Nuits d'amour sous les tropiques
Récit érotique écrit par Jdelafontaine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nuits d'amour sous les tropiques
Durant mes longues années africaines où nous étions plus jeunes et plein de sève, nous vivions en microcosme; la communauté française représentait dans la capitale environ trois cents français et nous passions nos soirées et nos nuits à nous recevoir pour des repas, des soirées dansantes, des repas piscines et parfois des pics-nics où des voyages dans les pays limitrophes. La chaleur nous faisait vivre dehors au maximum et à la période la plus chaude, nous nous réfugiions dans des pièces climatisées et dans les piscines qui exacerbait notre sexualité (cf mon histoire précédente). Les siestes étaient de longs moments où l'on faisait l'amour avant de recommencer la nuit en couple(s).
Les femmes étaient dévêtues, sensuelles, attirantes et l'amour se pratiquait avec gourmandise et boulimie chez certains. Ce fur le cas de ma femme et de son premier amant (bruno) et des autres qui ont suivi.
Ma femme passait pour la plus belle femme de la ville; pour cela elle était très courtisée. Ses jambes étaient très longues, ses fesses et ses seins parfaits et provocants, son port de tête très noble et était dotée d'une très grande distinction avec un adorable nez à la Cléopâtre.
Les soirées dansantes se poursuivaient jusqu'au petit matin dans la pénombre des corps enlacés au rythme des slows. Certains faisaient l'amour dans la piscine, d'autres se retrouvaient dans la chambre des parents, d'autres encore se pelotaient sur les canapés....
Les derniers couples restants, dont les hôtes finissaient nus à l'abri des éventuels regards étrangers (gardiens des concessions, voisin) et se mélangeaient, s'interchangaient, s'embrassaient longuement, se suçaient, se branlaient dans des soupirs, des râles, des cris de plaisir. Souvent Bruno, le premier amant de ma femme photographiait ceux qui le désiraient. Certain(e)s connaissaient leur première expérience homosexuelle et l'intensité érotique était à son comble.
Ma femme avait une passion, celle de se faire jouir. Elle le faisait à toutes occasions, seule où en couples. Chaque fois qu'elle prenait une douche, je l'entendais (elle faisait en sorte que je l'entende) se branler le clitoris avec le pommeau de douche, elle adorait ça. La séance se terminait toujours par des râles de plaisir qui me donnaient de terribles érections.
Quand nous faisions l'amour, elle commençait par se masturber et elle voulait que je la regarde et elle jouissait en bandant son corps comme un arc en poussant des "han, han, han...". Puis elle prenait ma tête entre ses mains et me la positionnait sur son sexe pour que je suce son clitoris et elle jouissait à nouveau en appuyant très fortement ma tête sur son sexe. Puis nous prenions diverses position pour que je la pénètre : ses jambes sur mes épaules, assises sur moi ses mains à plat sur mon ventres ou plaquée dans cette position ses seins généreux contre ma poitrine, en levrette. Quand j'étais sur le point de jouir, elle me disait "pas encore", alors le va et viens de mon sexe se faisait plus doucement, sortait de son fourreau de velours, gonflé, prêt à exploser à tout moment et rentré à nouveau.
Nous n'étions que plaisir, nos salives se mélangeaient, nos langues se mêlaient, nos deux corps ne faisaient plus qu'un jusqu'au moment où elle me disait "oui, maintenant" et c'était alors un déchaînement de jouissance à chaque coup de reins. Les décharges de sperme dans son ventre étaient fulgurantes et nous arrachaient des cris. Souvent Bruno assistait à nos ébats et nous cherchions son regard, ses mains, son sexe et parfois sa bouche. Je connu alors, d'abord sans le savoir, mes premiers rapports avec un homme qui se préciseraient plus tard.
(À suivre)
Les femmes étaient dévêtues, sensuelles, attirantes et l'amour se pratiquait avec gourmandise et boulimie chez certains. Ce fur le cas de ma femme et de son premier amant (bruno) et des autres qui ont suivi.
Ma femme passait pour la plus belle femme de la ville; pour cela elle était très courtisée. Ses jambes étaient très longues, ses fesses et ses seins parfaits et provocants, son port de tête très noble et était dotée d'une très grande distinction avec un adorable nez à la Cléopâtre.
Les soirées dansantes se poursuivaient jusqu'au petit matin dans la pénombre des corps enlacés au rythme des slows. Certains faisaient l'amour dans la piscine, d'autres se retrouvaient dans la chambre des parents, d'autres encore se pelotaient sur les canapés....
Les derniers couples restants, dont les hôtes finissaient nus à l'abri des éventuels regards étrangers (gardiens des concessions, voisin) et se mélangeaient, s'interchangaient, s'embrassaient longuement, se suçaient, se branlaient dans des soupirs, des râles, des cris de plaisir. Souvent Bruno, le premier amant de ma femme photographiait ceux qui le désiraient. Certain(e)s connaissaient leur première expérience homosexuelle et l'intensité érotique était à son comble.
Ma femme avait une passion, celle de se faire jouir. Elle le faisait à toutes occasions, seule où en couples. Chaque fois qu'elle prenait une douche, je l'entendais (elle faisait en sorte que je l'entende) se branler le clitoris avec le pommeau de douche, elle adorait ça. La séance se terminait toujours par des râles de plaisir qui me donnaient de terribles érections.
Quand nous faisions l'amour, elle commençait par se masturber et elle voulait que je la regarde et elle jouissait en bandant son corps comme un arc en poussant des "han, han, han...". Puis elle prenait ma tête entre ses mains et me la positionnait sur son sexe pour que je suce son clitoris et elle jouissait à nouveau en appuyant très fortement ma tête sur son sexe. Puis nous prenions diverses position pour que je la pénètre : ses jambes sur mes épaules, assises sur moi ses mains à plat sur mon ventres ou plaquée dans cette position ses seins généreux contre ma poitrine, en levrette. Quand j'étais sur le point de jouir, elle me disait "pas encore", alors le va et viens de mon sexe se faisait plus doucement, sortait de son fourreau de velours, gonflé, prêt à exploser à tout moment et rentré à nouveau.
Nous n'étions que plaisir, nos salives se mélangeaient, nos langues se mêlaient, nos deux corps ne faisaient plus qu'un jusqu'au moment où elle me disait "oui, maintenant" et c'était alors un déchaînement de jouissance à chaque coup de reins. Les décharges de sperme dans son ventre étaient fulgurantes et nous arrachaient des cris. Souvent Bruno assistait à nos ébats et nous cherchions son regard, ses mains, son sexe et parfois sa bouche. Je connu alors, d'abord sans le savoir, mes premiers rapports avec un homme qui se préciseraient plus tard.
(À suivre)
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