L'utilisation du fémidom, - histoire érotique

Avant de sortir avec mon ami, je m'allonge sur mon lit pour mettre en place mon Fémidom qui est le préservatif féminin.
Comme cela est précisé dans la notice, je retire le petit anneau du fond pour l'utiliser en anal avant de le glisser dans ma chatte.
Puis, je plaque l'anneau le plus large contre mon pubis.

J'utilise souvent cette protection pour pimenter nos promenades en ville car elle présente de nombreux avantages:
Je me sens davantage une fille en sentant ce préservatif féminin dans mon intimité pour toute la journée.
Je ressens aussi une forte stimulation cérébrale à l'idée de pouvoir être prise rapidement dans des lieux publics, (jardins, cages d'immeubles, cabines d'essayages...)

Lorsqu'en nous promenant dans les allées d'un jardin public, je vois briller le désir dans les yeux de mon compagnon, je le prends par la main en l'attirant dans la végétation qui borde le chemin.
Puis, je sors sa queue de son pantalon pour m'assurer de son désir.
J'ai à mon tour une forte envie d'être prise et possédée en voyant qu'il bande déjà très fort.
Je sens monter en moi une vague de chaleur venue du fond de mes entrailles qui me laisse la chatte toute humide.

Portant une culotte fendue, je n'ai qu'à retrousser ma robe tout en écartant les cuisses pour être prise.
Cachée par la végétation du jardin, j'ai les bras tendus contre un arbre en étant un «peu- plier» pendant que mon ami fait le «bouleau»..
Me prenant au plus fort de sa pulsion sexuelle, il a son sexe bien dur et je sais qu'il ne risque pas de débander comme cela arrivait parfois quand je perdais du temps à détacher mes jarretelles pour retirer ma culotte et lui mettre son préservatif.
Ses yeux rivés sur ma chatte, mon ami écarte les dentelles de ma culotte en m'ouvrant les fesses à,deux mains...

Avant de me pénétrer, il fait glisser sa queue dans mon sillon anal pour amplifier son érection.
Puis, il presse son gland contre ma rosette pour la forcer à s'ouvrir.
Je deviens folle de désir lorsque j'entends son bassin claquer contre mes fesses en sentant ses bourses me fouetter les cuisses.
La tête rejetée en arrière, les yeux clos, je gémis à chaque fois qu'il s'enfonce en moi jusqu'à la racine de son sexe.
Ayant atteint le point de non retour, je suis emportée par une vague déferlante de plaisir.
Puis, voulant à mon tour terrasser sa queue pleine d'arrogance, j'entreprends un irrésistible massage fessier dont j'ai le secret.
Lorsque je sens en moi les spasmes de son sexe se rapprocher de plus en plus, je l'achève en tournant mes fesses sur son pivot de chair tout en pressant ses bourses pleines pour qu'il me féconde.
- Laisses moi t'achever, lui dis-je à voix basse.
Avant qu'il se retire de mes reins, je finis de pomper sa séve avec mes muscles intimes qui coule à l'intérieur de mes cuisses en s'infiltrant dans la lisière de mes bas.
- Tu m'as mis la dose, lui dis-je en souriant.

J'aime aussi qu'il me fasse l'amour à la hussarde dans les cabines d'essayages des grands magasins.
Dans cet espace restreint, je lui tourne le dos en mettant un pied sur le banc afin de lui ouvrir l’accès à ma salle de jeu.
Tout en cambrant mes fesses, je tends mes bras contre la cabine pour résister à ses assauts pendant que d'un puissant coup de rein, il m'enfonce sa queue jusqu'à la garde.
Excité de me baiser parmi les clients du magasin, il jouit très vite en m'inondant le ventre de sa séve qui me féconde.
Avant de quitter la cabine d'essayage, je sors une culotte propre de mon sac à main et j'enfonce un tampax dans ma chatte pour éviter que sa séve ne ruisselle en coulées blanchâtres sur mes bas à coutures.

Lors de ces sorties, je porte ma cage de chasteté pour éviter d'avoir une érection et rester plus concentrée sur mon plaisir de fille.
A la fin de la journée, je lui montre la quantité de sève que j'ai recueilli dans mon préservatif.

Lors de mes soirées dans les clubs libertins, je porte souvent mon bijou anal (rosebud) car cela excite la libido de mes amants d'un soir.
Je choisis les endroits fréquentés par des femmes matures qui drainent dans leur sillage de jeunes éphèbes attirés par leur sexualité débridée et sans tabou.
Je porte comme elles une tenue provocante pour mieux leur ressembler et dissimuler le fait d'être un travesti.
Souvent, un simple échange de regards suffit à établir le contact.
Dans cet endroit peu éclairé rien ne me distingue de ces femmes lorsque j'entraîne mon soupirant par la main dans la pénombre d'un salon privé.
Je me couche sur le ventre dans un sofa pour qu'il ne voit pas ma queue enfouie dans son écrin de lingerie car je veux lui faire croire qu'il va baiser une fille.
Je reléve ma jupe pour découvrir mes fesses en lui disant que j'ai mes règles et qu'il doit me prendre par derriére.
Puis, sans lui laisser le temps de me répondre, j'écarte les cuisses pour fixer son attention sur mon bijou anal enfoncé dans mes fesses et mes bas accrochés à six paires de jarretelles.
Son regard se fixe alors sur mon œillet frémissant de désir.
Il hésite un court instant en voyant mon fémidom et mon rosebud enfoncés dans ma chatte.
L'encourageant du regard, je retire mon bijou anal pour lui ouvrir l'accés à mes reins.
- Viens, j'ai envie de toi...
Dans l'obscurité des lieux, il ne se pose pas la question de savoir si je suis une fille.
Très excité à la pensée de pouvoir me sodomiser, il vient se glisser entre mes cuisses en me prenant avec toute la fougue de sa jeunesse.
J'ai alors le plaisir de me sentir baisée comme une femme.
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