L'Auberge des Trois Bouffons
Récit érotique écrit par Abadi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2012 dans la catégorie Plus on est
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L'Auberge des Trois Bouffons
" L’Auberge des Trois Bouffons "
Elise chérie, ce soir je suis en mal de toi....
Je sais, jolie chérie que ce soir tu pourrais avoir tous les hommes du monde à tes pieds et surtout entre tes cuisses... Cela à la fois m’excite et me rend jaloux… Je n’aurais jamais du te laisser partir ce soir et aller à cette soirée d’entreprise… J’ai dit oui, sur le moment parce que je savais que tu en avais très envie et que je t’aime trop pour te refuser quoi que ce soit, mais maintenant je le regrette.
Vingt fois j’ai eu envie ce soir d’aller "planquer" près de "l’Auberge des Trois Bouffons" où tu festoies avec tes collègues, hommes et femmes, histoire de savoir avec qui tu allais sortir sur les coups de une ou deux heures du matin, pour aller t’exhiber puis te faire baiser dans quelques coins de hangars ou banquettes de voitures, comme cela t’est arrivé tant de fois au cours de nos soirées de débauche.…
Mais ce soir, ce ne sera pas moi, l’instigateur, le "gérant" de ces situations et j’en suis un peu jaloux et même très malheureux. Est-ce que ce sera une femme, un homme, ou plusieurs, qui te serviront de chevaliers servants ou de faire-valoir ce soir ?
Ce sera peut-être une femme, cette fois ? Cela me rappelle étrangement la Durand, tu sais pour le dernier réveillon de la St Sylvestre où cette femme mûre, perverse et très expérimentée, que nous surnommions "La Durand", t’avait "assistée" dans ta débauche… Ou encore notre intervention à Amsterdam, il y a 2 ans où tu t’étais surpassée, te souviens-tu dans les sous-sols de la "Taverne à bières", où la grande hollandaise blonde et sculpturale, te suivait partout pendant que tu te faisais emporter et baiser par tous les hommes, elle n’arrêtait pas de t’écarter les fesses pour te montrer aux autres, te langoter l’œillet, et y branler les vits des hommes qui y déchargeaient rapidement et abondamment, dont elle léchait ensuite avidement le foutre dans ta fente culière... Je me souviens que la garce se branlait énergiquement en te faisant cela et répétait - bien que je ne comprenne pas exactement chaque mot !- qu’elle adorait ton cul, tes fesses et ta chatte, ce qui ne m’étonnait pas !!...
Bref, je ne puis m’empêcher de penser à tout cela ce soir, et la jalousie de ce fait, m’étreint un peu… Je sais que tu avoir des opportunités, ma salope...
Il est maintenant 21h15, je sais que vous êtes à peine à table et que pendant les toasts, tes jambes, tes fesses tes hanches, ton joli minois et tes seins ont déjà fait l’objet de toutes les convoitises muettes mais appuyées de tous les hommes et de beaucoup de femmes... Cela me rappelle encore - décidément j’ai le temps ce soir de toutes les évocations ! - de cette superbe femme, magnifique blonde a qui tu avais tant plu lors du colloque de Strasbourg en janvier 2008, et qui, lors de la soirée conviviale que tu avais pas mal arrosée, t’avait suivie aux toilettes et t’avait proposé un peu d’aide pour relever ta robe de soirée. Elle t’avait matée et caressée furtivement les hanches, les seins et l’entrejambes... Ensuite, m’avais-tu raconté très excitée, elle s'était retournée, avait enjambé la cuvette des toilettes et s’était masturbée, debout, et très retroussée, passant la main dans son slip et se frottant les fesses à toi qui te rajustais... Elle avait, m’avais-tu dit, déchargée abondamment, tombant à califourchon sur la cuvette et écartant son slip, pour laisser s’épancher la cyprine chaude et abondante...
Donc, vous venez juste de passer à table et je sais que ta robe bleu-marine qui t’habille et te moule si bien, fendue sur le côté jusqu’à largement mi-cuisses, est déjà passablement relevée sous la table. Sans doute Jean Marie, parce que je sais qu’il est là, et sûrement assis en face de toi, avec Mireille à sa gauche et Thérèse à sa droite... Peu importe... Jean-Marie donc, a déjà dû très certainement faire tomber quelque chose pour reluquer tes jambes sous la table et plus s’il l’a pu... Dieu quel pauvre type incapable de plus avec toi tant il te craint, il ne sait t'adresser qu’un regard furtif et jamais dans les situations où il y a risques de périls... Bref, peut-être même s'est-il arrangé, le veinard, pour apercevoir ton slip. Lequel as-tu mis ce soir ? J’aimerais vraiment le savoir pour mieux t’imaginer !...
Est-ce le petit gris et blanc que je t’ai offert pour notre soirée de mars ? Celui qui te va si bien et qui te moule à merveille la motte et l’entrejambes ? Est-ce le joli blanc en dentelles que tu avais l’autre soir quand tu t’es masturbée devant le voyeur dans le couloir de l’hôtel à La Baule ? Ou bien est-ce plutôt celui à pois rouges et dans lequel tu as pissé sans vergogne l’après-midi du 15 août à Royan, sous la pinède... J’aurais dû rester avec toi pendant que tu t’habillais… Oui, j’aurais du !...
Sans doute, telle que je te connais, ne te prives-tu pas d’écarter largement les cuisses assise comme tu l’es... Pour être plus à l’aise, sûrement, mais aussi pour ne pas manquer tout ce qui pourrait "passer" sous la table !... En tout cas j’imagine parfaitement le tableau, l’ayant vu et vécu 10 fois, 30 fois. Mais j’en redemande et je ne m’en lasse pas, crois-le bien !!
Vas-tu reprendre la stratégie du Cap d’Agde - ou plutôt de Lattes - que tu avais si bien utilisée ce soir de Juillet 2005, où tu as entraîné sur la plage pour le bain de minuit, les 3 hommes et moi. Tu te souviens, il y avait la belle et pimbêche d’Agnès qui cherchait Franck son mari partout, le pensant au billard, puis au cinéma ? Tu nous avais entraînés, Franck, Régis, Michel et moi, sur la plage de Palavas-les Flots, il était plus de minuit... Là dans la lumière blanche et luisante de la pleine lune qui se reflétait dans la mer, tu as dansé pour nous et devant nous, en silhouette sur la mer, éclairée en contre jour par la lune... C’était à la fois divin et surréaliste !... Tu dansais avec la finesse et la fraîcheur qui te caractérisent... ondulant des hanches, cambrant le buste et ta coupe, relevant ta petite robe d’été à fleurs, toute légère, montrant ton petit slip brésilien que je savais orange, mais qui nous apparaissait, à nous, brun et mordoré dans la lumière lunaire.... Tu as, je m’en souviens, dans une pose lascive descendu doucement les bretelles de ta robe légère, et lentement tu as sorti tes seins du corsage d'été fin et transparent, comme on sort des bijoux d’un écrin. Superbes, ils étaient superbes, chérie tes seins dans la lumière diaphane qui les caressait avec tendresse ... Ils nous apparurent veloutés et lustrés, fermes et dressés au dessus de la robe, les bouts dont tu aimes tant qu’on les convoite et les caresses, arrogants et pointés... On eut la preuve que tu ne portais pas de soutien gorge... Ce fut un instant merveilleux. Je fus chaviré, transporté par l’effet de l’image qui nous subjuguait tous. Emu aux larmes de te voir aussi belle et fier de toi, et aussi d’être ton amant ! Bref j’en frémis encore.
Puis, je me souviens, bien que je sois tellement dans le bonheur que cela fit un moment écran à l’action... Je me souviens que tu es venue danser, toujours en contre jour, mais devant chacun de nous, individuellement, comme une aubade que tu aurais faite à chacun. Pour l’un, te mettant de dos, tu tortillais ta jolie croupe, tout devant son visage... Pour l’autre, faisant volte-face, tu lui présentais en le pointant bien en avant, ton pubis et ton petit ventre plat... Pour un autre encore, tu t’écartais bien face à lui, les jambes un peu fléchies et tu écartais le bord de ton petit slip, et tu lui donnais à voir, bien que dans l’ombre, ta chatte que tu caressais de façon provocante, ondulant du ventre et des hanches...
Je crois que c’est lors d’une de ces figures, alors que tu lui découvrais avec ostentation ta raie culière, que Michel le premier t’a touchée. Il a avancé son visage entre tes fesses, promptement et t’a dardé sa langue dans l’œillet. Je me souviens que tu as bloqué ta danse et que tu as frémi sous l’ardeur et la soudaineté de la caresse... Assis par terre, il t’a tenue ainsi, jambes à demi fléchies et tout le buste penché en avant, te retenant par les hanches. Tu te frottais d’un mouvement circulaire sur son visage... Et tu imprimais à ton bas-ventre un mouvement d’avant en arrière, de telle sorte, je le savais sans le voir que sa langue entrait dans ton con et atteignait ton clitoris bandé...
Franck et Régis sont venus près de toi, plaçant leurs hanches à tes épaules pour te faciliter l’équilibre, et te soutenant pour stabiliser ta position. Je me souviens que tu leur as sorti la bite, tandis que moi, je te suçais les seins avec délectation. Les salauds bandaient déjà énormément. Tu as commencé à les branler avec force, un dans chaque main. Et je sais combien, le fait de branler des bites quand tu es excitée, c’est pour toi un réel plaisir érotique !... D’autant que Régis avait une bite extraordinaire, le salaud ! Un baudet ! J’avais son sexe énorme tout à côté de mes yeux quand je te suçais les bouts de seins alors que tu le branlais...
D’ailleurs, rappelle-toi, il dû se mettre à genoux pour que tu puisses le sucer tant il en avait un braquemart maous qui t’arrivait bien au-dessus de la tête quand tu avais la bouche au niveau de ses couilles, sur sa racine. Excitée par tout cela et les caresses que nous te faisions, tu as déchargé fort et bruyamment, en gueulant des obscénités comme tu le fais le plus souvent d’habitude dans ces situations !!
Je me souviens aussi, mais je crois que tu ne t’en étais pas aperçu tant tu étais occupée, qu’un couple qui passait à pieds sur le sentier en haut de la plage, s’était approché, et se caressait, debout à 5 mètres de nous... Dans ta jouissance, tu étais tombée à genoux... Et toujours suçant nos trois engins, à quatre pattes, tu avais voulu que tous passent derrière toi voir tes fesses, tour à tour, et fidèle à tes principes tu avais demandé qu’on t’en fasse des compliments...
Ceux de Franck avaient déclenché chez toi, un nouvel orgasme. Il avait dit quelque chose comme : le sillon de la fente était bien profond et qu’au fond les petites lèvres dont il sentait la finesse, étaient bien pendantes et que c’était le signe que tu devais beaucoup te branler... Je t’avais demandé alors de rappeler à ta mémoire les images que tu avais eu à l’esprit la dernière fois que tu t’étais masturbée... Et tu avais presque simultanément joui en disant que c’était en pensant à l’exhibition de ta chatte dans l’arrière d’un taxi...
Puis, insatiable, et hyper excitée, tu avais voulu avoir " dans ton con la jolie bite de Régis "- c’étaient là tes mots ! - Régis s’est glissé sous toi, a mis un préservatif et nous avons tous assisté à la rentrée du mandrin. Tu l’as avalé en une fois si j’ose dire et sur toute sa longueur - il faisait au moins 22 - 23 cm ! Et tu as commencé à aller et venir sur le braquemart hyper tendu. La femme a côté qui s’était rapprochée, a commencé à jouir, soutenue et caressée par son mari puis Franck qui était allé les rejoindre. J’ai fait signe à Michel de te lécher le trou du cul que tu nous offrais dans cette position. Je sais que tu ne résistes jamais bien longtemps à ce double effet une belle bite qui te travaille la chatte et une langue qui s’insinue dans ton cul... En effet, une minute plus tard, tu inondais le vit de Régis et le menton de Michel. Régis bandait toujours comme un âne et résistait bien...
La femme qui était prise en levrette par son mari, tout en suçant Franck, jouissait en continu elle aussi.... Je t’ai alors proposé de changer un peu et je t’ai fait retourner sur la pine de Régis, de sorte que tu nous faisais face, accroupie, les cuisses ouvertes, l’énorme bite te bouchant le con. Et, bien que nous n’y voyons pas grand chose, pas en détails en tout cas, c’était infiniment érotique de te savoir enfilée ainsi et par un tel calibre !
Et comme toujours quand tu sens une femme dans ton entourage dans ces moments-là, tu exigeas de celle-ci des choses folles. Dans ton délire d’être ainsi si fortement baisée - c’était merveilleux d’être prise si à fond, disais-tu !... - Tu as exigé que la femme vienne se placer, toujours en levrette, à quatre pattes entre tes jambes, au niveau de tes genoux, pour qu’elle voit, disais-tu le piston qui t’enconnait et qu’elle décrive ce qu’elle voyait... Mais trop occupée à sa jouissance, caressée par Franck et baisée par le mari, elle ne put rien dire. Je sentais que la rage qui montait en toi t’excitait plus encore, et continuant d’aller et venir sur la bite qui te baisait au fond, et te démenant avec plus d’ardeur encore, tu exigeas telle une furie, qu’elle lèche les culs des hommes, pendant que tu les branlerais face à toi, jusqu’à ce qu’il te jute sur les seins, le visage, le corps.
Et là ce fut un grand moment que tu nous as fait vivre : aucun homme ne résiste plus de la minute, branlé par une femme et le trou du cul léché par une autre. C’est Michel qui est venu à toi, le premier en peu de temps il t’aspergeait de foutre brûlant et épais, les épaules, le visage et le cou.... Puis ce fut à Franck qui dirigea les jets sur tes seins. Tu en as joui d’ailleurs, souviens-toi... Et enfin ce fut moi, tu passais une main sous mes couilles et tu t'assurais que l’autre femme me mettait bien sa langue dans le cul... Là, tu avalas mon foutre avec délectation... Même le mari, vint à son tour se finir sur tes seins... Régis donnait des signes de fatigue et toi, avec une sollicitude à l’égard des femmes qui t’est inhabituelle, tu lui demandas si elle voulait goûter à la superbe bite... La femme qui n’avait pas dû jusque là remarquer la taille de la bite, fut surprise d’abord, puis elle s’empressa d'acquiescer. Tu lui as d’ailleurs dit qu’à la voir comme ça, impatiente, elle devait aimer la bite. Tandis qu’elle s’allongeait sur le dos en écartant les cuisses pour recevoir le mâle, tu as changé le préservatif, et c’est toi même qui a dirigé l’intromission au con de la rousse devant nous tous... La femme a joui très vite, en quelques allers et retours de Régis. Elle en redemandait encore et encore dans sa jouissance disant :
- "Ah putain que c’est bon - elle avait un fort accent du midi - une bite comme ça, c’est inouï... Ah quelle flèche !... Vas-y encore, encore, achevez-moi, achevez-moi, achevez-moi !!", gueulait-elle à la fin. Le mari la retenait aux épaules pour qu’elle puisse être pénétrée bien à fond...
Puis, passant derrière Régis, tu as sorti le vit du con de la rousse, retiré le préservatif, et plaquée derrière lui, lui faisant sentir tes jolis seins dans le dos, tu l’as branlé énergiquement. Il déchargea très vite sur les fesses et le dos de la femme... Son éjaculation était à la hauteur et proportionnelle à la taille de son sexe, c’est dire !! La rousse repartie à jouir encore une fois sous l’effet du sperme chaud sur sa peau...
Enfin tout se calma, pas encore complètement cependant, car te souviens-tu encore, que fidèle à tes rituels tu es allée à deux mètres, et debout, à demie fléchie, le ventre pointé en avant, tu as battu le rappel en disant :
- " Eh les mecs, je pisse "... Nous avons tous fait cercle autour de toi, sauf la femme qui restée, sonnée, étendue sur le flan et n’en croyant pas ses yeux… On devina plus qu’on ne vit mais dans le silence meublé du seul ressac de la mer, on entendit l’onde franchir avec le bruissement caractéristique, les lèvres de ta vulve, tous subjugués et sous l’emprise d’un enchantement surréaliste... Franck tendit la main sous le jet. L’ondée chaude éclata sur sa main ce qui changea le bruit... Puis tu continuas de pisser longuement, longtemps.... Enfin, tout en te secouant, tu courus vers la mer en disant :
- "Aller, tous à l’eau !…"
Tous ces souvenirs me chauffent la tête et pour me raisonner, je me dis que même si les choses pourraient se passer ainsi, au "Trois Bouffons", il n’y a pas de mer ni de sable, ni de bain de minuit…
Justement, il va être minuit et je suis inquiet de ce qui peut t’arriver là-bas… Surtout là-bas, c’est la forêt, alors… Un autre souvenir, de forêt justement celui-là, me revient… Non, non !! Je n’en veux pas ! Je ne veux pas me souvenir de ta partie de baise dans la clairière un jour de randonnée où tu t’étais soi-disant tordu la cheville et où tu ne pouvais plus marcher… Que deux grands gaillards dont un beau noir, avaient du te porter sur plusieurs kilomètres avant d’être obligés de s’arrêter dans cette maudite clairière… Alors que tout le groupe avait filé, vous étiez arrêtés tous trois… Non, non ! Je ne veux pas y penser !…
Je préfère monter dans notre chambre et là je vais ouvrir l’armoire regarder tes jolis sous-vêtements et sans doute me branler dans une de tes petites culottes fines et transparentes… Mais avant je vais faire l’inventaire de tes soutifs pour essayer par déduction de voir ce que tu as pris sur toi… Devant l’armoire, je commence le tiroir des soutiens gorges… je ne remarque pas qu’il en manque ; u du moins je ne vois pas celui qui manque à ta collection, pourtant je les connais tous… Voyons le tiroir de tes slips et strings… là encore à première vue pas d’absent !... Je me dis que… Non ! Quand même pas !...
Je décide de frapper fort et de renverser sur le lit les 2 tiroirs, celui de tes slips et celui de tes soutiens gorges… Cela prend du temps de reconstituer tes parures et de les assembler par forme et par couleur : les jaunes, les noirs, les plus nombreux… Les rouges avec la dentelles blanche ou la dentelle orange… les deux verts avec fanfreluches blanches… Mais le temps ne compte pas… Je n’ai que cela à faire ce soir, en t’attendant…
Bientôt je dois me rendre à l’évidence, tout est là… Il ne manque rien… J’en déduis que tu es partie nue sous ta robe, sans soutien gorge et sans culotte, les fesses à l’air, la fente accessible directement et la poitrine prête à être sortie et sucée… Non, ce n’est pas possible tu n’as pas prémédité cela au point d’y aller presque à poils : avec tes bas et ta robe sur le dos, c’est tout … Je comprends pourquoi les conjoints, conjointes, compagnons et compagnes ne sont pas invités à cette soirée d’entreprise…
Je regarde l’heure au réveil sur la table de nuit : minuit dix... Les libations et les flirts doivent commencer… Je connais bien cette auberge, vaste avec de nombreuses pièces, pleine de coin et de recoins, avec de grandes dépendances dès que l’on sort dans la cour derrière : des granges, des hangars, des greniers à foins… Et puis il y a la forêt qui commence juste à la porte…
Cette auberge est un lieu idéal pour une coquine comme toi et je sais qu’il te faut toujours une coterie avec toi quand tu as envie de t’envoyer en l’air et que tu es bien excitée… C’est d’ailleurs sûrement maintenant le cas : tu dois être partie avec deux ou trois types et une jolie collègue, au moins une… Je t’imagine très bien figure-toi, sans doute entre deux mecs, debout pour commencer, dans l’encoignure d’une porte de grange, en train de rouler des énormes patins à celui qui te fait face. Un autre derrière te trousse déjà, se frotte à toi, et te pelote les seins… L’homme qui en face de toi te soulève une cuisse d’une main, ce qui permet à l’autre type, derrière d’avoir mieux accès à ta chatte. Il te met un doigt, peut-être deux déjà et il a commencé à te branler… Je sais que tu adores être entreprise comme ça, par plusieurs hommes, coincée debout entre les deux et que tu mouilles rien qu’à l’idée de sentir leurs mains sur toi et leur bite même à travers les vêtements…
Sans doute il y a-t-il aussi avec toi, une autre femme. Qui s’occupe elle aussi des deux types à sa façon : elle leur a sorti la bite et elle les suce comme pour te les préparer…. Accroupie aux pieds des hommes, peut-être se branle-t-elle avec sa main libre passée sous sa robe… Comme tu as la cuises levée, elle passée dessous et elle est venue te sucer le clitoris et les petites lèvres…
Tu vois, je sais exactement comment est ton sexe quand tu es bien branlée et excitée. Ta fente est joliment bordée de tes petites lèvres fines, découpées et surtout très colorées par l’afflux de sang que provoque ton désir. Au-dessus d’elles, le clitoris est bandé et sort pour plus de moitié de son capuchon. Quand il est comme ça, il est très réceptif aux caresses, tant des doigts que d’une langue. A chaque caresse, il s’érige, bande et se rengorge donnant de petits coups sur son col… Et si tu as commencé à mouiller, les petites lèvres longues et bien dessinées ne se touchent pas, laissant un espace entre elles de l’épaisseur d’un doigt tout le long de la fente. Autant dire que ta vulve est prête alors, à accueillir un vit…
Mais je sais aussi qu’avant qu’il entre bien à fond dans ton trou de salope, tu vas le faire aller et venir sur toute la longueur de ta fente et t’arranger pour que le gland vienne titiller le bouton d’amour… D’ordinaire ; là, à ce stade tu décharges abondamment, surtout si en même temps une autre bite, comme cela doit être le cas ce soir et dans ta position, vient te frotter le petit trou de derrière. A moins qu’un doigt y soit entré, alors là, c’est le déluge : ta liqueur dégouline et mouille partout alentours… Il n’y pas que aimes autant qu’un doigt dans la rosette quand tu te fais sucer ou baiser…
Mon Elise est une branleuse de première ; elle n’a pas sa semblable pour faire décharger un type avant qu’il ait le temps de " mettre le Jésus dans la crèche " comme l’on dit chez moi … Avec elle, ce sont beaucoup de mecs qui deviennent des éjaculateurs précoces ! Elle est si adroite pour se passer les membres dans la fente et de telle façon qu’au bout de 3 ou 4 minutes et souvent moins, les mecs déchargent entre les lèvres du con, sans avoir eu le temps " de faire une visite au temple "…
Je sais tout cela chérie, et cela n’est pas fait pour me rassurer ! Je me surprends à t’imaginer dans la grange, penchée en avant les mains appuyées sur les anciennes mangeoires des animaux, en train de faire prendre en levrette, suçant en même temps une bite et te faisant peloter la poitrine, comme je te l’ai vu faire si souvent… Les jambes bien écartées, un braquemart te limant la matrice et sans doute un troisième homme te suçant par-dessous le clitoris, à moins que ce soit une femme qui te fasse cette caresse que tu apprécies tellement…
Sans y faire trop attention, perdu dans mes souvenirs de situations bandantes, je me rends compte que je suis en train de m’astiquer la bite. Je me branle en ayant entouré mon membre d’un de ses strings de ma coquine d’épouse. Je m’aperçois que le fait d’évoquer ce qu’elle est sans doute en train de faire sans que je puisse y participer, augmente grandement mon excitation et me donne envie de décharger. D’ailleurs je me dis que je devrais sortir aller dans la rue et ramasser une pute pour avoir le loisir de me faire sucer, au moins ça, alors qu’elle-même fait la pute avec des tas de mecs qui la sucent, la branlent, la baisent… Elle a besoin toujours que l’on soit plusieurs pour jouir bien à fond… Au moins trois ou quatre mecs et une ou deux femmes en plus d’elle… Pour jouir pleinement, il lui faut cet environnement où d’autres hommes et femmes à côté, baisent aussi, sucent ou branlent…
Mes pensées reviennent vers " L’Auberge des Trois Bouffons ", où elle est en train d’en prendre plein les fesses et le con… Elle doit s’en donner à cœur joie en s’occupant de bites et de couilles qu’elle aime vider... La garce est maintenant couchée sur son baiseur le con enfilé à fond sur le braquemart tendu, un doigt dans le cul, qu’une femme, une collègue sans doute est en train de lui mettre. Un homme vient se mettre derrière elle, il retire le doigt du cul de ma femme et y met à la place son membre. Il pousse un peu et le voilà entré au sanctuaire. Elise est prise par devant et par derrière : deux bites à la fois comme elle aime… Elle en suce une troisième, celle d’un mec venu se positionner devant elle. Son baiseur lui suce les seins, son enculeur la chevauche en lui tenant aux hanches. Elle jouit et décharge en râlant et en blasphémant comme elle sait si bien le faire :
- " Oui…. Oh, putain, que c’est bon… Allez-y, allez-y !! N’arrêtez pas… Continuez, défoncez-moi, je veux jouir je veux que vous déchargiez dans mon con et dans mon cul !... Allez-y, aspergez-moi !… Je veux sentir vos bites décharger ensemble !!... Oh ! Ouiiiiiii ! Ouiiiiiii !.... Je jouis ! Je décharge !! Ah putain, allez-y mes salauds… Allez-y ! " Et bien évidemment, la garce décharge en continu…
Et moi, là maintenant, je sens que je décharge aussi, incapable de résister à ces images trop fortes et que je connais si bien... Je m’amollis un instant sur le lit, mécontent et doublement frustré. Frustré d’avoir joui presque à mon insu et donc sans un réel plaisir et aussi frustré de ne pas avoir participé à la folle équipée de mon épouse, qui elle prend de son côté, son plaisir à fond sans penser à moi…
Alors que j’étais en train de me décider de me lever, j’entends une clé dans la serrure puis la porte qui s’ouvre… Des voix dans l’entrée… Je me rajuste et descends en toute hâte. Elise est dans l’entrée avec 2, 3 ou plutôt 4 autres personnes : une femme et trois hommes…
- " Et alors chéri, me lance-t-elle, voilà nous sommes venus finir la soirée avec toi !... " A sa voix j’entends qu’elle a du boire un peu plus que de raison… d’ailleurs, il me semble que la femme à côté d’elle est encore plus éméchée.
- " Tu ne pensais pas que j’allais te laisser seul et m’en donner à cœur joie sans toi, mon gros loup !... Tu sais bien que je n’accepte de faire toutes ces jolies choses bandantes qu’avec toi présent, mon chéri… Je l’ai dit à mes collègues, ils sont d’accord et ce sont eux qui ont dit : pourquoi pas ? "
A cet instant la femme blonde s’avance rapidement vers moi et me dis sans aucune gêne :
- " Allez le gros loup, je vais commencer tout de suite à m’occuper de toi ! " Puis s’adressant à un des hommes :
- " Hervé sort les bouteilles de Champagne pendant que je prépare le gentil monsieur ! " Et ce faisant, elle m’attrape par le cou et me roule un patin d’enfer. Son haleine est chargée. J’hésite entre le champagne et le Picon-bière. Sa main descend déjà vers ma ceinture, tandis que mon épouse, entreprise par deux hommes est poussée sur le canapé…
La dame blonde passe sa main dans mon pantalon… Mais là, je sais que je ne suis pas très prêt à… Pensez, il n’y pas 5 minutes que j’ai déchargé !…
Dommage pour moi ! Et je me dis : quel c… !
Elise chérie, ce soir je suis en mal de toi....
Je sais, jolie chérie que ce soir tu pourrais avoir tous les hommes du monde à tes pieds et surtout entre tes cuisses... Cela à la fois m’excite et me rend jaloux… Je n’aurais jamais du te laisser partir ce soir et aller à cette soirée d’entreprise… J’ai dit oui, sur le moment parce que je savais que tu en avais très envie et que je t’aime trop pour te refuser quoi que ce soit, mais maintenant je le regrette.
Vingt fois j’ai eu envie ce soir d’aller "planquer" près de "l’Auberge des Trois Bouffons" où tu festoies avec tes collègues, hommes et femmes, histoire de savoir avec qui tu allais sortir sur les coups de une ou deux heures du matin, pour aller t’exhiber puis te faire baiser dans quelques coins de hangars ou banquettes de voitures, comme cela t’est arrivé tant de fois au cours de nos soirées de débauche.…
Mais ce soir, ce ne sera pas moi, l’instigateur, le "gérant" de ces situations et j’en suis un peu jaloux et même très malheureux. Est-ce que ce sera une femme, un homme, ou plusieurs, qui te serviront de chevaliers servants ou de faire-valoir ce soir ?
Ce sera peut-être une femme, cette fois ? Cela me rappelle étrangement la Durand, tu sais pour le dernier réveillon de la St Sylvestre où cette femme mûre, perverse et très expérimentée, que nous surnommions "La Durand", t’avait "assistée" dans ta débauche… Ou encore notre intervention à Amsterdam, il y a 2 ans où tu t’étais surpassée, te souviens-tu dans les sous-sols de la "Taverne à bières", où la grande hollandaise blonde et sculpturale, te suivait partout pendant que tu te faisais emporter et baiser par tous les hommes, elle n’arrêtait pas de t’écarter les fesses pour te montrer aux autres, te langoter l’œillet, et y branler les vits des hommes qui y déchargeaient rapidement et abondamment, dont elle léchait ensuite avidement le foutre dans ta fente culière... Je me souviens que la garce se branlait énergiquement en te faisant cela et répétait - bien que je ne comprenne pas exactement chaque mot !- qu’elle adorait ton cul, tes fesses et ta chatte, ce qui ne m’étonnait pas !!...
Bref, je ne puis m’empêcher de penser à tout cela ce soir, et la jalousie de ce fait, m’étreint un peu… Je sais que tu avoir des opportunités, ma salope...
Il est maintenant 21h15, je sais que vous êtes à peine à table et que pendant les toasts, tes jambes, tes fesses tes hanches, ton joli minois et tes seins ont déjà fait l’objet de toutes les convoitises muettes mais appuyées de tous les hommes et de beaucoup de femmes... Cela me rappelle encore - décidément j’ai le temps ce soir de toutes les évocations ! - de cette superbe femme, magnifique blonde a qui tu avais tant plu lors du colloque de Strasbourg en janvier 2008, et qui, lors de la soirée conviviale que tu avais pas mal arrosée, t’avait suivie aux toilettes et t’avait proposé un peu d’aide pour relever ta robe de soirée. Elle t’avait matée et caressée furtivement les hanches, les seins et l’entrejambes... Ensuite, m’avais-tu raconté très excitée, elle s'était retournée, avait enjambé la cuvette des toilettes et s’était masturbée, debout, et très retroussée, passant la main dans son slip et se frottant les fesses à toi qui te rajustais... Elle avait, m’avais-tu dit, déchargée abondamment, tombant à califourchon sur la cuvette et écartant son slip, pour laisser s’épancher la cyprine chaude et abondante...
Donc, vous venez juste de passer à table et je sais que ta robe bleu-marine qui t’habille et te moule si bien, fendue sur le côté jusqu’à largement mi-cuisses, est déjà passablement relevée sous la table. Sans doute Jean Marie, parce que je sais qu’il est là, et sûrement assis en face de toi, avec Mireille à sa gauche et Thérèse à sa droite... Peu importe... Jean-Marie donc, a déjà dû très certainement faire tomber quelque chose pour reluquer tes jambes sous la table et plus s’il l’a pu... Dieu quel pauvre type incapable de plus avec toi tant il te craint, il ne sait t'adresser qu’un regard furtif et jamais dans les situations où il y a risques de périls... Bref, peut-être même s'est-il arrangé, le veinard, pour apercevoir ton slip. Lequel as-tu mis ce soir ? J’aimerais vraiment le savoir pour mieux t’imaginer !...
Est-ce le petit gris et blanc que je t’ai offert pour notre soirée de mars ? Celui qui te va si bien et qui te moule à merveille la motte et l’entrejambes ? Est-ce le joli blanc en dentelles que tu avais l’autre soir quand tu t’es masturbée devant le voyeur dans le couloir de l’hôtel à La Baule ? Ou bien est-ce plutôt celui à pois rouges et dans lequel tu as pissé sans vergogne l’après-midi du 15 août à Royan, sous la pinède... J’aurais dû rester avec toi pendant que tu t’habillais… Oui, j’aurais du !...
Sans doute, telle que je te connais, ne te prives-tu pas d’écarter largement les cuisses assise comme tu l’es... Pour être plus à l’aise, sûrement, mais aussi pour ne pas manquer tout ce qui pourrait "passer" sous la table !... En tout cas j’imagine parfaitement le tableau, l’ayant vu et vécu 10 fois, 30 fois. Mais j’en redemande et je ne m’en lasse pas, crois-le bien !!
Vas-tu reprendre la stratégie du Cap d’Agde - ou plutôt de Lattes - que tu avais si bien utilisée ce soir de Juillet 2005, où tu as entraîné sur la plage pour le bain de minuit, les 3 hommes et moi. Tu te souviens, il y avait la belle et pimbêche d’Agnès qui cherchait Franck son mari partout, le pensant au billard, puis au cinéma ? Tu nous avais entraînés, Franck, Régis, Michel et moi, sur la plage de Palavas-les Flots, il était plus de minuit... Là dans la lumière blanche et luisante de la pleine lune qui se reflétait dans la mer, tu as dansé pour nous et devant nous, en silhouette sur la mer, éclairée en contre jour par la lune... C’était à la fois divin et surréaliste !... Tu dansais avec la finesse et la fraîcheur qui te caractérisent... ondulant des hanches, cambrant le buste et ta coupe, relevant ta petite robe d’été à fleurs, toute légère, montrant ton petit slip brésilien que je savais orange, mais qui nous apparaissait, à nous, brun et mordoré dans la lumière lunaire.... Tu as, je m’en souviens, dans une pose lascive descendu doucement les bretelles de ta robe légère, et lentement tu as sorti tes seins du corsage d'été fin et transparent, comme on sort des bijoux d’un écrin. Superbes, ils étaient superbes, chérie tes seins dans la lumière diaphane qui les caressait avec tendresse ... Ils nous apparurent veloutés et lustrés, fermes et dressés au dessus de la robe, les bouts dont tu aimes tant qu’on les convoite et les caresses, arrogants et pointés... On eut la preuve que tu ne portais pas de soutien gorge... Ce fut un instant merveilleux. Je fus chaviré, transporté par l’effet de l’image qui nous subjuguait tous. Emu aux larmes de te voir aussi belle et fier de toi, et aussi d’être ton amant ! Bref j’en frémis encore.
Puis, je me souviens, bien que je sois tellement dans le bonheur que cela fit un moment écran à l’action... Je me souviens que tu es venue danser, toujours en contre jour, mais devant chacun de nous, individuellement, comme une aubade que tu aurais faite à chacun. Pour l’un, te mettant de dos, tu tortillais ta jolie croupe, tout devant son visage... Pour l’autre, faisant volte-face, tu lui présentais en le pointant bien en avant, ton pubis et ton petit ventre plat... Pour un autre encore, tu t’écartais bien face à lui, les jambes un peu fléchies et tu écartais le bord de ton petit slip, et tu lui donnais à voir, bien que dans l’ombre, ta chatte que tu caressais de façon provocante, ondulant du ventre et des hanches...
Je crois que c’est lors d’une de ces figures, alors que tu lui découvrais avec ostentation ta raie culière, que Michel le premier t’a touchée. Il a avancé son visage entre tes fesses, promptement et t’a dardé sa langue dans l’œillet. Je me souviens que tu as bloqué ta danse et que tu as frémi sous l’ardeur et la soudaineté de la caresse... Assis par terre, il t’a tenue ainsi, jambes à demi fléchies et tout le buste penché en avant, te retenant par les hanches. Tu te frottais d’un mouvement circulaire sur son visage... Et tu imprimais à ton bas-ventre un mouvement d’avant en arrière, de telle sorte, je le savais sans le voir que sa langue entrait dans ton con et atteignait ton clitoris bandé...
Franck et Régis sont venus près de toi, plaçant leurs hanches à tes épaules pour te faciliter l’équilibre, et te soutenant pour stabiliser ta position. Je me souviens que tu leur as sorti la bite, tandis que moi, je te suçais les seins avec délectation. Les salauds bandaient déjà énormément. Tu as commencé à les branler avec force, un dans chaque main. Et je sais combien, le fait de branler des bites quand tu es excitée, c’est pour toi un réel plaisir érotique !... D’autant que Régis avait une bite extraordinaire, le salaud ! Un baudet ! J’avais son sexe énorme tout à côté de mes yeux quand je te suçais les bouts de seins alors que tu le branlais...
D’ailleurs, rappelle-toi, il dû se mettre à genoux pour que tu puisses le sucer tant il en avait un braquemart maous qui t’arrivait bien au-dessus de la tête quand tu avais la bouche au niveau de ses couilles, sur sa racine. Excitée par tout cela et les caresses que nous te faisions, tu as déchargé fort et bruyamment, en gueulant des obscénités comme tu le fais le plus souvent d’habitude dans ces situations !!
Je me souviens aussi, mais je crois que tu ne t’en étais pas aperçu tant tu étais occupée, qu’un couple qui passait à pieds sur le sentier en haut de la plage, s’était approché, et se caressait, debout à 5 mètres de nous... Dans ta jouissance, tu étais tombée à genoux... Et toujours suçant nos trois engins, à quatre pattes, tu avais voulu que tous passent derrière toi voir tes fesses, tour à tour, et fidèle à tes principes tu avais demandé qu’on t’en fasse des compliments...
Ceux de Franck avaient déclenché chez toi, un nouvel orgasme. Il avait dit quelque chose comme : le sillon de la fente était bien profond et qu’au fond les petites lèvres dont il sentait la finesse, étaient bien pendantes et que c’était le signe que tu devais beaucoup te branler... Je t’avais demandé alors de rappeler à ta mémoire les images que tu avais eu à l’esprit la dernière fois que tu t’étais masturbée... Et tu avais presque simultanément joui en disant que c’était en pensant à l’exhibition de ta chatte dans l’arrière d’un taxi...
Puis, insatiable, et hyper excitée, tu avais voulu avoir " dans ton con la jolie bite de Régis "- c’étaient là tes mots ! - Régis s’est glissé sous toi, a mis un préservatif et nous avons tous assisté à la rentrée du mandrin. Tu l’as avalé en une fois si j’ose dire et sur toute sa longueur - il faisait au moins 22 - 23 cm ! Et tu as commencé à aller et venir sur le braquemart hyper tendu. La femme a côté qui s’était rapprochée, a commencé à jouir, soutenue et caressée par son mari puis Franck qui était allé les rejoindre. J’ai fait signe à Michel de te lécher le trou du cul que tu nous offrais dans cette position. Je sais que tu ne résistes jamais bien longtemps à ce double effet une belle bite qui te travaille la chatte et une langue qui s’insinue dans ton cul... En effet, une minute plus tard, tu inondais le vit de Régis et le menton de Michel. Régis bandait toujours comme un âne et résistait bien...
La femme qui était prise en levrette par son mari, tout en suçant Franck, jouissait en continu elle aussi.... Je t’ai alors proposé de changer un peu et je t’ai fait retourner sur la pine de Régis, de sorte que tu nous faisais face, accroupie, les cuisses ouvertes, l’énorme bite te bouchant le con. Et, bien que nous n’y voyons pas grand chose, pas en détails en tout cas, c’était infiniment érotique de te savoir enfilée ainsi et par un tel calibre !
Et comme toujours quand tu sens une femme dans ton entourage dans ces moments-là, tu exigeas de celle-ci des choses folles. Dans ton délire d’être ainsi si fortement baisée - c’était merveilleux d’être prise si à fond, disais-tu !... - Tu as exigé que la femme vienne se placer, toujours en levrette, à quatre pattes entre tes jambes, au niveau de tes genoux, pour qu’elle voit, disais-tu le piston qui t’enconnait et qu’elle décrive ce qu’elle voyait... Mais trop occupée à sa jouissance, caressée par Franck et baisée par le mari, elle ne put rien dire. Je sentais que la rage qui montait en toi t’excitait plus encore, et continuant d’aller et venir sur la bite qui te baisait au fond, et te démenant avec plus d’ardeur encore, tu exigeas telle une furie, qu’elle lèche les culs des hommes, pendant que tu les branlerais face à toi, jusqu’à ce qu’il te jute sur les seins, le visage, le corps.
Et là ce fut un grand moment que tu nous as fait vivre : aucun homme ne résiste plus de la minute, branlé par une femme et le trou du cul léché par une autre. C’est Michel qui est venu à toi, le premier en peu de temps il t’aspergeait de foutre brûlant et épais, les épaules, le visage et le cou.... Puis ce fut à Franck qui dirigea les jets sur tes seins. Tu en as joui d’ailleurs, souviens-toi... Et enfin ce fut moi, tu passais une main sous mes couilles et tu t'assurais que l’autre femme me mettait bien sa langue dans le cul... Là, tu avalas mon foutre avec délectation... Même le mari, vint à son tour se finir sur tes seins... Régis donnait des signes de fatigue et toi, avec une sollicitude à l’égard des femmes qui t’est inhabituelle, tu lui demandas si elle voulait goûter à la superbe bite... La femme qui n’avait pas dû jusque là remarquer la taille de la bite, fut surprise d’abord, puis elle s’empressa d'acquiescer. Tu lui as d’ailleurs dit qu’à la voir comme ça, impatiente, elle devait aimer la bite. Tandis qu’elle s’allongeait sur le dos en écartant les cuisses pour recevoir le mâle, tu as changé le préservatif, et c’est toi même qui a dirigé l’intromission au con de la rousse devant nous tous... La femme a joui très vite, en quelques allers et retours de Régis. Elle en redemandait encore et encore dans sa jouissance disant :
- "Ah putain que c’est bon - elle avait un fort accent du midi - une bite comme ça, c’est inouï... Ah quelle flèche !... Vas-y encore, encore, achevez-moi, achevez-moi, achevez-moi !!", gueulait-elle à la fin. Le mari la retenait aux épaules pour qu’elle puisse être pénétrée bien à fond...
Puis, passant derrière Régis, tu as sorti le vit du con de la rousse, retiré le préservatif, et plaquée derrière lui, lui faisant sentir tes jolis seins dans le dos, tu l’as branlé énergiquement. Il déchargea très vite sur les fesses et le dos de la femme... Son éjaculation était à la hauteur et proportionnelle à la taille de son sexe, c’est dire !! La rousse repartie à jouir encore une fois sous l’effet du sperme chaud sur sa peau...
Enfin tout se calma, pas encore complètement cependant, car te souviens-tu encore, que fidèle à tes rituels tu es allée à deux mètres, et debout, à demie fléchie, le ventre pointé en avant, tu as battu le rappel en disant :
- " Eh les mecs, je pisse "... Nous avons tous fait cercle autour de toi, sauf la femme qui restée, sonnée, étendue sur le flan et n’en croyant pas ses yeux… On devina plus qu’on ne vit mais dans le silence meublé du seul ressac de la mer, on entendit l’onde franchir avec le bruissement caractéristique, les lèvres de ta vulve, tous subjugués et sous l’emprise d’un enchantement surréaliste... Franck tendit la main sous le jet. L’ondée chaude éclata sur sa main ce qui changea le bruit... Puis tu continuas de pisser longuement, longtemps.... Enfin, tout en te secouant, tu courus vers la mer en disant :
- "Aller, tous à l’eau !…"
Tous ces souvenirs me chauffent la tête et pour me raisonner, je me dis que même si les choses pourraient se passer ainsi, au "Trois Bouffons", il n’y a pas de mer ni de sable, ni de bain de minuit…
Justement, il va être minuit et je suis inquiet de ce qui peut t’arriver là-bas… Surtout là-bas, c’est la forêt, alors… Un autre souvenir, de forêt justement celui-là, me revient… Non, non !! Je n’en veux pas ! Je ne veux pas me souvenir de ta partie de baise dans la clairière un jour de randonnée où tu t’étais soi-disant tordu la cheville et où tu ne pouvais plus marcher… Que deux grands gaillards dont un beau noir, avaient du te porter sur plusieurs kilomètres avant d’être obligés de s’arrêter dans cette maudite clairière… Alors que tout le groupe avait filé, vous étiez arrêtés tous trois… Non, non ! Je ne veux pas y penser !…
Je préfère monter dans notre chambre et là je vais ouvrir l’armoire regarder tes jolis sous-vêtements et sans doute me branler dans une de tes petites culottes fines et transparentes… Mais avant je vais faire l’inventaire de tes soutifs pour essayer par déduction de voir ce que tu as pris sur toi… Devant l’armoire, je commence le tiroir des soutiens gorges… je ne remarque pas qu’il en manque ; u du moins je ne vois pas celui qui manque à ta collection, pourtant je les connais tous… Voyons le tiroir de tes slips et strings… là encore à première vue pas d’absent !... Je me dis que… Non ! Quand même pas !...
Je décide de frapper fort et de renverser sur le lit les 2 tiroirs, celui de tes slips et celui de tes soutiens gorges… Cela prend du temps de reconstituer tes parures et de les assembler par forme et par couleur : les jaunes, les noirs, les plus nombreux… Les rouges avec la dentelles blanche ou la dentelle orange… les deux verts avec fanfreluches blanches… Mais le temps ne compte pas… Je n’ai que cela à faire ce soir, en t’attendant…
Bientôt je dois me rendre à l’évidence, tout est là… Il ne manque rien… J’en déduis que tu es partie nue sous ta robe, sans soutien gorge et sans culotte, les fesses à l’air, la fente accessible directement et la poitrine prête à être sortie et sucée… Non, ce n’est pas possible tu n’as pas prémédité cela au point d’y aller presque à poils : avec tes bas et ta robe sur le dos, c’est tout … Je comprends pourquoi les conjoints, conjointes, compagnons et compagnes ne sont pas invités à cette soirée d’entreprise…
Je regarde l’heure au réveil sur la table de nuit : minuit dix... Les libations et les flirts doivent commencer… Je connais bien cette auberge, vaste avec de nombreuses pièces, pleine de coin et de recoins, avec de grandes dépendances dès que l’on sort dans la cour derrière : des granges, des hangars, des greniers à foins… Et puis il y a la forêt qui commence juste à la porte…
Cette auberge est un lieu idéal pour une coquine comme toi et je sais qu’il te faut toujours une coterie avec toi quand tu as envie de t’envoyer en l’air et que tu es bien excitée… C’est d’ailleurs sûrement maintenant le cas : tu dois être partie avec deux ou trois types et une jolie collègue, au moins une… Je t’imagine très bien figure-toi, sans doute entre deux mecs, debout pour commencer, dans l’encoignure d’une porte de grange, en train de rouler des énormes patins à celui qui te fait face. Un autre derrière te trousse déjà, se frotte à toi, et te pelote les seins… L’homme qui en face de toi te soulève une cuisse d’une main, ce qui permet à l’autre type, derrière d’avoir mieux accès à ta chatte. Il te met un doigt, peut-être deux déjà et il a commencé à te branler… Je sais que tu adores être entreprise comme ça, par plusieurs hommes, coincée debout entre les deux et que tu mouilles rien qu’à l’idée de sentir leurs mains sur toi et leur bite même à travers les vêtements…
Sans doute il y a-t-il aussi avec toi, une autre femme. Qui s’occupe elle aussi des deux types à sa façon : elle leur a sorti la bite et elle les suce comme pour te les préparer…. Accroupie aux pieds des hommes, peut-être se branle-t-elle avec sa main libre passée sous sa robe… Comme tu as la cuises levée, elle passée dessous et elle est venue te sucer le clitoris et les petites lèvres…
Tu vois, je sais exactement comment est ton sexe quand tu es bien branlée et excitée. Ta fente est joliment bordée de tes petites lèvres fines, découpées et surtout très colorées par l’afflux de sang que provoque ton désir. Au-dessus d’elles, le clitoris est bandé et sort pour plus de moitié de son capuchon. Quand il est comme ça, il est très réceptif aux caresses, tant des doigts que d’une langue. A chaque caresse, il s’érige, bande et se rengorge donnant de petits coups sur son col… Et si tu as commencé à mouiller, les petites lèvres longues et bien dessinées ne se touchent pas, laissant un espace entre elles de l’épaisseur d’un doigt tout le long de la fente. Autant dire que ta vulve est prête alors, à accueillir un vit…
Mais je sais aussi qu’avant qu’il entre bien à fond dans ton trou de salope, tu vas le faire aller et venir sur toute la longueur de ta fente et t’arranger pour que le gland vienne titiller le bouton d’amour… D’ordinaire ; là, à ce stade tu décharges abondamment, surtout si en même temps une autre bite, comme cela doit être le cas ce soir et dans ta position, vient te frotter le petit trou de derrière. A moins qu’un doigt y soit entré, alors là, c’est le déluge : ta liqueur dégouline et mouille partout alentours… Il n’y pas que aimes autant qu’un doigt dans la rosette quand tu te fais sucer ou baiser…
Mon Elise est une branleuse de première ; elle n’a pas sa semblable pour faire décharger un type avant qu’il ait le temps de " mettre le Jésus dans la crèche " comme l’on dit chez moi … Avec elle, ce sont beaucoup de mecs qui deviennent des éjaculateurs précoces ! Elle est si adroite pour se passer les membres dans la fente et de telle façon qu’au bout de 3 ou 4 minutes et souvent moins, les mecs déchargent entre les lèvres du con, sans avoir eu le temps " de faire une visite au temple "…
Je sais tout cela chérie, et cela n’est pas fait pour me rassurer ! Je me surprends à t’imaginer dans la grange, penchée en avant les mains appuyées sur les anciennes mangeoires des animaux, en train de faire prendre en levrette, suçant en même temps une bite et te faisant peloter la poitrine, comme je te l’ai vu faire si souvent… Les jambes bien écartées, un braquemart te limant la matrice et sans doute un troisième homme te suçant par-dessous le clitoris, à moins que ce soit une femme qui te fasse cette caresse que tu apprécies tellement…
Sans y faire trop attention, perdu dans mes souvenirs de situations bandantes, je me rends compte que je suis en train de m’astiquer la bite. Je me branle en ayant entouré mon membre d’un de ses strings de ma coquine d’épouse. Je m’aperçois que le fait d’évoquer ce qu’elle est sans doute en train de faire sans que je puisse y participer, augmente grandement mon excitation et me donne envie de décharger. D’ailleurs je me dis que je devrais sortir aller dans la rue et ramasser une pute pour avoir le loisir de me faire sucer, au moins ça, alors qu’elle-même fait la pute avec des tas de mecs qui la sucent, la branlent, la baisent… Elle a besoin toujours que l’on soit plusieurs pour jouir bien à fond… Au moins trois ou quatre mecs et une ou deux femmes en plus d’elle… Pour jouir pleinement, il lui faut cet environnement où d’autres hommes et femmes à côté, baisent aussi, sucent ou branlent…
Mes pensées reviennent vers " L’Auberge des Trois Bouffons ", où elle est en train d’en prendre plein les fesses et le con… Elle doit s’en donner à cœur joie en s’occupant de bites et de couilles qu’elle aime vider... La garce est maintenant couchée sur son baiseur le con enfilé à fond sur le braquemart tendu, un doigt dans le cul, qu’une femme, une collègue sans doute est en train de lui mettre. Un homme vient se mettre derrière elle, il retire le doigt du cul de ma femme et y met à la place son membre. Il pousse un peu et le voilà entré au sanctuaire. Elise est prise par devant et par derrière : deux bites à la fois comme elle aime… Elle en suce une troisième, celle d’un mec venu se positionner devant elle. Son baiseur lui suce les seins, son enculeur la chevauche en lui tenant aux hanches. Elle jouit et décharge en râlant et en blasphémant comme elle sait si bien le faire :
- " Oui…. Oh, putain, que c’est bon… Allez-y, allez-y !! N’arrêtez pas… Continuez, défoncez-moi, je veux jouir je veux que vous déchargiez dans mon con et dans mon cul !... Allez-y, aspergez-moi !… Je veux sentir vos bites décharger ensemble !!... Oh ! Ouiiiiiii ! Ouiiiiiii !.... Je jouis ! Je décharge !! Ah putain, allez-y mes salauds… Allez-y ! " Et bien évidemment, la garce décharge en continu…
Et moi, là maintenant, je sens que je décharge aussi, incapable de résister à ces images trop fortes et que je connais si bien... Je m’amollis un instant sur le lit, mécontent et doublement frustré. Frustré d’avoir joui presque à mon insu et donc sans un réel plaisir et aussi frustré de ne pas avoir participé à la folle équipée de mon épouse, qui elle prend de son côté, son plaisir à fond sans penser à moi…
Alors que j’étais en train de me décider de me lever, j’entends une clé dans la serrure puis la porte qui s’ouvre… Des voix dans l’entrée… Je me rajuste et descends en toute hâte. Elise est dans l’entrée avec 2, 3 ou plutôt 4 autres personnes : une femme et trois hommes…
- " Et alors chéri, me lance-t-elle, voilà nous sommes venus finir la soirée avec toi !... " A sa voix j’entends qu’elle a du boire un peu plus que de raison… d’ailleurs, il me semble que la femme à côté d’elle est encore plus éméchée.
- " Tu ne pensais pas que j’allais te laisser seul et m’en donner à cœur joie sans toi, mon gros loup !... Tu sais bien que je n’accepte de faire toutes ces jolies choses bandantes qu’avec toi présent, mon chéri… Je l’ai dit à mes collègues, ils sont d’accord et ce sont eux qui ont dit : pourquoi pas ? "
A cet instant la femme blonde s’avance rapidement vers moi et me dis sans aucune gêne :
- " Allez le gros loup, je vais commencer tout de suite à m’occuper de toi ! " Puis s’adressant à un des hommes :
- " Hervé sort les bouteilles de Champagne pendant que je prépare le gentil monsieur ! " Et ce faisant, elle m’attrape par le cou et me roule un patin d’enfer. Son haleine est chargée. J’hésite entre le champagne et le Picon-bière. Sa main descend déjà vers ma ceinture, tandis que mon épouse, entreprise par deux hommes est poussée sur le canapé…
La dame blonde passe sa main dans mon pantalon… Mais là, je sais que je ne suis pas très prêt à… Pensez, il n’y pas 5 minutes que j’ai déchargé !…
Dommage pour moi ! Et je me dis : quel c… !
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