La vengence de Sarah
Récit érotique écrit par Noenoe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 3 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Noenoe ont reçu un total de 41 889 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2011 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 21 556 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La vengence de Sarah
L'histoire que je vais vous raconter est réelle et encore incroyablement présente dans mon esprit. Elle s'est passé l'année dernière. Je dois cependant avouer que cette aventure a changé ma conception des relations avec les garçons et ma façon de voir la sexualité. J'avais alors 16 ans et demi et bien qu'étant une fille bien faite question formes et proportions, j'étais plutôt renfermée et peu encline "aux choses du sexe". Deux flirts poussés et un dépucelage complètement raté et navrant n'avaient pas amélioré mes dispositions à "coucher" et encore moins à des relations libertines.
Un soir d'été, je fus invitée chez une copine qui fêtait son anniversaire. Nous étions neuf filles et six gars. J'étais la plus jeune, les autres avaient entre 17 et 19 ans. La soirée se passait au bord de la piscine de la très belle villa de ses parents. C'était une belle soirée, l'air était chaud inclinant à la baignade. Musique latinos et alcool à profusion firent que la soirée devin vite chaude. Très vite l'ensemble des convives fût en état d'ébriété notable. Je ne buvais pas (je n'aime pas l'alcool) et je ne pouvait me mêler ni au chahut ni aux danses car j'avais un pied dans le plâtre suite à une très douloureuse foulure. Un autre convive également ne buvait pas et regardait la scène très froidement et presque avec ironie. C'était un Africain, beau gosse, d'1m 80, mais plutôt longiligne que baraqué. Nous étions deux donc à regarder les mains de plus en plus baladeuses lors des lambada et autres danses qui incitaient à se frotter. Seins, fesses entre autres étaient palpés de plus en plus fermement et ouvertement. Chaleur et alcool ont non seulement échauffé les esprits mais également les corps. La transpiration marquait les visages et les tee-shirts. Un des garçons a proposé un bain collectif dans la piscine ce qui vu les circonstances n'avait rien d'original. Sa proposition a été accueillie avec joie par la majorité des convives. Évidemment, le bain se ferait nu, cela allait de soit ! Quelques filles cependant ont renâclé un peu. Toutefois, petit à petit tout un chacun s'est déshabillé et a rejoint la piscine. Certains affichaient sans vergogne leur nudité, d'autres se faisaient plus furtifs ou furtives. Un beau gosse dénommé Jack, bien bâti, très musclé, se pavanait avec une érection très avantageuse. Il s'était déshabillé le premier a attendu que tout le monde soit au bain pour s'y rendre à son tour, prenant bien soin que gars et filles aient pu voir son bel engin !
Quand tout le monde fut au bain, exceptée ma petite personne handicapée, l'Africain se rapprocha de moi et me demanda si j'étais bien Agnès. J'approuvais. Il s'est présenté : Abdou ! Nous avons bavardé un moment de tout et de rien, pendant quelques minutes. Je lui demandais alors pourquoi il ne participait pas aux ébats nautiques collectifs. A mon grand étonnement, il me dit qu'il était ici en service commandé mais qu'il allait bientôt se baigner.
Quel service commandé, m'enquis-je ?
Tu vois le garçon qui a pavoisé avec sa belle érection ?
Oui, répondis-je, j'ai vu. Le gars avait une grosse bite, bien roide et trapue. Il était ressorti de l'eau et se pavanait de nouveau en tournant tout autour du bassin. J'avoue, que sa vue me troublait un peu, d'autant qu'il était super mignon. Je n'avais jamais eu l'occasion auparavant de voir un pénis affichant de telles proportions.
C'est jack. Il était le petit ami de ma copine, Sarah, je crois que c'est elle qui t'a invité.
Oui et je suis étonnée de son absence répondis-je.
Il l'a plaqué il y a trois jours et elle m'a demandé de la venger.
Comment ? Tu vas lui casser la gueule ?
Oh, non, ce sera beaucoup plus subtil.
Puis, il est allé chercher une mallette de laquelle il a extrait une caméra numérique.
Pourras-tu me rendre un service ? me demanda-t-il.
Ça dépend lequel !
Ce serait de filmer la suite des événements. D'une part cela plaisir à ma copine de visionner ce qui va se passer et d'autre part, ce sera une preuve en cas d'incident.
J'hésitais un peu, mais il m'a persuadé qu'il n'y avait rien de grave à filmer.
Tu seras la caméra de surveillance. Film tout !
Il m'a ensuite montré comment se servir de son appareil puis recommandé de filmer alternativement en plan général et en gros plan. A ce stade, je ne comprenais toujours pas son manège.
Trois gars et une fille étaient à présent sortis du bain et commençaient à jeter des regards dans notre direction.
Abdou me dit : Ils se sont aperçus que je ne participais pas et ils vont vouloir me mettre à l'eau. Autant que j'y aille. Ne commence à filmer que lorsque je te ferais signe. La puce de la caméra à une capacité de deux heures.
Abdou se lève du transat où il était allongé et commence à se déshabiller en me faisant face.
Je te fais face, me dit-il un peu gêné, ce n'est pas pour te montrer mon truc, mais pour que les autres ne le voient pas tout de suite.
Chemise, puis pantalon furent vite sur le fauteuil. Quelle n'a pas été ma surprise en voyant surgir du boxer qu'il portait un sexe monumental, raide comme la justice et pratiquement plaqué contre son ventre. Une véritable batte de base-ball noire, beaucoup plus large que mon poignet, presque aussi volumineuse que mon bras, et qui se terminait au-dessus de son nombril par un gland monstrueux, bien plus large que la hampe qui déjà était hors normes. Dessous se balançait une paire de couilles proportionnelle à ce qui les soutenait. J'en suis restée littéralement ahurie, hébétée, stupide. Cette bite si volumineuse contrastait avec le côté filiforme de son porteur. Complètement détrôné, le Jack à côté de ce gros porteur ! Lentement Abdou s'est retourné pour faire face à la piscine et à ceux qui planifiaient de le mettre à l'eau. Conversations et cris se sont immédiatement terminés ; chacun regardant abasourdi cette matraque sortant du ventre de l'Africain.
Abdou a fait comme s'il ne se passait rien. Il a ramassé une balle qui traînait près de la piscine et est rentré dans l'eau. Tout sourire, il a envoyé la balle à un autre gars, qui lui-même l'a fait passé. Une partie agitée de balle a commencé dans l'eau, chacun essayait de l'avoir. Rires, gesticulations et forces éclaboussures. Les gars en profitaient à chaque récupération houleuse de balle, pour peloter l'une ou l'autre des filles. Le jeu marchait bien et les pelotages étaient de plus en plus évidents, les filles non seulement n'escamotaient pas, mais se prêtaient volontiers à ce petit jeu érotique, frottant leurs seins ou leurs fesses contre les gars qui essayaient de récupérer la balle. Abdou en faisait de même, mais il marquait uniquement Sylvie, la nouvelle petite amie de Jack. Abdou était sans cesse derrière elle et se pressait contre son dos autant qu'il le pouvait. Sylvie ne pouvait pas ignorer ce qui faisait pression dans son dos, vu les dimensions de l'appendice. Je voyais qu'elle était plus que consentante, car elle allait d'elle même au devant des stimuli d'Abdou en tendant ses fesses ou son dos contre le ventre d'Abdou. Jack regardait Abdou et Sylvie d'un œil noir, mais ne pouvait intervenir sans perdre la face. Pour deux autres couples, le manège était même plus avancé. Gars et fille étaient collés l'un à l'autre ne faisant plus qu'un joueur à quatre mains.Le jeu à ralenti, puis s'est arrêté. Abdou, m'a fait discrètement signe de commencer de filmer. Je m'exécutais donc, filmant la piscine puis cadrant de plus près Abdou collé contre Sylvie.
Abdou s'est penché sur Sylvie et lui a dit quelque chose à l'oreille. Elle a fait oui de la tête. Il est alors sorti de l'eau, a récupéré un matelas sur un transat et s'est allongé dessus. Sylvie est sortie à son tour, s'est brièvement essuyée avec une serviette et s'est positionnée debout à côté du matelas d'Abdou. Sylvie est une brune (une vrai avec une belle toison noire abondante), très svelte, relativement petite, ne pesant certainement pas plus de trente cinq kilos. Voyant cela, Franck est sorti de la piscine et a rejoint le duo. Il paraissait très énervé.
Qu'est-ce que tu vas faire ? hurla presque Franck.
Je vais baiser avec Abdou, répondit tranquillement Sylvie.
Tu ne peux pas faire cela !
Sylvie l'a regardé froidement et lui a répondu : tu m'as répété que tu étais pour l'amour libre.; chacun pouvant faire ce qu'il veut, avec qui il veut. Alors, je vais profiter de cette belle bite que m'offre gentiment ce beau mâle. Je n'en ai jamais eu de pareil dans le ventre !
Puis, sans attendre de réponse, elle s'est retournée vers Abdou et l'a chevauché en amazone. Abdou a saisi sa bite à deux mains pour la tenir à la verticale. Sylvie a soulevé le bassin et lentement s'est empalée sur le pieu monstrueux. J'essayais de me concentrer sur la prise de vue, mais j'avoue que cette vision porno en gros plan me troublait beaucoup. Voir ce gigantesque pieu noir écarteler la petite chatte velue de Sylvie, faisait plus que m'émouvoir. J'avais le ventre en feu et mon string était complètement trempé. Il a fallu a Sylvie de nombreux va-et-vient pour s'empaler complètement. Toutefois son sexe n'a pu absorber complètement l'énorme bite d'Abdou. Quinze bon centimètres restaient à l'extérieur et n'avaient pas droit à la visite de la grotte de la squaw. De là où j'étais, je voyais le sexe de Sylvie complètement distendu par le pal qui la pénétrait. Elle montait et descendait lentement, les yeux fermés, se mordant la lèvre inférieure. Franck regardait sidéré son égérie prendre du plaisir, son visage crispé en proie à la colère. Il s'est défoulé en traitant Sylvie de salope, mais elle n'en avait cure, beaucoup trop occupée à mettre à jour sa libido !
A part les deux couples formés dans l'eau et qui s'étaient mis à jouer à papa-maman, tout le monde regardait la scène. Sylvie chevauchait lentement et à ma surprise, eu très rapidement un orgasme qui parut la dévaster. Elle est restée de longues secondes courbée en avant, les seins plaqués contre le torse d'Abou.
Puis elle a repris sa chevauchée lente, a eu un deuxième puis un troisième orgasme. Abdou l'a alors retourné et l'a prise en levrette. Orgasme, arrêt, orgasme, arrêt, orgasme. La répétition de la scène a petit à petit clairsemé les spectateurs retournant à leurs envies personnelles de jouer eux aussi au docteur gynécologue. Si les filles sont dans mon état, me dis-je, je ne donne pas longtemps avant que tout le monde copule. Franck, dépité et dégoûté des agissements de Sylvie, s'est rapproché de Judith, une belle blonde un peu plantureuse et a commencé à lui faire du gringue. Toutefois, Judith ne semblait pas pressée de se donner à Franck et regardait intensément le duo Sylvie-Abdou. Abdou a continué de besogner Sylvie en levrette tout en lui introduisant les doigts dans le petit trou. Une main de Sylvie a tenté de le repousser ce qui a valu a sa propriétaire de recevoir une claque magistrale sur les fesses. Claque sans doute cuisante car Sylvie a hurlé et une belle tache rouge s'est épanouie sur sa fesse droite. Enfin, Abdou s'est retiré d'elle puis a appuyé sa verge au niveau de l'anus de Sylvie.
Non, je t'en pris, tu es trop gros !a-t-elle dit.
Nouvelle claque magistrale sur l'autre fesse.
Dans le viseur, je voyais l'incroyable verge progresser dans les reins de Sylvie qui maintenant hurlait de douleur et essayait de se dégager en tortillant du croupion. Abdou n'en avait cure, la tenait fermement et continuait sa progression. A mon grand étonnement, sa verge phénoménale est entrée entièrement dans Sylvie. Puis les lents va et viens d'Abdou ont progressivement éveillé le plaisir de Sylvie qui est devenue une véritable chienne en rut. Elle abreuvait Abdou de mots crus et poussait son derrière vers le gros porteur afin de se faire pénétrer encore plus profondément. Abdou avait l'air d'être ailleurs tout en besognant de plus en plus fort sa partenaire. Il regardait Judith droit dans les yeux. Elle-même n'en perdait pas une miette et se trémoussait discrètement. Franck était de dos et on voyait à l'agitation de ses bras qu'il insistait pour que Judith parte avec lui.
Hurlement de plaisir de Sylvie qui s'est complètement effondrée sous Abdou et ne bouge plus.
Abdou a dû décider qu'elle avait eu sa dose pour la soirée. Il retire son pieu des reins complètement dévastés de Sylvie, se lève bite au vent et avec un naturel surprenant va prendre Judith par la main. Elle se laisse faire et le suit sur un autre matelas. Franck est en rage, la traite de salope mais n'ose une fois de plus, rien contre Abdou.
Je continue de filmer. Même scénario qu'avec Sylvie. Amazone, levrette, sodomie. Mais l'ensemble dure moins longtemps. Judith glapit, hurle, brame, beugle, couine, jouit, jouit et jouit encore. Personnellement, je ne suis pas loin d'avoir un orgasme spontané. Cette chatte dévastée par cette énorme queue en gros plan dans mon viseur, associée aux cris de jouissance des partenaires d'Abdou font que mon string est a essorer. J'ai terriblement envie de subir le même sort, d'être à la merci de ce sexe monumental. Malheureusement le moindre mouvement brusque m'est douloureux.
Franck est maintenant auprès de Pascale qui vient de terminer une partie de jambe en l'air avec François. Elle est alanguie sur un matelas, les jambes légèrement écartées, du sperme coule de sa chatte. Franck s'agenouille devant elle et veut prendre la place du sortant. Elle n'est pas enthousiaste et le repousse des bras. Voyant cela, Abdou finit brutalement Judith par des coups de boutoirs d'une force inouïe. Judith hurle son plaisir puis se tait ravagée. Abdou se lève et demande tout sourire à Pascale qui vient de se refuser à Franck, si elle veut bien de lui. Pascale est d'accord et il la prend sur le champ en position du missionnaire. Franck est complètement abasourdi qu'aucune fille ne veuille sa belle queue dont il était si fier. Pascale commence à couiner complètement investie par le pieu d'Abdou. La bite de Franck fait profil bas. Elle est maintenant toute recroquevillée et pend lamentablement. Il s'éloigne et commence à se rhabiller. Je filme sa débandade, pensant que c'est cela que ma copine veut voir. Abdou besogne pendant une dizaine de minutes Pascale qui apprécie à en juger par le volume sonore. Il la termine par une sodomie magistrale qui lui fait oublier jusqu'à son nom. La plupart des mecs ne sont plus en état de copuler, ayant déposé leur semence plusieurs fois.
Puis Abdou me rejoint, toujours en érection et me dit :
Arrête la caméra. Un grand merci pour ta coopération. Sarah va être contente.
J'espère, dis-je, en lui remettant la caméra.
Ma pauvre tu dois être dans tous tes états.
J'acquiesce et j'enchaîne : je n'aurais jamais cru que réaliser un film hard me mettrait dans un état pareil. Mais il faut dire que l'acteur principal à tout pour réussir son rôle et ses partenaires ne trichent pas. Elles ont été défoncées d'importance !
Abdou me fait alors la surprenante proposition :
Je sais que tu as très envie de subir le sort des filles que j'ai baisées mais je sais également que cela ne t'est pas possible car tu as trop mal. Mais je n'ai pas joui de la soirée, cela t'intéresserait-il que je me libère sur toi et dans ta bouche ?
Je restais coite d'une telle proposition. J'étais hébété. Je le regardais sottement la bouche ouverte, puis mon regard est descendu sur sa bite toujours aussi raide et droite qui dodelinait à moins de quarante centimètres de moi. Avant que je réponde, il a enchaîné. Si tu ne le désires pas, ce n'est pas un problème, je suis sûr qu'une des filles ici présente me rendra ce service.
J'étais tellement mouillé et en transe que j'ai acquiescé en hochant timidement de la tête.
Abdou m'a délicatement retiré mon tee-shirt et mon soutif pour que je ne sois pas tâchée, me dit-il. Il s'est ensuite positionné devant moi et a présenté son mandrin devant ma bouche. Il m'a alors saisi les deux mains et les a positionnées sur son engin. Il était encore plus dur que je ne l'avais imaginé : un véritable bout de bois, et beaucoup plus gros de près : mes mains n'en faisaient pas le tour, loin s'en faut. J'ai ouvert la bouche, mais je n'ai pu y mettre que le gland et encore avec peine. J'ai sucé l'énorme gland de son truc tout en actionnant de bas en haut mes mains. Je suis loin d'être une experte, n'ayant pratiqué ce sport que deux fois auparavant, mais avec une seule main et une mise en bouche qui n'avait rien de commun avec ce qui m'étouffait presque. Quelle n'a pas été ma surprise quand moins de trente seconde après le départ des hostilités je recevais une énorme giclée dans la gorge. J'essayais de sortir cette bite de ma bouche, mais Abdou me tenait fermement la tête. Je reçus une deuxième puis une troisième giclée très abondantes avant qu'Abdou retire son pieu. J'avais la bouche débordante d'une quantité incroyable de sperme. Fait incroyable, d'avoir dans la bouche autant de sperme m'a déclenché un formidable orgasme. J'étais cramponné à sa bite et jouissais comme je n'avais jamais joui de ma vie. Durant mon orgasme, Abdou a continué à éjaculer pendant un temps qui me paru interminable. Je recevais d'abondantes giclées sur les lèvres, le front, les cheveux, l'ensemble du visage. Cela n'en finissait plus. Mes yeux ne voyaient plus, complètement collés par sa semence. Tout mon visage était ruisselant de sperme et il en arrivait encore et encore. Enfin, les jets se sont faits moins drus et c'est ma poitrine qui fut copieusement aspergée.
Abdou m'a passé une serviette sur les yeux afin que je puisse voir mais il s'est bien gardé de m'enlever le sperme de mon visage et de mes seins. Il m'a dit que j'étais très sexy maquillée de la sorte. Lorsque j'ai pu ouvrir les yeux, j'ai été éberluée de voir que sa bite était toujours en érection, toujours aussi roide. Avant que je puisse esquisser un geste ou dire quoi que ce soit, il m'a de nouveau pressé son mandrin sur les lèvres et m'a dit recommence, il y a plusieurs rounds avant la fin du match. J'ai recommencé à pomper tout en le masturbant. Il lui a fallu un peu plus de temps pour parvenir à l'orgasme. Il m'a maintenu la tête et ne s'est pas retiré de ma bouche. Toutefois, son gland n'était pas profondément enfoncé et j'ai pu avaler ses giclées au fur et à mesure de leur arrivée. J'en ai compté douze. Puis il y en a eu encore deux destinées à mes seins.
Abdou a alors entrepris de m'oindre presque entièrement le corps de son sperme en s'en servant comme d'un onguent. Il m'en a étalé sur l'ensemble du buste et du dos, ainsi que sur les jambes et les cuisses et bien évidemment sur le visage et le cou.
Enfin, il m'a proposé de me raccompagner à la maison avec sa voiture. J'ai accepté. De toute façon, la soirée était morte. Le comportement d'Abdou y était pour beaucoup.
La suite, vous vous en doutez ! Je suis une fille maintenant très libérée côté "sexe", ne manquant jamais un bon coup voir deux ! En prime, je vois Abdou de temps en temps et il me fait hurler de bonheur chaque fois qu'il honore l'ensemble de ma personne avec sa fabuleuse batte de base-ball.
Un soir d'été, je fus invitée chez une copine qui fêtait son anniversaire. Nous étions neuf filles et six gars. J'étais la plus jeune, les autres avaient entre 17 et 19 ans. La soirée se passait au bord de la piscine de la très belle villa de ses parents. C'était une belle soirée, l'air était chaud inclinant à la baignade. Musique latinos et alcool à profusion firent que la soirée devin vite chaude. Très vite l'ensemble des convives fût en état d'ébriété notable. Je ne buvais pas (je n'aime pas l'alcool) et je ne pouvait me mêler ni au chahut ni aux danses car j'avais un pied dans le plâtre suite à une très douloureuse foulure. Un autre convive également ne buvait pas et regardait la scène très froidement et presque avec ironie. C'était un Africain, beau gosse, d'1m 80, mais plutôt longiligne que baraqué. Nous étions deux donc à regarder les mains de plus en plus baladeuses lors des lambada et autres danses qui incitaient à se frotter. Seins, fesses entre autres étaient palpés de plus en plus fermement et ouvertement. Chaleur et alcool ont non seulement échauffé les esprits mais également les corps. La transpiration marquait les visages et les tee-shirts. Un des garçons a proposé un bain collectif dans la piscine ce qui vu les circonstances n'avait rien d'original. Sa proposition a été accueillie avec joie par la majorité des convives. Évidemment, le bain se ferait nu, cela allait de soit ! Quelques filles cependant ont renâclé un peu. Toutefois, petit à petit tout un chacun s'est déshabillé et a rejoint la piscine. Certains affichaient sans vergogne leur nudité, d'autres se faisaient plus furtifs ou furtives. Un beau gosse dénommé Jack, bien bâti, très musclé, se pavanait avec une érection très avantageuse. Il s'était déshabillé le premier a attendu que tout le monde soit au bain pour s'y rendre à son tour, prenant bien soin que gars et filles aient pu voir son bel engin !
Quand tout le monde fut au bain, exceptée ma petite personne handicapée, l'Africain se rapprocha de moi et me demanda si j'étais bien Agnès. J'approuvais. Il s'est présenté : Abdou ! Nous avons bavardé un moment de tout et de rien, pendant quelques minutes. Je lui demandais alors pourquoi il ne participait pas aux ébats nautiques collectifs. A mon grand étonnement, il me dit qu'il était ici en service commandé mais qu'il allait bientôt se baigner.
Quel service commandé, m'enquis-je ?
Tu vois le garçon qui a pavoisé avec sa belle érection ?
Oui, répondis-je, j'ai vu. Le gars avait une grosse bite, bien roide et trapue. Il était ressorti de l'eau et se pavanait de nouveau en tournant tout autour du bassin. J'avoue, que sa vue me troublait un peu, d'autant qu'il était super mignon. Je n'avais jamais eu l'occasion auparavant de voir un pénis affichant de telles proportions.
C'est jack. Il était le petit ami de ma copine, Sarah, je crois que c'est elle qui t'a invité.
Oui et je suis étonnée de son absence répondis-je.
Il l'a plaqué il y a trois jours et elle m'a demandé de la venger.
Comment ? Tu vas lui casser la gueule ?
Oh, non, ce sera beaucoup plus subtil.
Puis, il est allé chercher une mallette de laquelle il a extrait une caméra numérique.
Pourras-tu me rendre un service ? me demanda-t-il.
Ça dépend lequel !
Ce serait de filmer la suite des événements. D'une part cela plaisir à ma copine de visionner ce qui va se passer et d'autre part, ce sera une preuve en cas d'incident.
J'hésitais un peu, mais il m'a persuadé qu'il n'y avait rien de grave à filmer.
Tu seras la caméra de surveillance. Film tout !
Il m'a ensuite montré comment se servir de son appareil puis recommandé de filmer alternativement en plan général et en gros plan. A ce stade, je ne comprenais toujours pas son manège.
Trois gars et une fille étaient à présent sortis du bain et commençaient à jeter des regards dans notre direction.
Abdou me dit : Ils se sont aperçus que je ne participais pas et ils vont vouloir me mettre à l'eau. Autant que j'y aille. Ne commence à filmer que lorsque je te ferais signe. La puce de la caméra à une capacité de deux heures.
Abdou se lève du transat où il était allongé et commence à se déshabiller en me faisant face.
Je te fais face, me dit-il un peu gêné, ce n'est pas pour te montrer mon truc, mais pour que les autres ne le voient pas tout de suite.
Chemise, puis pantalon furent vite sur le fauteuil. Quelle n'a pas été ma surprise en voyant surgir du boxer qu'il portait un sexe monumental, raide comme la justice et pratiquement plaqué contre son ventre. Une véritable batte de base-ball noire, beaucoup plus large que mon poignet, presque aussi volumineuse que mon bras, et qui se terminait au-dessus de son nombril par un gland monstrueux, bien plus large que la hampe qui déjà était hors normes. Dessous se balançait une paire de couilles proportionnelle à ce qui les soutenait. J'en suis restée littéralement ahurie, hébétée, stupide. Cette bite si volumineuse contrastait avec le côté filiforme de son porteur. Complètement détrôné, le Jack à côté de ce gros porteur ! Lentement Abdou s'est retourné pour faire face à la piscine et à ceux qui planifiaient de le mettre à l'eau. Conversations et cris se sont immédiatement terminés ; chacun regardant abasourdi cette matraque sortant du ventre de l'Africain.
Abdou a fait comme s'il ne se passait rien. Il a ramassé une balle qui traînait près de la piscine et est rentré dans l'eau. Tout sourire, il a envoyé la balle à un autre gars, qui lui-même l'a fait passé. Une partie agitée de balle a commencé dans l'eau, chacun essayait de l'avoir. Rires, gesticulations et forces éclaboussures. Les gars en profitaient à chaque récupération houleuse de balle, pour peloter l'une ou l'autre des filles. Le jeu marchait bien et les pelotages étaient de plus en plus évidents, les filles non seulement n'escamotaient pas, mais se prêtaient volontiers à ce petit jeu érotique, frottant leurs seins ou leurs fesses contre les gars qui essayaient de récupérer la balle. Abdou en faisait de même, mais il marquait uniquement Sylvie, la nouvelle petite amie de Jack. Abdou était sans cesse derrière elle et se pressait contre son dos autant qu'il le pouvait. Sylvie ne pouvait pas ignorer ce qui faisait pression dans son dos, vu les dimensions de l'appendice. Je voyais qu'elle était plus que consentante, car elle allait d'elle même au devant des stimuli d'Abdou en tendant ses fesses ou son dos contre le ventre d'Abdou. Jack regardait Abdou et Sylvie d'un œil noir, mais ne pouvait intervenir sans perdre la face. Pour deux autres couples, le manège était même plus avancé. Gars et fille étaient collés l'un à l'autre ne faisant plus qu'un joueur à quatre mains.Le jeu à ralenti, puis s'est arrêté. Abdou, m'a fait discrètement signe de commencer de filmer. Je m'exécutais donc, filmant la piscine puis cadrant de plus près Abdou collé contre Sylvie.
Abdou s'est penché sur Sylvie et lui a dit quelque chose à l'oreille. Elle a fait oui de la tête. Il est alors sorti de l'eau, a récupéré un matelas sur un transat et s'est allongé dessus. Sylvie est sortie à son tour, s'est brièvement essuyée avec une serviette et s'est positionnée debout à côté du matelas d'Abdou. Sylvie est une brune (une vrai avec une belle toison noire abondante), très svelte, relativement petite, ne pesant certainement pas plus de trente cinq kilos. Voyant cela, Franck est sorti de la piscine et a rejoint le duo. Il paraissait très énervé.
Qu'est-ce que tu vas faire ? hurla presque Franck.
Je vais baiser avec Abdou, répondit tranquillement Sylvie.
Tu ne peux pas faire cela !
Sylvie l'a regardé froidement et lui a répondu : tu m'as répété que tu étais pour l'amour libre.; chacun pouvant faire ce qu'il veut, avec qui il veut. Alors, je vais profiter de cette belle bite que m'offre gentiment ce beau mâle. Je n'en ai jamais eu de pareil dans le ventre !
Puis, sans attendre de réponse, elle s'est retournée vers Abdou et l'a chevauché en amazone. Abdou a saisi sa bite à deux mains pour la tenir à la verticale. Sylvie a soulevé le bassin et lentement s'est empalée sur le pieu monstrueux. J'essayais de me concentrer sur la prise de vue, mais j'avoue que cette vision porno en gros plan me troublait beaucoup. Voir ce gigantesque pieu noir écarteler la petite chatte velue de Sylvie, faisait plus que m'émouvoir. J'avais le ventre en feu et mon string était complètement trempé. Il a fallu a Sylvie de nombreux va-et-vient pour s'empaler complètement. Toutefois son sexe n'a pu absorber complètement l'énorme bite d'Abdou. Quinze bon centimètres restaient à l'extérieur et n'avaient pas droit à la visite de la grotte de la squaw. De là où j'étais, je voyais le sexe de Sylvie complètement distendu par le pal qui la pénétrait. Elle montait et descendait lentement, les yeux fermés, se mordant la lèvre inférieure. Franck regardait sidéré son égérie prendre du plaisir, son visage crispé en proie à la colère. Il s'est défoulé en traitant Sylvie de salope, mais elle n'en avait cure, beaucoup trop occupée à mettre à jour sa libido !
A part les deux couples formés dans l'eau et qui s'étaient mis à jouer à papa-maman, tout le monde regardait la scène. Sylvie chevauchait lentement et à ma surprise, eu très rapidement un orgasme qui parut la dévaster. Elle est restée de longues secondes courbée en avant, les seins plaqués contre le torse d'Abou.
Puis elle a repris sa chevauchée lente, a eu un deuxième puis un troisième orgasme. Abdou l'a alors retourné et l'a prise en levrette. Orgasme, arrêt, orgasme, arrêt, orgasme. La répétition de la scène a petit à petit clairsemé les spectateurs retournant à leurs envies personnelles de jouer eux aussi au docteur gynécologue. Si les filles sont dans mon état, me dis-je, je ne donne pas longtemps avant que tout le monde copule. Franck, dépité et dégoûté des agissements de Sylvie, s'est rapproché de Judith, une belle blonde un peu plantureuse et a commencé à lui faire du gringue. Toutefois, Judith ne semblait pas pressée de se donner à Franck et regardait intensément le duo Sylvie-Abdou. Abdou a continué de besogner Sylvie en levrette tout en lui introduisant les doigts dans le petit trou. Une main de Sylvie a tenté de le repousser ce qui a valu a sa propriétaire de recevoir une claque magistrale sur les fesses. Claque sans doute cuisante car Sylvie a hurlé et une belle tache rouge s'est épanouie sur sa fesse droite. Enfin, Abdou s'est retiré d'elle puis a appuyé sa verge au niveau de l'anus de Sylvie.
Non, je t'en pris, tu es trop gros !a-t-elle dit.
Nouvelle claque magistrale sur l'autre fesse.
Dans le viseur, je voyais l'incroyable verge progresser dans les reins de Sylvie qui maintenant hurlait de douleur et essayait de se dégager en tortillant du croupion. Abdou n'en avait cure, la tenait fermement et continuait sa progression. A mon grand étonnement, sa verge phénoménale est entrée entièrement dans Sylvie. Puis les lents va et viens d'Abdou ont progressivement éveillé le plaisir de Sylvie qui est devenue une véritable chienne en rut. Elle abreuvait Abdou de mots crus et poussait son derrière vers le gros porteur afin de se faire pénétrer encore plus profondément. Abdou avait l'air d'être ailleurs tout en besognant de plus en plus fort sa partenaire. Il regardait Judith droit dans les yeux. Elle-même n'en perdait pas une miette et se trémoussait discrètement. Franck était de dos et on voyait à l'agitation de ses bras qu'il insistait pour que Judith parte avec lui.
Hurlement de plaisir de Sylvie qui s'est complètement effondrée sous Abdou et ne bouge plus.
Abdou a dû décider qu'elle avait eu sa dose pour la soirée. Il retire son pieu des reins complètement dévastés de Sylvie, se lève bite au vent et avec un naturel surprenant va prendre Judith par la main. Elle se laisse faire et le suit sur un autre matelas. Franck est en rage, la traite de salope mais n'ose une fois de plus, rien contre Abdou.
Je continue de filmer. Même scénario qu'avec Sylvie. Amazone, levrette, sodomie. Mais l'ensemble dure moins longtemps. Judith glapit, hurle, brame, beugle, couine, jouit, jouit et jouit encore. Personnellement, je ne suis pas loin d'avoir un orgasme spontané. Cette chatte dévastée par cette énorme queue en gros plan dans mon viseur, associée aux cris de jouissance des partenaires d'Abdou font que mon string est a essorer. J'ai terriblement envie de subir le même sort, d'être à la merci de ce sexe monumental. Malheureusement le moindre mouvement brusque m'est douloureux.
Franck est maintenant auprès de Pascale qui vient de terminer une partie de jambe en l'air avec François. Elle est alanguie sur un matelas, les jambes légèrement écartées, du sperme coule de sa chatte. Franck s'agenouille devant elle et veut prendre la place du sortant. Elle n'est pas enthousiaste et le repousse des bras. Voyant cela, Abdou finit brutalement Judith par des coups de boutoirs d'une force inouïe. Judith hurle son plaisir puis se tait ravagée. Abdou se lève et demande tout sourire à Pascale qui vient de se refuser à Franck, si elle veut bien de lui. Pascale est d'accord et il la prend sur le champ en position du missionnaire. Franck est complètement abasourdi qu'aucune fille ne veuille sa belle queue dont il était si fier. Pascale commence à couiner complètement investie par le pieu d'Abdou. La bite de Franck fait profil bas. Elle est maintenant toute recroquevillée et pend lamentablement. Il s'éloigne et commence à se rhabiller. Je filme sa débandade, pensant que c'est cela que ma copine veut voir. Abdou besogne pendant une dizaine de minutes Pascale qui apprécie à en juger par le volume sonore. Il la termine par une sodomie magistrale qui lui fait oublier jusqu'à son nom. La plupart des mecs ne sont plus en état de copuler, ayant déposé leur semence plusieurs fois.
Puis Abdou me rejoint, toujours en érection et me dit :
Arrête la caméra. Un grand merci pour ta coopération. Sarah va être contente.
J'espère, dis-je, en lui remettant la caméra.
Ma pauvre tu dois être dans tous tes états.
J'acquiesce et j'enchaîne : je n'aurais jamais cru que réaliser un film hard me mettrait dans un état pareil. Mais il faut dire que l'acteur principal à tout pour réussir son rôle et ses partenaires ne trichent pas. Elles ont été défoncées d'importance !
Abdou me fait alors la surprenante proposition :
Je sais que tu as très envie de subir le sort des filles que j'ai baisées mais je sais également que cela ne t'est pas possible car tu as trop mal. Mais je n'ai pas joui de la soirée, cela t'intéresserait-il que je me libère sur toi et dans ta bouche ?
Je restais coite d'une telle proposition. J'étais hébété. Je le regardais sottement la bouche ouverte, puis mon regard est descendu sur sa bite toujours aussi raide et droite qui dodelinait à moins de quarante centimètres de moi. Avant que je réponde, il a enchaîné. Si tu ne le désires pas, ce n'est pas un problème, je suis sûr qu'une des filles ici présente me rendra ce service.
J'étais tellement mouillé et en transe que j'ai acquiescé en hochant timidement de la tête.
Abdou m'a délicatement retiré mon tee-shirt et mon soutif pour que je ne sois pas tâchée, me dit-il. Il s'est ensuite positionné devant moi et a présenté son mandrin devant ma bouche. Il m'a alors saisi les deux mains et les a positionnées sur son engin. Il était encore plus dur que je ne l'avais imaginé : un véritable bout de bois, et beaucoup plus gros de près : mes mains n'en faisaient pas le tour, loin s'en faut. J'ai ouvert la bouche, mais je n'ai pu y mettre que le gland et encore avec peine. J'ai sucé l'énorme gland de son truc tout en actionnant de bas en haut mes mains. Je suis loin d'être une experte, n'ayant pratiqué ce sport que deux fois auparavant, mais avec une seule main et une mise en bouche qui n'avait rien de commun avec ce qui m'étouffait presque. Quelle n'a pas été ma surprise quand moins de trente seconde après le départ des hostilités je recevais une énorme giclée dans la gorge. J'essayais de sortir cette bite de ma bouche, mais Abdou me tenait fermement la tête. Je reçus une deuxième puis une troisième giclée très abondantes avant qu'Abdou retire son pieu. J'avais la bouche débordante d'une quantité incroyable de sperme. Fait incroyable, d'avoir dans la bouche autant de sperme m'a déclenché un formidable orgasme. J'étais cramponné à sa bite et jouissais comme je n'avais jamais joui de ma vie. Durant mon orgasme, Abdou a continué à éjaculer pendant un temps qui me paru interminable. Je recevais d'abondantes giclées sur les lèvres, le front, les cheveux, l'ensemble du visage. Cela n'en finissait plus. Mes yeux ne voyaient plus, complètement collés par sa semence. Tout mon visage était ruisselant de sperme et il en arrivait encore et encore. Enfin, les jets se sont faits moins drus et c'est ma poitrine qui fut copieusement aspergée.
Abdou m'a passé une serviette sur les yeux afin que je puisse voir mais il s'est bien gardé de m'enlever le sperme de mon visage et de mes seins. Il m'a dit que j'étais très sexy maquillée de la sorte. Lorsque j'ai pu ouvrir les yeux, j'ai été éberluée de voir que sa bite était toujours en érection, toujours aussi roide. Avant que je puisse esquisser un geste ou dire quoi que ce soit, il m'a de nouveau pressé son mandrin sur les lèvres et m'a dit recommence, il y a plusieurs rounds avant la fin du match. J'ai recommencé à pomper tout en le masturbant. Il lui a fallu un peu plus de temps pour parvenir à l'orgasme. Il m'a maintenu la tête et ne s'est pas retiré de ma bouche. Toutefois, son gland n'était pas profondément enfoncé et j'ai pu avaler ses giclées au fur et à mesure de leur arrivée. J'en ai compté douze. Puis il y en a eu encore deux destinées à mes seins.
Abdou a alors entrepris de m'oindre presque entièrement le corps de son sperme en s'en servant comme d'un onguent. Il m'en a étalé sur l'ensemble du buste et du dos, ainsi que sur les jambes et les cuisses et bien évidemment sur le visage et le cou.
Enfin, il m'a proposé de me raccompagner à la maison avec sa voiture. J'ai accepté. De toute façon, la soirée était morte. Le comportement d'Abdou y était pour beaucoup.
La suite, vous vous en doutez ! Je suis une fille maintenant très libérée côté "sexe", ne manquant jamais un bon coup voir deux ! En prime, je vois Abdou de temps en temps et il me fait hurler de bonheur chaque fois qu'il honore l'ensemble de ma personne avec sa fabuleuse batte de base-ball.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Noenoe
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j ai adorè
Quelle taille exactement cette grosse queue
Excellent!!!!