Karim mon beau père 5 - histoire érotique

Ma mère est censé rentrer en fin de matinée, c’est mon beau-père qui rentre dans ma chambre très tôt le matin, qui enlève la couverture, et qui commence déjà à vouloir me baiser, alors que je suis encore embrumé par la nuit . Je suis sur le ventre, mon beau-père est en train d’essayer de positionner sa queue pour me baiser.

« L’autre conne arrive dans quelques heures, alors tu vas me tirer du jus une dernière fois avant qu’elle arrive. »

Il rentre plutôt facilement, il me demande de bien serrer le cul pour qu’il ait plus de sensations. Il me baise en faisant des des gros allers-retours de marteau-piqueur, ça dure quelques secondes, et il jouit dans mon cul .

« Très bien ma chienne, c’est de mieux en mieux, bon les règles lorsque ta mère est avec nous, elles sont simples, c’est les mêmes qu’avant, tu me parles pas, je te parle pas, parce que tu me dégoûtes encore plus qu’avant. Tant que ta mère est dans les parages, t’as rien à craindre, je prendrai pas le risque qu’elle se doute de quelque chose. Je continuerai à tirer cette pute pour qu’elle se doute de rien, mais dès qu’elle partira, c’est toi que je démonterai pour me soulager vraiment ».

Je répondais simplement d’accord à tout ce qu’il me disait, la matinée passe tranquillement, je m’occupe dans ma chambre et lui et sur le canapé. Il me demande de faire un repas pour nous trois, lorsque ma mère arrive, il se vente de l’avoir fait tout seul.

La semaine qui a suivi, était une semaine banale, les cours pour moi, ma mère au boulot, et mon beau-père, je ne sais où. Elle sort de la semaine, ma mère va se coucher, mon beau-père continue de regarder la télé et moi je l’ai également dans mon lit. Cinq petites minutes après, mon beau-père arrive dans ma chambre, me prends par les cheveux, et me le colle contre son caleçon.

- « J’y arrive plus putain, Ta mère, elle me dégoûte, elle a des seins qui pendent, elle est mal foutu, elle suce mal. J’ai les couilles pleines, tu vas me les vider rapidos »

- « Mais t’es complètement malade, elle est juste à côté »

Il empoigne mes couilles et il sert super fort.

« Allez suce, vide les couilles, je t’ai pas demandé ton avis ».

Je commence à le sucer, je suis allongé sur le lit, sur le ventre, lui est à côté, je le suce comme un malade. Je sens qu’il commence à se pencher vers moi, et à essayer de me rentrer un doigt.

« Tu me rend fou salope, je suis obligé de te tirer la chatte, relève-toi contre le mur, je vais te baiser vite fait ».

J’obéis, et je me relève, je suis contre le mur, penché et cambré le plus possible possible les mains dans le dos, lorsque mon beau-père commence à me ramoner le cul.

«  Wouaw, t’as même plus besoin de lubrifiant, ça rentre comme dans du beurre. Ta chatte elle est formée pour recevoir maintenant. Aller serre bien le cul ».

Pendant au moins 10 minutes, il me baise dans cette position. Il accélère comme un malade, je sens ses mains se crisper au niveau de mes hanches, il me mord le cou, il est en sueur et moi aussi. Mes jambes tremblent, je n’arrive plus à tenir debout. Il se crispe et je sens sa queue grossir en moi. Il se retire, et sa queue fait un bruit en sortant.

« Lèche le sol, ne gâche pas le sperme, et ensuite nettoie ma bite ».

En fait, j’ai l’impression d’être un robot, tout ce que me dit mon beau-père, je le fais. Il me dit de lécher, je lèche, il me dit de serrer le cul, je serre le cul, il me dit de me mettre dans telle position, j’obéis. Je résiste absolument plus du tout. Il retourne au salon, et moi je vais discrètement aux toilettes pour évacuer tout son sperme.

Le lendemain, ma mère est déjà partie au boulot, et mon beau-père est absent. Je m’habille, je me prépare et je je vais en cours en descendant les escaliers de l’immeuble, je croise mon beau-père, revenant de son footing.

« Suis moi »

Il fait marche arrière et descend avec moi. Je me dirige vers la sortie de l’immeuble, mais lui me prend par le bras et m’amène encore encore plus bas dans les caves. On entre dans la nôtre, il me fout direct, à genoux,, Et je comprends ce qu’il veut, donc je m’exécute sans même attendre qu’il me demande quoi que ce soit. Son odeur de mal transpirant c’est la plus belle odeur du monde, c’est vraiment une drogue pour moi. Après avoir nettoyé chaque centimètre carré, je suce rapidement, il jouit directement au fond de ma gorge, et me demande de me barrer tranquille.

Les trois semaines qui ont suivi, il ne m’a pas touché, ma mère prépare ses valises pour un nouveau séminaire sur Paris, cette fois-ci, elle part une semaine. Après l’annonce de ma mère, les deux jours qui ont suivi, mon beau-père n’a pas arrêté de préparer le terrain comme il disait. c’était des menaces ou il disait qu’il allait me baiser à mort, qu’on avait trois semaines à rattraper, et que je serais incapable de marcher de parler après qu’il m’ai utilisé.

Ma mère est enfin partie, mon beau-père est immédiatement venu dans la chambre pour me demander de me préparer comme d’habitude. J’enfile donc une tenue provocatrice, le plug, le maquillage. Arrivée dans le salon, mon beau-père me dit que cette semaine allait être une semaine de formation, durant laquelle j’allais apprendre la soumission mentale.

« Cette semaine, je vais évidemment te baiser, mais ce sera juste un moyen pour moi de me vider les couilles, ce sera purement mécanique, le vrai but de cette semaine, c’est que tu sois encore plus soumis, que tu passes à un stade. Donc tu vas me faire la liste de tout ce que tu ne te sens pas prêt de faire ».

Je fais cette liste, que j’écris sur un papier. Mon beau-père la regarde, rigole et il me dit :

- « Et ben voilà le programme de la semaine, on va faire chaque chose qui est sur cette liste »

- « Bien sur ahaha, et puis quoi encore »

Mon beau-père se lève brutalement, il va récupérer un sac qu’il avait caché dans le coffre du canapé. Il me déchire les collants, le string, m’oblige à mettre un bâillon, il sort un fouet en cuir. La séance de torture qui a suivi a été la première d’une longue série, celle qui a marqué le tournant dans ma soumission. Mon beau-père m’a fouetté si fort et si longtemps, que j’avais le cul tellement rouge, tellement abîmé que j’avais quelques petites traces de sang. j’avais beau hurler et pleurer, mon beau-père n’a pas arrêté pour autant.

« C’est la dernière fois que tu me parles comme ça ta compris ! »

Je suis resté comme ça sur le sol, impossible de bouger pendant au moins une bonne demi-heure. Mon beau-père m’a interdit de bouger. Lorsque j’ai voulu retourner dans ma chambre, il m’a dit que on allait commencer la formation.

« Bouge, pas, sale, pute, on va commencer ta formation, et on va commencer par le haut de la liste »