L'appel du rhinocéros - histoire d'exhib
Récit érotique écrit par Noenoe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'appel du rhinocéros - histoire d'exhib
Encouragé par la note de mon "histoire", je vous écris cette aventure qui n'est pas mienne. Elle est survenue à une copine qui n'a ni l'orthographe, ni la plume pour le faire.
L'appel du rhinocéros
J'ai 24 ans et contrairement à la majorité des filles qui racontent leur histoire dans les sites coquins, je ne suis pas un canon. Jugez-en par vous-même. Je mesure 1 m 55 et suis légèrement en surpoids. Pas obèse, ni grosse, mais enveloppée, grassouillette en quelque sorte. Pour compléter le tableau mes cheveux châtains sont comme des baguettes de tambour; ma coiffure encadrant un visage quelconque, qui manque éminemment de joliesse. Bref, je suis loin d'être un canon. Il en résulte que je fais l'amour moins qu'à mon tour. Et encore, quand je dis que je fais l'amour, c'est pour employer un terme politiquement correct. Lorsque dans une soirée, un mec me ramène chez lui, j'ai le droit d'être baisée vite fait, sans fioriture. Les plus polis me gratifient d'une minette, avec les autres c'est leur plaisir qu'ils assouvissent; les plus sadiques me sodomisent assez brutalement. Je reste la plupart du temps sur ma faim, me promettant à chaque fois de ne plus renouveler ces expériences nulles et assez dégradantes.
Néanmoins, il m'est récemment arrivée une aventure qui m'a plus que comblée et qui a été le prélude d'une période d'activité sexuelle intense. Je faisais du démarchage pour mon entreprise dans un quartier nord de Montpellier. J'avais vu un client le matin et j'en avais à voir un second dans le même quartier l'après midi. J'avais deux heures trente à tuer. Habitant loin de là, j'avais décidé de rester dans le secteur. Après avoir avalé un sandwich, je me suis rendu au zoo cis à proximité. Par ce début de printemps assez chaud, j'avais opté pour une tenue légère (on peut être un boudin et avoir envie de se vêtir léger pour se sentir comme une belle) : chemisier et kilt. Néanmoins quand je porte une jupe assez courte, je remplace le string par une culotte sage, étant timide et n'étant pas trop exhibitionniste. A peine avais-je commencé à déambuler entre les enclos des différents pensionnaires captifs du zoo, que je croisais Antoine. J'avais rencontré ce Monsieur chez des amis quelques temps auparavant. Antoine, c'est mon pendant au masculin. La trentaine, environs 1,65 m, court sur patte, trapu mais arborant de larges épaules. Pas mon type du tout ! Je rêve bien évidemment comme toutes les nanas, d'un gars grand et musclé. Cependant, Antoine a une qualité : il est extrêmement drôle. On se reconnaît, on se fait la bise. Lui aussi était là parce qu'il avait du temps à tuer. Bref, on joint nos solitudes tout en parcourant le parc et admirant d'enclos en enclos les animaux se livrant à leur parade amoureuse de printemps. Nous arrivons par hasard à l'enclos des rhinocéros. Ce sont des animaux vraiment impressionnants, monstrueux même. Très vite on s'aperçoit que le mâle présente sous son ventre un pénis dans un état intéressant. Il est juste derrière la femelle qui est immobile. Puis Albert, le rhinocéros se lève sur les pattes arrières, et retombe assez lourdement sur la femelle qui ne bronche pas. Pendant quelques instants, sont pénis procède à des essais infructueux pour s'introduire là où il se doit dans la femelle, puis y arrive et disparaît. Commence de lents mouvements du bassin de Monsieur Albert, tandis que Madame Gertrude est strictement immobile, la tête basse. Rien ne laisse présumer qu'elle ressent un quelconque plaisir à cette copulation. Désir, peut-être, plaisir sûrement pas, ou alors elle dissimule bien cette coquine ! Bref, jusque-là, rien de particulièrement érotique. Après plus d'une minute d'activation de la croupe du mâle, Gertrude avance d'un pas, surprenant son cavalier qui déjante… au mauvais moment. Elle devait croire que c'était terminé ou alors sa passe était tarifée pour deux minutes. Bref, le pénis de Monsieur Albert est à l'air libre et libère des flots de sperme. Les deux premières giclées visibles atterrirent sur le dos de Madame. On aurait dit qu'à chaque fois, au moins un litre de lait prenait son envole puis inondait le dos de la femelle. Les troisième et le quatrième litres de lait s'écrasèrent sur le fessier femelle car Madame avait encore fait un petit pas, désarçonnant encore plus Albert. Puis le gâchis de lait à continué maculant l'arrière des cuisses puis l'arrière des pattes. Le reste ensemença le sol.
Cette scène primaire était d'une brutalité visuelle, toute animale, bestiale, d'un érotisme certain. Antoine qui était en retrait derrière moi me dit :
- ça m'a vachement excité ce truc ! Pas toi ?
- Si, répondis-je timidement. En réalité, j'étais dans tous mes états. J'avais les joues en feu et une boule dans le bas ventre.
J'entends un bruit de ceinture et de zip de fermeture éclair dans mon dos, sans y faire vraiment attention car j'étais encore scotché par le pénis du mal et le dos de la femelle oint de sperme. Franck se place à côté d moi et me dit :
- Regarde la trique d'enfer que leur fornication m'a filée !
Je baisse les yeux et tombe sur un très gros sexe que tenais Antoine à deux mains. Je dois préciser que nous étions seuls devant l'enclos à ce moment-là. Un sexe (dois-je dire une bite pour de telles dimensions ?), long, épais et raide. Un truc d'une taille digne d'un acteur de film porno. J'en ai vu quelques-uns de ces films débiles chez des mecs qui m'ont sautée; films pour lesquels on ne sait si c'est de l'art ou du cochon et dans lesquels les hommes arborent des sexes géants.
J'étais déjà perturbé émotionnellement par la scène de copulations des rhinos, mais avoir sous les yeux un mandrin pareil prêt à fonctionner et presqu'à ma disposition a fini de me déstabiliser complètement. J'étais totalement en émois et une espèce d'excitation incroyable s'est emparée de tout mon corps. Outre que j'avais chaud, j'ai ressenti dans tout mon être, un besoin impérieux, incoercible de faire l'amour. Non, pas de faire l'amour, d'être prise tout de suite. Je ressentais des picotements dans le bas ventre et il fallait que je sois fouillée, fouaillée, défoncée. Il me fallait un sexe en moi. Il fallait qu'on m'ouvre, qu'on me déchire. J'avais besoin de sentir du sperme gicler dans mon vagin. Je ne sais, chères consœurs, si vous avez déjà ressenti ce besoin un jour d'être chienne, d'être salope, mais il n'existe à ce moment ni pudeur, ni morale. On veut être baisée, quelques endroits que ce fût, quelques qu'en soient les conséquences. Seul l'assouvissement du désir compte.
Antoine a dû ressentir à la fois un besoin similaire et percevoir mon état car il m'a ordonné :
- Retire ta culotte, viiittte !
- J'obtempère en un clin d'œil. Antoine la ramasse et la fourre dans une poche puis se cale frénétiquement derrière moi, je m'appuie sur la barrière en bois et je sens immédiatement le gros sexe d'Antoine me pénétrer d'une seule et violente poussée. J'ai crié, non point sous la brutalité de l'assaut (j'étais prête et tellement trempée !) mais sous le plaisir intense que cet envahissement soudain, total, profond m'a procuré. Toutefois, à peine après trois va-et-vient puissants, Antoine est ressorti de moi, s'est positionné sur mon côté et m'a signalé :
- Y'a du monde qui vient !
- Je m'en fous, continu ! Je voulais qu'il me fouille, me défonce encore et encore, même si des inconnus me voyaient. J'étais chienne, salope, soumise. Je n'étais plus qu'un ventre, je n'étais plus qu'un vagin qu'il fallait pénétrer et combler. J'étais prête à tout, à n'importe quelle bassesse, à n'importe quelle humiliation, à n'importe quelle exhibition pour me faire défoncer et jouir !
- Non, il y a des enfants, me dit-il en remettant tans bien que mal son pieu rigide sous ses vêtements.
Il m'a alors pris par la main et m'a emmené une centaine de mètres plus loin dans une impasse protégée par de hautes haies. L'impasse décrivait un léger arc de cercle, si bien qu'assis sur le banc du bout, on n'en voyait pas l'entrée. De plus, le banc était juste derrière un arbuste qui permettait de voir au travers lorsqu'on était proche, mais ne donnait une vue que très imprécise lorsqu'on était loin. La planque idéale pour nos ébats !
A peine arrivé, Antoine ressort sa bite toujours aussi raide, s'assied sur le bord du banc et me positionne à califourchon, lui faisant face. Impatiente, je m'empale immédiatement et commence à bouger frénétiquement. J'avais envie, envie. Antoine en rythme me donnait de grands coups de bassins. Son sexe long butait contre le col de mon utérus et me procurait des sensations inouïes. Un orgasme dévastateur m'a ravagé en moins de trente secondes. Jamais je n'avais joui de la sorte et n'imaginais même pas que ce fut possible. Je sanglotais tout en ressentant des ondes de plaisir me parcourir du ventre à la tête. Antoine m'a suivi de près et j'ai senti de longues et fortes giclées chaudes se répandre en moi.
Petite accalmie des sens, puis très vite le besoin d'être de nouveau défoncée m'a repris. Je voulais vraiment subir des coups de bélier. Je me suis levée et j'ai positionné mes mains sur le dos du banc afin d'être prise par derrière. Excité comme je l'étais, je n'avais plus aucune timidité, plus aucune inhibition. J'ai demandé à Antoine :
- Défonce-moi fort, fais ce que tu veux de moi, le plus brutalement possible.
Je sentais en même temps du sperme couler sur mes cuisses. J'en informais Antoine.
- Comme pour la femelle de rhino, me dit-il sarcastique.
Antoine m'a vraiment défoncée en levrette. A chaque coup de reins, je décollais du sol. J'ai eu trois orgasmes moins dévastateurs que le premier, mais plus que satisfaisants. Puis Antoine est venu une deuxième fois. A mon grand regret, il n'a pas joui dans mon ventre, mais sur ma vulve et sur mes cuisses. J'ai vaguement enregistré une dizaine de giclées. Tout de suite, le sperme a ruisselé vers le bas atteignant rapidement mes mollets.
- Comme pour la femelle de rhinocéros, ironisa-t-il une seconde fois.
Puis, inépuisable, il m'a reprise, moins fort et plus lentement. Ça m'arrangeait qu'il soit en rut comme un bouc ! J'en voulais encore et du féroce. Je lui ai dit :
- Prends-moi plus haut.
Là, j'en ai eu pour mon désir et pour mon argent. Je ne sais pas si vous avez déjà été sodomisé par un pénis de vingt deux centimètres de long et de six centimètres de large (je l'ai mesuré lors d'une autre rencontre), mais c'est hyper douloureux, même excitée et en rut comme je l'étais. Je n'étais pas vierge de ce côté-là, l'ayant subit plusieurs fois par mes baiseurs d'un soir, mais c'est sans commune mesure avec la dilatation extrême que j'ai subi à cet instant. J'ai crié de douleur, mais j'ai tenu bon et je me suis sentie envahie comme jamais. Antoine m'a pilonné en me décollant du sol, comme juste avant. J'ai encore joui deux fois. Puis Il s'est retiré, tout en tenant son sexe à la main il m'a fait asseoir en urgence sur le banc et s'est répandu sur mon visage. J'en avais partout, y compris dans les yeux et je ne voyais plus rien.
A peine avait-t-il terminé qu'il me mettait debout et me tirait hors de l'abris du buisson. Je n'ai pas compris pourquoi avant d'avoir un peu enlevé du sperme de mes yeux. C'est alors que je les vis ! Trois jeunes femmes maghrébines portant le foulard, arrivaient tout en devisant. Trop occupées à leur conversation elles nous aperçurent qu'à cinq mètres de nous. Je leur faisais face, le visage maculé de sperme tandis qu'Antoine, de profil tenait sa verge encore roide dans sa main afin qu'elles le voient bien. Silence et stupéfaction du groupe. Elles étaient coites devant ce spectacle ! Les deux plus jeunes ont cependant fait demi-tour au bout de trente secondes en piaillant ; celle qui paraissait la plus âgée, est restée davantage les yeux rivés sur le pénis d'Antoine. Comme un prestidigitateur, Antoine a sorti une carte de visite et lui a tendu. Je n'en revenais pas qu'elle la prenne. Puis elle a fait demi-tour pour rejoindre ses copines.
Antoine me dit :
- Celle-là, elle doit être marié et elle vient de faire des comparaisons !
- Tu es un pervers, dis-je. Tu as fait exprès qu'elles nous voient !
- Tu crois, me répondit-il rigolard ?
Antoine, la bite enfin un peu dégonflée, s'est rajusté. Il n'a pas voulu me rendre ma culotte. Suite à son éjaculation contre ma vulve et mes cuisses, j'avais du sperme atteignant mes mollets et même mes pieds. J'en avais même qui poissait dans mes chaussures. Il m'a juste essuyé un petit, peu d'une main, le sperme que j'avais sur le visage et les yeux.
Nous nous sommes dirigés vers la sortie du zoo. Mes jambes étaient maculées de filets blanchâtres et mes chaussures collaient. Je l'ai quitté devant les toilettes pour me refaire une propreté; j'avais un client à voir…
Avant de se quitter, il m'a donné une carte de visite, comme à la maghrébine.
Pendant un an, j'ai revu Antoine. C'est vraiment un être drôle mais complètement pervers. Tous les quinze jours, il me téléphonait avec toujours la même sentence :
- On sort baiser.
Antoine ne baisait avec moi que dans les lieux publics, jamais en intérieur. Mais j'étais devenu sa chose. Je devais m'habiller court et bien évidemment sans culotte. Nous sommes exhibés en action dans des rues peu passantes, près d'un lycée de filles, à la sortie d'une maison de retraite, dans les jardins d'un couvent…
Antoine m'a procuré des sensations inouïes, tant par son gros sexe que par les situations dans lesquelles il me prenait.
Hélas, un accident de moto me l'a enlevé.
Quant à ma copine, elle m'a raconté quelques unes des situations avec Antoine que je pourrai vous écrire si vous le réclamer
L'appel du rhinocéros
J'ai 24 ans et contrairement à la majorité des filles qui racontent leur histoire dans les sites coquins, je ne suis pas un canon. Jugez-en par vous-même. Je mesure 1 m 55 et suis légèrement en surpoids. Pas obèse, ni grosse, mais enveloppée, grassouillette en quelque sorte. Pour compléter le tableau mes cheveux châtains sont comme des baguettes de tambour; ma coiffure encadrant un visage quelconque, qui manque éminemment de joliesse. Bref, je suis loin d'être un canon. Il en résulte que je fais l'amour moins qu'à mon tour. Et encore, quand je dis que je fais l'amour, c'est pour employer un terme politiquement correct. Lorsque dans une soirée, un mec me ramène chez lui, j'ai le droit d'être baisée vite fait, sans fioriture. Les plus polis me gratifient d'une minette, avec les autres c'est leur plaisir qu'ils assouvissent; les plus sadiques me sodomisent assez brutalement. Je reste la plupart du temps sur ma faim, me promettant à chaque fois de ne plus renouveler ces expériences nulles et assez dégradantes.
Néanmoins, il m'est récemment arrivée une aventure qui m'a plus que comblée et qui a été le prélude d'une période d'activité sexuelle intense. Je faisais du démarchage pour mon entreprise dans un quartier nord de Montpellier. J'avais vu un client le matin et j'en avais à voir un second dans le même quartier l'après midi. J'avais deux heures trente à tuer. Habitant loin de là, j'avais décidé de rester dans le secteur. Après avoir avalé un sandwich, je me suis rendu au zoo cis à proximité. Par ce début de printemps assez chaud, j'avais opté pour une tenue légère (on peut être un boudin et avoir envie de se vêtir léger pour se sentir comme une belle) : chemisier et kilt. Néanmoins quand je porte une jupe assez courte, je remplace le string par une culotte sage, étant timide et n'étant pas trop exhibitionniste. A peine avais-je commencé à déambuler entre les enclos des différents pensionnaires captifs du zoo, que je croisais Antoine. J'avais rencontré ce Monsieur chez des amis quelques temps auparavant. Antoine, c'est mon pendant au masculin. La trentaine, environs 1,65 m, court sur patte, trapu mais arborant de larges épaules. Pas mon type du tout ! Je rêve bien évidemment comme toutes les nanas, d'un gars grand et musclé. Cependant, Antoine a une qualité : il est extrêmement drôle. On se reconnaît, on se fait la bise. Lui aussi était là parce qu'il avait du temps à tuer. Bref, on joint nos solitudes tout en parcourant le parc et admirant d'enclos en enclos les animaux se livrant à leur parade amoureuse de printemps. Nous arrivons par hasard à l'enclos des rhinocéros. Ce sont des animaux vraiment impressionnants, monstrueux même. Très vite on s'aperçoit que le mâle présente sous son ventre un pénis dans un état intéressant. Il est juste derrière la femelle qui est immobile. Puis Albert, le rhinocéros se lève sur les pattes arrières, et retombe assez lourdement sur la femelle qui ne bronche pas. Pendant quelques instants, sont pénis procède à des essais infructueux pour s'introduire là où il se doit dans la femelle, puis y arrive et disparaît. Commence de lents mouvements du bassin de Monsieur Albert, tandis que Madame Gertrude est strictement immobile, la tête basse. Rien ne laisse présumer qu'elle ressent un quelconque plaisir à cette copulation. Désir, peut-être, plaisir sûrement pas, ou alors elle dissimule bien cette coquine ! Bref, jusque-là, rien de particulièrement érotique. Après plus d'une minute d'activation de la croupe du mâle, Gertrude avance d'un pas, surprenant son cavalier qui déjante… au mauvais moment. Elle devait croire que c'était terminé ou alors sa passe était tarifée pour deux minutes. Bref, le pénis de Monsieur Albert est à l'air libre et libère des flots de sperme. Les deux premières giclées visibles atterrirent sur le dos de Madame. On aurait dit qu'à chaque fois, au moins un litre de lait prenait son envole puis inondait le dos de la femelle. Les troisième et le quatrième litres de lait s'écrasèrent sur le fessier femelle car Madame avait encore fait un petit pas, désarçonnant encore plus Albert. Puis le gâchis de lait à continué maculant l'arrière des cuisses puis l'arrière des pattes. Le reste ensemença le sol.
Cette scène primaire était d'une brutalité visuelle, toute animale, bestiale, d'un érotisme certain. Antoine qui était en retrait derrière moi me dit :
- ça m'a vachement excité ce truc ! Pas toi ?
- Si, répondis-je timidement. En réalité, j'étais dans tous mes états. J'avais les joues en feu et une boule dans le bas ventre.
J'entends un bruit de ceinture et de zip de fermeture éclair dans mon dos, sans y faire vraiment attention car j'étais encore scotché par le pénis du mal et le dos de la femelle oint de sperme. Franck se place à côté d moi et me dit :
- Regarde la trique d'enfer que leur fornication m'a filée !
Je baisse les yeux et tombe sur un très gros sexe que tenais Antoine à deux mains. Je dois préciser que nous étions seuls devant l'enclos à ce moment-là. Un sexe (dois-je dire une bite pour de telles dimensions ?), long, épais et raide. Un truc d'une taille digne d'un acteur de film porno. J'en ai vu quelques-uns de ces films débiles chez des mecs qui m'ont sautée; films pour lesquels on ne sait si c'est de l'art ou du cochon et dans lesquels les hommes arborent des sexes géants.
J'étais déjà perturbé émotionnellement par la scène de copulations des rhinos, mais avoir sous les yeux un mandrin pareil prêt à fonctionner et presqu'à ma disposition a fini de me déstabiliser complètement. J'étais totalement en émois et une espèce d'excitation incroyable s'est emparée de tout mon corps. Outre que j'avais chaud, j'ai ressenti dans tout mon être, un besoin impérieux, incoercible de faire l'amour. Non, pas de faire l'amour, d'être prise tout de suite. Je ressentais des picotements dans le bas ventre et il fallait que je sois fouillée, fouaillée, défoncée. Il me fallait un sexe en moi. Il fallait qu'on m'ouvre, qu'on me déchire. J'avais besoin de sentir du sperme gicler dans mon vagin. Je ne sais, chères consœurs, si vous avez déjà ressenti ce besoin un jour d'être chienne, d'être salope, mais il n'existe à ce moment ni pudeur, ni morale. On veut être baisée, quelques endroits que ce fût, quelques qu'en soient les conséquences. Seul l'assouvissement du désir compte.
Antoine a dû ressentir à la fois un besoin similaire et percevoir mon état car il m'a ordonné :
- Retire ta culotte, viiittte !
- J'obtempère en un clin d'œil. Antoine la ramasse et la fourre dans une poche puis se cale frénétiquement derrière moi, je m'appuie sur la barrière en bois et je sens immédiatement le gros sexe d'Antoine me pénétrer d'une seule et violente poussée. J'ai crié, non point sous la brutalité de l'assaut (j'étais prête et tellement trempée !) mais sous le plaisir intense que cet envahissement soudain, total, profond m'a procuré. Toutefois, à peine après trois va-et-vient puissants, Antoine est ressorti de moi, s'est positionné sur mon côté et m'a signalé :
- Y'a du monde qui vient !
- Je m'en fous, continu ! Je voulais qu'il me fouille, me défonce encore et encore, même si des inconnus me voyaient. J'étais chienne, salope, soumise. Je n'étais plus qu'un ventre, je n'étais plus qu'un vagin qu'il fallait pénétrer et combler. J'étais prête à tout, à n'importe quelle bassesse, à n'importe quelle humiliation, à n'importe quelle exhibition pour me faire défoncer et jouir !
- Non, il y a des enfants, me dit-il en remettant tans bien que mal son pieu rigide sous ses vêtements.
Il m'a alors pris par la main et m'a emmené une centaine de mètres plus loin dans une impasse protégée par de hautes haies. L'impasse décrivait un léger arc de cercle, si bien qu'assis sur le banc du bout, on n'en voyait pas l'entrée. De plus, le banc était juste derrière un arbuste qui permettait de voir au travers lorsqu'on était proche, mais ne donnait une vue que très imprécise lorsqu'on était loin. La planque idéale pour nos ébats !
A peine arrivé, Antoine ressort sa bite toujours aussi raide, s'assied sur le bord du banc et me positionne à califourchon, lui faisant face. Impatiente, je m'empale immédiatement et commence à bouger frénétiquement. J'avais envie, envie. Antoine en rythme me donnait de grands coups de bassins. Son sexe long butait contre le col de mon utérus et me procurait des sensations inouïes. Un orgasme dévastateur m'a ravagé en moins de trente secondes. Jamais je n'avais joui de la sorte et n'imaginais même pas que ce fut possible. Je sanglotais tout en ressentant des ondes de plaisir me parcourir du ventre à la tête. Antoine m'a suivi de près et j'ai senti de longues et fortes giclées chaudes se répandre en moi.
Petite accalmie des sens, puis très vite le besoin d'être de nouveau défoncée m'a repris. Je voulais vraiment subir des coups de bélier. Je me suis levée et j'ai positionné mes mains sur le dos du banc afin d'être prise par derrière. Excité comme je l'étais, je n'avais plus aucune timidité, plus aucune inhibition. J'ai demandé à Antoine :
- Défonce-moi fort, fais ce que tu veux de moi, le plus brutalement possible.
Je sentais en même temps du sperme couler sur mes cuisses. J'en informais Antoine.
- Comme pour la femelle de rhino, me dit-il sarcastique.
Antoine m'a vraiment défoncée en levrette. A chaque coup de reins, je décollais du sol. J'ai eu trois orgasmes moins dévastateurs que le premier, mais plus que satisfaisants. Puis Antoine est venu une deuxième fois. A mon grand regret, il n'a pas joui dans mon ventre, mais sur ma vulve et sur mes cuisses. J'ai vaguement enregistré une dizaine de giclées. Tout de suite, le sperme a ruisselé vers le bas atteignant rapidement mes mollets.
- Comme pour la femelle de rhinocéros, ironisa-t-il une seconde fois.
Puis, inépuisable, il m'a reprise, moins fort et plus lentement. Ça m'arrangeait qu'il soit en rut comme un bouc ! J'en voulais encore et du féroce. Je lui ai dit :
- Prends-moi plus haut.
Là, j'en ai eu pour mon désir et pour mon argent. Je ne sais pas si vous avez déjà été sodomisé par un pénis de vingt deux centimètres de long et de six centimètres de large (je l'ai mesuré lors d'une autre rencontre), mais c'est hyper douloureux, même excitée et en rut comme je l'étais. Je n'étais pas vierge de ce côté-là, l'ayant subit plusieurs fois par mes baiseurs d'un soir, mais c'est sans commune mesure avec la dilatation extrême que j'ai subi à cet instant. J'ai crié de douleur, mais j'ai tenu bon et je me suis sentie envahie comme jamais. Antoine m'a pilonné en me décollant du sol, comme juste avant. J'ai encore joui deux fois. Puis Il s'est retiré, tout en tenant son sexe à la main il m'a fait asseoir en urgence sur le banc et s'est répandu sur mon visage. J'en avais partout, y compris dans les yeux et je ne voyais plus rien.
A peine avait-t-il terminé qu'il me mettait debout et me tirait hors de l'abris du buisson. Je n'ai pas compris pourquoi avant d'avoir un peu enlevé du sperme de mes yeux. C'est alors que je les vis ! Trois jeunes femmes maghrébines portant le foulard, arrivaient tout en devisant. Trop occupées à leur conversation elles nous aperçurent qu'à cinq mètres de nous. Je leur faisais face, le visage maculé de sperme tandis qu'Antoine, de profil tenait sa verge encore roide dans sa main afin qu'elles le voient bien. Silence et stupéfaction du groupe. Elles étaient coites devant ce spectacle ! Les deux plus jeunes ont cependant fait demi-tour au bout de trente secondes en piaillant ; celle qui paraissait la plus âgée, est restée davantage les yeux rivés sur le pénis d'Antoine. Comme un prestidigitateur, Antoine a sorti une carte de visite et lui a tendu. Je n'en revenais pas qu'elle la prenne. Puis elle a fait demi-tour pour rejoindre ses copines.
Antoine me dit :
- Celle-là, elle doit être marié et elle vient de faire des comparaisons !
- Tu es un pervers, dis-je. Tu as fait exprès qu'elles nous voient !
- Tu crois, me répondit-il rigolard ?
Antoine, la bite enfin un peu dégonflée, s'est rajusté. Il n'a pas voulu me rendre ma culotte. Suite à son éjaculation contre ma vulve et mes cuisses, j'avais du sperme atteignant mes mollets et même mes pieds. J'en avais même qui poissait dans mes chaussures. Il m'a juste essuyé un petit, peu d'une main, le sperme que j'avais sur le visage et les yeux.
Nous nous sommes dirigés vers la sortie du zoo. Mes jambes étaient maculées de filets blanchâtres et mes chaussures collaient. Je l'ai quitté devant les toilettes pour me refaire une propreté; j'avais un client à voir…
Avant de se quitter, il m'a donné une carte de visite, comme à la maghrébine.
Pendant un an, j'ai revu Antoine. C'est vraiment un être drôle mais complètement pervers. Tous les quinze jours, il me téléphonait avec toujours la même sentence :
- On sort baiser.
Antoine ne baisait avec moi que dans les lieux publics, jamais en intérieur. Mais j'étais devenu sa chose. Je devais m'habiller court et bien évidemment sans culotte. Nous sommes exhibés en action dans des rues peu passantes, près d'un lycée de filles, à la sortie d'une maison de retraite, dans les jardins d'un couvent…
Antoine m'a procuré des sensations inouïes, tant par son gros sexe que par les situations dans lesquelles il me prenait.
Hélas, un accident de moto me l'a enlevé.
Quant à ma copine, elle m'a raconté quelques unes des situations avec Antoine que je pourrai vous écrire si vous le réclamer
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est qui, Franck?
Pas mal du tout, l'histoire et le scnéario sont atypiques. Ca manque juste d'un tout petit peu plus de description. A quand la prochaine aventure d'Antoine ?
Bonne continuation en tout cas
Bonne continuation en tout cas