Karim mon beau-père 4 - histoire érotique

J’accueille donc les amis de mon beau père, les prénoms ainsi que leurs âges, je n’ai pas osé demandé. Ce n’est qu’après plusieurs rencontre que j’ai su que Mohammed, Amir et Bachir, tous environ le même âge que mon beau-père Karim.

Ils entrent et font la bise à mon beau père. Ils parlent de tout et de rien et mon beau père me claque des doigts, me signalant de vite me mettre à quatre patte. Pendant une bonne demi-heure, je les écoute parler, des fois en arabe, des fois en français, mon beau-père me fais signe de venir le déchausser lui et ses amis.

- « Bon les gars, les bouffe arrive d’ici une bonne heure, on a le temps de se faire purger par ma pute ».

- « Mon dieu j’y crois pas, t’es toujours fourré dans les bons coups »

- « Oui enfin récemment c’est surtout dans sa chatte que je suis fourré »

Ils rigolent, mon beau père me prends pas la aise, et me fait déambuler dans le salon, comme si j’étais une bête de foire. Je les entends parler, je les vois en train de se toucher la bite.

- « Et du coup tu nous a dit qu’elle aimait les odeurs hein ? »

- « C’est comme ça que j’ai chopé cette salope, elle avait l’habitude de renifler mes caleçons après le sport, j’ai été obligé de la cartonner après cette kahba »

- « C’est des sous hommes, elles ont même pas une once de dignité, même mon clebard il a plus droit au respect que ça »

- « Bah justement, viens faire le clebard »

- « Commence par moi, ça fait déjà deux jours que je pisse et que je transpire dans ce calbut, tu vas bien kiffer, renifle bien sale merde »

Je m’approche à quatre pattes, et lui il se tasse devant moi, je renifle son entrejambe, mais je ne sais rien, il enlève son jogging, et là catastrophe, une odeur plus forte que je ne pouvais l’imaginer, un sentiment de dégoût m’envahi, mais il me prend pas les cheveux et me force à respirer à grand coup de respiration profonde. La température monte d’un cran et ils se foutent tous à poil. Mon beau père inaugure ma bouche.

- « Aller montre à mes potes comment tu suce »

Direct en fond de gorge, mon beau-père me cartonne la bouche, il fait des allers-retours, sans que je n’ai l’envie de vomir, je suis assez fier de moi, je passe d’une bite à l’autre, tout s’enchaîne très très vite…

- « Bien plus chienne que sa mère, avec elle, c’est une fois par mois, et je suis obligé de montrer pas blanche, elle veut la carte quand je veux, comme je veux ! Elle a déjà pris ma pisse mon sperme, elle aime recevoir des coups aussi ! »

- «  Mais non sérieux, à ce point ?! »

- «  Mais bien sûr, aucune limite avec cette truie ! Tiens regarde »

Sans aucune raison, et juste pour montrer qu’il pouvait me faire tout ce qu’il voulait, mon beau père m’a encore une fois maltraité à coup de poing et de pied, tout ça, avec les rires d’encouragement de ses amis.

Pendant 20 minutes, j’alterne entre les bites, un des mecs jouit très rapidement sur mon visage, je sens qu’ils ne vont pas tarder à jouir, ils vont de plus en plus vite et de plus en plus loins.

Mon beau père jouit, puis quelque minutes plus tard c’est les deux dernier qui jouissent quasiment au même moment !

- Mon beau père « recouverte de sperme, telle est ta place, tu vas le garder toute la soirée, jusqu’à ce qu’on mange, et jusqu’à ce que on te fasse le cul ! »

- « Et vu comment tu viens de nous faire jouir, je pense que tu vas passer la soirée à te faire démonter la chatte, t’es pas prête pour la suite. Pauvre pute »

Recouverte de sperme, je les entends à quatre pattes dans le salon, pendant qu’ils fument qu’ils boivent qu’ils rigolent, la bouffe arrive, il mange, pendant que le temps me demande de venir lui bouffer les couilles pour « réchauffer mon repas ». Les autres se prennent au jeux et demandent le même traitement.

- « Tu as vu ma queue comme elle est large, ma meuf elle prend pas la moitié sans chialer, mais toi je vais te la mettre si profonde et tu vas et continuer à encaisser… Je vais me défouler t’as même pas idée », un ami de mon beau père.

- « How tu réponds quoi la truie !! » mon beau père.

- « Pardon, merci à vous, je serai honoré de prendre votre bite »

- «  Tu vas pas être contente vu comment je vais te déshonorer salement » réponds-t-il en me tartant fort la joue.

Ils finissent leur repas tranquillement, pendant que moi j’écoute les ordres, plutôt classique, à vrai dire, j’ai passé le repas à mettre leurs couilles dans la bouche ou alors décrasser les pieds. L’un deux me mets un doigt et rigole en distant à ses potes à quel point je suis serré.

- « Elle est serré ta pute Karim »

- « je sais, je veux pas trop la détendre, j’aime bien la voir chialer de douleur »

- « Alors est-ce que tu m’autorises à la fourrer en premier pour bien qu’elle se torde de douleur ? » demanda l’ami avec la queue bien large.

Je sens que la chaleur monte, et je vois même quelques mains en train de recommencer à se palucher la queue, on retourne dans la salon, le mec a la queue large (Bachir), décalotte directe, et me fait sucer vite fait pour que sa queue durcisse. À peine quelques allers-retours, de longs filets, de bave, la recouvre, il se retire, me fait bien pencher la tête sur le sol et écarter le cul, sans même me prévenir, il essaye de la rentrer, quand il voit que je me crispe de douleur, il fout son pied sur mon visage, et il l’écrase.

- « Putain les gars, vous voulez pas immortaliser ça, Karim, prends des photos et des vidéos, je vais la faire couiner ta kahba »

C’est mon beau-père qui s’occupe de ça, ce qui me laisse quelques secondes de répit, juste assez pour reprendre mon souffle, quant à Bachir, sans aucun ménagement, il me rentre sa queue. Il la rentre d’un seul coup à fond, ses couilles claquent mes fesses, il la retire, il recommence encore pendant une bonne dizaines de fois. À chaque fois, je me tord de douleuret je cri, au grand plaisir de mon baiseur. Il s’arrête, et laisse place à mon beau-père qui me cartonne la chatte sans ménagement et parle en arabe à ses amis.

Je reste comme ça, pendant une bonne heure, ce groupe de mal me fait sucer une queue pour l’étouffer les bruits de celui qui me déglingue, les rôles changent, jusqu’à ce qu’un premier jouisse, un deuxième…

Je reste comme ça, plié de douleur, recouverts de foutre, jusqu’à ce que ils se parlent en arabe, se relève pour m’encercler et commencent à me pisser dessus. Après que mon beau-père m’ait pris dans les cheveux pour me forcer à nettoyer les gouttes de pisse de chacune des bites, ils se sont fait la bise et ils se sont barrés.

« Regarde dans quel état tu es, ton cul, c’est devenu une chatte, je suis sûre que si je te rends un doigt tu peux même plus le sentir tellement t’as été écarté ce soir, t’es recouverts de pisse et de sperme, t’as fait tout ce qu’on te demandait, je suis très fier de toi, maintenant tu vas nettoyer tout ça, tu vas aller te doucher car demain ta mère arrive »

Il est parti se coucher, j’ai nettoyé la maison, le sol, j’ai fini par me doucher, et m’endormir. J’ai compris que j’avais basculé dans cette relation de mon plein gré car j’étais heureux et fier d’avoir satisfait mon beau-père comme il en avait envie.