L’AUDACE D’UNE MÈRE DE FAMILLE Les Aventures de Fabienne 06 - histoire érotique

L’AUDACE D’UNE MÈRE DE FAMILLE Les Aventures de Fabienne 06
Des changements dans ma vie ont fait que je me suis éloigné des aventures de Fabienne, mais elle aussi. En y revenant, un an et demi après la dernière publication, vous allez voir qu’ils sont d’une grande importance.

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Pour en revenir à son histoire, rappelons que Fabienne est une jolie femme, bien foutue de partout avec un joli minois et des yeux bleus transparents ; sa chevelure est auburn et courte. Elle n’est pas très grande, mais possède un très beau fessier qui attire le regard des hommes. C’est une ménagère exemplaire qui s’occupe admirablement de son mari Steph et de ses trois enfants. Son mari Steph l’a connue alors qu’elle n’avait pas encore vingt ans et il a fallu qu’il attende le mariage pour pouvoir dépuceler sa belle. Très prude, ce beau brin de fille est malheureusement indisponible pour profiter des jouissances d’une vie amoureuse complète.


En 2014, alors qu’elle vient d’avoir 27 ans, elle a dû céder à un surveillant de l'école de ses enfants qui en a surpris un, volant de l'argent dans le sac de son institutrice. À son corps défendant, elle a dû effectuer la première fellation de sa vie, et subir un coït sauvage, qui, à sa plus grande honte, lui a fait éprouver une grande jouissance. Un jeune beur qui a pris des photographies, lui fait subir un odieux chantage, et vient la prendre et la faire jouir, lui occasionnant encore plus d’humiliation. Il l’offre à un vieil aristocrate dans son château, où, les yeux bandés, elle doit subir ses attouchements, jusqu’au moment où, l’allongeant sur une table, il écarte ses cuisses et lui bouffe littéralement la chatte, la faisant hurler de plaisir… Puis, il la baise en levrette et la soumet à sa première sodomie. Cette fois-ci, l’ignominie est à son comble…
Fabienne est ramenée chez elle par Hassan, après cette séance mémorable, où elle a subi la défloration de son anus, par un inconnu, puisqu’elle a toujours eu un bandeau sur les yeux ; certainement, un vieil aristocrate qui vit dans un château de la région, d’après les rares confidences du jeune beur. Son postérieur est encore douloureux après le gros sexe qui l’a pilonné outrageusement. Malgré tout, et malgré son dégoût de soi, elle ne veut se souvenir que de la volupté ressentie, et des incroyables orgasmes éprouvés pour la première fois de sa vie. Elle chasse de ses pensées, la honte de s’être conduite avec une certaine indignité dans cette fornication interdite par l’église.

Pourtant, c’est dans sa propre paroisse qu’elle forniquera avec le nouvel abbé Antonin, un Antillais du plus beau noir et toujours Hassan. Les deux complices la prendront de toutes les façons, les plus obscènes dans la nef de l’église, sur les autels des deux chapelles, profanant les lieux sacrés.

Une année et demie a passé depuis la dernière aventure de Fabienne avec l’abbé Antonin et le jeune beur Hassan. Pendant des mois, elle a dû subir de nombreuses fornications avec les deux hommes qui ne l’ont pas ménagée. Puis, en juillet 2016, son mari Steph a été muté à près de 800 km de Mulhouse sa ville d’origine. Comme il s’est agi d’une promotion, le couple a pu acheter une villa ancienne à Béziers, dans cette ville méditerranéenne entre Narbonne et Montpellier. Fabienne s’est sentie dégagée de l’emprise qu’Antonin et l’abbé antillais avaient sur elle. Ses sens apaisés, elle s’est occupée du déménagement et de l’installation de sa petite famille dans son nouvel environnement. La décoration de la maison nouvellement achetée, l’inscription de ses enfants dans les écoles proches et dans leurs activités sportives préférées, tout cela a accaparé complètement son esprit. Il est vrai que la maison située rue des Saint-Simoniens près de la cathédrale, dans le quartier du Vieux Pont et dont le jardin donne sur le fleuve « l’Orb » est exceptionnelle.

Fabienne a maintenant 31 ans. Elle a été révélée à la sexualité par les hommes qui ont abusé de sa naïveté et de son imprudence lors de la faute anodine de son fils et du chantage dont elle a été victime, la première fois où elle a du céder à ce Paulin, le surveillant de l’école de son fils Julien. À Béziers, cela fait déjà plusieurs semaines qu’elle est mère au foyer. La situation de son mari lui permet de rester à la maison afin de s’occuper des enfants encore très jeunes. L’inaction lui pèse et ses hormones la travaillent. Le souvenir de ce quelle a connu avec les amants imposés lui revient. À cette pensée, ses joues rosissent, mais pas seulement, elle ne peut ignorer l’humidité de son entrejambe, ni la pointe de ses seins, douloureux par leur turgescence frottant contre le tissu de son soutien-gorge.

Elle n’a jamais pu se résoudre à faire profiter son mari de l’expérience acquise lors des pires turpitudes auxquelles elle s’est soumise rapidement avec bonheur. Elle ne pratique avec son époux que l’amour en position du missionnaire et encore, toujours dans le noir absolu. À présent, ses envies de se voir prise dans toutes les positions, de pouvoir sentir un sexe dans son ventre et un autre dans son derrière lui manque. Comment retrouver les sensations qu’elle a trouvées longtemps honteuses, mais qui l’ont fait monter au septième ciel ?

Depuis peu, pour aider ses enfants dans leurs devoirs scolaires, elle utilise fréquemment Internet qui l’intéressait peu auparavant. Dans les périodiques féminins qu’elle reçoit, il est question souvent de sites de rencontres et surtout de sexe. Elle consulte de plus en plus souvent ce genre de sites et engage même des conversations sous un pseudo qu’elle s’est créée. Un jour de novembre, un masseur qui a un cabinet à Narbonne, lui propose des massages érotiques. Elle « tchatte » durant plusieurs semaines avant de se décider à accepter un rendez-vous.

L’homme lui a précisé qu’à son arrivée à son cabinet, elle devrait mettre un bandeau sur les yeux pour lui a-t-il dit « accentuer la perception sensuelle du massage ». Il lui demande d’apporter un foulard à cette fin.

Excitée et en même temps anxieuse de cette rencontre qu’elle a provoquée, elle fait une toilette soignée de son corps. Dernièrement, elle a renoncé au rasage bi-hebdomadaire de sa vulve et de sa raie culière, laissant seulement un long ticket de métro sur son pubis. Elle s’est fait faire une épilation orientale par une voisine maghrébine rencontrée au super marché proche de son domicile. Le sucre et le miel appliqués par cette Nadia, du même âge que Fabienne, ont rendu sa peau d’une douceur exceptionnelle. Elle ne peut s’empêcher de se masturber dans son bain, aux souvenirs de ce quelle a subi de la part d’Aymeric, ce châtelain qui l’a traitée avec délicatesse et qui a pris sa croupe pour la première fois. À cette pensée impure, elle fait glisser un flacon de shampoing d’une forme équivoque, le présente devant le trou plissé de son anus, et le pousse lentement dans la gaine rectale. L’étui en plastique force l’œillet en écartant le sphincter qui ferme la cavité qui s’ouvre et laisse l’objet oblong coulisser dans un va-et-vient incessant.

Fabienne se masturbe l’orifice anal durant de longues minutes dans son bain moussant jusqu’à l’orgasme qui la laisse pantelante. Elle met un certain temps à reprendre ses esprits, puis, elle termine sa toilette et se maquille soigneusement pour aller à ce rendez-vous coquin, le premier depuis qu’elle a déménagé il y a cinq mois. Enfin, elle choisit soigneusement les vêtements qu’elle va porter, songeant avec un sourire qu’elle va devoir les enlever pour ce massage « érotique ». D’abord, un haut noir en jersey à décolleté en V, une jupe à godets noire à pois blancs, à la ceinture noire très large soulignant la taille sur des escarpins noirs. Comme dessous : string et soutien-gorge noir, ce dernier orné tout autour de dentelles blanches. Des bas autofixant de couleur chair complètent sa tenue.

Fabienne dispose à présent d’une automobile du fait de la position de cadre de son mari.

Oh, c’est une modeste Twingo d’occasion, qui a cinq ans d’âge, mais cela lui permet d’emmener ses enfants à l’école et surtout dans le cas présent de faire les trente-cinq kilomètres qui séparent Béziers où elle demeure à présent, de Narbonne où le masseur l’attend. Ce rendez-vous qu’elle espère le plus coquin possible. Dans sa petite auto et durant le parcours, elle a relevé sa jupe jusqu’en haut des cuisses et lorsqu’elle double les camions, les chauffeurs routiers qui ont une vue sur ses cuisses dénudées ne se gênent pas pour lui envoyer de longs coups de klaxon. Elle en est toute émoustillée et sent l’entrecuisse s’humidifier aux pensées lubriques qui l’assaillent.

Le GPS de son Smartphone lui permet de trouver facilement la rue du Laguiole où se trouve le cabinet de son correspondant. Elle trouve facilement une place pour garer sa Twingo et sonne à la porte d’une petite maison à un seul étage, coincée entre deux immeubles de rapport. Une fois dans la salle d’attente vide, elle se plie aux exigences de Damien, l’homme avec qui elle a eu de nombreux échanges sur internet. Elle prend le foulard bleu qu’elle avait mis autour du cou et se le noue derrière la tête, se retrouvant, de la sorte, aveuglée et attendant, telle une proie, à quelle sauce, elle va être mangée…
L’angoisse a le temps de s’installer, car il se passe une bonne quinzaine de minutes avant qu’une porte ne s’ouvre et qu’elle sente une présence très près d’elle. Une voix grave l’interpelle.

« Bonjour ma belle Diana, merci d’avoir suivi mes instructions, venez, tenez-moi la main »
« Diana ? » C’est le pseudo que Fabienne a choisi pour communiquer sur les sites de rencontres coquines, en souvenir de la princesse dont elle était, comme beaucoup de jeunes femmes une fan. Elle se laisse conduire par la main par l’homme à la main large et rugueuse. Damien la dispose en la prenant par les épaules, puis, il lui demande de retirer son haut. Se mettant dans son dos, il lui détache le soutien-gorge, puis se collant à elle, il lui prend les seins dans ses larges mains, agaçant les tétons qui se sont raidis immédiatement entre les doigts qui les pincent progressivement, arrachant un gémissement à la jeune femme. Damien ne s’arrête pas là, il fait glisser rapidement le string au bas des jambes, et empoigne la chatte déjà très humide qu’il masturbe habilement. Fabienne ne peut empêcher des gémissements de filtrer de ses lèvres jusqu’à la jouissance qui la fait crier de joie.

La laissant se reprendre, il la fait s’allonger sur le ventre sur une table étroite. Mais aucun massage traditionnel ne lui est appliqué. D’ailleurs, elle a gardé ses bas et il ne les lui fait pas retirer. Il malaxe en priorité les fesses et la vulve, étirant les grandes lèvres, les triturant de ses doigts enduits d’huile odorante, doigtant profondément le vagin qui s’ouvre, alors qu’il est fouillé avec dextérité. Fabienne suffoque sous la jouissance monstrueuse qui l’envahit continuellement, mugissant des paroles sans suite sous la volupté qui fait vibrer sa matrice. La force incroyable que met cet homme avec ses doigts énormes, a raison des sens en demande de la jeune femme et elle se laisse aller dans une volupté béate, s’assoupissant peu à peu.

Damien la laisse reprendre ses esprits, puis, il la retourne comme une crêpe sur la table de massage et, il présente un phallus de bonne taille devant les lèvres de Fabienne qui aussitôt prend en bouche l’organe masculin qu’elle suce et avale sans vergogne. Damien lui caresse la vulve dans un premier temps, mais elle préfère s’astiquer elle-même la moule et déguste avec habilité cette bite, caressant les grosses couilles de sa main libre. Damien se retire et fait allonger Fabienne sur le dos, lui écartant les cuisses, il entreprend de lui faire une minette savante à laquelle se prête avec délices la jeune mère de famille. Après avoir savouré sa jouissance à plusieurs reprises sous la langue émérite du masseur, Fabienne vocifère un « Mon Dieu » lorsque l’orgasme déferle en elle, la laissant encore une fois pantelante.

Pourtant, Damien n’en a pas fini avec elle. Montant sur la table, il enfourche la femelle alanguie et lui retire le foulard qui aveuglait ses yeux. Fabienne découvre un colosse entièrement nu, aux cheveux roux avec une grosse moustache, celle-ci, elle l’avait bien senti lors du cunnilingus ; il est plus que costaud et elle comprend la force de ses mains qui sont de véritables battoirs. Mais Damien ne perd pas de temps, il pousse sa queue dans la fente bien élargie de Fabienne et il la pilonne dans un va-et-vient puissant et incessant. Puis, la prenant à bras-le-corps, il lui imprime un balancement, faisant onduler leurs corps dans une symbiose parfaite. Fabienne jouit encore sous cette pénétration puissante qui dure presque vingt minutes sans aucune interruption, l’envoyant encore une fois au septième ciel !

Damien a enfin pitié de sa patiente, il lui propose de se détendre dans le jacuzzi, présent dans une pièce attenante. Il la câline dans le bain, l’embrassant dans le cou, lui caressant les seins, le ventre, la chatte, pour enfin lui demander une pipe, afin de le remettre en forme. Fabienne, à genoux dans le jacuzzi, s’exécute sans sourciller. Une fois le braquemart redevenu rigide, il prend sa patiente par le bras et lui faisant prendre appui sur la table de massage, il l’enfile prestement, debout, en levrette. La position devenant inconfortable, il la fait monter sur la table, cette fois Fabienne est à genoux lorsque le vit du masseur pénètre sa chatte par derrière. Le pieu la défonce proprement, raclant les muqueuses ultrasensibles jusqu’à la cavité utérine. Fabienne pousse des beuglements à la trique qui se meut dans la gaine vaginale qu’elle distend à l'extrême.

Soudain, Damien se retire de la conque béante, et, sans hésiter, positionnant son gland sur l’œil de bronze, il force l’entrée de l’adorable lune et s’enfonce d’un trait, au fond du croupion de la belle. Celle-ci pousse un hurlement.

« Noooonnn……….. Arrêtez ! Je vous supplie ! Ahrrrrrr…… »
C’est trop tard, la verge est profondément ancrée au fond du postérieur, elle reste immobile, le temps que Fabienne se calme et s’habitue à cette tige qui a fait irruption sans crier gare ! Puis la cadence reprend, cette fois dans le cul de la mère de famille et Fabienne apprécie le dard qui laboure ses chairs meurtries par l’introduction intempestive. Elle adore se faire enculer, depuis qu’Aymeric, le châtelain l’a initié à la sodomie. Damien l’encule vigoureusement, la faisant feuler d’allégresse et jubiler du plaisir éprouvé. Il se vide en elle alors que des spasmes de volupté déferlent en elle, perdant presque conscience dans une euphorique jouissance…
Depuis son départ de Mulhouse et la cessation du chantage dont elle était l’objet, Fabienne a pris sa vie sexuelle en main.
Souhaitons-lui à présent de nombreux amants.