L’arroseur arrosé 3/3
Récit érotique écrit par Chirlasuelta [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L’arroseur arrosé 3/3
Au matin, mon réveil est des plus doux. C’est la belle sensation de lèvres pulpeuses et d’une langue chaude et humide qui parcourent ma verge à moitié en érection qui me réveille. J’ouvre les yeux sur Océane qui me lèche le gland et quand elle se rend compte que je suis réveillé elle me sourit et commence à me sucer sérieusement. Rapidement, ma queue est complètement bandante et mon excitation grimpe. Océane semble tout autant excitée, même plus que moi. Elle se met à quatre pattes et me donne le cul. La veille, j’ai bien ravagé ses trous, ils sont encore bien dilatés.
— Baise-moi, Luc. Vite, vite !
Je suis surpris par la hâte qu’Océane me montre. Je me dis qu’elle doit être bien chaude. Sans trop de préliminaires, je me retrouve à la pénétrer en levrette très profondément pendant qu’elle prend beaucoup de plaisir de ma queue. Bizarrement, elle a voulu prendre la même position d’Andrea avec le black. Pour l’instant, je ne me fais pas de soucis, son con est encore enflé par l’alésage de la veille, et je prends beaucoup de plaisir en alternant le rythme.
— Baise-moi lentement. Ah, c’est tellement bon… Oui comme ça, lentement.
Je ralentis, je fais sortir mon vit lentement jusqu’au gland et je le remets autant plus lentement jusqu’à la garde. Je comprends pourquoi elle aime, la sensation est encore plus exquise. Je ferme les yeux et je me laisse aller à la sensation, les doigts bien enfoncés dans ses hanches généreuses, écoutant ses gémissements de plaisir qui se font toujours plus forts.
— C’est quoi ce bordel ?
Je reconnais la voix et mon cœur fait un bond dans ma poitrine. J’ouvre les yeux et je vois à l’entrée du bungalow Andrea, le trolley à la main, regardant les yeux et la bouche grand ouverte sa sœur et moi, à poils, ma queue encore bien au fond dans le vagin de sa sœur. J’ai un réflexe de peur, comme si on m’avait attrapé en flagrant délit. Et d’un côté, c’est vrai aussi. Océane descend du lit et après un instant, je fais de même, cachant mon érection d’une serviette.
— Qu’est-ce que vous faites, putain ?!
— Ce n'est pas comme il semble…
Je cherche encore à remédier, mais puis je me rends compte que je n’ai aucunement besoin de m’excuser. C’est elle la première qui m’a mis les cornes dans ce même bungalow, je n’ai fait que lui rendre le plaisir. Andrea se déchaîne sur moi, oubliant sa sœur qui reste à poils à la regarder me cogner de son sac à main et m’insulter de toutes les couleurs.
— Fils de pute ! Tu me mets les cornes avec ma sœur ! Connard !
Je me cache le visage d’un bras et j’accuse deux ou trois coups qui font monter ma rage. Je saisis le sac, le lui arrache des mains, et je la saisis d’un bras la secouant avec force. Finalement, elle se tait.
— Ouais, je baise avec ta sœur, et alors ?! Tu n'as rien à me reprocher, toi qui te fais tringler comme une salope par un black. C’est pour ça, tu ne voulais pas venir, sale pute ! T’avais peur que je découvre ton petit secret…
Andrea me regarde ahuri et elle se tourne vers sa sœur qui sourit largement à notre embrouille. Elle s’approche lentement d’Océane, et je reconnais son regard de psychopathe. C’est encore pire que la rage, parce que ça monte lentement. Je reste dans mon coin et je regarde où toute cette histoire va nous ramener.
— Tu lui as montré la vidéo ?
Océane hausse les épaules, toute nue, et fière de sa mise. Son regard est narquois, et regarde sa sœur de haut en bas, se suçant les dents.
— Ouais et alors ?
— Putain Océane ! T’avais seulement à effacer la vidéo, pas la lui montrer et en plus te faire… Baiser! Par mon copain.
— T’avais qu’à ne pas lui mettre des cornes avec MON copain !
— Je croyais qu’on avait fait la paix !
— Œil pour œil dent pour dent ma chérie. Ou mieux, bitte pour bitte et chatte pour chatte dans ce cas.
Les choses ont pris une tournure bien bizarre et très rapidement. Il me faut un moment, mais toute l’histoire devient bien claire et je comprends mieux. Mais surtout, je comprends aussi que, dans cette histoire, je ne suis qu’un objet. Andrea me met les cornes, elle se bagarre avec moi en pensant que je n’allais pas partir, mais en voyant que j’y allais toujours elle demande à Océane de m’accompagner pour effacer les preuves. Mais Océane n’efface pas la vidéo, me la montre et m’utilise comme vengeance sur Andrea qui a couché avec le black qui est son mec, en couchant avec le mec de sa sœur… Que c’est moi ! Puis elle fait en sorte qu’Andréa arrive au moment où je la baise pour savourer la vengeance. Si avant j’étais enragé, maintenant je suis très amusé par le retournement tordu de situation. Je regarde les deux femelles se lancer des injures et Andrea assener une bonne gifle à sa sœur qui répond par une autre gifle. Rapidement, elles se battent comme des chats en se tirant des cheveux.
La rage laisse lentement place à l’amusement, et pendant qu’elles se tirent les cheveux et se traitent de putes, je me mets à rigoler comme un fou. Elles se sont bien amusées avec moi jusqu’à présent… Maintenant, c’est à mon tour de m’amuser ! Je saisis Océane des cheveux, elle grince des dents et je la jette sur le lit. J’accorde le même traitement à Andrea qui se retrouve près de sa sœur. Toutes les deux abasourdies, me regardent sans comprendre. J’arrache la petite robe d’Andrea qui, comme d’habitude ne porte pas de soutiens, et je ne la laisse habillée que de son string. Ce n’est que quand elles se trouvent à poils, qu’elles se rendent compte de mon expression, et je parie qu’elles comprennent à peu près où je veux arriver. L’érection est bien évidente, et c’est la plus puissante depuis tout le séjour.
— Vous m’avez usées ? Ben maintenant, c’est à mon tour de vous user !
— Mais t’es malade toi…
À peine Andrea réussit à terminer sa phrase que je cramponne ma main sur ses cheveux. Pendant qu’elle crie, j’offre le même traitement à Océane. Les deux sœurs sont assises une près de l’autre, cuisse contre cuisse, j’approche leurs têtes et j’écrase la joue d’une contre la joue de l’autre. Avant qu’Andrea ne puisse dire un mot, elle se retrouve la bouche bourrée de ma queue, la lui mettant jusque dans la gorge. Elle gesticule un peu, mais je vois qu’on fond elle ne fait pas trop de résistance. Elle ne me tape pas et surtout ne me mord pas. Je fais trois aller-retours dans sa bouche jusqu’au fond de sa gorge, sauvagement. Ma queue la laisse ravagée et s’enfile dans la gueule d’Océane qui voulait s’opposer, mais qui termine d'accepter la queue. Je ne me retiens pas et je me fais sucer en fonçant la bitte dans leurs gorges, non curant de leurs haut-le-cœur. Je suis très surpris qu’elles se laissent faire comme des salopes, elles me sucent carrément et avec beaucoup de goût pendant que je leur tiens fortement les têtes des mains, les écrasant une contre l’autre. Leurs salives se mélangent, épaisses, et dégoulinent de leurs lèvres pendant que leurs langues, carrément, se touchent entre elles. Je force tellement dans leur gorge à tours de rôles qu’elle sont bien étourdies et larmoyantes, mais je vois aussi très excités par le traitement. Andrea se laisse tomber sur le lit, toussant.
— C’est bon, on a compris ! Ça suffit maintenant…
— C’est moi qui décide !
— T’es un vrai pervers, me lance Océane.
Je saisis Andrea la première par la taille et je la jette sur le lit à plat ventre, les genoux sur le sol, sous le regard d’Océane qui se retrouve peu après dans la même position. Je me retrouve avec les deux belles-sœurs le cul à l’air, le fil du string bien niché entre les fesses d’Andrea que la position écarte, ne cachant ni chatte ni fion, que j’ai en première vue ainsi que les trous d’Océane. J’ai vu le sourire d’Océane et je sais qu’au fond, elle n’attend que ça. Andrea n’est pas tout à fait d’accord, mais elle reste dans la position que je l’ai mise. Je claque fortement les fesses des deux sœurs en simultané et j’observe leurs belles demi-lunes trembler sous le coup et la peau se rougir instantanément. Elles émettent un cri entre douleur et plaisir.
— Vous vous êtes bien amusées avec moi, hein, les salopes ?
Je les fesse à nouveau. Cette fois, le cri est de plaisir et je vois déjà leurs cons mouiller. Je répète une dernière fois, et j’insère au même moment mes doigts dans leurs moules bien chauds. Je suis très surpris mais aussi très heureux de sentir le con d’Andrea inondé de mouille. Je pistonne assez profondément chaque con de deux doigts et leur geins de plaisir se mélangent en une douce mélodie.
— Vous vous ressemblez en tout, vous êtes deux grosses putes.
Je remonte les doigts vers leurs culs et je les insère dans leurs fions. Je ne suis pas surpris du relâchement d’Océane, mais c’est bien nouveau de sentir l’anus d’Andrea aussi relâché. Océane se lèche les lèvres et Andrea se les mords poussant le cul vers moi. Et j’ai l’impression que ce n’est pas le premier triolisme entre sœurs qu’elles expérimentent.
— Ah les salopes… Vous vous êtes déjà partagé une queue au même temps, n’est-ce pas ?
C’est Océane qui me répond en hochant la tête, complètement emporté par le plaisir du doigt dans le cul. Je sens Andrea plus timide à avouer ses cochonneries qu’elle m’a toujours cachées.
— Vous êtes deux petites garces incestueuses, deux petites putes qui aiment les queues ! Si vous vouliez un triolisme, vous n’aviez qu’à me le dire.
La rage refait surface, et je suis très content, car je donne le meilleur de moi-même sous son effet. Et c’est sur Andrea que je déchaîne ma rage. Je déplace le fil du string, je saisis ma pine et je l’insère dans son con sans aucun préliminaire. Je regarde Océane qui observe ma queue disparaître dans le con de sa sœur, un regard très excité. La queue glisse facilement et éjecte des flots de mouilles à son passage sauvage. Andrea cambre le dos et pousse un long cri de plaisir que j’entends pour la première fois. Une fois le gland tout au fond de son vagin, je m’arrête. Je regarde les deux sœurs, et je donne des petits coups dans son trou, remuant la queue, chose qui la fait glousser.
— C’est tout ? Je croyais que vous étiez plus cochonnes que ça.
Je claque les fesses d’Andrea qui resserre le vagin sur ma queue en haletant. J’offre le même service à Océane et je vois que c’est elle la plus chaude.
— Allez, montrez moi les garces que vous êtes. Ou je ne suis pas à votre goût ?
Comme je l’imaginais, c’est Océane la première qui s’engage dans la débauche. Elle saisit sa sœur du menton et elle lui roule une pêle très chaude. Andrea ne se déglace pas tout de suite, mais sous les pénétrations de la langue de sa sœur, et mes petits coups de bite, rapidement elle rend le baiser qui devient obscène. Pendant qu’elles se baisent la bouche de leurs langues en couinant, je commence mes pénétrations dans le con toujours plus mouillé d’Andrea. Je creuse bien mes reins pour insérer à chaque fois la queue bien au fond, pendant que d’une main, je pelote les fesses de sa sœur. Le baiser continue, et les mains d’Andrea vont caresser le corps d’Océane qui, elle, vient caresser les fesses de sa sœur les écartant pour moi. Je me retiens un moment dans la fente d’Andrea et puis je me dédie à pistonner celle d’Océane.
Dès que j’insère la bitte dans sa moule liquéfiée, Andrea rampe sur le lit et je la regarde très surpris, prendre place, les jambes écartées, devant sa sœur. Océane a le con d’Andrea sous le nez, et cette dernière écarte les lèvres de sa chatte exposant son clitoris et son trou que ma bitte a élargi. Océane lui dévore aussitôt le con, sa langue lape la mouille qui suinte du trou et puis se dédie au clitoris. Andrea glousse fortement de plaisir, et la petite scène très chaude et surtout très incestueuse me fait déchaîner, encore plus quand les deux petites salopes jouissent.
Rapidement, je me retrouve allongé sur le lit, regardant Andrea, qui accroupit, en cambrant le dos et s’appuyant des mains à mes genoux, s’empale le cul de ma poutre lentement. Océane lui masse les seins, titille ses tétons de la langue, et coule une main vers son clitoris qu’elle branle avec beaucoup de fougue. C’est la première fois que je sodomise Andrea. La salope, elle s’est toujours refusée, probablement par peur que je ne comprenne qu’elle se fait défoncé le cul par des grosses bittes dans mon dos. Son cul est encore plus relâché que celui de sa sœur.
Pendant qu’elle se glisse sur ma poutre et que j’écartèle ses chairs, Océane part vers la commode et ramène avec elle une panoplie de jouets. Elle s’insère le plug en queue-de-renard dans le cul pendant que sa sœur commence à monter et à descendre sur mon vit. Océane saisit un gros vibromasseur et titille du gland le clitoris d’Andrea qui glousse fortement de plaisir. Je regarde le gland disparaître dans la moule bien ouverte d’Andrea, et juste après, je le sens sur ma bite à travers la fine paroi qui les sépare. La vibration envoie Andrea au septième ciel et je n'en suis pas de moins. Océane en collant la langue à celle de sa sœur lui pistonne la chatte du gros gode en s’alignant sur le rythme des pénétrations de ma queue. Rapidement, la baise se déchaîne et Andrea monte et descend rapidement sur ma verge en couinant. Son cul est bien élargi, mais me suce quand même le vit. Océane coince le vibromasseur dans la chatte de sa sœur et se met debout pour qu’Andréa lui lèche et lui pénètre le con de sa langue. Nous restons ainsi le temps qu’il faut aux deux putes pour jouir comme des vraies garces.
La position change à nouveau, et maintenant, c’est au tour d’Océane de se faire ravager le cul, allongée sur le dos, les jambes bien écartés. Andrea lui lèche les seins, l’embrasse, lui caresse le clitoris et lui met les doigts dans le con. Les deux putes n’arrêtent pas de crier de plaisir fortement. Je prends un gode et je le lui mets dans le con, Andrea s’occupe de lui pistonner la chatte pendant qu’Océane lui branle le clitoris et que je me fais happer la queue par le cul de la salope. Cette dernière joui fortement au moins deux fois en rapide succession. J’ai tenu longuement pour profiter de ce triolisme que je ne pouvais même pas imaginer, mais maintenant, je sens que je vais décharger. Je sais qu’Andréa reconnaît mon expression et en fait part à Océane.
Je me retire et les deux sœurs se mettent rapidement à genoux sur le lit et s’emparent de ma bite. Elles la lèchent, la sucent à tour de rôle, me branlent sauvagement. Je grogne fortement de plaisir en les regardant les joues collées entre elle, me traire la bitte pour recevoir le lait sur les visages de garces. Je ne tarde pas longtemps et en un long râle de plaisir, je déferle ma semence sur leur visage. Les jets vont à droite à gauche, sur tous leurs visages et beaucoup sur leurs langues. Elle m’essore le vit complètement en gémissant de plaisir et une fois qu’elle n’ont plus rien à traire elle se dédie à se nettoyer une à l’autre, léchant comme des chattes en chaleur la foutre épaisse qui les a recouvertes de façon obscène.
Le séjour s’est poursuivi à trois, très chaud. Je les ai tringlés dans le sauna, la piscine, le jacuzzi, et même dans la kitchenette. On a bien usé le harnais et à peu près tous les jouets disponibles. Jamais je n’aurais pensé que ces deux sœurs tellement mignonnes cachaient des garces qui se faisaient du pognon sur un site porno dans mon dos, et plus d’une fois. Mais j’ai bien pris ma revanche, j’ai besogné leurs trous à sang presque. À chaque baise, leurs trous étaient toujours plus larges, n’arrivant même pas à se refermer. Je vous laisse imaginer que je n’ai pas quitté Andrea, après. En fin de compte, elle s’était finalement rendu compte que ma verge valait mieux que celle de ses amants. Et, bien sûr, je n’ai pas à vous dire qu’Océane s’est rapidement installée chez nous. Et qu’elles ont pu annoncer à leurs clients qu’un nouveau membre avait rejoint la famille.
— Baise-moi, Luc. Vite, vite !
Je suis surpris par la hâte qu’Océane me montre. Je me dis qu’elle doit être bien chaude. Sans trop de préliminaires, je me retrouve à la pénétrer en levrette très profondément pendant qu’elle prend beaucoup de plaisir de ma queue. Bizarrement, elle a voulu prendre la même position d’Andrea avec le black. Pour l’instant, je ne me fais pas de soucis, son con est encore enflé par l’alésage de la veille, et je prends beaucoup de plaisir en alternant le rythme.
— Baise-moi lentement. Ah, c’est tellement bon… Oui comme ça, lentement.
Je ralentis, je fais sortir mon vit lentement jusqu’au gland et je le remets autant plus lentement jusqu’à la garde. Je comprends pourquoi elle aime, la sensation est encore plus exquise. Je ferme les yeux et je me laisse aller à la sensation, les doigts bien enfoncés dans ses hanches généreuses, écoutant ses gémissements de plaisir qui se font toujours plus forts.
— C’est quoi ce bordel ?
Je reconnais la voix et mon cœur fait un bond dans ma poitrine. J’ouvre les yeux et je vois à l’entrée du bungalow Andrea, le trolley à la main, regardant les yeux et la bouche grand ouverte sa sœur et moi, à poils, ma queue encore bien au fond dans le vagin de sa sœur. J’ai un réflexe de peur, comme si on m’avait attrapé en flagrant délit. Et d’un côté, c’est vrai aussi. Océane descend du lit et après un instant, je fais de même, cachant mon érection d’une serviette.
— Qu’est-ce que vous faites, putain ?!
— Ce n'est pas comme il semble…
Je cherche encore à remédier, mais puis je me rends compte que je n’ai aucunement besoin de m’excuser. C’est elle la première qui m’a mis les cornes dans ce même bungalow, je n’ai fait que lui rendre le plaisir. Andrea se déchaîne sur moi, oubliant sa sœur qui reste à poils à la regarder me cogner de son sac à main et m’insulter de toutes les couleurs.
— Fils de pute ! Tu me mets les cornes avec ma sœur ! Connard !
Je me cache le visage d’un bras et j’accuse deux ou trois coups qui font monter ma rage. Je saisis le sac, le lui arrache des mains, et je la saisis d’un bras la secouant avec force. Finalement, elle se tait.
— Ouais, je baise avec ta sœur, et alors ?! Tu n'as rien à me reprocher, toi qui te fais tringler comme une salope par un black. C’est pour ça, tu ne voulais pas venir, sale pute ! T’avais peur que je découvre ton petit secret…
Andrea me regarde ahuri et elle se tourne vers sa sœur qui sourit largement à notre embrouille. Elle s’approche lentement d’Océane, et je reconnais son regard de psychopathe. C’est encore pire que la rage, parce que ça monte lentement. Je reste dans mon coin et je regarde où toute cette histoire va nous ramener.
— Tu lui as montré la vidéo ?
Océane hausse les épaules, toute nue, et fière de sa mise. Son regard est narquois, et regarde sa sœur de haut en bas, se suçant les dents.
— Ouais et alors ?
— Putain Océane ! T’avais seulement à effacer la vidéo, pas la lui montrer et en plus te faire… Baiser! Par mon copain.
— T’avais qu’à ne pas lui mettre des cornes avec MON copain !
— Je croyais qu’on avait fait la paix !
— Œil pour œil dent pour dent ma chérie. Ou mieux, bitte pour bitte et chatte pour chatte dans ce cas.
Les choses ont pris une tournure bien bizarre et très rapidement. Il me faut un moment, mais toute l’histoire devient bien claire et je comprends mieux. Mais surtout, je comprends aussi que, dans cette histoire, je ne suis qu’un objet. Andrea me met les cornes, elle se bagarre avec moi en pensant que je n’allais pas partir, mais en voyant que j’y allais toujours elle demande à Océane de m’accompagner pour effacer les preuves. Mais Océane n’efface pas la vidéo, me la montre et m’utilise comme vengeance sur Andrea qui a couché avec le black qui est son mec, en couchant avec le mec de sa sœur… Que c’est moi ! Puis elle fait en sorte qu’Andréa arrive au moment où je la baise pour savourer la vengeance. Si avant j’étais enragé, maintenant je suis très amusé par le retournement tordu de situation. Je regarde les deux femelles se lancer des injures et Andrea assener une bonne gifle à sa sœur qui répond par une autre gifle. Rapidement, elles se battent comme des chats en se tirant des cheveux.
La rage laisse lentement place à l’amusement, et pendant qu’elles se tirent les cheveux et se traitent de putes, je me mets à rigoler comme un fou. Elles se sont bien amusées avec moi jusqu’à présent… Maintenant, c’est à mon tour de m’amuser ! Je saisis Océane des cheveux, elle grince des dents et je la jette sur le lit. J’accorde le même traitement à Andrea qui se retrouve près de sa sœur. Toutes les deux abasourdies, me regardent sans comprendre. J’arrache la petite robe d’Andrea qui, comme d’habitude ne porte pas de soutiens, et je ne la laisse habillée que de son string. Ce n’est que quand elles se trouvent à poils, qu’elles se rendent compte de mon expression, et je parie qu’elles comprennent à peu près où je veux arriver. L’érection est bien évidente, et c’est la plus puissante depuis tout le séjour.
— Vous m’avez usées ? Ben maintenant, c’est à mon tour de vous user !
— Mais t’es malade toi…
À peine Andrea réussit à terminer sa phrase que je cramponne ma main sur ses cheveux. Pendant qu’elle crie, j’offre le même traitement à Océane. Les deux sœurs sont assises une près de l’autre, cuisse contre cuisse, j’approche leurs têtes et j’écrase la joue d’une contre la joue de l’autre. Avant qu’Andrea ne puisse dire un mot, elle se retrouve la bouche bourrée de ma queue, la lui mettant jusque dans la gorge. Elle gesticule un peu, mais je vois qu’on fond elle ne fait pas trop de résistance. Elle ne me tape pas et surtout ne me mord pas. Je fais trois aller-retours dans sa bouche jusqu’au fond de sa gorge, sauvagement. Ma queue la laisse ravagée et s’enfile dans la gueule d’Océane qui voulait s’opposer, mais qui termine d'accepter la queue. Je ne me retiens pas et je me fais sucer en fonçant la bitte dans leurs gorges, non curant de leurs haut-le-cœur. Je suis très surpris qu’elles se laissent faire comme des salopes, elles me sucent carrément et avec beaucoup de goût pendant que je leur tiens fortement les têtes des mains, les écrasant une contre l’autre. Leurs salives se mélangent, épaisses, et dégoulinent de leurs lèvres pendant que leurs langues, carrément, se touchent entre elles. Je force tellement dans leur gorge à tours de rôles qu’elle sont bien étourdies et larmoyantes, mais je vois aussi très excités par le traitement. Andrea se laisse tomber sur le lit, toussant.
— C’est bon, on a compris ! Ça suffit maintenant…
— C’est moi qui décide !
— T’es un vrai pervers, me lance Océane.
Je saisis Andrea la première par la taille et je la jette sur le lit à plat ventre, les genoux sur le sol, sous le regard d’Océane qui se retrouve peu après dans la même position. Je me retrouve avec les deux belles-sœurs le cul à l’air, le fil du string bien niché entre les fesses d’Andrea que la position écarte, ne cachant ni chatte ni fion, que j’ai en première vue ainsi que les trous d’Océane. J’ai vu le sourire d’Océane et je sais qu’au fond, elle n’attend que ça. Andrea n’est pas tout à fait d’accord, mais elle reste dans la position que je l’ai mise. Je claque fortement les fesses des deux sœurs en simultané et j’observe leurs belles demi-lunes trembler sous le coup et la peau se rougir instantanément. Elles émettent un cri entre douleur et plaisir.
— Vous vous êtes bien amusées avec moi, hein, les salopes ?
Je les fesse à nouveau. Cette fois, le cri est de plaisir et je vois déjà leurs cons mouiller. Je répète une dernière fois, et j’insère au même moment mes doigts dans leurs moules bien chauds. Je suis très surpris mais aussi très heureux de sentir le con d’Andrea inondé de mouille. Je pistonne assez profondément chaque con de deux doigts et leur geins de plaisir se mélangent en une douce mélodie.
— Vous vous ressemblez en tout, vous êtes deux grosses putes.
Je remonte les doigts vers leurs culs et je les insère dans leurs fions. Je ne suis pas surpris du relâchement d’Océane, mais c’est bien nouveau de sentir l’anus d’Andrea aussi relâché. Océane se lèche les lèvres et Andrea se les mords poussant le cul vers moi. Et j’ai l’impression que ce n’est pas le premier triolisme entre sœurs qu’elles expérimentent.
— Ah les salopes… Vous vous êtes déjà partagé une queue au même temps, n’est-ce pas ?
C’est Océane qui me répond en hochant la tête, complètement emporté par le plaisir du doigt dans le cul. Je sens Andrea plus timide à avouer ses cochonneries qu’elle m’a toujours cachées.
— Vous êtes deux petites garces incestueuses, deux petites putes qui aiment les queues ! Si vous vouliez un triolisme, vous n’aviez qu’à me le dire.
La rage refait surface, et je suis très content, car je donne le meilleur de moi-même sous son effet. Et c’est sur Andrea que je déchaîne ma rage. Je déplace le fil du string, je saisis ma pine et je l’insère dans son con sans aucun préliminaire. Je regarde Océane qui observe ma queue disparaître dans le con de sa sœur, un regard très excité. La queue glisse facilement et éjecte des flots de mouilles à son passage sauvage. Andrea cambre le dos et pousse un long cri de plaisir que j’entends pour la première fois. Une fois le gland tout au fond de son vagin, je m’arrête. Je regarde les deux sœurs, et je donne des petits coups dans son trou, remuant la queue, chose qui la fait glousser.
— C’est tout ? Je croyais que vous étiez plus cochonnes que ça.
Je claque les fesses d’Andrea qui resserre le vagin sur ma queue en haletant. J’offre le même service à Océane et je vois que c’est elle la plus chaude.
— Allez, montrez moi les garces que vous êtes. Ou je ne suis pas à votre goût ?
Comme je l’imaginais, c’est Océane la première qui s’engage dans la débauche. Elle saisit sa sœur du menton et elle lui roule une pêle très chaude. Andrea ne se déglace pas tout de suite, mais sous les pénétrations de la langue de sa sœur, et mes petits coups de bite, rapidement elle rend le baiser qui devient obscène. Pendant qu’elles se baisent la bouche de leurs langues en couinant, je commence mes pénétrations dans le con toujours plus mouillé d’Andrea. Je creuse bien mes reins pour insérer à chaque fois la queue bien au fond, pendant que d’une main, je pelote les fesses de sa sœur. Le baiser continue, et les mains d’Andrea vont caresser le corps d’Océane qui, elle, vient caresser les fesses de sa sœur les écartant pour moi. Je me retiens un moment dans la fente d’Andrea et puis je me dédie à pistonner celle d’Océane.
Dès que j’insère la bitte dans sa moule liquéfiée, Andrea rampe sur le lit et je la regarde très surpris, prendre place, les jambes écartées, devant sa sœur. Océane a le con d’Andrea sous le nez, et cette dernière écarte les lèvres de sa chatte exposant son clitoris et son trou que ma bitte a élargi. Océane lui dévore aussitôt le con, sa langue lape la mouille qui suinte du trou et puis se dédie au clitoris. Andrea glousse fortement de plaisir, et la petite scène très chaude et surtout très incestueuse me fait déchaîner, encore plus quand les deux petites salopes jouissent.
Rapidement, je me retrouve allongé sur le lit, regardant Andrea, qui accroupit, en cambrant le dos et s’appuyant des mains à mes genoux, s’empale le cul de ma poutre lentement. Océane lui masse les seins, titille ses tétons de la langue, et coule une main vers son clitoris qu’elle branle avec beaucoup de fougue. C’est la première fois que je sodomise Andrea. La salope, elle s’est toujours refusée, probablement par peur que je ne comprenne qu’elle se fait défoncé le cul par des grosses bittes dans mon dos. Son cul est encore plus relâché que celui de sa sœur.
Pendant qu’elle se glisse sur ma poutre et que j’écartèle ses chairs, Océane part vers la commode et ramène avec elle une panoplie de jouets. Elle s’insère le plug en queue-de-renard dans le cul pendant que sa sœur commence à monter et à descendre sur mon vit. Océane saisit un gros vibromasseur et titille du gland le clitoris d’Andrea qui glousse fortement de plaisir. Je regarde le gland disparaître dans la moule bien ouverte d’Andrea, et juste après, je le sens sur ma bite à travers la fine paroi qui les sépare. La vibration envoie Andrea au septième ciel et je n'en suis pas de moins. Océane en collant la langue à celle de sa sœur lui pistonne la chatte du gros gode en s’alignant sur le rythme des pénétrations de ma queue. Rapidement, la baise se déchaîne et Andrea monte et descend rapidement sur ma verge en couinant. Son cul est bien élargi, mais me suce quand même le vit. Océane coince le vibromasseur dans la chatte de sa sœur et se met debout pour qu’Andréa lui lèche et lui pénètre le con de sa langue. Nous restons ainsi le temps qu’il faut aux deux putes pour jouir comme des vraies garces.
La position change à nouveau, et maintenant, c’est au tour d’Océane de se faire ravager le cul, allongée sur le dos, les jambes bien écartés. Andrea lui lèche les seins, l’embrasse, lui caresse le clitoris et lui met les doigts dans le con. Les deux putes n’arrêtent pas de crier de plaisir fortement. Je prends un gode et je le lui mets dans le con, Andrea s’occupe de lui pistonner la chatte pendant qu’Océane lui branle le clitoris et que je me fais happer la queue par le cul de la salope. Cette dernière joui fortement au moins deux fois en rapide succession. J’ai tenu longuement pour profiter de ce triolisme que je ne pouvais même pas imaginer, mais maintenant, je sens que je vais décharger. Je sais qu’Andréa reconnaît mon expression et en fait part à Océane.
Je me retire et les deux sœurs se mettent rapidement à genoux sur le lit et s’emparent de ma bite. Elles la lèchent, la sucent à tour de rôle, me branlent sauvagement. Je grogne fortement de plaisir en les regardant les joues collées entre elle, me traire la bitte pour recevoir le lait sur les visages de garces. Je ne tarde pas longtemps et en un long râle de plaisir, je déferle ma semence sur leur visage. Les jets vont à droite à gauche, sur tous leurs visages et beaucoup sur leurs langues. Elle m’essore le vit complètement en gémissant de plaisir et une fois qu’elle n’ont plus rien à traire elle se dédie à se nettoyer une à l’autre, léchant comme des chattes en chaleur la foutre épaisse qui les a recouvertes de façon obscène.
Le séjour s’est poursuivi à trois, très chaud. Je les ai tringlés dans le sauna, la piscine, le jacuzzi, et même dans la kitchenette. On a bien usé le harnais et à peu près tous les jouets disponibles. Jamais je n’aurais pensé que ces deux sœurs tellement mignonnes cachaient des garces qui se faisaient du pognon sur un site porno dans mon dos, et plus d’une fois. Mais j’ai bien pris ma revanche, j’ai besogné leurs trous à sang presque. À chaque baise, leurs trous étaient toujours plus larges, n’arrivant même pas à se refermer. Je vous laisse imaginer que je n’ai pas quitté Andrea, après. En fin de compte, elle s’était finalement rendu compte que ma verge valait mieux que celle de ses amants. Et, bien sûr, je n’ai pas à vous dire qu’Océane s’est rapidement installée chez nous. Et qu’elles ont pu annoncer à leurs clients qu’un nouveau membre avait rejoint la famille.
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