L'écart de Karen

- Par l'auteur HDS PCN764 -
Récit érotique écrit par PCN764 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'écart de Karen Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'écart de Karen
Karen vient de fêter ses 40 ans. C’est une femme heureuse autant en famille que professionnellement. Elle chérie ses enfants et affectionne son mari, Bruno. Une jolie maison, deux belles situations professionnelles, en quelque sorte, une famille heureuse.
Coté sexe, ce n’est pas Bruno qui a défloré Karen. Avant lui, elle n’a connu que l’homme qui lui a fait perdre sa virginité. Elle aime les moments coquins sous la couette avec son mari. Ils ont appris à se connaître, à découvrir ce que l’un et l’autre aimaient. C’est, Bruno qui la plupart du temps Bruno est demandeur. A la demande de son mari, elle se couche tous les soirs en nuisette sans rien dessous. Cela commence tout le temps de la même manière. Bruno l’embrasse, caresse ses seins puis de bisous en bisous, il descend vers la partie intime de Karen. Il agace le clitoris puis sa langue rentre en action accompagnait quelques fois de ses doigts. Alors c’est à Karen de s’occuper de son mari. Avant d’être prise en missionnaire elle aime faire durcir son mari au maximum par une fellation. L’acte sexuel dure suffisamment longtemps pour qu’elle jouisse.
Tous deux se sont jurés fidélité devant le curé et ont respectés leur engagement. Elle en eu la preuve le jour où elle fait une surprise à son mari. Il était en RTT et elle prit son après-midi sans le lui dire. Lorsqu’elle arriva devant la maison, la voiture de Bruno n’était pas là. Elle se gara plus loin et attendit son homme en espérant ne pas regretter la surprise. Bruno arriva quelques minutes plus tard avec des planches sur le toit et des outils dans le coffre. Il venait donc du magasin d’outillage. Elle ouvrit le garage en lui criant « surprise ». Après un sursaut, il se précipita sue elle et juste en lui soulevant la jupe, il l’avait baisé. D’habitude, il lui faisait l’amour mais là, il l’avait vraiment baisé comme au début de leur relation et en plus dans le garage ouvert. Elle se revoyait quelques années auparavant.
Si, à la maison, c’était une femme douce, docile et aimante, au travail, son poste d’assistante de la responsable RH l’obligeait à être ferme et presque froide. Elle avait trois collaboratrices sous elle et une responsable qui chapotait le service. Sa responsable partait en retraite en fin d’année et espérait prendre sa place.
- Bruno, tu sais que ma responsable part à la retraite et j’espère être promue.
- Ce sera que justice. Il me semble que depuis 15 ans, rien ne t’a été reproché.
- Oui, mais là, je ne comprends pas, s’ils envisageaient de me donner le poste pourquoi me font ils pas participer aux entretiens ?
- Je ne sais pas, chérie.
- En plus, ma chef a vraiment levé le pied et me charge de pratiquement tous.
- Ne stresse pas, tu le seras très vite.
Un autre soir, Karen rentre un peu plus détendue. Elle raconte sa journée à son mari.
- Ça y est, je suis sûr d’avoir ma promotion. Ils ont fait un tri et demain je participe au recrutement de mon remplaçant. Il y a deux candidats, un homme et une femme. Tu vois, il ne fallait pas d’en faire. Ils savent ce que tu vaux.
Le lendemain.
- C’est effectivement Enzo qui a été choisi. Il a su convaincre tout le monde. Par contre, je me suis renseignée sur lui et j’ai appris qu’il avait été viré de sa boite précédente parce qu’il s’est fait la femme du patron.
- Ah, quand tu as ce genre d’aventure, il ne faut pas se faire prendre. Je plaisante chéri. Et tu dois le juger que sur son boulot. Il est mignon ?
- Il est jeune, il a 25 ans, grand, musclé, assez beau gosse.
- Fait attention alors.
- Chéri, je ne suis pas ce genre de femme. Des beaux gosses, il y en a dans la boite et ça ne m’a jamais attiré. J’ai ce qu’il faut à la maison.
Malgré les pièges que Karen lui a tendus, il n’est jamais tombé dedans. Ça se passe très bien avec l’équipe. Mais Karen a bien vu qu’il était de plus en plus proche de la comptable. Elle ressent même un sentiment de jalousie, même si, au fond d’elle-même, elle refuse de l’admettre.
Sa période d’essai validée, il était temps présenter la nouvelle équipe RH, ici au siège mais également aux succursales à Nantes, Strasbourg et Marseille. Il fallait profiter du dernier mois de sa chef pendant les absences de Karen et Enzo. Elle n’avait jamais été dans ces autres sites et ce sera l’occasion de voir les personnes qu’elle ne connait que par téléphone.
Premier départ à Nantes. Aller-retour dans la journée. Enzo allait toujours dans le sens de Karen et faisait ses remarques dans le debriefing pendant le train retour. Elle appréciait qu’il ne fasse pas de remarque devant ses collègues provinciaux. Ils avaient même décidé de se tutoyer. Le voyage à Strasbourg se passa de la même manière.
Pour Marseille, deux jours été prévus car il y avait le site et l’usine. Il été pas possible de faire les présentations et les nouvelles directives et objectifs dans la même journée. Karen allait découcher pour la première fois. Elle avait fait en sorte que leurs chambres d’hôtel soient éloignées l’une de l’autre. La première journée se passa comme d’habitude sauf que le débriefing se fera dans la chambre de Karen, plus grande et avec un bureau permettant de travailler. Elle téléphona à son mari pendant qu’Enzo ouvrait les dossiers qu’il souhaitait revoir avec elle.
Enzo n’était pas concentré. Elle le ressentait et compris ce qui le bouleverser lorsqu’elle sentit la main d’Enzo se poser sur sa cuisse. Sa proximité dans une chambre d’hôtel l’empêchait d’être aussi professionnel qu’à l’habitude. Elle le lui retira.
- Qu’est ce qui te prend.
- Tu as de si belles jambes et tes bas sont si doux, je n’ai pas résisté.
- Comment sais-tu que j’ai des bas.
- J’ai pu le remarquer une fois lorsqu’en t’assaillant, ta jupe est remontée. J’ai des yeux de lynx et je ne loupe jamais ce que l’on dévoile même à la sauvette. Enzo avait son regard plongé dans le décolleté de Karen.
- Parce ce que tu vu autre chose.
- J’ai remarqué que tu ne portes pas de chemisier et que tu dois avoir juste un soutien-gorge sous ta veste. Il a dit ça en posant un doigt sur l’échancrure de la veste de Karen.
- Bats les pattes.
- Je suis sûr que tes dessous sont blancs.
- Mais, ça ne te regarde pas. La voix de Karen devenait tremblante et un frisson lui traversa tout le corps lorsqu’il posa se doigts sur le premier bouton. Elle posa sa main mais le n’empêchant pas de défaire le bouton. Elle suivi la main sur le deuxième puis le dernier bouton.
- Ah je savais bien qu’ils étaient blancs.
- Bon, ça suffit. Elle fit mine de refermer sa veste mais il lui retint la main et posa l’autre sur un sein.
Elle lâcha un soupir et ne se déroba pas au baiser d’Enzo. Que faisait elle, elle voulait tout arrêter mais n’arrivait pas à reprendre le contrôle. Elle se dit que c’était un charmeur redoutable et se rappela de la femme de son ancien patron et de la comptable qui s’avaient aussi été séduites. La main d’Enzo s’était reposée sur sa cuisse sans pouvoir progresser sous la jupe trop cintrée. Pour son grand bonheur, le soutien-gorge de Karen se dégrafait par devant. Il pu ainsi lui poser une main sur un sein dénudé. Lorsqu’il posa sa bouche sur le sein pour aspirer le téton, Karen lui tint la tête. Elle était très sensible des seins et s’abandonnait. Elle se souleva et retroussa elle-même sa jupe. Il caressa alors la cuisse jusqu’à l’aine puis sur la culotte en dentelle. Lorsqu’il passa la main dans la culotte, elle lui prit la tête pour qu’il l’embrasse. Il la releva et se lassa dévêtir. La veste de tailleur, le soutien-gorge, la jupe et la culotte. Il ne lui restait plus que ses bas. Elle avait envie de lui maintenant et alla s’allonger sur le lit le regardant se déshabiller. Une fois nu, elle écarta les jambes et il enfoui sa tête entre ses cuisses. Elle senti une excitation plus forte que lorsque son mari lui faisait cette caresse. Enzo, prenait son temps la faisant jouir une première fois. Puis, comme elle le faisait à Bruno, elle le prit en bouche. Il la dirigeait.
Lèche-là tout le long, titille le prépuce. Prend juste le gland dans ta bouche, recommence. Maintenant gobe là le plus possible.
Tout à son plaisir, il lui retint la tête lorsqu’il éjacula. Surprise, elle avala une gorgé et comme se n’était pas désagréable, elle avala le reste qui était dans sa bouche. Enzo n’avait pas débandé. Il s’allongea sur elle en la regardant bien dans les yeux. Elle fit un signe de tête lui montrant qu’elle le voulait en elle. Elle grimaça car il était plus gros que le sexe de son mari. Enzo commença de doux va et vient puis, accéléra. Elle plia ses genoux en les écartant pour le sentir encore plus en elle. Elle gémissait, se pinçait les lèvres pour ne pas crier. Elle jouit une deuxième fois. Enzo la retourna et la prise en levrette. En la tenant par la taille, il donnait de grand coup de rein. Elle mordit le coussin tant elle éprouver du plaisir. Elle jouit une nouvelle fois. Puis un dernier coup de rein le plongea au fond du sexe de Karen. Il éjacula en elle. Il s’allongea sur le lit et elle se blottit contre lui.
- C’était une bêtise.
- Tu en avais envie autant que moi.
- Je sais. Tu passes la nuit avec moi ?
- T’es incroyable. Farouche au début, libéré ensuite et demandeuse maintenant.
- Viens, on prend une douche, on s’habille, on va manger et on se remet au lit.
De retour à la chambre, karen s’est jeté sur lui.
- Je suis à toi cette nuit et puis on arrête. Je te laisse à la comptable.
- Qu’elle cochonne celle-là.
- Tu aurais pu te passer de cette remarque. Tu veux une cochonne. Je n’ai jamais dit ça, baise-moi. Il s’est fait sucer, la prise dans diverses positions. Ce que karen a le plus aimé ce fut la position de la cuillère. Tout en la baisant, il lui caressait les seins, lui titillait son clitoris et Karen avait le sentiment de ne plus arrêter de jouir. L’apothéose, fut lorsqu’il éjacula en elle avec un doigt entre ses fesses. Comme il avait été endurant, ils s’endormirent. Au matin, Enzo coucha une dernière fois avec sa responsable. Ils s’embrassèrent presque amoureusement. Karen avait fait un écart mais s’en regretter, elle se sentait coupable vis-à-vis de son mari. Elle ne fit plus aucune entorse à son mariage.

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