L'agent immobilier 2
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-09-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'agent immobilier 2
Avant la suite avec Julie et Laurence, j'ai pu faire plus ample connaissance avec ce couple de la quarantaine et leur fille étudiante de 18 ans.
Suite à la proposition d'un nouvel appartement pour leur fille, je pus leur proposer une visite le lendemain.
Cette fois aussi il était à leur goût, mais le loyer étant 150 euros plus élevé, il n'entrait pas dans leur budget. Le père me demanda alors si je pouvais négocier avec le propriétaire une baise d'une centaine d'euro ?
Je pris mon GSM et je fis semblant d'appeler le propriétaire, car les événements de la veille avec Julie et Laurence m'ont incité à tenter ma chance une nouvelle fois.
Revenant vers la famille, je leur annonça que ce n'était pas possible pour le moment. Mais que je tenterait encore ma chance demain. Ils me remercièrent et acceptèrent d'attendre. Il fut convenu que je contacte la mère, Annie, car le père devait travailler et la fille était avec des amies. Pas de problème, elle me passa son numéro et je l’appellerai dès que possible.
En rentrant chez moi j’échafaudai mon plan en faisant appel à Mathéo mon neveu. Le piège que je tendais à cette famille sûrement de la noblesse, mais ayant perdu sa fortune refermait petit à petit. Il accepta de m'aider d'autan que je lui avais promis qu'il prendrais son pied.
Le lendemain j'ai donc appelé Marie, la mère de famille pour lui annoncer que le propriétaire voulais la rencontrer avant d'envisager une baisse du loyer. Rendez-vous fut prit pour 9h00 à l'appartement. Elle fut à l'heure et je lui présenta mon neveu sans dévoiler notre lien de parenté.
Moi : Madame, je vous présente Mathéo le propriétaire.
Mathéo : Bonjour madame.
Elle : Bonjour jeune homme. Je ne m'attendais pas à rencontrer quelqu'un de si jeune !
Mathéo : J'ai 20 ans madame et j'ai hérité cette maison de ma grand mère. Le temps de faire quelques travaux, je la propose maintenant à la location pour payer mes études.
Elle : Je vois que vous avez déjà donné une bonne direction à votre vie.
Moi : Les présentations étant faites, passons aux choses sérieuses. Madame, le bien qui vous est présenté est rare, pour le moment et à ce prix vous ne trouverez plus rien à plusieurs dizaines de kilomètres. Mon client ne peut donc accepter votre demande en état. Cependant, il concevrait de diminuer le loyer de 200 euros par mois, si de votre coté, vous acceptez vous nous offrez une compensation non financière.
Elle : Attendez, j'ai du mal à comprendre. Il ne veut pas baisser le prix de 100 euros, mais dans certaines conditions il accepte une baisse de 200 euros ?
Moi : C'est bien cela.
Elle : Et cette compensation, c'est un versement partiel du loyer hors déclaration ?
Moi : Non, non, je crois que vous n'avez pas bien compris. Il s'agit de quelque chose de non financier, c'est une compensation en nature pour être plus précis.
Elle : QUOI... en nature vous voulez dire...
Moi : C’est cela madame, si vous accepter de baiser avec nous, il baissera le loyer mensuel de 200 euros.
Elle : Il en est hors de question, c'est obscène et inconvenant. Jamais je ne ferai cela !
Moi : C'est votre choix madame, mais dans ce cas bonne chance pour trouver une appart ou un kot à votre fille. Elle risque d'être déçue.
Elle : Je ne veux pas en entendre plus je pars.
Moi : Madame, cette offre reste valable jusque 11h00 aujourd'hui. Je serai à mon agence si vous changer d'avis.
Elle se retourna et parti claquant derrière elle la porte.
Mathéo : Je crois que c'est foutu !
Moi : Attend tout n'est pas terminer.
Nous nous sommes séparé et je suis retourné à l'agence. Une heure plus tard je la vis.
Moi : Bonjour madame, que puis-je pour vous ?
Elle : Monsieur, pourrions parler en privé ?
Moi : Gaëlle(ma secrétaire) je suis avec madame dans mon bureau que l'on ne me dérange pas.
Gaëlle : Bien monsieur.
Je la fis entrer dans le bureau et lui proposa de s'asseoir le temps que j'en fasse le tour. Mais elle refusa. Vu qu'elle était assez guindée, je décidait de la jouer snob.
Moi : Je vous écoute.
Elle : C'est à contre cœur et par obligation, mais je suis contrainte d'accepter votre offre.
Moi : Avez-vous chercher ailleurs ?
Elle : Oui, Il n'y a rien ou alors c'est hors de prix.
Moi : Dans ce cas j’appelle mon neveu Mathéo et nous ferons les papiers en conséquence.
Elle : Votre neveu ?
Moi : Oui mon neveu. Je me porte donc garant de l'arrangement que nous allons prendre.
Je pris mon GSM et donna rendez-vous à Mathéo à mon appartement.
Moi : il ne sera pas là avant une heure, je vous propose donc de faire les papiers, il n'aura plus qu'à les signer. Nous définirons aussi les conditions que vous devrez respecter.
Elle ; Ai-je le choix ?
Moi : Non.
Nous avons remplis le contrat de location et cela fait nous mettons les choses au point.
Moi : Je vous donnerai le contrat ce soir quand il sera contresigné. En attendant voici les conditions pour aujourd'hui. Vous vous engager à ce que dés ce moment et ce jusqu'à 18h00 à être soumises à la volonté de mon neveu et de moi-même. En échange nous, nous nous engageons à ne pas vous causer de blessure physique. Êtes vous d'accord avec cela ?
Elle : Oui, puisque je n'ai pas vraiment le choix.
Moi : Bien, Mathéo n'arrivera pas avant 30min. Je vous invite donc à m'accompagner à mon appartement.
Elle : Je préférerai attendre ici.
Moi : Vous n'avez pas compris. Vous devez vous pliez à notre volonté et ce dès maintenant. Je vais d’ailleurs commencer par oublier la convenance et vous appeler Marie.
Marie : Je ne vous permet...
Moi : Vous n'avez rien à me refuser. Suivez moi.
En quittant mon bureau je signifia à Gaëlle que je serai absent pour la journée qu'elle s'occupe donc de la fermeture. J'ai ensuite rejoint mon appart, au-dessus de l'agence.
Marie restait debout ne voulant rien faire.
Moi : Bien, c'est votre choix, mais nous pouvons peut-être prendre un apéritif en attendant mon neveu ? Vous n'allez quand même pas mourir de soif ?
Marie : Pourquoi pas ? Qu'avez-vous à me proposer ?
Moi : Hé bien je te propose de te mettre à genou, sortir ma bite et me faire une fellation.
Marie : Comment ?
Moi : Maintenant tu fais ce que je te dis. A genou et suce.
Mon ton autoritaire ne lui laissa pas le choix ? Elle s'agenouilla et ma queue en main, elle me la suça.
Dix minute plus tard Mathéo frappa à la porte et je le fis entrer avec ma bite à l'air.
Mathéo : Waouh... je vois que tu as déjà commencé.
Moi : J'ai déjà mis les choses au point avec elle tu signe ces documents et elle nous est soumise jusque 18h00 ce soir.
Mathéo prit un stylo et signa le contrat de location.
Nous nous sommes regardés avant de dire à notre « esclave volontaire » de se déshabiller. Marie enleva ses vêtements de manière distinguée, presque dédaignant et ensuite elle se planta devant nous. Elle nous défiait, mais je ne me suis pas laissé démonté et la fixant droit dans les yeux.
Moi : Maintenant, à quatre pattes et viens vers nous comme une chienne.
Mathéo : Oui tu vas être une chienne.
Alors que j'avais demander à Marie de continuer à me sucer, Mathéo se posta derrière elle et la prit en levrette tel un animal en chaleur. Encore jeune, il se défoula et naturellement il ne sut pas se contrôler et éjacula après même pas 5 min, lui recouvrant le dos de deux médiocres jets de sperme.
Il n'était même pas encore 12h30 que Mathéo était parti, me laissant seul avec Marie.
Moi : Le voilà parti, reprenons les choses au début. Allons prendre une douche.
J'ai enlevé mes vêtements et nous nous sommes retrouvé à deux nu, collé l'un contre l'autre ? Cette fois au lieu de la cabrer, je me suis contenté de la caresser sur tout le corps en commençant par les bras, les épaules, les flans et petit à petit je me suis dirigé vers des zones de plus en plus érogènes.
Après une demi heure, j’étais collé à son dos, les mains sur ses seins. Quand nous sommes sorti de la douche elle était déjà beaucoup moins rigide, je sentais son corps se détendre sa volonté de résister s’atténuer. Je pris une serviette et je la lui passa sur le corps la séchant dans les moindre recoins de son intimité. Elle n'apprécia pas nécessairement cela, mais elle se laissa faire.
Je l'ai emmené dans la chambre et la je lui ai demandé de se coucher sur le lit, mais au lieu de simplement la prendre, je l'ai massée délicatement. Je voyais le temps passé, il était déjà 14h00. Mais je ne voulais la brusquer, je voulais parvenir à ce qu'elle se donne à moi volontairement à moi. Je croyais que c'est de cette façon je parviendrai à devenir son amant.
Moi : S'il te plaît, maintenant écarte les cuisses.
Elle obéit sans dire un mot mais au lieu de lui sauter dessus je me glissais jusqu'à son sexe et le me suis contenté de lui léché la chatte et sucer le clito. Elle se laissa faire et je perçu à certains moments qu'elle commençait à prendre du plaisir. Les circonstances et son éducation ne lui permettaient toutefois pas de se laisser aller. Mais je me suis montré persévérant et finalement elle jouis. Elle jouit d'autan plus fort qu'elle s'était retenue pour ne pas me montrer le plaisir montant en elle.
Maintenant qu'elle venais de perdre une bataille et était de fait affaiblie, je me suis glissé à coté d'elle pour l’enlacer et l'embrasser sans l'obliger. Je ne lui demandais plus rien, je lui faisais simplement comprendre ce que je voulais et à elle d'accepter de le faire. Ce fut le cas quand alors que je l'avais dans mes bras, mon sexe se frotta à sa main. Elle me regarda dans les yeux et saisi mon sexe pour le branler. De mon coté je passais alors ma main sur sa poitrine caressant ses seins et titillant ses tétons.
Après quelques minutes je me dressa à coté d'elle et lui fit comprendre que j’allais me mettre sur elle. Cela faisait plusieurs minutes que nous n'avions pas dit un mot, mais elle compris ce que je voulais et elle écarta les cuisses pour que je puisse me glisser entre elles. Pendant tout ce temps, elle avait garder ma bite en main et maintenant elle la guidait caressant avec mon gland son clito pour finir par la positionner à l'entrée de sa chatte. A moi maintenant d'agir. Et toujours sans un mot mais le regard plongé dans le sien, je la pénétra avec douceur et tendresse. Elle venait d'agripper mes poignets et je vis qu'elle se cambrait au rythme de ma progression en elle.
La queue enfoncée en elle je ne bougeais plus attendant une réaction de sa part. Ce qu'elle fini par faire.
Marie : Vas-y continue, fais toi plaisir et donne moi s'en tout autant.
Moi : Merci, mais ne te sens pas obligée.
Marie : Je ne suis plus obligée. Maintenant j'en ai envie.
Toujours avec douceur, je lui ai fais l'amour pendant de longues, très longues minutes. Alternant des pénétrations et des cunnilingus lorsque je devais reprendre le contre de moi. Quand à elle, elle eut plusieurs orgasmes qui finirent par l'épuisée. Si bien qu'elle me demanda.
Marie : S'il te plaît jouis en moi, je n'en peux plus.
Je ne me fis pas prier et j’accélérai la cadence jusqu'à lui remplir la chatte de plusieurs jets de foutre. Mais alors que je donnais malgré tout encore quelques coups, elle jouis elle aussi une dernière fois.
Moi : Tu as aimé ?
Marie : J'ai honte, mais je dois avouer que jamais mon mari ne m'avait tant fait jouir.
Sur ce pencha sur moi et de sa propre initiative me suça une dernière fois avant d'avaler le sperme qu'elle venait de récupérer.
Il était maintenant 20h00, cela faisait 2h00 qu'elle pouvait partir ? Mais là elle se blotti contre moi et la tête posée sur mon torse, elle me directement.
Marie : Je me sens bien, je n'ai pas envie de partir.
Moi : Je te comprend, moi aussi je suis bien avec toi. Mais ton mari risque de trouver étrange que ai passé autant de temps pour finaliser ce contrat.
Je lui tendit les papiers. Nous nous sommes levé et après s'être habillé, elle m'embrassa avant de partir.
Quelques instants plus tard je reçu ce SMS.
Merci et au plaisir de te revoir.
A suivre...
Suite à la proposition d'un nouvel appartement pour leur fille, je pus leur proposer une visite le lendemain.
Cette fois aussi il était à leur goût, mais le loyer étant 150 euros plus élevé, il n'entrait pas dans leur budget. Le père me demanda alors si je pouvais négocier avec le propriétaire une baise d'une centaine d'euro ?
Je pris mon GSM et je fis semblant d'appeler le propriétaire, car les événements de la veille avec Julie et Laurence m'ont incité à tenter ma chance une nouvelle fois.
Revenant vers la famille, je leur annonça que ce n'était pas possible pour le moment. Mais que je tenterait encore ma chance demain. Ils me remercièrent et acceptèrent d'attendre. Il fut convenu que je contacte la mère, Annie, car le père devait travailler et la fille était avec des amies. Pas de problème, elle me passa son numéro et je l’appellerai dès que possible.
En rentrant chez moi j’échafaudai mon plan en faisant appel à Mathéo mon neveu. Le piège que je tendais à cette famille sûrement de la noblesse, mais ayant perdu sa fortune refermait petit à petit. Il accepta de m'aider d'autan que je lui avais promis qu'il prendrais son pied.
Le lendemain j'ai donc appelé Marie, la mère de famille pour lui annoncer que le propriétaire voulais la rencontrer avant d'envisager une baisse du loyer. Rendez-vous fut prit pour 9h00 à l'appartement. Elle fut à l'heure et je lui présenta mon neveu sans dévoiler notre lien de parenté.
Moi : Madame, je vous présente Mathéo le propriétaire.
Mathéo : Bonjour madame.
Elle : Bonjour jeune homme. Je ne m'attendais pas à rencontrer quelqu'un de si jeune !
Mathéo : J'ai 20 ans madame et j'ai hérité cette maison de ma grand mère. Le temps de faire quelques travaux, je la propose maintenant à la location pour payer mes études.
Elle : Je vois que vous avez déjà donné une bonne direction à votre vie.
Moi : Les présentations étant faites, passons aux choses sérieuses. Madame, le bien qui vous est présenté est rare, pour le moment et à ce prix vous ne trouverez plus rien à plusieurs dizaines de kilomètres. Mon client ne peut donc accepter votre demande en état. Cependant, il concevrait de diminuer le loyer de 200 euros par mois, si de votre coté, vous acceptez vous nous offrez une compensation non financière.
Elle : Attendez, j'ai du mal à comprendre. Il ne veut pas baisser le prix de 100 euros, mais dans certaines conditions il accepte une baisse de 200 euros ?
Moi : C'est bien cela.
Elle : Et cette compensation, c'est un versement partiel du loyer hors déclaration ?
Moi : Non, non, je crois que vous n'avez pas bien compris. Il s'agit de quelque chose de non financier, c'est une compensation en nature pour être plus précis.
Elle : QUOI... en nature vous voulez dire...
Moi : C’est cela madame, si vous accepter de baiser avec nous, il baissera le loyer mensuel de 200 euros.
Elle : Il en est hors de question, c'est obscène et inconvenant. Jamais je ne ferai cela !
Moi : C'est votre choix madame, mais dans ce cas bonne chance pour trouver une appart ou un kot à votre fille. Elle risque d'être déçue.
Elle : Je ne veux pas en entendre plus je pars.
Moi : Madame, cette offre reste valable jusque 11h00 aujourd'hui. Je serai à mon agence si vous changer d'avis.
Elle se retourna et parti claquant derrière elle la porte.
Mathéo : Je crois que c'est foutu !
Moi : Attend tout n'est pas terminer.
Nous nous sommes séparé et je suis retourné à l'agence. Une heure plus tard je la vis.
Moi : Bonjour madame, que puis-je pour vous ?
Elle : Monsieur, pourrions parler en privé ?
Moi : Gaëlle(ma secrétaire) je suis avec madame dans mon bureau que l'on ne me dérange pas.
Gaëlle : Bien monsieur.
Je la fis entrer dans le bureau et lui proposa de s'asseoir le temps que j'en fasse le tour. Mais elle refusa. Vu qu'elle était assez guindée, je décidait de la jouer snob.
Moi : Je vous écoute.
Elle : C'est à contre cœur et par obligation, mais je suis contrainte d'accepter votre offre.
Moi : Avez-vous chercher ailleurs ?
Elle : Oui, Il n'y a rien ou alors c'est hors de prix.
Moi : Dans ce cas j’appelle mon neveu Mathéo et nous ferons les papiers en conséquence.
Elle : Votre neveu ?
Moi : Oui mon neveu. Je me porte donc garant de l'arrangement que nous allons prendre.
Je pris mon GSM et donna rendez-vous à Mathéo à mon appartement.
Moi : il ne sera pas là avant une heure, je vous propose donc de faire les papiers, il n'aura plus qu'à les signer. Nous définirons aussi les conditions que vous devrez respecter.
Elle ; Ai-je le choix ?
Moi : Non.
Nous avons remplis le contrat de location et cela fait nous mettons les choses au point.
Moi : Je vous donnerai le contrat ce soir quand il sera contresigné. En attendant voici les conditions pour aujourd'hui. Vous vous engager à ce que dés ce moment et ce jusqu'à 18h00 à être soumises à la volonté de mon neveu et de moi-même. En échange nous, nous nous engageons à ne pas vous causer de blessure physique. Êtes vous d'accord avec cela ?
Elle : Oui, puisque je n'ai pas vraiment le choix.
Moi : Bien, Mathéo n'arrivera pas avant 30min. Je vous invite donc à m'accompagner à mon appartement.
Elle : Je préférerai attendre ici.
Moi : Vous n'avez pas compris. Vous devez vous pliez à notre volonté et ce dès maintenant. Je vais d’ailleurs commencer par oublier la convenance et vous appeler Marie.
Marie : Je ne vous permet...
Moi : Vous n'avez rien à me refuser. Suivez moi.
En quittant mon bureau je signifia à Gaëlle que je serai absent pour la journée qu'elle s'occupe donc de la fermeture. J'ai ensuite rejoint mon appart, au-dessus de l'agence.
Marie restait debout ne voulant rien faire.
Moi : Bien, c'est votre choix, mais nous pouvons peut-être prendre un apéritif en attendant mon neveu ? Vous n'allez quand même pas mourir de soif ?
Marie : Pourquoi pas ? Qu'avez-vous à me proposer ?
Moi : Hé bien je te propose de te mettre à genou, sortir ma bite et me faire une fellation.
Marie : Comment ?
Moi : Maintenant tu fais ce que je te dis. A genou et suce.
Mon ton autoritaire ne lui laissa pas le choix ? Elle s'agenouilla et ma queue en main, elle me la suça.
Dix minute plus tard Mathéo frappa à la porte et je le fis entrer avec ma bite à l'air.
Mathéo : Waouh... je vois que tu as déjà commencé.
Moi : J'ai déjà mis les choses au point avec elle tu signe ces documents et elle nous est soumise jusque 18h00 ce soir.
Mathéo prit un stylo et signa le contrat de location.
Nous nous sommes regardés avant de dire à notre « esclave volontaire » de se déshabiller. Marie enleva ses vêtements de manière distinguée, presque dédaignant et ensuite elle se planta devant nous. Elle nous défiait, mais je ne me suis pas laissé démonté et la fixant droit dans les yeux.
Moi : Maintenant, à quatre pattes et viens vers nous comme une chienne.
Mathéo : Oui tu vas être une chienne.
Alors que j'avais demander à Marie de continuer à me sucer, Mathéo se posta derrière elle et la prit en levrette tel un animal en chaleur. Encore jeune, il se défoula et naturellement il ne sut pas se contrôler et éjacula après même pas 5 min, lui recouvrant le dos de deux médiocres jets de sperme.
Il n'était même pas encore 12h30 que Mathéo était parti, me laissant seul avec Marie.
Moi : Le voilà parti, reprenons les choses au début. Allons prendre une douche.
J'ai enlevé mes vêtements et nous nous sommes retrouvé à deux nu, collé l'un contre l'autre ? Cette fois au lieu de la cabrer, je me suis contenté de la caresser sur tout le corps en commençant par les bras, les épaules, les flans et petit à petit je me suis dirigé vers des zones de plus en plus érogènes.
Après une demi heure, j’étais collé à son dos, les mains sur ses seins. Quand nous sommes sorti de la douche elle était déjà beaucoup moins rigide, je sentais son corps se détendre sa volonté de résister s’atténuer. Je pris une serviette et je la lui passa sur le corps la séchant dans les moindre recoins de son intimité. Elle n'apprécia pas nécessairement cela, mais elle se laissa faire.
Je l'ai emmené dans la chambre et la je lui ai demandé de se coucher sur le lit, mais au lieu de simplement la prendre, je l'ai massée délicatement. Je voyais le temps passé, il était déjà 14h00. Mais je ne voulais la brusquer, je voulais parvenir à ce qu'elle se donne à moi volontairement à moi. Je croyais que c'est de cette façon je parviendrai à devenir son amant.
Moi : S'il te plaît, maintenant écarte les cuisses.
Elle obéit sans dire un mot mais au lieu de lui sauter dessus je me glissais jusqu'à son sexe et le me suis contenté de lui léché la chatte et sucer le clito. Elle se laissa faire et je perçu à certains moments qu'elle commençait à prendre du plaisir. Les circonstances et son éducation ne lui permettaient toutefois pas de se laisser aller. Mais je me suis montré persévérant et finalement elle jouis. Elle jouit d'autan plus fort qu'elle s'était retenue pour ne pas me montrer le plaisir montant en elle.
Maintenant qu'elle venais de perdre une bataille et était de fait affaiblie, je me suis glissé à coté d'elle pour l’enlacer et l'embrasser sans l'obliger. Je ne lui demandais plus rien, je lui faisais simplement comprendre ce que je voulais et à elle d'accepter de le faire. Ce fut le cas quand alors que je l'avais dans mes bras, mon sexe se frotta à sa main. Elle me regarda dans les yeux et saisi mon sexe pour le branler. De mon coté je passais alors ma main sur sa poitrine caressant ses seins et titillant ses tétons.
Après quelques minutes je me dressa à coté d'elle et lui fit comprendre que j’allais me mettre sur elle. Cela faisait plusieurs minutes que nous n'avions pas dit un mot, mais elle compris ce que je voulais et elle écarta les cuisses pour que je puisse me glisser entre elles. Pendant tout ce temps, elle avait garder ma bite en main et maintenant elle la guidait caressant avec mon gland son clito pour finir par la positionner à l'entrée de sa chatte. A moi maintenant d'agir. Et toujours sans un mot mais le regard plongé dans le sien, je la pénétra avec douceur et tendresse. Elle venait d'agripper mes poignets et je vis qu'elle se cambrait au rythme de ma progression en elle.
La queue enfoncée en elle je ne bougeais plus attendant une réaction de sa part. Ce qu'elle fini par faire.
Marie : Vas-y continue, fais toi plaisir et donne moi s'en tout autant.
Moi : Merci, mais ne te sens pas obligée.
Marie : Je ne suis plus obligée. Maintenant j'en ai envie.
Toujours avec douceur, je lui ai fais l'amour pendant de longues, très longues minutes. Alternant des pénétrations et des cunnilingus lorsque je devais reprendre le contre de moi. Quand à elle, elle eut plusieurs orgasmes qui finirent par l'épuisée. Si bien qu'elle me demanda.
Marie : S'il te plaît jouis en moi, je n'en peux plus.
Je ne me fis pas prier et j’accélérai la cadence jusqu'à lui remplir la chatte de plusieurs jets de foutre. Mais alors que je donnais malgré tout encore quelques coups, elle jouis elle aussi une dernière fois.
Moi : Tu as aimé ?
Marie : J'ai honte, mais je dois avouer que jamais mon mari ne m'avait tant fait jouir.
Sur ce pencha sur moi et de sa propre initiative me suça une dernière fois avant d'avaler le sperme qu'elle venait de récupérer.
Il était maintenant 20h00, cela faisait 2h00 qu'elle pouvait partir ? Mais là elle se blotti contre moi et la tête posée sur mon torse, elle me directement.
Marie : Je me sens bien, je n'ai pas envie de partir.
Moi : Je te comprend, moi aussi je suis bien avec toi. Mais ton mari risque de trouver étrange que ai passé autant de temps pour finaliser ce contrat.
Je lui tendit les papiers. Nous nous sommes levé et après s'être habillé, elle m'embrassa avant de partir.
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