Le plaisir n'a pas de genre - Partie 1
Récit érotique écrit par Chirlasuelta [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Le plaisir n'a pas de genre - Partie 1
Je m'appelle Adèle. 35 ans. Célibataire. Et je fais partie depuis quelques années d'un groupe d'amies, exclusivement des femmes entre 35 et 50 ans, presque toutes mariées. On se réunit régulièrement pour des soirées filles. On boit des verres, on discute, plus rarement on se raconte des petits secrets coquins... Mais mon secret personne ne le connaît encore.
Je n'ai pas intégré ce groupe de femmes par hasard, j'ai toujours eu un penchant pour le sexe opposé. J'aime toujours un bon coup avec une belle grosse bite, mais le corps féminin a toujours eu un attrait particulier sur moi. De beaux gros seins m'excitent beaucoup plus que des pectoraux musclés. La chatte humide m'attire plus qu'une bite. Et pas que ça. Les lèvres, les rondeurs, les fesses... Tout ! Mais dans mon groupe d'amies personne n'est au courant de mon penchant et je fais très attention à ce qu'elles ne le sache pas. Je ne sais pas pourquoi, mais très probablement pour continuer à avoir ces petites rencontres entre amies... Faire la douche ensemble à la salle de sport... Toutes nues, mouillées, exposant nos sexes sans honte. Oui, c'est tordu, je reconnais, mais c'est plus fort que moi.
Puis un jour, Sandra est arrivée. Sandra avait 47 ans, fraîchement divorcée, qui venait d'emménager dans notre ville. Elle était maman de 3 enfants, dont la plus grande avait 19 ans. La plus grande s'appelle Clara. Et bien que Sandra m'ai toujours excité... C'est Clara qui me faisait mouillé a chaque fois que je la rencontrais. Et je la rencontrais souvent. En attendant de trouver un appartement Sandra habitait chez sa cousine Émilie qui est ma meilleure amie et qui habite l'appartement en dessous du mien.
Clara est l'apothéose de la féminité. Elle est belle, sait qu'elle est belle et fait la sexy. Elle a un petit visage délicat et sensuel. Des yeux verts de biche aux longs cils. Des lèvres roses pulpeuses. De très longs cheveux châtains qui lui arrivent aux fesses. Qu'elle s'habille en mini-jupe, en jean ou en jogging, elle fait toujours en sorte que ses seins assez généreux soient bien exposés, en plus, elle ne met jamais de soutiens et ses tétons pointent de sous le tissu.
Dans son attitude elle me ressemble beaucoup. Du groupe d'amies, je suis probablement celle qui veut être toujours sexy... Toujours talons aiguilles et décolleté généreux. C'est probablement pour ça que j'ai réussi à gagner la sympathie de Clara. On était devenues meilleures amies et elle passait souvent chez moi pour discuter, avoir des conseils surtout conseils sur le sexe. Sauf qu'elle ne savait pas que ma chatte était en feu à chaque fois qu'elle se jetait sur mon canapé et me racontait ses petits secrets intimes, la jupe qui remontait sur ses cuisses et laissait apparaître le fond bombé de ses slips ou plus souvent de son string. Plus d'une fois avec l'excuse des toilettes, je m'y enfermais pour me masturber sauvagement avec mon gode. Des fois, elle venait chez moi voir un film, elle se pressait contre moi et je sentais ses seins sur mon bras. Plus d'une fois, j'aurais voulu lui proposer de la baiser, de lui faire connaître les plaisirs de l'amour avec une femme, mais si jamais elle se refusait et le racontait à sa mère, j'aurais été dans la merde.
Puis un vendredi vers 23 h pendant que je m'apprêtais à sortir pour une rencontre, car j'avais tellement besoin d'une bonne baise et un bon cunni surtout, on a sonné à ma porte. Quand j'ai ouverg la porte Clara entra dans mon appartement comme une furie en sanglotant. J'ai mouillé aussitôt que je l'ai vu. Elle devait sûrement rentrer de soirée. Elle portait une mini robe rose fuchsia qui lui arrivait aux fesses avec une fermeture éclair sur le devant. Ses seins explosaient carrément de son décolleté et la fermeture éclair semblait péter à tout moment. Elle avait des bottines talons aiguilles noires et un boléro de fourrure noir dont elle se défit aussitôt en le jetant sur le sol. Ses cheveux étaient ramassés en deux longues tresses et à force de pleurer son mascara avait couler sur ses joues.
- Qu'est-ce que tu as ? Je lui ai demandé.
- Je peux passer la nuit chez toi ?
Toujours en sanglotant, elle se jeta sur le canapé. Je l'ai aussitôt rejointe et je me suis assise auprès d'elle. Elle avait dit à sa mère qu'elle allait dormir chez son amie Jeanne, mais qu'elle préférait passer la nuit chez moi. Ça ne me dérangeait pas, mais j'avais vraiment besoin de baiser avec une femme et elle chez moi habillé ainsi dormant dans mon lit, j'allais péter. Mais d'un côté, je ne pouvais pas la laisser comme ça. J'ai passé un bras sur ses épaules et, aussitôt, elle est venue écraser sa joue contre mes seins. Entre un sanglot et un autre, elle m'a expliqué qu'elle avait eu un rencard avec un type de 24 ans qui allait à l'université. Ils étaient allés dans une boîte et qu'elle s'attendait à une jolie soirée et une bonne baise chez lui dans son appart, mais qu'au lieu, il l'a ramener dans les toilettes de la boîte et il l'a baiser debout en levrette contre un mur crade.
- Il m'a baisé en une minute, m'a rempli de foutre et je n'ai même pas joui. Comme si j'étais une chienne.
- Ma chérie ne t'en fait pas, les hommes c'est des salauds. Il ne pense qu'à leur plaisir. Pas comme nous...
Sur ces mots, Clara a relevé la tête, s'est essuyé les larmes et m'a regardé. Avant que je ne comprenne ce regard, elle m'embrassa sur les lèvres. Surprise, mais surtout incrédule, je l'ai laisser faire sans réagir, mais aussitôt elle se retira et elle se remit a sangloter.
- Je suis moche...
Il me fallut un moment pour comprendre et me reprendre. Entre temps, Clara s'était mise debout devant mon miroir et elle se regardait. Je l'ai rejointe et je la regardais aussi dans le reflet.
- Mais non ma chérie, tu es spectaculaire, regarde toi.
Sur ces mots, je sentis Clara reculer et venir presser son cul contre mon bassin. Ses mouvements me lançaient des signaux clairs... Ainsi que son regard coquin.
- Tu trouves ? Elle fit en poussant son cul encore plus vers moi.
Je l'ai regardé et son regard était explicite. J'ai alors descendu sa fermeture éclair et je lui ai enlevé sa robe. Elle était spectaculaire et elle s'était bien préparée pour la soirée. Elle avait mis un complet très sexy avec ces soutiens-gorge ouvert sans bonnets, en dentelle noire et un slip fendu qui montrait son sexe explicitement. Une jolie petite fente bien rasée et fraîche.
- Tu es magnifique.
J'avais la gorge nouée par tant de beauté et par le fait qu'elle était immobile, se laissant admirer. Ses seins étaient ronds, fermes, blancs, ses tétons d'un rose pâle, tendus et durs.
- Les hommes n'y connaissent rien.
Mes mains sur ses épaules, toutes mes appréhensions s'évanouirent. Clara, quant à elle, se blottissait toujours plus à moi, tellement que mes seins s'écrasaient sur son dos. J'ai posé mes mais sur sa poitrine en les passant à plat sur ses seins. Je sentais ses tétons durs comme de la roche sur mes paumes. Ne voyant pas de réaction, j'ai continué à les frotter ainsi. J'étais haletante, excitée à bout, la mouille nappait mes cuisses. Clara ferma les yeux et soupira voluptueusement à ces caresses. J'ai alors descendus une main en caressant son ventre tandis que l'autre main alla à son pubis, mais pas plus bas. Je voulais savourer chaque instant. J'ai massé son mont de venus, juste en haut de son sexe. Clara soupira et ses mains vinrent chercher mes cuisses qu'elle agrippa. Je n'en revenais pas. Mon cœur bondissait de joie à l'idée que mes fantasmes prenaient vie.
- Ils ne sont pas comme nous... Entre femmes, on sait se donner du plaisir.
Je la sentais complètement relâchée dans mes bras. En la caressant, je la dévorais du regard dans le reflet, la tête reposant sur mon épaule. J'ai saisi ses seins tellement fermes et durs. Je les ai pétris, et elle commença à haleter et gémir quand j'ai écrasé ses tétons entre le pouce et l'index. Je n'arrivais pas à tenir plus longtemps.
Je devais sentir sa chatte, y goûter. Je l'ai tourné vers moi et aussitôt, elle m'enlaça et colla sa bouche à la mienne. J'ai vite fit pénétrer ma langue dans sa bouche et mes mains se resserrèrent sur ses fesses toutes rondes et chaudes. Doucement, je l'ai poussé vers le canapé ainsi, bouche contre bouche, mes mains qui pétrissaient ses fesses. Quand ses jambes touchèrent le canapé elle s'y laissa tomber de tout son poids. Elle me regarda pendant que je me défis de ma robe restant en lingerie me mettant à genoux devant elle.
- Je ne suis pas gouine...
Sa voix tremblait. J'ai souri en la rassurant tout en posant mes mains sur ses genoux.
- Le plaisir n'a pas de genre. Et je vais t'en donner beaucoup.
J'ai écarté ses jambes et elle se laissa faire sans s'y opposer et je pus voir sa chatte s'ouvrir devant moi. Elle s'était vachement bien épilée. Les lèvres étaient soudées entre elles, grasses, rose pâle, rien n'y dépassait. La dentelle du slip fendu faisait ressortir son joli con. Cette petite chatte était magnifique et devait être aussi délicieuse. Clara me suivait du regard, sa respiration était désordonnée, haletante. Personne ne devait lui avoir écarté ainsi les jambes, ni caresser ses cuisses soyeuses. Rien que la sensation de mes mains sur sa peau faisait frémir sa petite chatte. J'arrivais déjà à voir les spasmes du plaisir sur cet antre étroit et soyeux.
Un petit filet de cyprine se fit brèche entre ses chairs et apparu comme une petite goutte qui amena mon regard sur ce bouton tout rose et serré qu'était son anus. Je sentais ma chatte frémir de désir en regardant ce spectacle. J'ai déposé un baiser sur sa cuisse et elle haleta plus fort. J'ai approché mon visage à sa fente. Rien que la chaleur de mon souffle sur son sexe le fit frémir et dégorger encore quelques gouttes de cyprine. Je voulais m'y jeter dessus comme une bête sauvage et la dévorer, mais je sus me retenir pour savourer chaque instant. Jamais je n'ai eu l'occasion de voir un si beau con sous mes yeux. Elle sentait la fille en chaleur, mais aussi le foutre qui devait lui avoir nappé tout le sexe et qui devait être encore niché au fond de son vagin. Il me fallait de toucher cet antre secret avant d'y goûter.
J'ai pris tout mon temps, d'un côté pour profiter au maximum, mais aussi pour l'habituer au toucher d'une femme. Ce n'était pas comme les autres qui avaient l'habitude, elle était encore inexperte dans le plaisir entre femmes. Clara continuait à me regarder, attentive. Ses tresses longues se trouvaient entre ses seins.
Elle, les jambes écartées, les mains crispées sur le canapé, attendait que je la touche. J'ai posé ma main sur sa fente à plat. Elle était incandescente et humide. Je l'ai frotté un peu, de haut en bas. Cet attouchement fit geindre Clara qui maintenant serra les yeux, la bouche ouverte. Mes yeux allaient de son visage rougi à sa chatte qui dégageait maintenant encore plus son parfum. J'ai alors serré ses lèvres entre mes doigts, lui pinçant la chatte. Elle lâcha un petit cri de plaisir. Rien qu'avec ça, elle criait, je n'imaginais même pas qu'est ce qu'elle aurait fait quand j'aurais mis ma langue dans son trou.
Des deux mains, j'ai écarté ses lèvres doucement, mais au maximum pour bien regarder ce que ses lèvres grassouillettes cachaient. C'était merveilleux. Un petit clitoris tout rose bien dressé et rond. Et un trou tout beau et dégoulinant de mouille qui le faisait briller de mille feux, serré, mais un peu écarté par l'ébat dans les toilettes. Clara haleta tellement fort qu'elle peinait à respirer. Tout en écartant ses chairs d'une main, j'ai posé mon doigt sur son clitoris. Elle cria de plaisir. Ses tétons se raidirent encore plus et son clitoris était dur et en feu, mais il n'avait pas l'air d'avoir été beaucoup usé.
- Tu as déjà joui par ton clito ?
Elle se limita à secouer la tête. Incapable de parler. Sa poitrine torturée par une respiration désordonnée. J'étais surprise, mais contente, j'allais lui faire découvrir le plaisir que ça apportait. Tout en regardant son visage, j'ai commencé à frotter mon doigt sur son clitoris. Elle gémit plus fort et ses doigts s'enfoncèrent dans le canapé. Son visage devint tout rouge et elle se laissa échapper des ah voluptueux sous mes caresses. Indécise si regarder son visage ou son con, j'ai quand même voulu observer comment mon doigt allait disparaître dans son trou. Son corps prit de frissons pendant que je frottais son bouton, j'ai descendu mon doigt vers son trou. Elle soupira. J'ai dessiné des petits cercles à l'orée de son orifice. Ça lui provoquait des petits couinements. Puis, posant mon index sur le trou, j'ai lentement commencé à l'enfoncer. J'étais subjugué par le spectacle de ses chairs qui happaient mon doigt. Son con était inondé. Chaud. Doux. Et tellement étroit. Clara cria de plaisir quand tout mon doigt fut à l'intérieur et que je l'ai remué. Puis j'ai commencé des lent vas et viens. Ça avait un effet incontrôlable sur Clara. Elle crispait son corps et son vagin se resserrait sur mon doigt.
- T'es magnifique Clara... C'est tellement doux à l'intérieur.
J'ai retiré mon doigt mouillé de cyprine. Je l'ai posé sur son téton, le lui nappant de sa propre mouille tout en le caressant. La surprise la fit sursauter et ouvrir les yeux en me regardant. Elle bougea son bassin. Je compris qu'elle voulait que je continue. J'ai remis mon doigt en accélérant les va-et-vient. Elle couina plus fort tout en me regardant. Puis, j'ai caressé son anus de mon doigts mouillé de son jus, et ceci l'a surprise. Elle eut un moment de gêne.
- Ne t'inquiète pas ma chérie, je l'ai rassuré. Ton petit cul est aussi beau que ta chatte.
- Je n'ai jamais fait par derrière.
- Je ne vais pas encore te le déflorer, je fis tout en le caressant. Quand tu le voudras, je le ferai. Je veux juste y jouer un peu.
Il était tellement étroit et doux. Mais ce n'était pas encore son moment. Maintenant, je voulais goûter. J'ai écarté son con à deux mains et j'ai approché mon visage reniflant cette odeur de mouille et de plaisir. J'ai fait sortir ma langue et, d'un seul coup, j'ai léché sa chatte de l'anus jusqu'au clitoris. Elle sursauta et lança un long petit cri de plaisir. Son goût était délicieux. J'en voulais plus. Sans attendre cette fois, j'ai bien léché son trou, gobant au maximum toute la cyprine que son con lâchait abondamment. Clara était en extase. Encore plus quand ma langue toucha son clitoris pour redescendre ensuite sur son anus. Elle gesticulait et se tordait sous mes coups de langue. Je ne me contrôlais plus.
Je lui ai pris les mains et je lui fis écarter à elle-même sa chatte. Elle le fit sans s'y opposer et l'écarta au maximum. Les mains libres, j'ai écarté encore plus ses cuisses et un doigt alla se coller à son anus le caressant avec insistance pendant que ma langue léchait son clitoris pulsant et son trou en flamme. Clara émettait des petits cris aigus de plaisir, cambrant le dos. Ses mains tremblaient en écartant sa chatte toujours plus. Mon visage était collé à son con. Je m'y enfonçais pendant que je sentais son anus lentement se relâcher sous mes caresses. Puis j'ai poussé ma langue dans son trou. Elle cria plus fort et poussa le bassin vers moi. Le nez écrasé contre son clitoris, je la pénétrais de ma langue qui remuait en son intérieur.
- Oui ! Elle lança. Oui continue steuplait.
Je n'allais sûrement pas m'arrêter. Pendant qu'elle criait mon doigt moyen fut happé par son anus. Pas plus qu'une phalange, mais c'était assez pour commencer un va-et-vient. C'était si étroit que je peinais à le faire sortir. Ma langue alla se dédier à son clitoris et pendant que mon doigt allait toujours plus profondément dans son anus, j'ai inséré mon pouce dans son vagin. De l'autre main, je suis allé chercher son sein que j'ai commencé à malaxer pendant que je suçais et léchais son clito. Je le sentais pulser dans ma bouche pendant que je pénétrais mes doigts en elle. Maintenant, la cyprine coulait à flots sur ma main. Son anus était relâché et lubrifié. J'avais le visage inondé de son jus et de ma salive. J'ai continué à lui sucer le clitoris pendant que je la sentais trembler toujours plus et que ses cris se firent plus intenses. Puis j'ai compris qu'elle allait jouir. Un flot de mouille sorti de son con. Son clitoris fut assailli de spasme ainsi que son corps qui se tordait dans tous les sens. Elle cria longuement et puis tout son corps commença a trembler sans contrôle. J'ai retiré ma bouche et je regardais son visage en souriant, mes doigts toujours en elle, étroitement serrés par ses muscles raidis. Elle était toujours rouge et respirait la bouche ouverte. Affaissée sur le canapé, elle ne réagissait pas. J'ai retiré mes doigts, enlevé mon soutien et je me suis allongé sur elle. Ma chatte toute mouillée se frotta sur sa cuisse, mes seins s'écrasèrent sur les siens pendant que je caressais son corps encore frémissant de plaisir.
- À ta santé ma chérie !
Je l'ai embrassé chaudement, tressant ma langue à la sienne pendant qu'elle reprenait lentement ses sens et qu'elle m'enlaça en commençant à découvrir mon corps de ses mains. Elle alla chercher mes fesses, les caressa timidement ainsi que mes seins. J'étais en feu. J'avais envie qu'elle enfonce son visage dans ma chatte et me lèche comme je l'avais léché. Mais pas encore. Je devais encore lui donner du plaisir. Je voulais qu'elle se rappelle de cette soirée et de tous ces orgasmes puissants que j'allais encore lui offrir. Cette soirée, c'était la soirée de Clara. Je me devais de la rendre folle de plaisir.
Je n'ai pas intégré ce groupe de femmes par hasard, j'ai toujours eu un penchant pour le sexe opposé. J'aime toujours un bon coup avec une belle grosse bite, mais le corps féminin a toujours eu un attrait particulier sur moi. De beaux gros seins m'excitent beaucoup plus que des pectoraux musclés. La chatte humide m'attire plus qu'une bite. Et pas que ça. Les lèvres, les rondeurs, les fesses... Tout ! Mais dans mon groupe d'amies personne n'est au courant de mon penchant et je fais très attention à ce qu'elles ne le sache pas. Je ne sais pas pourquoi, mais très probablement pour continuer à avoir ces petites rencontres entre amies... Faire la douche ensemble à la salle de sport... Toutes nues, mouillées, exposant nos sexes sans honte. Oui, c'est tordu, je reconnais, mais c'est plus fort que moi.
Puis un jour, Sandra est arrivée. Sandra avait 47 ans, fraîchement divorcée, qui venait d'emménager dans notre ville. Elle était maman de 3 enfants, dont la plus grande avait 19 ans. La plus grande s'appelle Clara. Et bien que Sandra m'ai toujours excité... C'est Clara qui me faisait mouillé a chaque fois que je la rencontrais. Et je la rencontrais souvent. En attendant de trouver un appartement Sandra habitait chez sa cousine Émilie qui est ma meilleure amie et qui habite l'appartement en dessous du mien.
Clara est l'apothéose de la féminité. Elle est belle, sait qu'elle est belle et fait la sexy. Elle a un petit visage délicat et sensuel. Des yeux verts de biche aux longs cils. Des lèvres roses pulpeuses. De très longs cheveux châtains qui lui arrivent aux fesses. Qu'elle s'habille en mini-jupe, en jean ou en jogging, elle fait toujours en sorte que ses seins assez généreux soient bien exposés, en plus, elle ne met jamais de soutiens et ses tétons pointent de sous le tissu.
Dans son attitude elle me ressemble beaucoup. Du groupe d'amies, je suis probablement celle qui veut être toujours sexy... Toujours talons aiguilles et décolleté généreux. C'est probablement pour ça que j'ai réussi à gagner la sympathie de Clara. On était devenues meilleures amies et elle passait souvent chez moi pour discuter, avoir des conseils surtout conseils sur le sexe. Sauf qu'elle ne savait pas que ma chatte était en feu à chaque fois qu'elle se jetait sur mon canapé et me racontait ses petits secrets intimes, la jupe qui remontait sur ses cuisses et laissait apparaître le fond bombé de ses slips ou plus souvent de son string. Plus d'une fois avec l'excuse des toilettes, je m'y enfermais pour me masturber sauvagement avec mon gode. Des fois, elle venait chez moi voir un film, elle se pressait contre moi et je sentais ses seins sur mon bras. Plus d'une fois, j'aurais voulu lui proposer de la baiser, de lui faire connaître les plaisirs de l'amour avec une femme, mais si jamais elle se refusait et le racontait à sa mère, j'aurais été dans la merde.
Puis un vendredi vers 23 h pendant que je m'apprêtais à sortir pour une rencontre, car j'avais tellement besoin d'une bonne baise et un bon cunni surtout, on a sonné à ma porte. Quand j'ai ouverg la porte Clara entra dans mon appartement comme une furie en sanglotant. J'ai mouillé aussitôt que je l'ai vu. Elle devait sûrement rentrer de soirée. Elle portait une mini robe rose fuchsia qui lui arrivait aux fesses avec une fermeture éclair sur le devant. Ses seins explosaient carrément de son décolleté et la fermeture éclair semblait péter à tout moment. Elle avait des bottines talons aiguilles noires et un boléro de fourrure noir dont elle se défit aussitôt en le jetant sur le sol. Ses cheveux étaient ramassés en deux longues tresses et à force de pleurer son mascara avait couler sur ses joues.
- Qu'est-ce que tu as ? Je lui ai demandé.
- Je peux passer la nuit chez toi ?
Toujours en sanglotant, elle se jeta sur le canapé. Je l'ai aussitôt rejointe et je me suis assise auprès d'elle. Elle avait dit à sa mère qu'elle allait dormir chez son amie Jeanne, mais qu'elle préférait passer la nuit chez moi. Ça ne me dérangeait pas, mais j'avais vraiment besoin de baiser avec une femme et elle chez moi habillé ainsi dormant dans mon lit, j'allais péter. Mais d'un côté, je ne pouvais pas la laisser comme ça. J'ai passé un bras sur ses épaules et, aussitôt, elle est venue écraser sa joue contre mes seins. Entre un sanglot et un autre, elle m'a expliqué qu'elle avait eu un rencard avec un type de 24 ans qui allait à l'université. Ils étaient allés dans une boîte et qu'elle s'attendait à une jolie soirée et une bonne baise chez lui dans son appart, mais qu'au lieu, il l'a ramener dans les toilettes de la boîte et il l'a baiser debout en levrette contre un mur crade.
- Il m'a baisé en une minute, m'a rempli de foutre et je n'ai même pas joui. Comme si j'étais une chienne.
- Ma chérie ne t'en fait pas, les hommes c'est des salauds. Il ne pense qu'à leur plaisir. Pas comme nous...
Sur ces mots, Clara a relevé la tête, s'est essuyé les larmes et m'a regardé. Avant que je ne comprenne ce regard, elle m'embrassa sur les lèvres. Surprise, mais surtout incrédule, je l'ai laisser faire sans réagir, mais aussitôt elle se retira et elle se remit a sangloter.
- Je suis moche...
Il me fallut un moment pour comprendre et me reprendre. Entre temps, Clara s'était mise debout devant mon miroir et elle se regardait. Je l'ai rejointe et je la regardais aussi dans le reflet.
- Mais non ma chérie, tu es spectaculaire, regarde toi.
Sur ces mots, je sentis Clara reculer et venir presser son cul contre mon bassin. Ses mouvements me lançaient des signaux clairs... Ainsi que son regard coquin.
- Tu trouves ? Elle fit en poussant son cul encore plus vers moi.
Je l'ai regardé et son regard était explicite. J'ai alors descendu sa fermeture éclair et je lui ai enlevé sa robe. Elle était spectaculaire et elle s'était bien préparée pour la soirée. Elle avait mis un complet très sexy avec ces soutiens-gorge ouvert sans bonnets, en dentelle noire et un slip fendu qui montrait son sexe explicitement. Une jolie petite fente bien rasée et fraîche.
- Tu es magnifique.
J'avais la gorge nouée par tant de beauté et par le fait qu'elle était immobile, se laissant admirer. Ses seins étaient ronds, fermes, blancs, ses tétons d'un rose pâle, tendus et durs.
- Les hommes n'y connaissent rien.
Mes mains sur ses épaules, toutes mes appréhensions s'évanouirent. Clara, quant à elle, se blottissait toujours plus à moi, tellement que mes seins s'écrasaient sur son dos. J'ai posé mes mais sur sa poitrine en les passant à plat sur ses seins. Je sentais ses tétons durs comme de la roche sur mes paumes. Ne voyant pas de réaction, j'ai continué à les frotter ainsi. J'étais haletante, excitée à bout, la mouille nappait mes cuisses. Clara ferma les yeux et soupira voluptueusement à ces caresses. J'ai alors descendus une main en caressant son ventre tandis que l'autre main alla à son pubis, mais pas plus bas. Je voulais savourer chaque instant. J'ai massé son mont de venus, juste en haut de son sexe. Clara soupira et ses mains vinrent chercher mes cuisses qu'elle agrippa. Je n'en revenais pas. Mon cœur bondissait de joie à l'idée que mes fantasmes prenaient vie.
- Ils ne sont pas comme nous... Entre femmes, on sait se donner du plaisir.
Je la sentais complètement relâchée dans mes bras. En la caressant, je la dévorais du regard dans le reflet, la tête reposant sur mon épaule. J'ai saisi ses seins tellement fermes et durs. Je les ai pétris, et elle commença à haleter et gémir quand j'ai écrasé ses tétons entre le pouce et l'index. Je n'arrivais pas à tenir plus longtemps.
Je devais sentir sa chatte, y goûter. Je l'ai tourné vers moi et aussitôt, elle m'enlaça et colla sa bouche à la mienne. J'ai vite fit pénétrer ma langue dans sa bouche et mes mains se resserrèrent sur ses fesses toutes rondes et chaudes. Doucement, je l'ai poussé vers le canapé ainsi, bouche contre bouche, mes mains qui pétrissaient ses fesses. Quand ses jambes touchèrent le canapé elle s'y laissa tomber de tout son poids. Elle me regarda pendant que je me défis de ma robe restant en lingerie me mettant à genoux devant elle.
- Je ne suis pas gouine...
Sa voix tremblait. J'ai souri en la rassurant tout en posant mes mains sur ses genoux.
- Le plaisir n'a pas de genre. Et je vais t'en donner beaucoup.
J'ai écarté ses jambes et elle se laissa faire sans s'y opposer et je pus voir sa chatte s'ouvrir devant moi. Elle s'était vachement bien épilée. Les lèvres étaient soudées entre elles, grasses, rose pâle, rien n'y dépassait. La dentelle du slip fendu faisait ressortir son joli con. Cette petite chatte était magnifique et devait être aussi délicieuse. Clara me suivait du regard, sa respiration était désordonnée, haletante. Personne ne devait lui avoir écarté ainsi les jambes, ni caresser ses cuisses soyeuses. Rien que la sensation de mes mains sur sa peau faisait frémir sa petite chatte. J'arrivais déjà à voir les spasmes du plaisir sur cet antre étroit et soyeux.
Un petit filet de cyprine se fit brèche entre ses chairs et apparu comme une petite goutte qui amena mon regard sur ce bouton tout rose et serré qu'était son anus. Je sentais ma chatte frémir de désir en regardant ce spectacle. J'ai déposé un baiser sur sa cuisse et elle haleta plus fort. J'ai approché mon visage à sa fente. Rien que la chaleur de mon souffle sur son sexe le fit frémir et dégorger encore quelques gouttes de cyprine. Je voulais m'y jeter dessus comme une bête sauvage et la dévorer, mais je sus me retenir pour savourer chaque instant. Jamais je n'ai eu l'occasion de voir un si beau con sous mes yeux. Elle sentait la fille en chaleur, mais aussi le foutre qui devait lui avoir nappé tout le sexe et qui devait être encore niché au fond de son vagin. Il me fallait de toucher cet antre secret avant d'y goûter.
J'ai pris tout mon temps, d'un côté pour profiter au maximum, mais aussi pour l'habituer au toucher d'une femme. Ce n'était pas comme les autres qui avaient l'habitude, elle était encore inexperte dans le plaisir entre femmes. Clara continuait à me regarder, attentive. Ses tresses longues se trouvaient entre ses seins.
Elle, les jambes écartées, les mains crispées sur le canapé, attendait que je la touche. J'ai posé ma main sur sa fente à plat. Elle était incandescente et humide. Je l'ai frotté un peu, de haut en bas. Cet attouchement fit geindre Clara qui maintenant serra les yeux, la bouche ouverte. Mes yeux allaient de son visage rougi à sa chatte qui dégageait maintenant encore plus son parfum. J'ai alors serré ses lèvres entre mes doigts, lui pinçant la chatte. Elle lâcha un petit cri de plaisir. Rien qu'avec ça, elle criait, je n'imaginais même pas qu'est ce qu'elle aurait fait quand j'aurais mis ma langue dans son trou.
Des deux mains, j'ai écarté ses lèvres doucement, mais au maximum pour bien regarder ce que ses lèvres grassouillettes cachaient. C'était merveilleux. Un petit clitoris tout rose bien dressé et rond. Et un trou tout beau et dégoulinant de mouille qui le faisait briller de mille feux, serré, mais un peu écarté par l'ébat dans les toilettes. Clara haleta tellement fort qu'elle peinait à respirer. Tout en écartant ses chairs d'une main, j'ai posé mon doigt sur son clitoris. Elle cria de plaisir. Ses tétons se raidirent encore plus et son clitoris était dur et en feu, mais il n'avait pas l'air d'avoir été beaucoup usé.
- Tu as déjà joui par ton clito ?
Elle se limita à secouer la tête. Incapable de parler. Sa poitrine torturée par une respiration désordonnée. J'étais surprise, mais contente, j'allais lui faire découvrir le plaisir que ça apportait. Tout en regardant son visage, j'ai commencé à frotter mon doigt sur son clitoris. Elle gémit plus fort et ses doigts s'enfoncèrent dans le canapé. Son visage devint tout rouge et elle se laissa échapper des ah voluptueux sous mes caresses. Indécise si regarder son visage ou son con, j'ai quand même voulu observer comment mon doigt allait disparaître dans son trou. Son corps prit de frissons pendant que je frottais son bouton, j'ai descendu mon doigt vers son trou. Elle soupira. J'ai dessiné des petits cercles à l'orée de son orifice. Ça lui provoquait des petits couinements. Puis, posant mon index sur le trou, j'ai lentement commencé à l'enfoncer. J'étais subjugué par le spectacle de ses chairs qui happaient mon doigt. Son con était inondé. Chaud. Doux. Et tellement étroit. Clara cria de plaisir quand tout mon doigt fut à l'intérieur et que je l'ai remué. Puis j'ai commencé des lent vas et viens. Ça avait un effet incontrôlable sur Clara. Elle crispait son corps et son vagin se resserrait sur mon doigt.
- T'es magnifique Clara... C'est tellement doux à l'intérieur.
J'ai retiré mon doigt mouillé de cyprine. Je l'ai posé sur son téton, le lui nappant de sa propre mouille tout en le caressant. La surprise la fit sursauter et ouvrir les yeux en me regardant. Elle bougea son bassin. Je compris qu'elle voulait que je continue. J'ai remis mon doigt en accélérant les va-et-vient. Elle couina plus fort tout en me regardant. Puis, j'ai caressé son anus de mon doigts mouillé de son jus, et ceci l'a surprise. Elle eut un moment de gêne.
- Ne t'inquiète pas ma chérie, je l'ai rassuré. Ton petit cul est aussi beau que ta chatte.
- Je n'ai jamais fait par derrière.
- Je ne vais pas encore te le déflorer, je fis tout en le caressant. Quand tu le voudras, je le ferai. Je veux juste y jouer un peu.
Il était tellement étroit et doux. Mais ce n'était pas encore son moment. Maintenant, je voulais goûter. J'ai écarté son con à deux mains et j'ai approché mon visage reniflant cette odeur de mouille et de plaisir. J'ai fait sortir ma langue et, d'un seul coup, j'ai léché sa chatte de l'anus jusqu'au clitoris. Elle sursauta et lança un long petit cri de plaisir. Son goût était délicieux. J'en voulais plus. Sans attendre cette fois, j'ai bien léché son trou, gobant au maximum toute la cyprine que son con lâchait abondamment. Clara était en extase. Encore plus quand ma langue toucha son clitoris pour redescendre ensuite sur son anus. Elle gesticulait et se tordait sous mes coups de langue. Je ne me contrôlais plus.
Je lui ai pris les mains et je lui fis écarter à elle-même sa chatte. Elle le fit sans s'y opposer et l'écarta au maximum. Les mains libres, j'ai écarté encore plus ses cuisses et un doigt alla se coller à son anus le caressant avec insistance pendant que ma langue léchait son clitoris pulsant et son trou en flamme. Clara émettait des petits cris aigus de plaisir, cambrant le dos. Ses mains tremblaient en écartant sa chatte toujours plus. Mon visage était collé à son con. Je m'y enfonçais pendant que je sentais son anus lentement se relâcher sous mes caresses. Puis j'ai poussé ma langue dans son trou. Elle cria plus fort et poussa le bassin vers moi. Le nez écrasé contre son clitoris, je la pénétrais de ma langue qui remuait en son intérieur.
- Oui ! Elle lança. Oui continue steuplait.
Je n'allais sûrement pas m'arrêter. Pendant qu'elle criait mon doigt moyen fut happé par son anus. Pas plus qu'une phalange, mais c'était assez pour commencer un va-et-vient. C'était si étroit que je peinais à le faire sortir. Ma langue alla se dédier à son clitoris et pendant que mon doigt allait toujours plus profondément dans son anus, j'ai inséré mon pouce dans son vagin. De l'autre main, je suis allé chercher son sein que j'ai commencé à malaxer pendant que je suçais et léchais son clito. Je le sentais pulser dans ma bouche pendant que je pénétrais mes doigts en elle. Maintenant, la cyprine coulait à flots sur ma main. Son anus était relâché et lubrifié. J'avais le visage inondé de son jus et de ma salive. J'ai continué à lui sucer le clitoris pendant que je la sentais trembler toujours plus et que ses cris se firent plus intenses. Puis j'ai compris qu'elle allait jouir. Un flot de mouille sorti de son con. Son clitoris fut assailli de spasme ainsi que son corps qui se tordait dans tous les sens. Elle cria longuement et puis tout son corps commença a trembler sans contrôle. J'ai retiré ma bouche et je regardais son visage en souriant, mes doigts toujours en elle, étroitement serrés par ses muscles raidis. Elle était toujours rouge et respirait la bouche ouverte. Affaissée sur le canapé, elle ne réagissait pas. J'ai retiré mes doigts, enlevé mon soutien et je me suis allongé sur elle. Ma chatte toute mouillée se frotta sur sa cuisse, mes seins s'écrasèrent sur les siens pendant que je caressais son corps encore frémissant de plaisir.
- À ta santé ma chérie !
Je l'ai embrassé chaudement, tressant ma langue à la sienne pendant qu'elle reprenait lentement ses sens et qu'elle m'enlaça en commençant à découvrir mon corps de ses mains. Elle alla chercher mes fesses, les caressa timidement ainsi que mes seins. J'étais en feu. J'avais envie qu'elle enfonce son visage dans ma chatte et me lèche comme je l'avais léché. Mais pas encore. Je devais encore lui donner du plaisir. Je voulais qu'elle se rappelle de cette soirée et de tous ces orgasmes puissants que j'allais encore lui offrir. Cette soirée, c'était la soirée de Clara. Je me devais de la rendre folle de plaisir.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Puissent les femmes et les hommes qui ne connaissent pas le plaisir buccal et tactile tel que celui si bien décrit dans ce récit s'y mettre. Une femme qui vous attire et vous délivre un flux continu de cyprine dans votre bouche mélangée à votre salive et au sperme du précédent est le summum du plaisir qui dure.
Très beau récit et une montée du désir et des plaisirs. Merci
bien écrit
Très belle description l on arrête pas de bander