Ma troublante expérience de l'élastrator

Récit érotique écrit par Sandratvtg [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur transexuel.
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Ma troublante expérience de l'élastrator
Chaque année aux USA mais aussi en France, de nombreux mâles lassés d'être dans l'obligation de bander ou ne voulant plus être esclaves de leurs hormones recherchent des dominatrices qui les castrent dans la clandestinité pour mieux les dominer.
Elles se servent pour cela de l'élastrator.
Avec cette pince très efficace, elles entourent leurs testicules à l'aide de puissants anneaux élastiques qui les compriment fortement.
N'étant plus irrigués par le sang, ils se dessèchent rapidement en s'éliminant naturellement de l'organisme.
C'est parfois douloureux et la plupart des adeptes doivent prendre des antalgiques pendant quelques jours.
Ne produisant plus de testostérone, ils deviennent dociles en se soumettant à leurs dominatrices qui les prennent avec leurs godes ceinture en se servant de leur anus comme d'un vagin.
Privés d'érection, ils sont plus concentrés sur leur orgasme anal qui les font devenir addict à ce plaisir.
J'attends aujourd'hui la visite de mon ami qui veut me faire essayer cette pince achetée sur internet.
Depuis quelques mois, je me suis faite à l'idée d'aller plus loin dans ma vie de fille.
En ne bandant plus, je pourrai mieux cacher ma queue devenue flasque entre mes cuisses et porter des strings arachnéens.
Il me suffira de rentrer mes testicules dans mes canaux inguinaux, (le tucking) pour me sentir plus femme dans ma lingerie glamour.
Le plaisir anal est devenu pour moi bien plus fort que l'orgasme pénien.
C'est pourquoi, je préfère jouir maintenant comme une femme que comme un homme.
J'aime sentir monter cette vague de chaleur venue du fond de mes entrailles qui me donne des papillons dans le ventre.
Lorsque ma chatte est prise de contractions, je suis emportée par une vague déferlante de plaisir qui me submerge.
L'idée que je ne pourrai plus jamais bander ne m'effraie pas, bien au contraire.
Avec le temps, je me suis lassée de devoir toujours bander pour satisfaire ma femme et je préfère maintenant me servir de ma chatte comme d'un vagin.
Je sourie en pensant que je devrais désormais sangler un gode ceinture autour de ma taille pour satisfaire mon épouse.
En attendant, j'enfile ma plus belle lingerie afin d'être la plus féminine possible.
Je poursuis ma transformation par une séance de maquillage avant de me coiffer d'une perruque blonde coupée au carré qui s'harmonise parfaitement avec la forme de mon visage.
Lorsque l'on sonne, je vais ouvrir perchée sur mes escarpins revêtue d'une guêpière dont les bonnets 105/D menacent de craquer sous la pression de mes seins en silicone.
Mes cuisses longues et pleines sont gaînées de nylon de couleur chair.
Le regard de Steve s'attarde sur mon adorable culotte fendue de couleur ivoire ornée de dentelle marron qui laisse entrevoir mon sexe épilé à travers mon déshabillé transparent.
Je suis heureuse de voir briller le désir dans ses yeux.
En m'embrassant, il passe sa main dans la raie de mes fesses pour s'assurer que je porte bien mon rosebud car il aime que mon œillet soit déjà ouvert et humide de désir lorsqu'il arrive chez moi.
Puis, il m'explique avec une pointe d'excitation dans la voix comment va se dérouler la séance en me montrant cette pince élastrator qui va changer ma vie.
Steve me rassure en me disant qu'il veut seulement faire un essai.
Il me demande de garder les puissantes élastiques autour de mes testicules seulement une demie heure pour éviter que ma castration ne devienne définitive.
Il retire mon déshabillé et m'entraîne vers le lit en m'allongeant sur le dos.
Il m'attache les poignets et les chevilles aux quatre pieds du sommier.
Puis, il arme la pince avec une puissante élastique destinée à produire une castration définitive si on la porte trop longtemps.
J'entends le déclic métallique que fait l'instrument lorsqu'il libère la bandelette élastique qui vient entourer et comprimer fortement ma glande.
Sans attendre, Steve fait subir le même sort à sa sœur jumelle.
Je ressens la pression implacable de ces puissantes élastiques qui écrasent mes vaisseaux sanguins en détruisant lentement mais inexorablement ma source de vie.
Cependant, je ne me suis jamais sentie aussi femme qu'à cet instant.
Dans le miroir qui me fait face, allongée sur le dos, j'ouvre les cuisses en me livrant sans pudeur à mon castrateur.
Il écarte ma culotte fendue en enfonçant sa langue dans mon œillet palpitant de désir.
Quelques instants plus tard, je prends à mon tour l'initiative de gober ses bourses en les tiraillant tendrement du bout des lèvres.
Puis, remontant ma langue le long de sa colonne de chair, j'aspire sa queue qui vient buter contre ma gorge en me déclenchant un petit haut le cœur.
Je pompe avec ardeur cette hampe virile tout en caressant ses bourses remplies de sève.
Je sens couler quelques gouttes séminales sur ma langue qui signent l'arrivée imminente de son orgasme.
Ne voulant pas jouir dans ma bouche, Steve me retourne sur le ventre en m'écartant les cuisses pour s'enfoncer dans ma chatte.
Je sens ses mains s'accrocher à mes hanches et son gland frapper à ma porte.
Avec perversité, je contracte mes muscles intimes pour lui résister et l'empêcher de me pénétrer ce qui l'oblige à forcer mon passage.
Steve presse sa queue contre mes fesses jusqu'à ce que mes sphincters cèdent sous la pression.
Je gémis de plaisir et de douleur mêlés lorsqu'il me transperce les entrailles jusqu'à la racine de son sexe.
Malgré ma castration en cours, je savoure mon bonheur de me sentir prise et bien remplie.
La pression lancinante des anneaux qui m'irradie le ventre me rappelle que je deviens un peu plus femme à chaque instant.
Très excitée, je murmure quelques mots à l'oreille de mon ami pour l'encourager à plus d'audace.
Haletante et le ventre en feu, je creuse les reins pour m'empaler plus à fond.
Mes fesses se contractent en rythme sur sa queue qui m'empale.
-Tu te donnes à moi comme une vraie femme, s'exclame-t-il!
Me mettant à califourchon sur son ventre, je lui porte le coup de grâce en me tortillant sur son pivot de chair tout en initiant d'amples bascules du bassin d'avant en arrière.
Je gémis de plaisir lorsque je sens sa sève qui me féconde s'écraser en jets puissants contre ma paroi anale.
Lorsque j'essuie le sperme qui coule sur mes cuisses, je m'aperçois que mes bourses sont devenues toutes bleues.
Mon fantasme de castration disparaît d'un coup devant cette vision.
Je suis prise de panique en pensant qu'il est peut-être trop tard pour retirer mes élastiques...
Je demande à Steve de m'aider à les enlever.
Il essaye en vain de les couper en essayant de passer les pointes d'un ciseau entre mes bourses et les anneaux.
Fort heureusement un internaute m'avait conseillé de passer un fil en nylon autour de ces anneaux pour pouvoir les retirer plus facilement au cas où je changerai d'avis.
Sans cela, c'était vraiment mission impossible et je mets en garde ceux qui ne prendraient pas cette précaution.
Je suis prise de frissons en pensant que j'aurai pu m'endormir après avoir fait l'amour et me réveiller quelques heures plus tard castrée définitivement.
Avez-vous envie d'essayer l'elastrator?
sandratvtg
Elles se servent pour cela de l'élastrator.
Avec cette pince très efficace, elles entourent leurs testicules à l'aide de puissants anneaux élastiques qui les compriment fortement.
N'étant plus irrigués par le sang, ils se dessèchent rapidement en s'éliminant naturellement de l'organisme.
C'est parfois douloureux et la plupart des adeptes doivent prendre des antalgiques pendant quelques jours.
Ne produisant plus de testostérone, ils deviennent dociles en se soumettant à leurs dominatrices qui les prennent avec leurs godes ceinture en se servant de leur anus comme d'un vagin.
Privés d'érection, ils sont plus concentrés sur leur orgasme anal qui les font devenir addict à ce plaisir.
J'attends aujourd'hui la visite de mon ami qui veut me faire essayer cette pince achetée sur internet.
Depuis quelques mois, je me suis faite à l'idée d'aller plus loin dans ma vie de fille.
En ne bandant plus, je pourrai mieux cacher ma queue devenue flasque entre mes cuisses et porter des strings arachnéens.
Il me suffira de rentrer mes testicules dans mes canaux inguinaux, (le tucking) pour me sentir plus femme dans ma lingerie glamour.
Le plaisir anal est devenu pour moi bien plus fort que l'orgasme pénien.
C'est pourquoi, je préfère jouir maintenant comme une femme que comme un homme.
J'aime sentir monter cette vague de chaleur venue du fond de mes entrailles qui me donne des papillons dans le ventre.
Lorsque ma chatte est prise de contractions, je suis emportée par une vague déferlante de plaisir qui me submerge.
L'idée que je ne pourrai plus jamais bander ne m'effraie pas, bien au contraire.
Avec le temps, je me suis lassée de devoir toujours bander pour satisfaire ma femme et je préfère maintenant me servir de ma chatte comme d'un vagin.
Je sourie en pensant que je devrais désormais sangler un gode ceinture autour de ma taille pour satisfaire mon épouse.
En attendant, j'enfile ma plus belle lingerie afin d'être la plus féminine possible.
Je poursuis ma transformation par une séance de maquillage avant de me coiffer d'une perruque blonde coupée au carré qui s'harmonise parfaitement avec la forme de mon visage.
Lorsque l'on sonne, je vais ouvrir perchée sur mes escarpins revêtue d'une guêpière dont les bonnets 105/D menacent de craquer sous la pression de mes seins en silicone.
Mes cuisses longues et pleines sont gaînées de nylon de couleur chair.
Le regard de Steve s'attarde sur mon adorable culotte fendue de couleur ivoire ornée de dentelle marron qui laisse entrevoir mon sexe épilé à travers mon déshabillé transparent.
Je suis heureuse de voir briller le désir dans ses yeux.
En m'embrassant, il passe sa main dans la raie de mes fesses pour s'assurer que je porte bien mon rosebud car il aime que mon œillet soit déjà ouvert et humide de désir lorsqu'il arrive chez moi.
Puis, il m'explique avec une pointe d'excitation dans la voix comment va se dérouler la séance en me montrant cette pince élastrator qui va changer ma vie.
Steve me rassure en me disant qu'il veut seulement faire un essai.
Il me demande de garder les puissantes élastiques autour de mes testicules seulement une demie heure pour éviter que ma castration ne devienne définitive.
Il retire mon déshabillé et m'entraîne vers le lit en m'allongeant sur le dos.
Il m'attache les poignets et les chevilles aux quatre pieds du sommier.
Puis, il arme la pince avec une puissante élastique destinée à produire une castration définitive si on la porte trop longtemps.
J'entends le déclic métallique que fait l'instrument lorsqu'il libère la bandelette élastique qui vient entourer et comprimer fortement ma glande.
Sans attendre, Steve fait subir le même sort à sa sœur jumelle.
Je ressens la pression implacable de ces puissantes élastiques qui écrasent mes vaisseaux sanguins en détruisant lentement mais inexorablement ma source de vie.
Cependant, je ne me suis jamais sentie aussi femme qu'à cet instant.
Dans le miroir qui me fait face, allongée sur le dos, j'ouvre les cuisses en me livrant sans pudeur à mon castrateur.
Il écarte ma culotte fendue en enfonçant sa langue dans mon œillet palpitant de désir.
Quelques instants plus tard, je prends à mon tour l'initiative de gober ses bourses en les tiraillant tendrement du bout des lèvres.
Puis, remontant ma langue le long de sa colonne de chair, j'aspire sa queue qui vient buter contre ma gorge en me déclenchant un petit haut le cœur.
Je pompe avec ardeur cette hampe virile tout en caressant ses bourses remplies de sève.
Je sens couler quelques gouttes séminales sur ma langue qui signent l'arrivée imminente de son orgasme.
Ne voulant pas jouir dans ma bouche, Steve me retourne sur le ventre en m'écartant les cuisses pour s'enfoncer dans ma chatte.
Je sens ses mains s'accrocher à mes hanches et son gland frapper à ma porte.
Avec perversité, je contracte mes muscles intimes pour lui résister et l'empêcher de me pénétrer ce qui l'oblige à forcer mon passage.
Steve presse sa queue contre mes fesses jusqu'à ce que mes sphincters cèdent sous la pression.
Je gémis de plaisir et de douleur mêlés lorsqu'il me transperce les entrailles jusqu'à la racine de son sexe.
Malgré ma castration en cours, je savoure mon bonheur de me sentir prise et bien remplie.
La pression lancinante des anneaux qui m'irradie le ventre me rappelle que je deviens un peu plus femme à chaque instant.
Très excitée, je murmure quelques mots à l'oreille de mon ami pour l'encourager à plus d'audace.
Haletante et le ventre en feu, je creuse les reins pour m'empaler plus à fond.
Mes fesses se contractent en rythme sur sa queue qui m'empale.
-Tu te donnes à moi comme une vraie femme, s'exclame-t-il!
Me mettant à califourchon sur son ventre, je lui porte le coup de grâce en me tortillant sur son pivot de chair tout en initiant d'amples bascules du bassin d'avant en arrière.
Je gémis de plaisir lorsque je sens sa sève qui me féconde s'écraser en jets puissants contre ma paroi anale.
Lorsque j'essuie le sperme qui coule sur mes cuisses, je m'aperçois que mes bourses sont devenues toutes bleues.
Mon fantasme de castration disparaît d'un coup devant cette vision.
Je suis prise de panique en pensant qu'il est peut-être trop tard pour retirer mes élastiques...
Je demande à Steve de m'aider à les enlever.
Il essaye en vain de les couper en essayant de passer les pointes d'un ciseau entre mes bourses et les anneaux.
Fort heureusement un internaute m'avait conseillé de passer un fil en nylon autour de ces anneaux pour pouvoir les retirer plus facilement au cas où je changerai d'avis.
Sans cela, c'était vraiment mission impossible et je mets en garde ceux qui ne prendraient pas cette précaution.
Je suis prise de frissons en pensant que j'aurai pu m'endormir après avoir fait l'amour et me réveiller quelques heures plus tard castrée définitivement.
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