigts agrippant les draps en soie. Chaque seconde de cette attente est une torture exquise.
Quand le ruban céde, elle soupire, un son à la fois de soulagement et de frustration. Le tissu s’en va, dévoilant sa vulve parfaitement lisse et luisante, vulnérable, offerte. Elle rouvre les yeux et le regarde, son regard brûlant de désir.

« Tu es un tortionnaire, Marc… » murmure-t-elle, sa voix brisée. « Un tortionnaire divin… »
Un sourire cruel et amusé étire ses lèvres face à son compliment.

« Le chemin du paradis passe souvent par quelques tourments, ma chérie. »

Il se redresse lentement, la quittant juste assez pour ouvrir le tiroir de la table de chevet. Il en sort deux bracelets de cuir noir, épais et doux, reliés par une courte chaîne.
Les yeux de Julie s’écarquillent, un mélange de peur et d’excitation pure illuminant son visage.
Il se penche à nouveau sur elle. Sans un mot, il attrape son poignet droit et l’attache fermement. Puis il guide son bras sous sa jambe repliée avant de faire de même avec l’autre poignet. Il verrouille le tout, ses bras soulevant ses jambes sous ses genoux, la vulve et les fesses offertes. Coincée dans cette position.
Le clic métallique des menottes résonne dans le silence de la chambre, un son qui la fige sur place. Sa respiration se bloque. Elle teste les liens, un mouvement réflexe, et réalise qu’elle est totalement immobilisée, vulnérable, exposée d’une manière qu’elle n’a jamais connue.
Cette position, humiliante et incroyablement excitante à la fois, envoie une décharge électrique directement dans son entrejambe. Elle sent la chaleur monter, une goutte de son plaisir au bord de l’entrée de son vagin. Elle est à sa merci, complètement.

« Marc… »

C’est tout ce qu’elle peut dire. Son nom. Une prière et une acceptation. Elle est prête. Prête pour tout ce qu’il va lui faire.
Le son de son nom, prononcé sur ce ton de soumission totale, est la plus douce des musiques à ses oreilles.
Il recule légèrement pour admirer son œuvre. La vue de Julie, offerte et ligotée, la chair rose et humide de sa vulve brillant sous la lumière tamisée, la fait frémir. Il voit la petite goutte de son désir déjà prête à tomber.
Avec une lenteur délibérée, il se déboutonne sa chemise, la laissant tomber au sol, révélant son torse musclé. Puis il défait sa ceinture, le cliquetis du métal ajoutant à la tension de la pièce. Il retire son pantalon, ne gardant que son boxer qui peine à contenir son érection évidente.
Il se remet à genoux sur le lit, entre ses jambes ouvertes. Puis il la fesse avec un claquement sec.
Le claquement sec sur sa fesse la fait sursauter. La douleur est vive, nette, mais elle se transforme instantanément en une chaleur diffuse qui se propage à travers tout son bassin. Un cri étouffé s’échappe de ses lèvres, moins de surprise que de pur plaisir.
Sa peau devient rouge là où sa main a frappé. Elle sent son cœur marteler dans sa poitrine, son souffle court. Elle ferme les yeux, attendant la suivante, espérant la suivante.

« Encore… » murmure-t-elle, sa voix à peine audible. « S’il te plaît, Marc… Encore… » Elle est perdue dans la sensation, dans cette soumission absolue qui la libère de tout. Elle ne pense plus, elle ne sent que lui. Sa vulve s’humidifie a vue d’œil, et elle commence à tâcher le drap sous ses fesses.

Il ne la frappe pas tout de suite. Il laisse l’anticipation construire, laissant le souvenir de la première fessée vibrer sur sa peau. Sa main caresse la rougeur naissante, la chaleur qu’il y a déposée. Puis, sans crier gare, il administre une deuxième fessée, sur l’autre fesse, tout aussi puissante que la première.
Il admire son travail : deux empreintes parfaites de sa paume sur sa peau claire. Il voit comment elle mouille le drap sous elle, la preuve irréfutable de son excitation.

« Je vais te savourer ce soir Julie… Tu es toute à moi. Et je compte profiter de chaque centimètre de toi… »

La deuxième fessée la fait crier de plaisir cette fois, un son aigu et libéré. La douleur est un délice, une confirmation de son emprise sur elle. Elle se débat contre les menottes, non pas pour s’échapper, mais par pur réflexe, son corps cherchant à exprimer l’intensité de ce qu’elle ressent.
Ses mots, sa promesse de la savourer, la font frissonner de la tête aux pieds. Elle est entièrement sienne, un banquet qu’il s’apprête à déguster.

« Oui… Oui, Marc… » gémit-elle. « Je suis à toi… Prends-moi… Utilise-moi… »

Son regard est perdu dans le plaisir, ses lèvres entrouvertes, sa respiration haletante. Elle est prête à tout subir, à tout recevoir de lui. Elle est son terrain de jeu, sa chose, et elle n'a jamais désiré quoi que ce soit d’autre.

« Utiliser ? Non, mon ange. Ce n’est pas le bon mot, » murmure-t-il, sa voix grave et vibrante. « Je vais t’honorer. T’honorer comme tu le mérites. »

Il se penche, mais ce n’est pas sur ses lèvres qu’il se jette. Il descend plus bas, son nez frôlant la peau sensible de son intérieur de cuisse. Il inspire profondément, savourant l’odeur enivrante de son désir, un parfum unique qui n’appartient qu’à elle.
Puis, avec une lenteur insoutenable, il pose ses lèvres sur sa vulve, non pas pour un baiser passionné, mais pour un contact presque chaste. Il la sent trembler sous lui. Sa langue sort, effleurant délicatement ses grandes lèvres, les léchant avec soin, goûtant le nectar qui s’en échappe déjà. Il lève les yeux vers elle, la regardant depuis son entrejambe, un sourire de conquérant et d’amoureux sur les lèvres. Avant de poursuivre, avec plus de puissance.
Le contact initial, presque timide, la fait sursauter. Mais quand sa langue commence son exploration, un long gémissement s’échappe de sa gorge.
Quand il lève les yeux vers elle, le sourire qu’elle voit sur son visage la perd complètement. C’est un mélange de tendresse et de convoitise qui la fait fondre. Puis il recommence, avec plus de force, plus d’assurance. Sa langue n’est plus une caresse, c’est un assaut. Il dévore sa chatte juteuse, léchant, suçant, buvant son jus avec une avidité fauve. Chaque coup de langue est une décharge électrique qui la traverse de part en part. Elle est à lui, entièrement, et elle l’adore.
Tout en continuant de dévorer son sexe avec une ferveur renouvelée, il introduit un premier doigt, large et puissant, le faisant glisser sans effort dans sa chaleur humide.
Puis un second doigt se joint au premier. Le bruit de clapotis de ses mouvements de vas-et-viens est obscène tant elle est trempée pour lui.
L’ajout de ses doigts la fait crier de plaisir. Le bruit obscène de ses mouvements la fait rougir de honte et d’excitation. Elle est tellement mouillée, tellement prête pour lui. Ses doigts la remplissent parfaitement, la préparant à quelque chose de beaucoup plus gros. Elle se débat contre les menottes, son corps tendu comme un arc. Elle sent la pression monter, une chaleur intense qui grandit dans son ventre. Elle est proche, si proche…

« Marc… S’il te plaît… » gémit-elle. « Ne t’arrête pas… Je vais… Je vais… » Elle ne peut pas finir sa phrase, le plaisir étant trop intense. Elle est à sa merci, incapable de contrôler son corps qui réagit à chacune de ses caresses. Elle est sur le point d’exploser, et elle ne peut rien faire pour l’arrêter.

Entendant sa supplication, il intensifie son rythme, ses doigts la pénétrant plus profondément, cherchant cet endroit magique qui la fera voler en éclats. Sa langue se concentre sur son clitoris, le suçant avec une pression délibérée, le battant de coups rapides et précis.
Il sent ses muscles se contracter autour de ses doigts, son corps se tendre à l’extrême. Il sait qu’elle est au bord du précipice, prête à plonger dans l’abîme du plaisir. Il la retient encore un instant, savourant cette dernière seconde d’anticipation, avant de donner l’assaut final qui la précipitera dans l’orgasme.
L’assaut final est trop intense. Un cri animal, s’échappe de sa gorge alors que l’onde de plaisir la submerge. Son orgasme la secoue de la tête aux pieds, une vague de chaleur si intense qu’elle en a le souffle coupé. Elle se crispe, ses muscles se contractant violemment autour des doigts de Marc. Elle tremble, secouée par des spasmes incontrôlables, son corps entièrement livré à la puissance de son orgasme.
Elle s'effondre ensuite sur le matelas haletante. Les menottes la retiennent encore dans sa position humiliante. Seule demeure la sensation de son corps vibrant encore de plaisir, la chaleur de sa bouche sur son sexe, la présence de ses doigts toujours en elle.
Il la regarde s'effondrer dans les vibrations de son orgasme, son corps tremblant, sa poitrine haletante. C’est une vision divine. Mais il n’a pas terminé avec elle. Loin de là...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Une jolie histoire où l'on sent bien son plaisir libre monter.

Bravo pour ce très beau texte, si délicieusement érotique!

Très très bien écrit, tant dans le style que dans la syntaxe. Et chaud, très chaud.
Puissant aussi. Torride...
Les adjectifs en viennent à me manquer.
C'est tout simplement beau. Bravo.
Et continuez surtout, s'il vous plait.

Histoire Erotique
Un régal, je savoure les effluves olfactives et les spasmes orgasmiques de Julie.
J'attends de lire les sensations de Marc.

Histoire Erotique
Un régal, je savoure les effluves olfactives et je ressens les spasmes orgasmiques de Julie.
Hâte de connaître les sensations de Marc.

Histoire Libertine
Un texte d'un érotisme rare ici. Un véritable plaisir de lecture presque aussi intense que celui de Julie



Texte coquin : Julie, Marc... et Ethan
Histoire sexe : Une rose rouge
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