Kevin, le retour [1]
Récit érotique écrit par CAULBERT [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Kevin, le retour [1]
En cette soirée ensoleillée de printemps, je flânais devant chez moi lorsque j’aperçois Kevin, un copain de mon fils, qui se dirige dans ma direction. Sans doute pour rejoindre le domicile de ses parents situé quelques maisons plus loin.
Kevin a maintenant 18 ou 19 ans puisqu’il est d’âge avec Simon, mon garçon. Je ne l’avais pas revu depuis plusieurs années, lorsqu’il avait intégré un pensionnat vers 15 -16 ans pour faire son lycée. Je l’observe discrètement. Visiblement il est devenu un beau jeune homme après avoir été un garçon au physique anodin. Un mètre quatre vingt environ, épaules carrés, allure sportive, cheveux blonds courts, démarche souple … un vrai félin le Kevin !
Arrivé à ma hauteur, il me salut d’un vague signe de la tête, l’air gêné ou contrarié. Je sais pourquoi et le rassure de suite sur mon humeur à son égard … vers ses 14 – 15 ans je l’avais surpris à la maison, avec mon fils du même âge, à se branler mutuellement. Si en soi la chose ne me posait pas de problème, et me renvoyait à mes propres expériences de garçon, le fait de les prendre sur le fait nécessitait de remettre de l’ordre. Je l’avais mis à la porte gentiment mais fermement en lui disant « Je ne veux plus te voir à la maison avec Simon vu la nature de vos amusements ! ». Il avait pleuré à chaude larmes et je l’avais rassuré « Kevin, ce que je viens de voir restera entre nous. Mais je ne veux pas que cela recommence sous mon toit ». Quelque peu rassuré, il était reparti chez lui et plus personne n’avait jamais évoqué cette histoire. Sauf entre Simon et moi auquel, en bon père de famille, j'avais expliqué ce qui peut se faire aux yeux de tous et ce qui nécessite quelques prudences. J’avais ajouté à cela des éclaircissements sur la sexualité dans leurs différentes pratiques. Je ne voulais surtout pas qu'il se sente mal à l'aise avec cela.
Au final, cet épisode avait été bénéfique pour tous et la séparation des garçons en raison de leur parcours scolaire avait simplifié la chose.
Je détaillé rapidement Kevin d'un regard expert "Dis moi Kevin, tu es devenu un sacré beau jeune homme !". L’intéressé piqua immédiatement un phare. Immédiatement je suis fait la réflexion qu'il prenait ce compliment sous un angle plus sexuel qu'autre-chose. Du coup je poussai l'avantage plus loin en l'invitant à entrer : "Simon n'est plus à la maison comme tu sais sans-doute, mais rien ne t’empêche d’entrer quelques minutes si tu as un peu de temps devant toi. Tu me diras un peu ce que tu deviens et cela te permettra de vérifier que je ne tiens aucune rigueur du passé". A ce stade, le Kevin était comme une tomate, je le sentais complément déboussolé. Je reprenais : "Je ne t'en tiens absolument pas rigueur, bien au contraire". Et joignant le geste à la parole, je poussais gentiment Kevin dans la maison où il entra sans difficulté.
Je sentais que ce qui retenait Kevin était cette histoire de "branlette entre garçons" avec mon fils, quelques années auparavant. Aussi, je décidais de le mettre à l'aise : "Tu sais Kevin, le passé est le passé et ce que je ne pouvais pas laisser passer sans rien dire à l'époque n'avait pas d'importance. Aujourd'hui tu es majeur, cela ne pose plus aucun problème que cela se reproduise sous mon toit". Faisant une pause, j'en profitais pour lui passer le bras autour de la taille avec une douceur très sexuée. Je le sentais hésitais lorsque je portais l'estocade "Je dirais même que je serai très heureux que cela se reproduise ... si tu en es d'accord bien sur."
Insensiblement, Kevin avait ralenti son déplacement, ce qui accentuait la pression de mon bras autour de sa taille. Du pied, je refermais la porte d'entrée et faisait pivoter ce beau garçon d'un quart de tour pour déposer un tendre baiser sur ses lèvres.
Kevin a maintenant 18 ou 19 ans puisqu’il est d’âge avec Simon, mon garçon. Je ne l’avais pas revu depuis plusieurs années, lorsqu’il avait intégré un pensionnat vers 15 -16 ans pour faire son lycée. Je l’observe discrètement. Visiblement il est devenu un beau jeune homme après avoir été un garçon au physique anodin. Un mètre quatre vingt environ, épaules carrés, allure sportive, cheveux blonds courts, démarche souple … un vrai félin le Kevin !
Arrivé à ma hauteur, il me salut d’un vague signe de la tête, l’air gêné ou contrarié. Je sais pourquoi et le rassure de suite sur mon humeur à son égard … vers ses 14 – 15 ans je l’avais surpris à la maison, avec mon fils du même âge, à se branler mutuellement. Si en soi la chose ne me posait pas de problème, et me renvoyait à mes propres expériences de garçon, le fait de les prendre sur le fait nécessitait de remettre de l’ordre. Je l’avais mis à la porte gentiment mais fermement en lui disant « Je ne veux plus te voir à la maison avec Simon vu la nature de vos amusements ! ». Il avait pleuré à chaude larmes et je l’avais rassuré « Kevin, ce que je viens de voir restera entre nous. Mais je ne veux pas que cela recommence sous mon toit ». Quelque peu rassuré, il était reparti chez lui et plus personne n’avait jamais évoqué cette histoire. Sauf entre Simon et moi auquel, en bon père de famille, j'avais expliqué ce qui peut se faire aux yeux de tous et ce qui nécessite quelques prudences. J’avais ajouté à cela des éclaircissements sur la sexualité dans leurs différentes pratiques. Je ne voulais surtout pas qu'il se sente mal à l'aise avec cela.
Au final, cet épisode avait été bénéfique pour tous et la séparation des garçons en raison de leur parcours scolaire avait simplifié la chose.
Je détaillé rapidement Kevin d'un regard expert "Dis moi Kevin, tu es devenu un sacré beau jeune homme !". L’intéressé piqua immédiatement un phare. Immédiatement je suis fait la réflexion qu'il prenait ce compliment sous un angle plus sexuel qu'autre-chose. Du coup je poussai l'avantage plus loin en l'invitant à entrer : "Simon n'est plus à la maison comme tu sais sans-doute, mais rien ne t’empêche d’entrer quelques minutes si tu as un peu de temps devant toi. Tu me diras un peu ce que tu deviens et cela te permettra de vérifier que je ne tiens aucune rigueur du passé". A ce stade, le Kevin était comme une tomate, je le sentais complément déboussolé. Je reprenais : "Je ne t'en tiens absolument pas rigueur, bien au contraire". Et joignant le geste à la parole, je poussais gentiment Kevin dans la maison où il entra sans difficulté.
Je sentais que ce qui retenait Kevin était cette histoire de "branlette entre garçons" avec mon fils, quelques années auparavant. Aussi, je décidais de le mettre à l'aise : "Tu sais Kevin, le passé est le passé et ce que je ne pouvais pas laisser passer sans rien dire à l'époque n'avait pas d'importance. Aujourd'hui tu es majeur, cela ne pose plus aucun problème que cela se reproduise sous mon toit". Faisant une pause, j'en profitais pour lui passer le bras autour de la taille avec une douceur très sexuée. Je le sentais hésitais lorsque je portais l'estocade "Je dirais même que je serai très heureux que cela se reproduise ... si tu en es d'accord bien sur."
Insensiblement, Kevin avait ralenti son déplacement, ce qui accentuait la pression de mon bras autour de sa taille. Du pied, je refermais la porte d'entrée et faisait pivoter ce beau garçon d'un quart de tour pour déposer un tendre baiser sur ses lèvres.
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