KEVIN réveille en moi le souvenir de M. Léon [2]

- Par l'auteur HDS CAULBERT -
Récit érotique écrit par CAULBERT [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : KEVIN réveille en moi le souvenir de M. Léon [2] Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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KEVIN réveille en moi le souvenir de M. Léon [2]
Kevin piquait à nouveau un phare sous l'effet de mes lèvres sur les siennes. Je pense qu'il n'a pas été surpris de mon initiative, voire qu'il la souhaitait tout en la redoutant.

Sans vraiment se dérober, il avait légèrement reculé la tête, éloignant ses lèvres pulpeuses sensiblement. Son visage exprimait à la fois l’excitation, le désir et la crainte : " ...mais vous êtes marié ! si votre femme revient ?". Intérieurement je jubilais ! Mon ressenti était juste, ce jeune homme n'était pas effarouché par mes assauts mais plutôt par le paraitre ! Aussi je m'employais à le rassurer : " Kevin, je suis marié et ma femme ne serai pas surprise de nous voir ainsi. Ne craint rien à ce sujet !". J'enchainais mon propos en précisant " Tu es le bienvenu ici. Réfléchit de savoir si cela te correspond. Si tel est bien le cas, je te raconterai comment nous fonctionnons ma femme et moi en matière de sexe. Dans tous les cas, je compte sur ta discrétion". Un timide "oui monsieur" fit écho à mon injonction avant que Kevin quitte la maison.

En effet, aujourd'hui âgé d'une quarantaine d'année, ma femme et moi menons une vie sexuelle bien remplie faite de relations conjugales mais aussi extra-conjugales et bisexuelles. Pour elle comme pour moi. Nous nous étions reconnus ce goût partagé pour la diversité quelques années après notre mariage. Au lieu de nous éloigner l'un de l'autre, notre franchise mutuelle sur nos pratiques et nos conquêtes, ainsi que l'établissement d'un code de bonne conduite avaient renforcés notre union.

Sylvie, ma femme, avait eu un parcours initiatique assez similaire au mien. Elle avait été déflorée par un homme d'âge mur, puis avait été follement amoureuse d'une femme mature avec laquelle elle avait connu les premiers plaisirs saphiques tout en suçant la queue des étudiants de son campus. Le tout sans oublier quelques lècheries entre " jeunes filles dévergondées" !

Pour ma part, j'avais été déniaisé par Simone, une belle cougar de 45 ans. A l'occasion d'une de nos séances intimes, elle m'avait titillé la rondelle d'une langue suave avant de me passer un doigt expert dans le cul. Un acte qui m'avait fait découvrir le plaisir anal et comprendre qu'il m'apportait des satisfactions égales si ce n'est supérieures aux plaisirs vaginaux. Lorsque je m'en étais ouvert à elle, elle avait éclaté de rire "Hé bien c'est que tu baises autant de la queue que du cul. Tu es chanceux car tu prendras ton pieds dans toutes les circonstances". Elle avait enchainé en m'expliquant qu'elle appréciait de baiser sous toutes ses formes, autant avec des jeunes hommes que des jeunes filles. Elle avait conclu, "d'ailleurs, si tu en est d'accord, je te ferai découvrir le plaisir à trois et à quatre si tu acceptes indifféremment les mecs et les nanas". Sur le moment je n'avais rien répondu, un peu interloqué par ces nouveaux territoires de jeux érotiques et sexuels à découvrir.

A l'époque du lycée, j'étais bon élève, studieux, poli et bien propre sur moi, j'étais un élève "lisse" en apparence. Je ne voulais surtout pas que mes condisciples et professeurs s'aperçoivent que c'était souvent la "fête du slip " dans ma petite tête !
La découverte du potentiel de plaisir offert par un doigt dans le cul m'avait ouvert de nouveaux horizons. Aussi, lorsque revenant de façon impromptu dans la salle de cours au campus et que je surprenais le mouvement de recul d'un étudiant et d'un prof, ainsi que leur attitude gênée, je m'étais rapidement fait la réflexion que ce qui les avait se rapprocher autant l'un de l'autre devait être plus sexuel qu'autre chose ! J'avais récupéré prestement mon cahier oublié en salle et je m'était éclipsé comme si rien ne m'avait interpellé. Cela déclencha en moi l'envie de draguer un homme adulte pour passer à l'acte. Je jetais mon dévolu sur un de mes anciens prof de français. Il présentait bien, avait la cinquantaine bien tassée, une belle allure d'homme viril, une expression orale douce et assurée, un regard empathique, souriant, et surtout une belle peau que je devinais douce et bien entretenue. Je supposais que le plaisir annal que m'avait fait découvrir découvrir le doigt expert de Simone pouvait potentiellement trouver à s'exprimer dans un corps à corps avec cet homme !

A partir de ce moment, je m'employais à "allumer" les sens de ce type en m'efforçant de croiser sa route. Chose facile dans la mesure ou je connaissais son domicile pas très éloigné de chez mes parents chez lesquels je logeais encore malgré mes 18 ans. Ce monsieur, malgré mes efforts paraissait insensible à mes charmes. J'en étais quitte de me contenter de rêveries érotiques à son endroit qui me menaient dans ses bras, où sa langue fouillait la mienne, où sa salive humidifiait ma rondelle. Je n’imaginais pas encore sa verge mais cela n'aurait su tarder !

Ma quête, longtemps vaine, trouva cependant le succès quelques mois après alors que je croisais son chemin à l'occasion d'une promenade avec mes parents. C'est lui qui pris l'initiative de nous saluer. Inutile de dire que je n'en menais pas large ! Mais mes craintes étaient infondées. Après m'avoir dit bonjour jovialement, il s'est présenté à mes parents comme étant mon ancien professeur de français au lycée, très satisfait de m'avoir eu comme élève. Il s'était ensuite enquit de l'évolution de mon cursus universitaire. Ma mère, toujours inquiète de mon avenir, n'avait pu s’empêcher d'affirmer que tout se passait bien mais qu'elle avait quelque inquiétudes pour le français dans la mesure où mon expression écrite n'était pas des plus performantes à son sens. Monsieur Léon, le professeur, s'était alors tourné à moitié vers moi en disant " qu'à cela ne tienne, il n'aura qu'à passer me voir pour travailler ses quelques points faibles. Il n'y a pas de lacune irrémédiable chez ce jeune homme ! et nous aurons ainsi tout loisir d'approfondir des sujets restés en suspend lors de sa seconde ... ". Une conclusion sibylline, chargée d'un double sens qui a de suite éveillé ma curiosité !

Sur l'invitation de ma mère, je donnais mon accord pour un soutien particulier. M. Léon me communiqua son adresse, ignorant ou feignant d'ignorer que je la connaissait déjà, ainsi que les jours et heures de ses leçons particulières.

Le jour et à l'heure dite je me présentais chez M. Léon. Celui-ci ouvrit la porte après quelques longues minutes d'attentes. Surpris, je constatais qu'il était pieds nus, vêtu d'un marcel bleu foncé et d'un pantalon de survêtement. "Entre, ferme la porte et suis moi". Le ton était doux, ferme mais sans réplique. Il était l'autorité même que j'appréciais chez ce type. Il enchainait " alors petite gouape, tu es arrivé à tes fins ?" Je bégayais "Heu, je ne comprends pas ...". Une main ferme se posa sur mon épaule et, me regardant droit dans les yeux "pendant plusieurs mois tu t'es employé à m'allumer par tous les moyens. Fort intelligemment afin que personne ne s'en aperçoive, mais tu m'as mis dans de sacrés états. Dorénavant, puisque tu es là, on va aller au bout de la démarche que tu as lancé : tu vas apprendre à faire l'amour avec un homme, tu vas être satisfait. Tu vas suivre scrupuleusement mes conseils ". J'étais loin des tendres câlins que je rêvais de faire dans ses bras. Mais peut-être cela arriverait-il le moment venu.

Après s'être allongé dans un canapé, M. Léon m'avait invité à le rejoindre. Je constatais alors une belle bosse à son pantalon de survêtement. Je m'allongeais à ses côtés et me serrais contre son corps. Très vite ses lèvres s'étaient emparées des miennes en un contact suave, électrisant et très envahissant. Sa langue large, bien humide, prenait possession de ma bouche, s'enroulait autour de mienne. L'érection qui me titillait depuis mon arrivée devenait brutalement insoutenable. De la main, je tentais de desserrer l'étau de mon slip. M. Léon s'en aperçu "Tu sais, je ne suis pas fleur bleue, ce que j'aime c'est le sexe, pas les amourette. Enlève ton futal et met toi nu". Je m'exécutais prestement et revenais me blottir dans ses bras. Puisqu'il aimait le sexe, je m'enhardissais à glisser une main sous son marcel pour titiller une des pointes de ses seins. Constant sa satisfaction, je glissais alors une main vers sa queue. La découverte de sa verge constituait pour moi une nouvelle source d’excitation. Sous mes doigts je sentais une bite de belle taille, sans doute un peu plus épaisse que la mienne et surtout d'une douceur très sensuelle. Timidement j'osais une caresse le long du tube de chair. J'enserrais le gland d'une main délicate et manœuvrais mon poignet pour une branlette tout en lenteur. Pendant ce temps la main de M. Léon se promenait sur mon torse, glissait vers mes fesses en une douce caresse. Brusquement la large main de M. Léon empoignait mes couilles pour les enserrer. Sans prononcer un mot, son visage se dirigeait vers ma bite pour l'engloutir d'une bouche gourmande et baveuse.La manœuvre m'avait surpris d’autant plus qu'il avalait ma bite et mes couilles. Pas particulièrement membré avec une bite de 14 cm, je restais cependant surpris, autant par le fait que cela soit possible, que par la sensation toute nouvelle que cela me procura. M. Léon était alors resté quelques instants sans bouger. Il avait réglé sa respiration puis avait procédé à de petites sucions qui m'avaient rapidement mis dans tous mes états.

Satisfait de son résultat, M. Léon m'ordonnais "ne t'emballe pas, garde ton jus, tu en auras besoin tout à l'heure. Le secret est de jouir le plus tard possible". Facile à dire quand vous avez tous les sens sans dessus-dessous ! Avec agilité, M. Léon s'était mis debout, avait enlevé son pantalon de survêtent et son marcel en un seul mouvement. Il était maintenant complétement nu devant moi, sa queue à quelques centimètres de ma bouche "Avale ça gars, Commence par bien me lécher les couilles. Mets les dans la bouches ...". Je m'exécute, j'étouffais à moitié ... "Tu en as voulu, tu vas en avoir !" M. Léon se comportaite comme s'il voulait me faire payer les mois d’excitation que je lui ai visiblement fait vivre en l'allumant à chaque occasion !.
Après quelques minutes à lui bouffer les couilles, M. Léon avait pris doucement mon visage entre ses mains, et s'était penché pour me rouler une nouvelle langue bien profonde. "Tu avais déjà connu cela avant ? " à la suite de ma réponse négative, il enchainait "puisque tu es là pour combler tes lacunes, nous allons nous y employer. Je vais t’apprendre à faire l'amour avec un mâle. La seule chose que je te demande est de ne pas faire ta gonzesse, je n'aime pas les efféminés. Lorsque le moment venu, je te la mettrais, tu n'as pas intérêt à pleurer. Même en te préparant bien, tu la sentira passer. Avec moi, tu seras un gars qui fait l'amour avec un autre homme, pas un mec qui fait la gonzesse. Compris ?". J'opinais de la tête. "Parfais, commence ta première pipe et avale tout le moment venu !". Je sursautais " votre jus aussi ?" je n'avais pas pu m’empêcher d'être surpris ... je n'avais pas envisagé tout cela ! M. Léon ne répondit pas à ma dernière question. Avec douceur mais fermeté, il poussait mon visage vers sa bite. J'avalais le gland en procédant à une caresse buccale timide mais de plus en plus profonde. M. Léon guidait ma fellation par des conseils d'une voix douce. Petit à petit ses mains amenaient ma tête plus profondément sur sa verge. Quand j’étouffais, il me laissait reprendre ma respiration, m'invitant à respirer par le nez. Au fil des minutes, je trouvais le bon rythme. De même, sa toison se rapprochait de plus en plus souvent de ma bouche sans que je m'étrangle, même si sa bite me faisait mal dans la gorge où elle avait quelques difficultés à trouver sa place.

Si l'exercice n'était pas désagréable au final, j'aimais bien le gout de cette verge et du liquide séminal qui s'en échappait. Pourtant je commençais à trouver le temps long. Combien dura cette fellation, aucune idée ! toujours est-il qu'à un moment donné des contractions saccadées de la bite de M. Léon dans ma bouche m'avaient faite comprendre qu'il allait jouir. Instinctivement, je tentais de retirer ce tube de chair qui envahissait ma bouche. Les mains douces et fermes de M. Léon m'en empêchèrent "tu as voulu connaitre ce plaisir, tu vas le connaitre". Ces propos sont immédiatement suivis d'un flot de sperme dans la gorge. Je toussais, je crachais mais très vite M. Léon me redressait et m'embrassait goulument, m’empêchant de rejeter son foutre. Sa langue s’emparait goulument de sa jouissance, libérant d'autant ma bouche de ce liquide encombrant. Le gout très salé m'avait surpris, ainsi que la forte odeur qui caractérise le sperme de bonne qualité. Petit à petit je retrouvais une respiration apaisée alors que M. Léon nettoyait le pourtour de ma bouche ainsi que mes lèvres des traces de son foutre.

"Voila pour ta première leçon. Tu es un bon apprenant ! te voilà maintenant dépucelé de la gorge. Dans les heures qui viennent, évite de roter en public, cela risque de sentir le sperme ... Pour ta prochaine leçon, on traitera d'un autre aspect de la sexualité entre hommes. D'ici là évite de t’exciter et de te branler. Je ne t'ai pas laissé jouir pour que tu apprennes à te contrôler. Aussi, à ta prochaine leçon, tu as intérêt à avoir les couilles pleines. Et ne vient pas me dire que tu as eu une émission nocturne !". Tout en disant cela, il avait pris un de mes tétons entre ses doigts, l'avait titillé en en le pinçant ferment tout en déclarant "il va falloir les travailler sérieusement ceux-là"
Puis, d'une claque sur mes fesses, il avait conclu "allez, rhabilles-toi et file. On se revoit à notre prochaine séance. Évite de mettre un slip la prochaine fois".

Après un dernier baiser langoureux, aux effluves évidentes de sperme, je retournais chez moi.

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