L'arme redoutable des femmes: La cage de chasteté
Récit érotique écrit par Sandratvtg [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur transexuel.
- • 31 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.1
- • L'ensemble des récits érotiques de Sandratvtg ont reçu un total de 192 703 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 15 868 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
L'arme redoutable des femmes: La cage de chasteté
Depuis plusieurs années, ma femme m'impose le port d'une cage de chasteté pour m’interdire d'avoir une érection.
Avec le temps, c'est devenu pour moi un plaisir addictif sur le plan mental en maintenant constamment mon désir et ma frustration.
En me transformant en chienne en chaleur, ma Domina a amplifiée jour après jour son extraordinaire emprise sur moi.
La cage m'a fait découvrir ce qui m'apporte de la jouissance.
La sodomie est le moyen que j'ai trouvé pour apaiser mes pulsions sexuelles.
En me godant trop rarement en cachette avec mes godes et plugs, j'arrive à éjaculer malgré ma queue flasque comprimée dans ma cage.
N'ayant plus d'érection, l'orgasme pénien ne me satisfait plus.
Mais, j'ai l'avantage de pouvoir mieux me concentrer sur mon plaisir anal en n'étant plus focalisé sur mon sexe.
Cela m'a donné aussi l'envie de me travestir et d'explorer ma féminité en portant de la lingerie.
C'est avec volupté que je m’assois sur les toilettes comme une fille pour soulager ma vessie.
Après avoir découvert la sodomie et réveillé la fille qui dormait en moi, la soumission a été le troisième plaisir que m'a fait découvrir ma femme.
Je n'ai plus qu'une obsession, obéir à celle qui porte la clé de ma cage et la satisfaire dans le secret espoir qu'elle me sodomise.
Je suis devenu grâce à elle un véritable expert du cunnilingus car c'est le seul plaisir qu'elle m'autorise quotidiennement.
En m'imposant la cage de chasteté, elle a pris le contrôle de ma sexualité en devenant cette mante religieuse qui domine son mâle en le castrant sciemment jour après jour.
La cage m'a changé mentalement en me rendant plus passif et docile.
Elle m'est devenue indispensable car je me sens nu sans elle.
Je suis heureux de la porter en permanence et de ne plus avoir l'obligation de bander en laissant s'épanouir ma féminité.
Devenant de plus en plus passif, j'ai voulu offrir ma chasteté à ma femme en lui donnant la clé de mes désirs.
J'ai pris conscience que son port permanent entraîne à la longue l'atrophie de mes corps caverneux qui ne peuvent plus fonctionner normalement car elle m'empêche d'avoir des érections nocturnes indispensables pour entretenir mes fonctions érectiles.
J'ai d'ailleurs remarqué que je ne suis plus réveillé la nuit par la compression de mon sexe dans sa cage car je ne bande plus.
De plus, mes taux de testostérone se sont effondrés.
En m'obligeant à porter ma cage plusieurs mois, ma femme savait pertinemment que cela allait me provoquer une perte d'érection évoluant vers une castration progressive mais définitive.
En fixant son regard sur ma queue flasque qui a rétrécie de quelques centimètres en plusieurs mois, elle m'avoue être contente d'avoir atteint son but.
- Ton sexe ayant diminué en taille, je vais devoir te mettre une cage plus petite.
- Je t'ai castré patiemment jour après jour pour arriver à ce résultat afin que tu me sois entièrement soumis.
Depuis, elle décide de tout à la maison en allant jusqu'à gérer mes comptes bancaires.
Je comprends mieux la raison pour laquelle de plus en plus de femmes incitent leur mari à porter une cage.
Le fait que je ne puisse plus la baiser n'est pas un problème pour elle, car elle reçoit ses amants à la maison en faisant l'amour devant moi.
Étant également lesbienne, c'est en fille et en lingerie qu'elle me veut désormais dans son lit.
Lors de nos séances de gouinage, elle aime faire coulisser un plug urétral dans ma queue encagée avant de me prendre avec son gode ceinture.
J'ai remarqué que le port prolongé de ma cage me déclenche des éjaculations précoces.
Dés les premières minutes lorsque ma Domina me prend au gode ceinture, je vois ma sève couler lentement en continu de ma queue flasque.
Quel plaisir de jouir en fille en restant passive sans être dans l'obligation de bander...
En ce qui me concerne, je ne l'ai pas souvent trompée car je suis surtout attiré par les femmes qui n'apprécient pas les hommes portant de la lingerie.
Je craque aussi pour les travesties très féminines malheureusement trop rares.
La dernière fois que j'en ai rencontré une c'était sur le site internet de Voissa.
Elle s'appelait Karine, Steven pour l'état civil. (je rapporte ici notre aventure en parlant de nous au féminin.)
Nous avons eu un coup de cœur toutes les deux en nous découvrant en filles sur nos blogs en constatant que nous partagions les mêmes désirs.
Nous décidons de nous rencontrer malgré les 600 kms qui nous séparent en faisant chacune la moitié du chemin.
Je réserve un hôtel quatre étoiles avec une chambre suffisamment spacieuse pour y passer les deux jours.
De mon côté, j'annonce à ma femme que j'ai un séminaire le week-end prochain.
Le jour du départ prise d'un soupçon prémonitoire, elle vérifie que ma cage est bien verrouillée.
Le samedi midi, j'arrive la première à l'hôtel pour avoir le temps de me préparer.
J'appelle Karine sur mon portable pour lui donner le numéro de ma chambre afin qu'elle monte directement sans passer par la réception.
J'ai apporté avec moi plusieurs guêpières, nuisettes, porte jarretelles, strings pour avoir le plaisir d'en changer régulièrement.
J'ai également emmené quelques jouets : un gode ceinture, des plugs, un vibro et mon érostek pour des séances d'électro stimulation.
Après avoir prise une douche, je m'arme d'un rasoir pour traquer les derniers poils encore visibles sur mon sexe, la raie de mes fesses et mes jambes.
Puis, j'installe mon ballstretcher de 400 gr autour de mes bourses pour les étirer et sentir cette exquise pesanteur entre mes jambes.
Je passe ensuite un long moment devant le miroir à me maquiller, ajuster ma perruque et à vernir mes ongles des mains et des pieds.
Poursuivant mes préparatifs, je me glisse dans ma guêpière mauve et noir en accrochant les dix jarretelles à mes bas cervin couleur chair et en plaçant mes prothèses en silicone dans les bonnets de ma guêpière.
Je ne porte pas de string voulant accueillir Karine avec ma cage de chasteté bien en évidence et sentir mon ballstretcher entourant mes testicules battre contre mes cuisses en marchant.
Son poids me donne d'agréables sensations et la vue de ma queue encagée et de mes bourses pendantes entre mes cuisses est très excitante...
Ensuite, J'enfile un déshabillé transparent en glissant mes pieds dans mes escarpins.
Puis, je sors d'un coffret mon bijou anal en l'enfonçant dans mes fesses.
C'est un rosebud de 600gr formé d'une tige en laiton ornée d'un saphir bleu Siam.
J'aime le sentir m'ouvrir la chatte qui devient humide de désir.
Enfin prête, je m'asperge d'un parfum enivrant à base de patchouli.
C'est avec impatience que je me lève en entendant frapper à ma porte.
En l'ouvrant, je découvre le visage souriant de Karine.
Elle est coiffée d'une perruque blonde coupée au carré qui encadre à merveille son visage androgyne.
Son corsage laisse apparaître son soutien gorge contenant avec peine sa voluptueuse poitrine en silicone.
Sa jupe courte fendue sur le côté découvre sa cuisse gainée de nylon.
Lorsqu'en tapant ce récit, je revois Karine rentrer dans ma chambre, je sens couler quelques gouttes de sève de ma queue encagée se répandre sur ma nuisette.
Sans perdre de temps, elle se déshabille en se glissant dans son serre taille blanc nacré en agrafant son soutien gorge de même couleur.
Elle poursuit en remontant une culotte fendue sur ses hanches et en enfilant avec sensualité ses bas ivoire qui mettent sa peau mate en valeur.
Perchée sur ses talons aiguilles, elle s'approche de moi en roulant des hanches.
Une lueur d'excitation brille dans ses yeux quand elle m'entraîne vers le lit.
Ses mains explorent mes dessous en allant de ma poitrine à mes cuisses avant de s'arrêter sur ma cage de chasteté.
Je lui explique que c'est ma femme qui m'oblige à la porter pour me garder chaste en son absence.
Je la rassure en lui disant que je mettrai un gode ceinture pour la prendre.
Ses doigts effleurent maintenant mon rosebud avant de le mordiller du bout des lèvres.
Nous nous caressons en nous embrassant longuement pour faire monter notre désir.
Puis, nous nous mettons tête bêche pour nous donner mutuellement du plaisir avec nos godes, plugs, vibro...
Nous jouons à celle qui fera jouir l'autre la première.
Karine plus vicieuse et expérimentée que moi gagne de peu.
Puis, nous faisons une courte pause en prenant une boisson dans le bar de la chambre.
Quelques instants plus tard, lorsqu'elle retire mon rosebud, je comprends qu'elle veut me faire l'amour.
Allongée entre mes cuisses, elle ne peut plus attendre et s'enfonce d'un coup dans mes reins.
Ses yeux rivés sur moi, elle me baise avec fougue jusqu'à ce qu'une vague déferlante de plaisir ne l'emporte en la faisant se vider au plus profond de mes entrailles.
Nous restons dans la chambre toute l'après midi et la soirée en prenant à peine le temps de manger.
Nous remontons du restaurant avec une forte envie de reprendre nos jeux.
Je fais essayer mon érostek à Karine en lui expliquant que l'électro stimulation donne des orgasmes secs c'est à dire sans éjaculation.
Ce qui permet de continuer à jouir en ayant les bourses vides.
Je lui enfonce un plug conducteur de courant dans les fesses, j'enveloppe ses testicules dans un parachute serti de fils électriques et je termine en posant un anneau pénien sur son frein.
Prenant en main le boîtier érostek, je recherche la routine qui la fera jouir rapidement.
Pendant que le courant du plug irradie son bas ventre, je vois ses bourses se soulever en cadence sous les impulsions des ondes électriques et sa queue en érection se balancer de haut en bas sous les décharges électriques de l'anneau qui entoure son gland.
Comme une femme, Karine jouit plusieurs fois de suite sans éjaculer.
Sa queue étant toujours bien dressée, je poursuis la séance pour lui déclencher d'autres orgasmes.
Puis, nous décidons d'échanger nos dessous en improvisant une séance d'essayage de lingerie devant le miroir de la chambre.
Après une courte nuit de sommeil enlacées l'une à l'autre, je me réveille en sentant Karine frotter ses cuisses gainées de nyloncontre les miennes.
Elle poursuit en passant ses mains sous ma nuisette tout en me pressant les seins pour une séance de câlins avant de nous lever.
En prenant des forces au petit déjeuner, nous nous mettons d'accord sur les jeux de rôles que nous vivront ensemble pendant la journée du dimanche qu'il nous reste.
sandratvtg@yahoo.fr
Avec le temps, c'est devenu pour moi un plaisir addictif sur le plan mental en maintenant constamment mon désir et ma frustration.
En me transformant en chienne en chaleur, ma Domina a amplifiée jour après jour son extraordinaire emprise sur moi.
La cage m'a fait découvrir ce qui m'apporte de la jouissance.
La sodomie est le moyen que j'ai trouvé pour apaiser mes pulsions sexuelles.
En me godant trop rarement en cachette avec mes godes et plugs, j'arrive à éjaculer malgré ma queue flasque comprimée dans ma cage.
N'ayant plus d'érection, l'orgasme pénien ne me satisfait plus.
Mais, j'ai l'avantage de pouvoir mieux me concentrer sur mon plaisir anal en n'étant plus focalisé sur mon sexe.
Cela m'a donné aussi l'envie de me travestir et d'explorer ma féminité en portant de la lingerie.
C'est avec volupté que je m’assois sur les toilettes comme une fille pour soulager ma vessie.
Après avoir découvert la sodomie et réveillé la fille qui dormait en moi, la soumission a été le troisième plaisir que m'a fait découvrir ma femme.
Je n'ai plus qu'une obsession, obéir à celle qui porte la clé de ma cage et la satisfaire dans le secret espoir qu'elle me sodomise.
Je suis devenu grâce à elle un véritable expert du cunnilingus car c'est le seul plaisir qu'elle m'autorise quotidiennement.
En m'imposant la cage de chasteté, elle a pris le contrôle de ma sexualité en devenant cette mante religieuse qui domine son mâle en le castrant sciemment jour après jour.
La cage m'a changé mentalement en me rendant plus passif et docile.
Elle m'est devenue indispensable car je me sens nu sans elle.
Je suis heureux de la porter en permanence et de ne plus avoir l'obligation de bander en laissant s'épanouir ma féminité.
Devenant de plus en plus passif, j'ai voulu offrir ma chasteté à ma femme en lui donnant la clé de mes désirs.
J'ai pris conscience que son port permanent entraîne à la longue l'atrophie de mes corps caverneux qui ne peuvent plus fonctionner normalement car elle m'empêche d'avoir des érections nocturnes indispensables pour entretenir mes fonctions érectiles.
J'ai d'ailleurs remarqué que je ne suis plus réveillé la nuit par la compression de mon sexe dans sa cage car je ne bande plus.
De plus, mes taux de testostérone se sont effondrés.
En m'obligeant à porter ma cage plusieurs mois, ma femme savait pertinemment que cela allait me provoquer une perte d'érection évoluant vers une castration progressive mais définitive.
En fixant son regard sur ma queue flasque qui a rétrécie de quelques centimètres en plusieurs mois, elle m'avoue être contente d'avoir atteint son but.
- Ton sexe ayant diminué en taille, je vais devoir te mettre une cage plus petite.
- Je t'ai castré patiemment jour après jour pour arriver à ce résultat afin que tu me sois entièrement soumis.
Depuis, elle décide de tout à la maison en allant jusqu'à gérer mes comptes bancaires.
Je comprends mieux la raison pour laquelle de plus en plus de femmes incitent leur mari à porter une cage.
Le fait que je ne puisse plus la baiser n'est pas un problème pour elle, car elle reçoit ses amants à la maison en faisant l'amour devant moi.
Étant également lesbienne, c'est en fille et en lingerie qu'elle me veut désormais dans son lit.
Lors de nos séances de gouinage, elle aime faire coulisser un plug urétral dans ma queue encagée avant de me prendre avec son gode ceinture.
J'ai remarqué que le port prolongé de ma cage me déclenche des éjaculations précoces.
Dés les premières minutes lorsque ma Domina me prend au gode ceinture, je vois ma sève couler lentement en continu de ma queue flasque.
Quel plaisir de jouir en fille en restant passive sans être dans l'obligation de bander...
En ce qui me concerne, je ne l'ai pas souvent trompée car je suis surtout attiré par les femmes qui n'apprécient pas les hommes portant de la lingerie.
Je craque aussi pour les travesties très féminines malheureusement trop rares.
La dernière fois que j'en ai rencontré une c'était sur le site internet de Voissa.
Elle s'appelait Karine, Steven pour l'état civil. (je rapporte ici notre aventure en parlant de nous au féminin.)
Nous avons eu un coup de cœur toutes les deux en nous découvrant en filles sur nos blogs en constatant que nous partagions les mêmes désirs.
Nous décidons de nous rencontrer malgré les 600 kms qui nous séparent en faisant chacune la moitié du chemin.
Je réserve un hôtel quatre étoiles avec une chambre suffisamment spacieuse pour y passer les deux jours.
De mon côté, j'annonce à ma femme que j'ai un séminaire le week-end prochain.
Le jour du départ prise d'un soupçon prémonitoire, elle vérifie que ma cage est bien verrouillée.
Le samedi midi, j'arrive la première à l'hôtel pour avoir le temps de me préparer.
J'appelle Karine sur mon portable pour lui donner le numéro de ma chambre afin qu'elle monte directement sans passer par la réception.
J'ai apporté avec moi plusieurs guêpières, nuisettes, porte jarretelles, strings pour avoir le plaisir d'en changer régulièrement.
J'ai également emmené quelques jouets : un gode ceinture, des plugs, un vibro et mon érostek pour des séances d'électro stimulation.
Après avoir prise une douche, je m'arme d'un rasoir pour traquer les derniers poils encore visibles sur mon sexe, la raie de mes fesses et mes jambes.
Puis, j'installe mon ballstretcher de 400 gr autour de mes bourses pour les étirer et sentir cette exquise pesanteur entre mes jambes.
Je passe ensuite un long moment devant le miroir à me maquiller, ajuster ma perruque et à vernir mes ongles des mains et des pieds.
Poursuivant mes préparatifs, je me glisse dans ma guêpière mauve et noir en accrochant les dix jarretelles à mes bas cervin couleur chair et en plaçant mes prothèses en silicone dans les bonnets de ma guêpière.
Je ne porte pas de string voulant accueillir Karine avec ma cage de chasteté bien en évidence et sentir mon ballstretcher entourant mes testicules battre contre mes cuisses en marchant.
Son poids me donne d'agréables sensations et la vue de ma queue encagée et de mes bourses pendantes entre mes cuisses est très excitante...
Ensuite, J'enfile un déshabillé transparent en glissant mes pieds dans mes escarpins.
Puis, je sors d'un coffret mon bijou anal en l'enfonçant dans mes fesses.
C'est un rosebud de 600gr formé d'une tige en laiton ornée d'un saphir bleu Siam.
J'aime le sentir m'ouvrir la chatte qui devient humide de désir.
Enfin prête, je m'asperge d'un parfum enivrant à base de patchouli.
C'est avec impatience que je me lève en entendant frapper à ma porte.
En l'ouvrant, je découvre le visage souriant de Karine.
Elle est coiffée d'une perruque blonde coupée au carré qui encadre à merveille son visage androgyne.
Son corsage laisse apparaître son soutien gorge contenant avec peine sa voluptueuse poitrine en silicone.
Sa jupe courte fendue sur le côté découvre sa cuisse gainée de nylon.
Lorsqu'en tapant ce récit, je revois Karine rentrer dans ma chambre, je sens couler quelques gouttes de sève de ma queue encagée se répandre sur ma nuisette.
Sans perdre de temps, elle se déshabille en se glissant dans son serre taille blanc nacré en agrafant son soutien gorge de même couleur.
Elle poursuit en remontant une culotte fendue sur ses hanches et en enfilant avec sensualité ses bas ivoire qui mettent sa peau mate en valeur.
Perchée sur ses talons aiguilles, elle s'approche de moi en roulant des hanches.
Une lueur d'excitation brille dans ses yeux quand elle m'entraîne vers le lit.
Ses mains explorent mes dessous en allant de ma poitrine à mes cuisses avant de s'arrêter sur ma cage de chasteté.
Je lui explique que c'est ma femme qui m'oblige à la porter pour me garder chaste en son absence.
Je la rassure en lui disant que je mettrai un gode ceinture pour la prendre.
Ses doigts effleurent maintenant mon rosebud avant de le mordiller du bout des lèvres.
Nous nous caressons en nous embrassant longuement pour faire monter notre désir.
Puis, nous nous mettons tête bêche pour nous donner mutuellement du plaisir avec nos godes, plugs, vibro...
Nous jouons à celle qui fera jouir l'autre la première.
Karine plus vicieuse et expérimentée que moi gagne de peu.
Puis, nous faisons une courte pause en prenant une boisson dans le bar de la chambre.
Quelques instants plus tard, lorsqu'elle retire mon rosebud, je comprends qu'elle veut me faire l'amour.
Allongée entre mes cuisses, elle ne peut plus attendre et s'enfonce d'un coup dans mes reins.
Ses yeux rivés sur moi, elle me baise avec fougue jusqu'à ce qu'une vague déferlante de plaisir ne l'emporte en la faisant se vider au plus profond de mes entrailles.
Nous restons dans la chambre toute l'après midi et la soirée en prenant à peine le temps de manger.
Nous remontons du restaurant avec une forte envie de reprendre nos jeux.
Je fais essayer mon érostek à Karine en lui expliquant que l'électro stimulation donne des orgasmes secs c'est à dire sans éjaculation.
Ce qui permet de continuer à jouir en ayant les bourses vides.
Je lui enfonce un plug conducteur de courant dans les fesses, j'enveloppe ses testicules dans un parachute serti de fils électriques et je termine en posant un anneau pénien sur son frein.
Prenant en main le boîtier érostek, je recherche la routine qui la fera jouir rapidement.
Pendant que le courant du plug irradie son bas ventre, je vois ses bourses se soulever en cadence sous les impulsions des ondes électriques et sa queue en érection se balancer de haut en bas sous les décharges électriques de l'anneau qui entoure son gland.
Comme une femme, Karine jouit plusieurs fois de suite sans éjaculer.
Sa queue étant toujours bien dressée, je poursuis la séance pour lui déclencher d'autres orgasmes.
Puis, nous décidons d'échanger nos dessous en improvisant une séance d'essayage de lingerie devant le miroir de la chambre.
Après une courte nuit de sommeil enlacées l'une à l'autre, je me réveille en sentant Karine frotter ses cuisses gainées de nyloncontre les miennes.
Elle poursuit en passant ses mains sous ma nuisette tout en me pressant les seins pour une séance de câlins avant de nous lever.
En prenant des forces au petit déjeuner, nous nous mettons d'accord sur les jeux de rôles que nous vivront ensemble pendant la journée du dimanche qu'il nous reste.
sandratvtg@yahoo.fr
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Sandratvtg
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...