l'amour à quatre sous les tropiques dans une piscine
Récit érotique écrit par Jdelafontaine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2008 dans la catégorie Plus on est
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l'amour à quatre sous les tropiques dans une piscine
C'était par une chaude nuit tropicale dans une grande ville d'Afrique noire. Ma femme et moi avions été invité à danser dans une des boites de nuit par un ami et sa maîtresse. La soirée s'est chaudement passée, ma femme dans les bras de notre ami qu'elle aimait beaucoup mais sans jamais avoir transgressé les lois du mariage et moi découvrant l'excitation procurée par le contact étroit avec une inconnue qui me semblait particulièrement "libérée".
Au cours d'un slow langoureux, elle me demanda si je connaissais Bruno depuis longtemps et si ma femme avait eu des rapports charnels avec lui ? Je lui dis que non, enfin je ne le pensais pas. Elle me répondit alors "Tu ne trouves pas qu'ils dansent très tendrement ?" Elle dut sentir ma gêne car il était évident que ma femme et Bruno dansaient en se caressant et me dit "Ne t'inquiète pas, cela ne me gêne pas le moins du monde, au contraire". Ces deux derniers mots eurent sur moi un effet électrique et je sentis un afflux de sang dans mon sexe qui se mit à gonfler et durcir et les battements de mon coeur s'accélérèrent. C'est alors que Christine, c'était le nom de ma cavalière, chercha le contact de mon sexe et écrasa ses seins contre ma poitrine tout en posant ses lèvres sur mon coup. Mon cœur battait de plus en plus vite et je sentais une douce chaleur envahir mon bas-ventre.
C'est alors que Bruno dit alors que nos deux couples s'étaient rapprochés "Et si on continuait la soirée chez moi ?".
D'accord dit ma femme et bien sur je ne m'y opposais pas. J'étais en fait très surpris de son attitude car je la croyais très conventionnelle et très attachée aux "liens" du mariage. Nous avions un enfant, c'était une excellente mère de famille et elle sortait d'un milieu très bourgeois, très BCBG où les convenances avaient un sens. Mais elle était aussi très belle et dégageait une très forte sensualité : grande, brune, très cambrée, de très beaux seins, assez lourds, une taille très fine et des fesses qui attiraient le regard, bref elle avait la réputation d'être la plus belle femme de la capitale. Elle était dotée de surcroît, d'une intelligence très vive mise au profit d'ailleurs de la Coopération avec le pays d'accueil.
Nous nous retrouvâmes donc chez notre ami Bruno dont la femme était absente, car il était marié, et bûmes un verre au bord de la piscine. Nous étions au mois d'avril et la chaleur était suffocante malgré l'heure avancée de la nuit. La lune brillait de tout son éclat et l'on distinguait les formes très largement.
- Vous ne voulez pas vous baigner, dit Bruno ?
- Pourquoi pas mais nous n'avons pas de maillot, dit ma femme
- Qu'à cela ne tienne, vous pouvez vous baigner nus si ça ne vous gène pas ?
- Oh non, dit ma femme
La situation prenait une tournure dont je mesurais l'excitation à la taille de mon sexe que je n'arrivais plus à contenir, ce que tout le monde remarqua lorsque je me dévêtis. Et de voir la vitesse à laquelle ma femme se retrouva nue me stupéfia et ne faisait qu'augmenter mon excitation. En fait, secrètement j'avais toujours fantasmé sur ma femme prise par un autre homme sous mes yeux et nous allions tout droit à cette situation avec en prime une autre femme pour moi. Christine était plus masculine avec de longues jambes musclées, des cheveux blonds et de petits seins très redressés. Ses fesses très rebondies étaient très attirantes et son sexe, imberbe, encore plus. J’étais si excité que je sentais mon coeur battre dans mon sexe qui était devenu si dur qu'il avait pris une position parallèle à mon pubis.
Nous nous retrouvâmes tous les quatre dans la piscine à faire des brasses et très vite nous nous retrouvâmes en couples. L’un à côté de l'autre. Ma femme noua ses bras autour du cou de Bruno, se colla à lui et ils s'embrassèrent longuement. "Et bien, dit Christine, si on en faisait autant " ? C'est alors que je sentis une main agripper mon sexe et le branler doucement. J'arrêtais son mouvement car je n'étais pas loin de l'éjaculation. Je me plaçais derrière elle, logeais mon sexe entre ses fesses et prenais ses seins à plaine mains, puis caressais son ventre, son sexe en y enfonçant mon index. Sa fente était douce et elle poussait de petits gémissements quand je frottais doucement son clitoris qu'elle avait très proéminent; elle tournait la tête pour que j'embrasses ses lèvres. C'est alors que j'entendis ma femme respirer de plus en plus fort, l'eau s'agiter autour d'elle et de son amant, "Oui, oui disait-elle, continue" puis elle gémit et cria quand elle reçu, je l'imaginais, le sperme chaud de Bruno dans son ventre. Je n'eus alors que le temps de pénétrer ma compagne par derrière, mon sexe glissa très profondément dans la fente étroite et humide et je m'y répandis avec des spasmes de plaisir intense alors que Christine se mit à crier tout en poursuivant ses coups de reins qui m'arrachaient des giclées de sperme qui semblaient ne jamais vouloir s'arrêter sous l'excitation de sa jouissance.
Nous étions épuisés et je me retrouvais dans les bras de ma femme qui m'embrassa longuement et dirigea mon sexe dans le sien tout lubrifié du sperme de Bruno ; elle semblait insatiable, hystérique, me criant "masturbe moi", ce que je fis. Tout son corps se mit alors à trembler, puis elle jouit violemment en râles successifs avant que je ne me répande à nouveau en jouissant comme je n'avais jamais joui jusqu'ici.
Nous nous retrouvâmes souvent par la suite avec des éléments nouveaux qui nous menèrent vers des plaisir fabuleux qui feront l'objet d'autres récits…
Au cours d'un slow langoureux, elle me demanda si je connaissais Bruno depuis longtemps et si ma femme avait eu des rapports charnels avec lui ? Je lui dis que non, enfin je ne le pensais pas. Elle me répondit alors "Tu ne trouves pas qu'ils dansent très tendrement ?" Elle dut sentir ma gêne car il était évident que ma femme et Bruno dansaient en se caressant et me dit "Ne t'inquiète pas, cela ne me gêne pas le moins du monde, au contraire". Ces deux derniers mots eurent sur moi un effet électrique et je sentis un afflux de sang dans mon sexe qui se mit à gonfler et durcir et les battements de mon coeur s'accélérèrent. C'est alors que Christine, c'était le nom de ma cavalière, chercha le contact de mon sexe et écrasa ses seins contre ma poitrine tout en posant ses lèvres sur mon coup. Mon cœur battait de plus en plus vite et je sentais une douce chaleur envahir mon bas-ventre.
C'est alors que Bruno dit alors que nos deux couples s'étaient rapprochés "Et si on continuait la soirée chez moi ?".
D'accord dit ma femme et bien sur je ne m'y opposais pas. J'étais en fait très surpris de son attitude car je la croyais très conventionnelle et très attachée aux "liens" du mariage. Nous avions un enfant, c'était une excellente mère de famille et elle sortait d'un milieu très bourgeois, très BCBG où les convenances avaient un sens. Mais elle était aussi très belle et dégageait une très forte sensualité : grande, brune, très cambrée, de très beaux seins, assez lourds, une taille très fine et des fesses qui attiraient le regard, bref elle avait la réputation d'être la plus belle femme de la capitale. Elle était dotée de surcroît, d'une intelligence très vive mise au profit d'ailleurs de la Coopération avec le pays d'accueil.
Nous nous retrouvâmes donc chez notre ami Bruno dont la femme était absente, car il était marié, et bûmes un verre au bord de la piscine. Nous étions au mois d'avril et la chaleur était suffocante malgré l'heure avancée de la nuit. La lune brillait de tout son éclat et l'on distinguait les formes très largement.
- Vous ne voulez pas vous baigner, dit Bruno ?
- Pourquoi pas mais nous n'avons pas de maillot, dit ma femme
- Qu'à cela ne tienne, vous pouvez vous baigner nus si ça ne vous gène pas ?
- Oh non, dit ma femme
La situation prenait une tournure dont je mesurais l'excitation à la taille de mon sexe que je n'arrivais plus à contenir, ce que tout le monde remarqua lorsque je me dévêtis. Et de voir la vitesse à laquelle ma femme se retrouva nue me stupéfia et ne faisait qu'augmenter mon excitation. En fait, secrètement j'avais toujours fantasmé sur ma femme prise par un autre homme sous mes yeux et nous allions tout droit à cette situation avec en prime une autre femme pour moi. Christine était plus masculine avec de longues jambes musclées, des cheveux blonds et de petits seins très redressés. Ses fesses très rebondies étaient très attirantes et son sexe, imberbe, encore plus. J’étais si excité que je sentais mon coeur battre dans mon sexe qui était devenu si dur qu'il avait pris une position parallèle à mon pubis.
Nous nous retrouvâmes tous les quatre dans la piscine à faire des brasses et très vite nous nous retrouvâmes en couples. L’un à côté de l'autre. Ma femme noua ses bras autour du cou de Bruno, se colla à lui et ils s'embrassèrent longuement. "Et bien, dit Christine, si on en faisait autant " ? C'est alors que je sentis une main agripper mon sexe et le branler doucement. J'arrêtais son mouvement car je n'étais pas loin de l'éjaculation. Je me plaçais derrière elle, logeais mon sexe entre ses fesses et prenais ses seins à plaine mains, puis caressais son ventre, son sexe en y enfonçant mon index. Sa fente était douce et elle poussait de petits gémissements quand je frottais doucement son clitoris qu'elle avait très proéminent; elle tournait la tête pour que j'embrasses ses lèvres. C'est alors que j'entendis ma femme respirer de plus en plus fort, l'eau s'agiter autour d'elle et de son amant, "Oui, oui disait-elle, continue" puis elle gémit et cria quand elle reçu, je l'imaginais, le sperme chaud de Bruno dans son ventre. Je n'eus alors que le temps de pénétrer ma compagne par derrière, mon sexe glissa très profondément dans la fente étroite et humide et je m'y répandis avec des spasmes de plaisir intense alors que Christine se mit à crier tout en poursuivant ses coups de reins qui m'arrachaient des giclées de sperme qui semblaient ne jamais vouloir s'arrêter sous l'excitation de sa jouissance.
Nous étions épuisés et je me retrouvais dans les bras de ma femme qui m'embrassa longuement et dirigea mon sexe dans le sien tout lubrifié du sperme de Bruno ; elle semblait insatiable, hystérique, me criant "masturbe moi", ce que je fis. Tout son corps se mit alors à trembler, puis elle jouit violemment en râles successifs avant que je ne me répande à nouveau en jouissant comme je n'avais jamais joui jusqu'ici.
Nous nous retrouvâmes souvent par la suite avec des éléments nouveaux qui nous menèrent vers des plaisir fabuleux qui feront l'objet d'autres récits…
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