Jusqu’au bout de l’indignité - Dévergondages 11
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Jusqu’au bout de l’indignité - Dévergondages 11
Jusqu’au bout de l’indignité - Dévergondages 11
Alors que je réside hors de France, Michel B., m’a contacté lors d’un déplacement dans mon Pays. Lui-même, demeurant dans la région bordelaise, il m’a confié les fantasmes qu’il a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il l’a connu avec une maîtresse durant une dizaine d’années à Paris. Pour cela, il m’a demandé d’imaginer des récits pouvant l’amener à se pervertir.
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« L'immoralité de l'homme triomphe de l'amoralité de la femme. » Karl Kraus
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Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile s’est laissée embrasser par son hôte. Victime d’un chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.
Puis, elle est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes d’un restaurant. Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour qu’elle puisse y ranger ses tenues affriolantes. C’est dans ce lieu surprenant qu’il la prend en photo dans des poses plus qu’osée et qu’il la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud dans l’anus. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans qu’elle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsqu’elle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ». Puis il lui introduit un rosebud d’une taille supérieur dans l’anus. Puis, Edmond oblige Odile à s’exhiber sur une terrasse de restaurant, où un couple en fait de même. Dans les buissons d’un parc les deux hommes prennent leur femme et pour finir les deux filles font l’amour entre elles
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Odile a rejoint le domicile conjugal en fin d’après-midi, en évitant de repasser à son bureau. Son mari ayant une réunion qui s’est terminée très tard, aussi elle s’est couchée de bonne heure, essayant de faire le point sur ce qu’elle vient de vivre aujourd’hui. Son attirance pour Myriam l’a troublée, car elle n’avait jamais eu, même jeune fille en pension, de rapports intimes, ou même de tentation avec d’autres pensionnaires. Elle savait que cela existait, d’autres filles étaient ensemble, mais sa libido ne l’avait jamais travaillée. Elle ne peut se mentir à elle-même, elle a pris du plaisir à se caresser et à se lécher avec cette pulpeuse blonde et elle a même eu envie que son athlétique mari se joigne à elles. Quant au jeune voyeur à qui elle a dû faire une fellation, contrainte par Edmond, elle n’a même pas honte de l’avoir fait, ayant pris un plaisir certain à goûter et à savourer la bite de ce jeune garçon.
Se pourrait-il qu’elle devienne une « salope », même si c’est dans le bon sens du terme, comme le lui a dit son suborneur, qui l’entraine à présent vers une débauche sexuelle dans laquelle elle se complait maintenant avec un plaisir certain ? Elle doit reconnaître, à certains moments, que c’est avec volupté, qu’elle se soumet aux exigences de plus en plus obscènes du notaire. Oh ! bien sûr, sur le coup, elle est remplie de honte et son humiliation est à son comble, son dégoût de soi se mélangeant au plaisir de la mortification qu’elle s’inflige en véritable soumise à celui qui la domine de tout son pouvoir sur elle. Elle réalise que ce n’est pas uniquement le chantage dont elle l’objet depuis le début, car, elle n’ignore pas que l’ascendant qu’Edmond a pris sur toutes ses valeurs, lui occasionne un plaisir diffus d’assujettissement à un maître, outre la jouissance qu’elle en retire, qui la comble dans sa trop tranquille existence de la bourgeoisie bordelaise.
Comment va-t-elle pouvoir cacher tout cela à sa famille ? Michel, son mari, s’est bien aperçu qu’elle « mouille » à présent, alors qu’elle avait toujours été sèche. Il ne lui a fait aucun reproche, ni demandé d’explication. Il profite plutôt de la situation, ne serait-ce que lorsqu’il l’a prise à la hussarde dernièrement. Elle voudrait bien à présent qu’elle se sent « décoincée », pouvoir faire l’amour avec son mari d’une manière moins conventionnelle, mais comment le prendrait-il ? Muriel a bien remarqué que sa mère prend plus de soin que d’habitude de son corps et qu’elle se caresse souvent les seins dans la salle de bains où elle fait souvent irruption, alors que pourtant, elle a sa propre salle de douche, mais sans baignoire.
Elle est heureuse avec sa famille, et elle aime son mari, sa fille et même le petit ami de celle-ci, qu’elle n’apprécie pas beaucoup pourtant. Gérard Ndiaye est un garçon brillant, de souche sénégalaise par son père, officier de l’Armée française et française par sa mère Antillaise. Elle n’est pas vraiment raciste, mais ce grand corps noir qui, si ce n’est pas déjà fait, forcera l’intimité de sa fille, cela la choque un peu. Sa fille lui a confié qu’ils allaient sans doute se séparer, car, a t-elle dit à sa mère, elle veut rester vierge jusqu’à son mariage et Gérard ne l’entend pas ainsi. La mère se serait sans doute contentée de cette prise de position de sa fille, mais, à présent qu’elle connaît le bonheur du plaisir charnel, elle se demande si sa fille de vingt deux ans, ne va pas rester une oie blanche comme elle l’a été durant ses vingt-cinq ans de mariage ? Justement sa fille est partie pour une compétition de natation à l’autre bout de la France et elle ne doit rentrer que le lendemain soir. D’après ce qu’elle sait, son petit copain ne l’a pas accompagnée.
Odile, épuisée par toutes ses réflexions et surtout par la journée ardente et épuisante qu’elle vient de vivre aujourd’hui, s’endort enfin.
Le lendemain matin est un jour férié. Michel qui consulte depuis un bon moment des images sur son ordinateur, referme brusquement l’écran lorsque sa femme entre inopinément dans le bureau familial. Il est en jogging et lorsqu’il se tourne vers Odile, elle ne peut pas ne pas remarquer la bosse qui déforme l’entrejambe de son pantalon. Elle n’a jamais pensé que Michel, son mari depuis vingt-cinq ans puisse regarder des images pornographiques, mais, cette fois-ci, elle a bien l’impression qu’elle vient de le surprendre et qu’elle ignore les fantasmes qu’il peut avoir à présent (elle a remisé au fin fond de sa mémoire, les propositions coquines qu’il lui avait fait au début de leur mariage, ne pouvant se les évoquer, car elle, fait bien pire depuis quelques semaines). Il est vrai qu’elle ne s’est pas beaucoup intéressée jusqu’ici aux problèmes de sexe de son couple et qu’il a fallu cette incroyable circonstance de ce qu’elle vit actuellement avec Edmond, pour qu’elle commence à se poser les bonnes questions.
Michel a le visage congestionné lorsqu’il quitte la table où l’ordinateur est installé, il s’approche de son épouse et sans aucune explication il écarte les pans de sa robe de chambre et la chemise de nuit, plonge sa main dans l’entrejambe et glisse ses doigts dans la fente qu’il trouve encore une fois humide, arrachant un gémissement prolongé à sa femme, qui plie les genoux, pour tenter d’échapper aux doigts, crispés sur les chairs tendres de son intimité. Mais Michel est surexcité et empoignant sa femme dans ses bras, il vient la balancer sur un canapé proche, puis, il lui retire de force sa robe de chambre et sa chemise de nuit et, la disposant à quatre pattes, il lui intime l’ordre de ne pas bouger. Prestement, il se débarrasse de ses vêtements de jogging et, écartant les fesses d’Odile de ses deux mains, il enfouit la tête dans son entrejambe, et entreprend de lécher à grands coups de langue, la vulve qui laisse bientôt s’écouler une onctueuse liqueur qu’il lape sans discontinuer.
Odile est tétanisée. Elle ne comprend pas les agissements de son mari qui ne s’est jamais conduit ainsi. Bien que molestée avec vigueur, elle n’en éprouve pas moins une jouissance folle sous la langue qui explore ses chairs les plus intimes. Elle se retient pour ne pas gémir, soufflant seulement très fort au plaisir qu’elle ressent. Soudain, Michel se redresse, lui relève son fessier et sans coup férir, enfonce son vit dans le vagin enduit des secrétions de la femme et de la salive, dont il a enduit le pubis, les lèvres et la vulve. Odile pousse un feulement étrange à l’intromission de la queue qui la pourfend sans ménagement. Depuis qu’Edmond le lui a imposé, elle apprécie d’être prise en levrette, ajoutant au plaisir qu’elle ressent dans ses entrailles, celui d’être soumise dans une position dégradante, comme la chienne perverse qu’elle se sent devenir. Son mari la pilonne depuis déjà un bon moment, lorsqu’il se retire et qu’elle sent la verge s’appuyer sur la rondelle inviolée. Elle veut protester qu’il n’est pas question qu’il la sodomise, lorsque un fer rouge traverse son anus la fait hurler de douleur. Pourtant, le rosebud qu’elle met six heures chaque jour depuis deux semaines a assoupli l’entrée de l’orifice anal, mais l’irruption soudaine du pénis marital jusqu’au fond du goulet rectal lui a causé une douleur inhumaine. Le pieu s’est enfoncé jusqu’au fond de son cul et ne bouge plus. Odile sanglote, de grosses larmes coulent sur son visage. Malgré la douleur, elle est heureuse que ce soit son époux qui a dévirginisé son petit endroit au lieu d’Edmond, qui l’aurait fait sans aucun doute dans les jours prochains.
Au moins, elle aura offert à son Michel, ce qu’il attendait depuis si longtemps. Lorsqu’il commence à se mettre en mouvement, sa pine se retirant et plongeant à nouveau dans le cul à peine défloré, elle hurle à nouveau, la douleur lui paraissant effroyable. Pourtant, petit à petit, des sensations voluptueuses se mélangent à une douleur plus diffuse. Elle gémit à présent et même, projette ses fesses au-devant du membre qui l’encule. Ses cris sont plus d’acceptation que de rejet et Michel la pilonne avec une résistance surprenante, jusqu’à ce que n’en pouvant plus malgré tout, il éjecte sa semence au fond du trou, mordant la nuque de son épouse comme le ferait un chien à sa chienne. Car il songe que c’est bien une petite chienne cochonne qu’il vient d’enculer pour la première fois de sa vie.
Michel est étendu sur le dos de sa femme. Celle-ci arrive à se retourner et, enlaçant son cher et tendre, elle l’embrasse avec amour, mélangeant sa langue à la sienne. Pourtant le couple n’échange pas un seul mot, ne pouvant rompre les vingt-cinq années d’absence de communication sur leur sexualité. Lorsque les deux époux se sont embrassés et cajolés durant un long moment, Odile se penche sur l’entrejambe de son mari et, voulant de la sorte lui faire comprendre qu’elle ne lui en veut pas de l’avoir sodomisé ainsi, elle prend son pénis dans ses doigts fins et lèche avec délicatesse la chair qui lui a procuré douleur et plaisir à la fois. Cette hampe, encore enduite du sperme marital et de ses sécrétions intimes. Puis elle le pompe avec délicatesse et adresse, faisant tourner sa langue autour de la queue qu’elle avale le plus loin possible au fond de sa gorge. Elle sent le membre gonfler et tressauter dans sa bouche, elle le retire et le masturbe énergiquement et longuement à quelques centimètres de ses lèvres. Lorsque le sperme jaillit du méat congestionné, il asperge le visage d’Odile, une bonne partie arrose ses lèvres grandes ouvertes, sa langue recueillant le foutre qu’elle déglutit sans hésiter. Son mari la regarde amoureusement et l’embrasse sans hésiter.
La journée se passe à se câliner tous les deux, mais aucun ne fait allusion à ce qui vient de se passer. Pourtant les échanges et les actes qu’ils ont accomplis sont très forts, mais ils sont incapables d’en parler. Le soir, Michel lui fait l’amour avec douceur et sans aucune brutalité. Odile se laisse aller à gémir et à participer à l’acte coïtal avec une ardeur qu’elle n’avait jamais osé exprimer. Au petit matin, alors qu’elle dort en chien de fusil contre le ventre de son mari, pour une fois, nus tous les deux, il lui prend délicatement le derrière, faisant glisser son sexe dans l’anus à peine défloré. Odile souffre un peu, mais elle accompagne la queue de son mari, projetant ses fesses au-devant du pieu qui lui perfore l’intestin. Michel a posé une de ses mains sur le ventre de sa femme et il caresse le clitoris, introduisant des doigts dans la fente vulvaire dont s’écoule la cyprine encore une fois abondante. Bien que sa fille soit rentrée dans la nuit et se trouve dans une chambre voisine, Odile ne peut s’empêcher de pousser des gémissements de plus en plus aigus, car elle jouit vraiment du coït rectal qui cette fois la laisse anéantie par un orgasme incroyable.
Lorsque son mari part pour rejoindre son bureau, Odile se prépare pour aller au bureau. Dans la salle de bains, elle retire le rosebud de la boite de tampons, le contemple, en se demandant comment sa relation avec Edmond va évoluer. Elle réalise que sans ce qu’elle a vécu avec lui, elle n’aurait jamais pu accepter que son mari la prenne ainsi et que grâce à cet anus-pickett, elle n’aurait jamais pu être sodomisée, car sa rosette est bien trop serrée. Il faut avouer que cet engin a convenablement préparé son anus à la perforation de son rectum par le membre de son mari. Elle réalise alors, que celui d’Edmond est beaucoup plus long, mais ce qui l’affole, c’est qu’il a une circonférence au moins du double du pénis de Michel. Il va la faire mourir c’est certain lorsqu’il va la pénétrer. À moins qu’il lui introduise le modèle T3 qu’elle ne se sent pas le courage d’introduire elle-même entre ses fesses. Ce serait la meilleure solution pour habituer son cul à être sodomisé par la bite de son coquin de notaire. Elle va être obligée de lui avouer que son mari lui a dépucelé son œillet si délicat.
Lorsqu’elle introduit le cylindre en acier dans le goulet récemment défloré, elle éprouve une légère douleur, bien inférieure à ce qu’elle craignait. Elle songe à l’engin qui lui a paru monstrueux dans l’écrin qui est dans l’appartement de la place Mitchell et elle frissonne en pensant au moment où Edmond le lui introduira dans le trou qui s’élargi à chaque fois un peu plus…
À suivre…
Alors que je réside hors de France, Michel B., m’a contacté lors d’un déplacement dans mon Pays. Lui-même, demeurant dans la région bordelaise, il m’a confié les fantasmes qu’il a de voir Odile, son épouse depuis plus de vingt ans, se dévergonder et accepter le libertinage, comme il l’a connu avec une maîtresse durant une dizaine d’années à Paris. Pour cela, il m’a demandé d’imaginer des récits pouvant l’amener à se pervertir.
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« L'immoralité de l'homme triomphe de l'amoralité de la femme. » Karl Kraus
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Odile, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile s’est laissée embrasser par son hôte. Victime d’un chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.
Puis, elle est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes d’un restaurant. Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour qu’elle puisse y ranger ses tenues affriolantes. C’est dans ce lieu surprenant qu’il la prend en photo dans des poses plus qu’osée et qu’il la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud dans l’anus. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans qu’elle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsqu’elle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ». Puis il lui introduit un rosebud d’une taille supérieur dans l’anus. Puis, Edmond oblige Odile à s’exhiber sur une terrasse de restaurant, où un couple en fait de même. Dans les buissons d’un parc les deux hommes prennent leur femme et pour finir les deux filles font l’amour entre elles
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Odile a rejoint le domicile conjugal en fin d’après-midi, en évitant de repasser à son bureau. Son mari ayant une réunion qui s’est terminée très tard, aussi elle s’est couchée de bonne heure, essayant de faire le point sur ce qu’elle vient de vivre aujourd’hui. Son attirance pour Myriam l’a troublée, car elle n’avait jamais eu, même jeune fille en pension, de rapports intimes, ou même de tentation avec d’autres pensionnaires. Elle savait que cela existait, d’autres filles étaient ensemble, mais sa libido ne l’avait jamais travaillée. Elle ne peut se mentir à elle-même, elle a pris du plaisir à se caresser et à se lécher avec cette pulpeuse blonde et elle a même eu envie que son athlétique mari se joigne à elles. Quant au jeune voyeur à qui elle a dû faire une fellation, contrainte par Edmond, elle n’a même pas honte de l’avoir fait, ayant pris un plaisir certain à goûter et à savourer la bite de ce jeune garçon.
Se pourrait-il qu’elle devienne une « salope », même si c’est dans le bon sens du terme, comme le lui a dit son suborneur, qui l’entraine à présent vers une débauche sexuelle dans laquelle elle se complait maintenant avec un plaisir certain ? Elle doit reconnaître, à certains moments, que c’est avec volupté, qu’elle se soumet aux exigences de plus en plus obscènes du notaire. Oh ! bien sûr, sur le coup, elle est remplie de honte et son humiliation est à son comble, son dégoût de soi se mélangeant au plaisir de la mortification qu’elle s’inflige en véritable soumise à celui qui la domine de tout son pouvoir sur elle. Elle réalise que ce n’est pas uniquement le chantage dont elle l’objet depuis le début, car, elle n’ignore pas que l’ascendant qu’Edmond a pris sur toutes ses valeurs, lui occasionne un plaisir diffus d’assujettissement à un maître, outre la jouissance qu’elle en retire, qui la comble dans sa trop tranquille existence de la bourgeoisie bordelaise.
Comment va-t-elle pouvoir cacher tout cela à sa famille ? Michel, son mari, s’est bien aperçu qu’elle « mouille » à présent, alors qu’elle avait toujours été sèche. Il ne lui a fait aucun reproche, ni demandé d’explication. Il profite plutôt de la situation, ne serait-ce que lorsqu’il l’a prise à la hussarde dernièrement. Elle voudrait bien à présent qu’elle se sent « décoincée », pouvoir faire l’amour avec son mari d’une manière moins conventionnelle, mais comment le prendrait-il ? Muriel a bien remarqué que sa mère prend plus de soin que d’habitude de son corps et qu’elle se caresse souvent les seins dans la salle de bains où elle fait souvent irruption, alors que pourtant, elle a sa propre salle de douche, mais sans baignoire.
Elle est heureuse avec sa famille, et elle aime son mari, sa fille et même le petit ami de celle-ci, qu’elle n’apprécie pas beaucoup pourtant. Gérard Ndiaye est un garçon brillant, de souche sénégalaise par son père, officier de l’Armée française et française par sa mère Antillaise. Elle n’est pas vraiment raciste, mais ce grand corps noir qui, si ce n’est pas déjà fait, forcera l’intimité de sa fille, cela la choque un peu. Sa fille lui a confié qu’ils allaient sans doute se séparer, car, a t-elle dit à sa mère, elle veut rester vierge jusqu’à son mariage et Gérard ne l’entend pas ainsi. La mère se serait sans doute contentée de cette prise de position de sa fille, mais, à présent qu’elle connaît le bonheur du plaisir charnel, elle se demande si sa fille de vingt deux ans, ne va pas rester une oie blanche comme elle l’a été durant ses vingt-cinq ans de mariage ? Justement sa fille est partie pour une compétition de natation à l’autre bout de la France et elle ne doit rentrer que le lendemain soir. D’après ce qu’elle sait, son petit copain ne l’a pas accompagnée.
Odile, épuisée par toutes ses réflexions et surtout par la journée ardente et épuisante qu’elle vient de vivre aujourd’hui, s’endort enfin.
Le lendemain matin est un jour férié. Michel qui consulte depuis un bon moment des images sur son ordinateur, referme brusquement l’écran lorsque sa femme entre inopinément dans le bureau familial. Il est en jogging et lorsqu’il se tourne vers Odile, elle ne peut pas ne pas remarquer la bosse qui déforme l’entrejambe de son pantalon. Elle n’a jamais pensé que Michel, son mari depuis vingt-cinq ans puisse regarder des images pornographiques, mais, cette fois-ci, elle a bien l’impression qu’elle vient de le surprendre et qu’elle ignore les fantasmes qu’il peut avoir à présent (elle a remisé au fin fond de sa mémoire, les propositions coquines qu’il lui avait fait au début de leur mariage, ne pouvant se les évoquer, car elle, fait bien pire depuis quelques semaines). Il est vrai qu’elle ne s’est pas beaucoup intéressée jusqu’ici aux problèmes de sexe de son couple et qu’il a fallu cette incroyable circonstance de ce qu’elle vit actuellement avec Edmond, pour qu’elle commence à se poser les bonnes questions.
Michel a le visage congestionné lorsqu’il quitte la table où l’ordinateur est installé, il s’approche de son épouse et sans aucune explication il écarte les pans de sa robe de chambre et la chemise de nuit, plonge sa main dans l’entrejambe et glisse ses doigts dans la fente qu’il trouve encore une fois humide, arrachant un gémissement prolongé à sa femme, qui plie les genoux, pour tenter d’échapper aux doigts, crispés sur les chairs tendres de son intimité. Mais Michel est surexcité et empoignant sa femme dans ses bras, il vient la balancer sur un canapé proche, puis, il lui retire de force sa robe de chambre et sa chemise de nuit et, la disposant à quatre pattes, il lui intime l’ordre de ne pas bouger. Prestement, il se débarrasse de ses vêtements de jogging et, écartant les fesses d’Odile de ses deux mains, il enfouit la tête dans son entrejambe, et entreprend de lécher à grands coups de langue, la vulve qui laisse bientôt s’écouler une onctueuse liqueur qu’il lape sans discontinuer.
Odile est tétanisée. Elle ne comprend pas les agissements de son mari qui ne s’est jamais conduit ainsi. Bien que molestée avec vigueur, elle n’en éprouve pas moins une jouissance folle sous la langue qui explore ses chairs les plus intimes. Elle se retient pour ne pas gémir, soufflant seulement très fort au plaisir qu’elle ressent. Soudain, Michel se redresse, lui relève son fessier et sans coup férir, enfonce son vit dans le vagin enduit des secrétions de la femme et de la salive, dont il a enduit le pubis, les lèvres et la vulve. Odile pousse un feulement étrange à l’intromission de la queue qui la pourfend sans ménagement. Depuis qu’Edmond le lui a imposé, elle apprécie d’être prise en levrette, ajoutant au plaisir qu’elle ressent dans ses entrailles, celui d’être soumise dans une position dégradante, comme la chienne perverse qu’elle se sent devenir. Son mari la pilonne depuis déjà un bon moment, lorsqu’il se retire et qu’elle sent la verge s’appuyer sur la rondelle inviolée. Elle veut protester qu’il n’est pas question qu’il la sodomise, lorsque un fer rouge traverse son anus la fait hurler de douleur. Pourtant, le rosebud qu’elle met six heures chaque jour depuis deux semaines a assoupli l’entrée de l’orifice anal, mais l’irruption soudaine du pénis marital jusqu’au fond du goulet rectal lui a causé une douleur inhumaine. Le pieu s’est enfoncé jusqu’au fond de son cul et ne bouge plus. Odile sanglote, de grosses larmes coulent sur son visage. Malgré la douleur, elle est heureuse que ce soit son époux qui a dévirginisé son petit endroit au lieu d’Edmond, qui l’aurait fait sans aucun doute dans les jours prochains.
Au moins, elle aura offert à son Michel, ce qu’il attendait depuis si longtemps. Lorsqu’il commence à se mettre en mouvement, sa pine se retirant et plongeant à nouveau dans le cul à peine défloré, elle hurle à nouveau, la douleur lui paraissant effroyable. Pourtant, petit à petit, des sensations voluptueuses se mélangent à une douleur plus diffuse. Elle gémit à présent et même, projette ses fesses au-devant du membre qui l’encule. Ses cris sont plus d’acceptation que de rejet et Michel la pilonne avec une résistance surprenante, jusqu’à ce que n’en pouvant plus malgré tout, il éjecte sa semence au fond du trou, mordant la nuque de son épouse comme le ferait un chien à sa chienne. Car il songe que c’est bien une petite chienne cochonne qu’il vient d’enculer pour la première fois de sa vie.
Michel est étendu sur le dos de sa femme. Celle-ci arrive à se retourner et, enlaçant son cher et tendre, elle l’embrasse avec amour, mélangeant sa langue à la sienne. Pourtant le couple n’échange pas un seul mot, ne pouvant rompre les vingt-cinq années d’absence de communication sur leur sexualité. Lorsque les deux époux se sont embrassés et cajolés durant un long moment, Odile se penche sur l’entrejambe de son mari et, voulant de la sorte lui faire comprendre qu’elle ne lui en veut pas de l’avoir sodomisé ainsi, elle prend son pénis dans ses doigts fins et lèche avec délicatesse la chair qui lui a procuré douleur et plaisir à la fois. Cette hampe, encore enduite du sperme marital et de ses sécrétions intimes. Puis elle le pompe avec délicatesse et adresse, faisant tourner sa langue autour de la queue qu’elle avale le plus loin possible au fond de sa gorge. Elle sent le membre gonfler et tressauter dans sa bouche, elle le retire et le masturbe énergiquement et longuement à quelques centimètres de ses lèvres. Lorsque le sperme jaillit du méat congestionné, il asperge le visage d’Odile, une bonne partie arrose ses lèvres grandes ouvertes, sa langue recueillant le foutre qu’elle déglutit sans hésiter. Son mari la regarde amoureusement et l’embrasse sans hésiter.
La journée se passe à se câliner tous les deux, mais aucun ne fait allusion à ce qui vient de se passer. Pourtant les échanges et les actes qu’ils ont accomplis sont très forts, mais ils sont incapables d’en parler. Le soir, Michel lui fait l’amour avec douceur et sans aucune brutalité. Odile se laisse aller à gémir et à participer à l’acte coïtal avec une ardeur qu’elle n’avait jamais osé exprimer. Au petit matin, alors qu’elle dort en chien de fusil contre le ventre de son mari, pour une fois, nus tous les deux, il lui prend délicatement le derrière, faisant glisser son sexe dans l’anus à peine défloré. Odile souffre un peu, mais elle accompagne la queue de son mari, projetant ses fesses au-devant du pieu qui lui perfore l’intestin. Michel a posé une de ses mains sur le ventre de sa femme et il caresse le clitoris, introduisant des doigts dans la fente vulvaire dont s’écoule la cyprine encore une fois abondante. Bien que sa fille soit rentrée dans la nuit et se trouve dans une chambre voisine, Odile ne peut s’empêcher de pousser des gémissements de plus en plus aigus, car elle jouit vraiment du coït rectal qui cette fois la laisse anéantie par un orgasme incroyable.
Lorsque son mari part pour rejoindre son bureau, Odile se prépare pour aller au bureau. Dans la salle de bains, elle retire le rosebud de la boite de tampons, le contemple, en se demandant comment sa relation avec Edmond va évoluer. Elle réalise que sans ce qu’elle a vécu avec lui, elle n’aurait jamais pu accepter que son mari la prenne ainsi et que grâce à cet anus-pickett, elle n’aurait jamais pu être sodomisée, car sa rosette est bien trop serrée. Il faut avouer que cet engin a convenablement préparé son anus à la perforation de son rectum par le membre de son mari. Elle réalise alors, que celui d’Edmond est beaucoup plus long, mais ce qui l’affole, c’est qu’il a une circonférence au moins du double du pénis de Michel. Il va la faire mourir c’est certain lorsqu’il va la pénétrer. À moins qu’il lui introduise le modèle T3 qu’elle ne se sent pas le courage d’introduire elle-même entre ses fesses. Ce serait la meilleure solution pour habituer son cul à être sodomisé par la bite de son coquin de notaire. Elle va être obligée de lui avouer que son mari lui a dépucelé son œillet si délicat.
Lorsqu’elle introduit le cylindre en acier dans le goulet récemment défloré, elle éprouve une légère douleur, bien inférieure à ce qu’elle craignait. Elle songe à l’engin qui lui a paru monstrueux dans l’écrin qui est dans l’appartement de la place Mitchell et elle frissonne en pensant au moment où Edmond le lui introduira dans le trou qui s’élargi à chaque fois un peu plus…
À suivre…
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bonne histoire, très bien écrite, ça mérite un bon 10/10 ;)
On entre facilement dans le récit, les résumés au début sont une bonne idée je trouve.
Le personnage d'Odile est attachant, et on est contents de lire une histoire qui parle de la sexualité des personnes d'âge mûr. Surtout quand elle est bien écrite, et excitante comme ça !
On entre facilement dans le récit, les résumés au début sont une bonne idée je trouve.
Le personnage d'Odile est attachant, et on est contents de lire une histoire qui parle de la sexualité des personnes d'âge mûr. Surtout quand elle est bien écrite, et excitante comme ça !
Excellente histoire où l'initiation d'Odile au plaisir se poursuit. La sodomie est une suite logique et j'imagine volontiers une soirée entre couples où Odile se fait prendre en triple pénétration (l'autre femme la prenant avec un god puis on change les rôles).
Mais je pense que l'éducation au plaisir de sa fille laisse aussi à désirer et qu'Odile pourrait sans doute compter sur Edmond pour cette noble tâche. Dévergonder la mère puis la fille (sous la direction d'Odile, bien sûr) ... Hmmmm, je pense que cela fait déjà mouiller Odile et bander Edmond. Mais c'est Vieulou qui aura le dernier mot. Merci pour le plaisir de nous faire partager ces ébats.
Mais je pense que l'éducation au plaisir de sa fille laisse aussi à désirer et qu'Odile pourrait sans doute compter sur Edmond pour cette noble tâche. Dévergonder la mère puis la fille (sous la direction d'Odile, bien sûr) ... Hmmmm, je pense que cela fait déjà mouiller Odile et bander Edmond. Mais c'est Vieulou qui aura le dernier mot. Merci pour le plaisir de nous faire partager ces ébats.
On en apprend toujours en lisant Vieulou. J'avoue que je ne connaissais pas l'anus-pickett. On lit toujours ses histoires de dévergondages avec plaisir. Et en plus, si c'est une commande...
Mais que regardait donc Michel sur son ordinateur, j'en ai une petite idée!
En tout cas, les leçons particulières du professeur Edmond commencent à donner des résultats et le mari en est le premier bénéficiaire.
Vivement la suite de cette histoire exaltante qui nous offre encore des perspectives intéressantes, et toujours aussi bien écrite, on ne se lasse pas.
P
En tout cas, les leçons particulières du professeur Edmond commencent à donner des résultats et le mari en est le premier bénéficiaire.
Vivement la suite de cette histoire exaltante qui nous offre encore des perspectives intéressantes, et toujours aussi bien écrite, on ne se lasse pas.
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Mon plaisir grandit au fur et à mesure que je lis les péripéties d'Odile. Bravo VieuLou, tout y demeure plausible, lieux, vestimentaires, détails des scènes légères ..
Aujourd'hui retour dans le cocon conjugal et quel retour , Odile s'y émancipe comme jamais depuis son mariage avec son mari !!!!
Merci Merci ... pour tout ce bien être que vous nous offrez vous fournissez les kleenex également ?
au plaisir
B.
Aujourd'hui retour dans le cocon conjugal et quel retour , Odile s'y émancipe comme jamais depuis son mariage avec son mari !!!!
Merci Merci ... pour tout ce bien être que vous nous offrez vous fournissez les kleenex également ?
au plaisir
B.