L'abandon d'une femme amoureuse pour un jeune collègue devant son mari 3
Récit érotique écrit par Arsenne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L'abandon d'une femme amoureuse pour un jeune collègue devant son mari 3
Alors l’homme s’enhardit. De sa main qui tient ma femme dans son bras droit, il caresse la joue, descend sur le cou qu’il entoure dans une caresse lente et légère. La main glisse lentement sous le menton, descend vers l’échancrure du chemisier, caresse le cou là où la peau et si douce et sensible, remonte et quand elle redescend elle plonge un peu plus profondément pour atteindre le premier bouton du chemisier qu'il défait en tremblant. Il s’arrête un moment comme pour craindre une réaction qui ne vient pas. Ses lèvres sont tout près de celle de sa proie. Chantal, les yeux fermés, la tête en arrière offre son cou aux caresses de son collègue. Elle semble dormir et se laisse caresser devant moi. Elle a pourtant senti cette main qui défaisait le bouton du chemisier. La main comme libre de toute contrainte descends plus bas et c'est le second bouton qui cède. Je l’entends qui respire doucement, calmement goûtant ce moment présent.
Chantal à cet instant ouvre les yeux, elle me regarde. Je sens un frisson parcourir ma colonne vertébrale : son regard signifie qu’elle se donne à cet autre et qu’elle l’aime. Ma queue me fait mal dans mon pantalon. Je souffre et je jouis. Quand elle referme ses yeux, je comprends en cette minute que je n’existe plus. Lentement elle se tourne vers son jeune amoureux.
L’homme avance alors son autre main plus libre et plus mobile par devant, elle peut doucement se glisser sous le fin tissu pour recouvrir et caresser le sein gauche sur le soutien gorge. Elle écarte le chemisier dévoilant le soutien gorge blanc gonflé des deux seins convoités. Chantal ne bouge toujours pas, comme endormie, elle s'abandonne, les yeux clos. Son soupirant est tout rouge, sa main remonte sur la poitrine et caresse les deux seins au dessus du tissu blanc. Ne pas aller trop vite. C’est sa main au bout du bras, celle qui soutient la tête, qui se met à descendre et se glisser sous le tissu pour s’avancer et chercher à atteindre la pointe du sein. Elle marque un temps d’arrêt comme pour mieux profiter du moment présent et de ce qu’il lui fait espérer. La main passe sous le sein pour le flatter, le faire danser. L’homme est expert. Puis entre le pouce et l’index, on le devine sans le voir, elle se saisit du mamelon pour le faire rouler doucement, l’exciter et le faire jaillir comme preuve de l’excitation de la femme. Chantal est très sensible de la pointe des seins et de les effleurer simplement les font saillir instantanément. De sa main qui fait face il défait les deux derniers remparts du chemisier, le dégage de la ceinture de la jupe et en écarte les deux pans exposant cette fois le corps jusqu’au nombril. L’homme qui caresse toujours le sein droit explore. Ses yeux passent d’un sein à l’autre, descendent sur le ventre nu remonte regarde le soutien gorge, le cou et le visage endormi de cette femme qu’il a tant désiré. Il ne veut pas rompre le charme alors il va lentement, calmement. Il est sûr de lui, convaincu qu’il a conquis celle qu’il aime depuis si longtemps en silence.
De la main qui caresse les seins il écarte le tissus du soutien gorge pour dégager le mamelon qui jaillit soudain à la lumière. Je regarde, je suis au bord de la jouissance, sans même me toucher. L’homme aussi regarde, contemple ce sein qu’il tient entièrement dans sa main. La pointe dressée est pincée sans force entre les deux doigts. Elle écarte davantage le tissus dévoilant le sein entièrement dégagé de son support. La main s’écarte, le sein est nu tout nu, soulevé par le bord du tissus. Blanc à la peau lisse et brillante il éclate à la lumière. Le mamelon est couleur caramel avec une pointe plus sombre bien saillante. Il est parfaitement dessiné d’un cercle parfait. Excité il se dresse fièrement à nos regards.
La main gauche quitte les seins pour s'emparer du bord de la jupe qu’elle commence à remonter lentement. Chantal soulève son bassin pour aider à la manœuvre. Elle coopère ! Les cuisses apparaissent dans des bas noirs qui tiennent seuls. La jupe est relevée au dessus du petit slip également noir. Les fesses sont dégagées et reposent maintenant à même le cuir du salon. L'homme commence à caresser les cuisses lentement sur le dessus d'abord puis dans l'intérieur où elle vient flirter avec l’élastique de la culotte qu'elle écarte pour exposer un peu des poils du pubis. L'homme regarde ce qu'il découvre. Un doigt passe maintenant sous le fin tissu et s'engage au milieu du pubis. Chantal gémit sous la caresse, sa respiration s'accélère et son plaisir se lit sur son visage alors que ses yeux sont toujours clos. Ses jambes s'ouvrent à peine pour inviter la caresse à s'avancer plus avant. Une de ses mains se saisit de la main de l'homme pour l'inviter à appuyer sa pression et à aller plus loin. L'homme approche sa tête et dépose un petit baiser sur la joue de Chantal puis il s'empare de ses lèvres qu'il embrasse d'abord doucement en les caressant de ses propres lèvres, Chantal entrouvre la bouche laissant apparaître leur partie humide. Elle passe alors sa main droite derrière le cou de son amant l’attire et lui rend le baiser. D'où je suis je vois leurs langues qui se mêlent alors que leurs respirations s'accélèrent. La main est revenue à la poitrine qu'elle caresse maintenant plus violemment. Les deux amants sont seuls, je n'existe plus, simple témoin qui voit sa femme devant lui, ouverte abandonnée et se donnant du plaisir avec un amoureux qu'elle aime. Je suis fou! Les doigts s'insinuent maintenant sous le tissu du slip pour pouvoir caresser le sexe à même la peau. Les langues se fouillent encore plus. Soudain je vois la main droite de Chantal descendre vers le sexe de l'homme et commencer à caresser la grosse bosse qu'il fait sur le pantalon. Elle est complètement décomplexée. Je ne reconnais plus ma petite femme si douce. L'ambiance devient encore plus chaude. J'ai sorti mon sexe et sans vergogne je me caresse devant ce spectacle. Je sais que Chantal ne baise pas mais qu'elle fait l'amour. Fait l’amour à cet homme pour qui elle s'est découverte un sentiment. Elle est séduite. Elle l'aime plus que moi dans cet instant et ma souffrance me fait bander. C'est ma jalousie mêlée au sexe qui me rend fou d'excitation.
Chantal se laisse aller sur le dossier du fauteuil, s’abandonnant aux caresses de son amant. Elle est nue jusqu’à la taille, ses seins en pleine lumière. La jupe remontée fait comme une ceinture à la taille, ses jambes s’écartent contre les accoudoirs pour exhiber son ventre. Sa culotte écartée ne cache plus grand chose maintenant de son pubis et ses lèvres brûlantes brillent des sécrétions de son plaisir. Car maintenant l’homme a fait pénétrer un doigt dans l’intimité de sa conquête et la branle violemment. Plus de tendresse dans son geste mais un va et vient rapide et brutal destiné à donner du plaisir. Du plaisir Chantal en montre, elle respire bruyamment, la bouche ouverte et les yeux fermés. Un clapotis de liqueur de son sexe se fait entendre. Un second doigt est introduit qui provoque chez Chantal un sursaut. Il la branle de plus en plus fort et ses doigts ressortent tout humides du ventre ouvert en faisant un bruit de gargouillis très excitant. D’où je suis je vois bien la main qui fonce vers le sexe ouvert pour s’arrêter et ressortir de plus belle avant de recommencer son geste obscène. En même temps il lui suce la pointe du seins le plus près de lui. Il s’arrête un moment pour enlever complètement le slip et elle qui se laisse faire et même encourage son complice. Alors l’homme se lève, contemple le corps exposé et lentement défait sa ceinture baisse son pantalon et son slip. Sa bite énorme apparaît toute raide et humide. Il bande très dur. J’ai peur car à ce moment je veux qu’il baise ma femme, qu’il la saute comme la véritable salope que j’ai toujours voulu qu‘elle soit. Se laissera-t-elle aller ? Se laissera-elle pénétrer par ce sexe dressé devant elle ?
Soudain elle ouvre les yeux. Son regard se pose sur la colonne de chair devant elle. Elle fixe le sexe, étonnée puis elle referme les yeux comme pour signifier son accord. Je suis obligé de respirer et me concentrer pour ne pas éjaculer à ce moment là. Mais l’homme fait un pas en avant. Son sexe est tout proche du visage de Chantal. Elle ne bouge pas, alors l’homme prend sa queue dans sa main, fait quelques mouvements de va et vient, décalotte complètement son gland et le passe lentement sur la joue de Chantal. Il s’approche des lèvres qui restent fermées. Il les caresse revient sur les joues qui se couvrent de sécrétion. Alors la tête se tourne lentement vers le gland, les lèvres s’entrouvrent, l’homme présente son sexe et la bouche s’ouvre largement pour happer le gland en entier. Elle avale lentement une grande partie de la colonne de chair qui pénètre, pénètre. Il me semble que cette bouche va avaler la bite en entier. Soudain, elle arrête sa progression comme en butée au fond des tripes de ma femme. Un temps d’arrêt et vite elle ressort pour à nouveau pénétrer. Chantal est en train de sucer la bite de son amant. Elle y met tout son cœur, laissant sa langue parcourir, englober, sucer le gland et la tige. De sa main elle se saisit des couilles suspendues devant elle pour les caresser et ajouter au plaisir de son collègue. Je la vois même glisser sa main entre les fesses et caresser le cul de son amant. Elle prend vraiment du plaisir à sucer cette bite et la faire jouir. Elle y met tout son cœur ! Attirant de ses mains le ventre de son amant, elle l’invite à lui baiser la bouche encore plus profond, encore plus loin. Mais ce n’est pas dans sa bouche qu’il veut jouir, aussi il se retire, balade sa bite sur les seins, le ventre, le visage. Ils s’aiment ces deux là. Sans moi. Je sais qu’il va la baiser. Je sais qu’elle va se donner, qu’il va la prendre.
(à suivre)
Chantal à cet instant ouvre les yeux, elle me regarde. Je sens un frisson parcourir ma colonne vertébrale : son regard signifie qu’elle se donne à cet autre et qu’elle l’aime. Ma queue me fait mal dans mon pantalon. Je souffre et je jouis. Quand elle referme ses yeux, je comprends en cette minute que je n’existe plus. Lentement elle se tourne vers son jeune amoureux.
L’homme avance alors son autre main plus libre et plus mobile par devant, elle peut doucement se glisser sous le fin tissu pour recouvrir et caresser le sein gauche sur le soutien gorge. Elle écarte le chemisier dévoilant le soutien gorge blanc gonflé des deux seins convoités. Chantal ne bouge toujours pas, comme endormie, elle s'abandonne, les yeux clos. Son soupirant est tout rouge, sa main remonte sur la poitrine et caresse les deux seins au dessus du tissu blanc. Ne pas aller trop vite. C’est sa main au bout du bras, celle qui soutient la tête, qui se met à descendre et se glisser sous le tissu pour s’avancer et chercher à atteindre la pointe du sein. Elle marque un temps d’arrêt comme pour mieux profiter du moment présent et de ce qu’il lui fait espérer. La main passe sous le sein pour le flatter, le faire danser. L’homme est expert. Puis entre le pouce et l’index, on le devine sans le voir, elle se saisit du mamelon pour le faire rouler doucement, l’exciter et le faire jaillir comme preuve de l’excitation de la femme. Chantal est très sensible de la pointe des seins et de les effleurer simplement les font saillir instantanément. De sa main qui fait face il défait les deux derniers remparts du chemisier, le dégage de la ceinture de la jupe et en écarte les deux pans exposant cette fois le corps jusqu’au nombril. L’homme qui caresse toujours le sein droit explore. Ses yeux passent d’un sein à l’autre, descendent sur le ventre nu remonte regarde le soutien gorge, le cou et le visage endormi de cette femme qu’il a tant désiré. Il ne veut pas rompre le charme alors il va lentement, calmement. Il est sûr de lui, convaincu qu’il a conquis celle qu’il aime depuis si longtemps en silence.
De la main qui caresse les seins il écarte le tissus du soutien gorge pour dégager le mamelon qui jaillit soudain à la lumière. Je regarde, je suis au bord de la jouissance, sans même me toucher. L’homme aussi regarde, contemple ce sein qu’il tient entièrement dans sa main. La pointe dressée est pincée sans force entre les deux doigts. Elle écarte davantage le tissus dévoilant le sein entièrement dégagé de son support. La main s’écarte, le sein est nu tout nu, soulevé par le bord du tissus. Blanc à la peau lisse et brillante il éclate à la lumière. Le mamelon est couleur caramel avec une pointe plus sombre bien saillante. Il est parfaitement dessiné d’un cercle parfait. Excité il se dresse fièrement à nos regards.
La main gauche quitte les seins pour s'emparer du bord de la jupe qu’elle commence à remonter lentement. Chantal soulève son bassin pour aider à la manœuvre. Elle coopère ! Les cuisses apparaissent dans des bas noirs qui tiennent seuls. La jupe est relevée au dessus du petit slip également noir. Les fesses sont dégagées et reposent maintenant à même le cuir du salon. L'homme commence à caresser les cuisses lentement sur le dessus d'abord puis dans l'intérieur où elle vient flirter avec l’élastique de la culotte qu'elle écarte pour exposer un peu des poils du pubis. L'homme regarde ce qu'il découvre. Un doigt passe maintenant sous le fin tissu et s'engage au milieu du pubis. Chantal gémit sous la caresse, sa respiration s'accélère et son plaisir se lit sur son visage alors que ses yeux sont toujours clos. Ses jambes s'ouvrent à peine pour inviter la caresse à s'avancer plus avant. Une de ses mains se saisit de la main de l'homme pour l'inviter à appuyer sa pression et à aller plus loin. L'homme approche sa tête et dépose un petit baiser sur la joue de Chantal puis il s'empare de ses lèvres qu'il embrasse d'abord doucement en les caressant de ses propres lèvres, Chantal entrouvre la bouche laissant apparaître leur partie humide. Elle passe alors sa main droite derrière le cou de son amant l’attire et lui rend le baiser. D'où je suis je vois leurs langues qui se mêlent alors que leurs respirations s'accélèrent. La main est revenue à la poitrine qu'elle caresse maintenant plus violemment. Les deux amants sont seuls, je n'existe plus, simple témoin qui voit sa femme devant lui, ouverte abandonnée et se donnant du plaisir avec un amoureux qu'elle aime. Je suis fou! Les doigts s'insinuent maintenant sous le tissu du slip pour pouvoir caresser le sexe à même la peau. Les langues se fouillent encore plus. Soudain je vois la main droite de Chantal descendre vers le sexe de l'homme et commencer à caresser la grosse bosse qu'il fait sur le pantalon. Elle est complètement décomplexée. Je ne reconnais plus ma petite femme si douce. L'ambiance devient encore plus chaude. J'ai sorti mon sexe et sans vergogne je me caresse devant ce spectacle. Je sais que Chantal ne baise pas mais qu'elle fait l'amour. Fait l’amour à cet homme pour qui elle s'est découverte un sentiment. Elle est séduite. Elle l'aime plus que moi dans cet instant et ma souffrance me fait bander. C'est ma jalousie mêlée au sexe qui me rend fou d'excitation.
Chantal se laisse aller sur le dossier du fauteuil, s’abandonnant aux caresses de son amant. Elle est nue jusqu’à la taille, ses seins en pleine lumière. La jupe remontée fait comme une ceinture à la taille, ses jambes s’écartent contre les accoudoirs pour exhiber son ventre. Sa culotte écartée ne cache plus grand chose maintenant de son pubis et ses lèvres brûlantes brillent des sécrétions de son plaisir. Car maintenant l’homme a fait pénétrer un doigt dans l’intimité de sa conquête et la branle violemment. Plus de tendresse dans son geste mais un va et vient rapide et brutal destiné à donner du plaisir. Du plaisir Chantal en montre, elle respire bruyamment, la bouche ouverte et les yeux fermés. Un clapotis de liqueur de son sexe se fait entendre. Un second doigt est introduit qui provoque chez Chantal un sursaut. Il la branle de plus en plus fort et ses doigts ressortent tout humides du ventre ouvert en faisant un bruit de gargouillis très excitant. D’où je suis je vois bien la main qui fonce vers le sexe ouvert pour s’arrêter et ressortir de plus belle avant de recommencer son geste obscène. En même temps il lui suce la pointe du seins le plus près de lui. Il s’arrête un moment pour enlever complètement le slip et elle qui se laisse faire et même encourage son complice. Alors l’homme se lève, contemple le corps exposé et lentement défait sa ceinture baisse son pantalon et son slip. Sa bite énorme apparaît toute raide et humide. Il bande très dur. J’ai peur car à ce moment je veux qu’il baise ma femme, qu’il la saute comme la véritable salope que j’ai toujours voulu qu‘elle soit. Se laissera-t-elle aller ? Se laissera-elle pénétrer par ce sexe dressé devant elle ?
Soudain elle ouvre les yeux. Son regard se pose sur la colonne de chair devant elle. Elle fixe le sexe, étonnée puis elle referme les yeux comme pour signifier son accord. Je suis obligé de respirer et me concentrer pour ne pas éjaculer à ce moment là. Mais l’homme fait un pas en avant. Son sexe est tout proche du visage de Chantal. Elle ne bouge pas, alors l’homme prend sa queue dans sa main, fait quelques mouvements de va et vient, décalotte complètement son gland et le passe lentement sur la joue de Chantal. Il s’approche des lèvres qui restent fermées. Il les caresse revient sur les joues qui se couvrent de sécrétion. Alors la tête se tourne lentement vers le gland, les lèvres s’entrouvrent, l’homme présente son sexe et la bouche s’ouvre largement pour happer le gland en entier. Elle avale lentement une grande partie de la colonne de chair qui pénètre, pénètre. Il me semble que cette bouche va avaler la bite en entier. Soudain, elle arrête sa progression comme en butée au fond des tripes de ma femme. Un temps d’arrêt et vite elle ressort pour à nouveau pénétrer. Chantal est en train de sucer la bite de son amant. Elle y met tout son cœur, laissant sa langue parcourir, englober, sucer le gland et la tige. De sa main elle se saisit des couilles suspendues devant elle pour les caresser et ajouter au plaisir de son collègue. Je la vois même glisser sa main entre les fesses et caresser le cul de son amant. Elle prend vraiment du plaisir à sucer cette bite et la faire jouir. Elle y met tout son cœur ! Attirant de ses mains le ventre de son amant, elle l’invite à lui baiser la bouche encore plus profond, encore plus loin. Mais ce n’est pas dans sa bouche qu’il veut jouir, aussi il se retire, balade sa bite sur les seins, le ventre, le visage. Ils s’aiment ces deux là. Sans moi. Je sais qu’il va la baiser. Je sais qu’elle va se donner, qu’il va la prendre.
(à suivre)
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai, moi aussi, envie d'être à la place du cocu.
J'adore, je trouv ce récit très très exitant ... Possibilité d'avoir des photos?
Miam miam ;)
Salut, la suite est très excitante.J'aimerais etre a ta place mais ma femme ne veux pas.
Si tu as d'autres photos, ne te gêne pas. Bye, Francis
Si tu as d'autres photos, ne te gêne pas. Bye, Francis
Il fait chaud, non ???
Superbe, on aimerait être à a fois à la place de l'amant et à celle du futur cocu ...
Merci, j'attends la suite.
Thierry
Superbe, on aimerait être à a fois à la place de l'amant et à celle du futur cocu ...
Merci, j'attends la suite.
Thierry
c'est super excitant
c'est super excitant