Les infidélités de Chloé

- Par l'auteur HDS PCN764 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Les infidélités de Chloé Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les infidélités de Chloé
Je me présente, je m’appelle Chloé et j’ai 28 ans. Je suis une vraie blonde, des yeux bleus, 1m68, je pèse 55 kg en moyenne avec une poitrine de 90B. je suis mariée depuis 2 ans avec Kevin. J’avais couché avec lui alors que j’avais un petit copain et je suis restée avec lui. Jusqu’à maintenant je lui suis restée fidèle mais je sais qu’un moment d’égarement peut toujours m’arriver. Je ne suis jamais restée fidèle avec un garçon depuis mon dépucelage à 17 ans.
Ce soir-là il y avait une soirée organisée par l’entreprise de Kévin. Il espérait avoir l’occasion de convaincre son patron d’obtenir un poste qu’il convoitait. Je savais que s’il avait une bonne nouvelle il voudra me sodomiser. En effet, j’étais au milieu de mes règles et une pénétration vaginale n’était pas envisageable. J’adore être sodomisée lorsque je suis au bord de l’orgasme, ce que Kévin c’est très bien faire et j’atteins l’orgasme par cette pénétration. Mais une sodomie directe ne m’apporte pas autant de plaisir. Pour calmer ses éventuelles envies, je l’ai sucé et l’ai laissé jouir dans ma bouche et j’ai avalé.
J’étais habillée d’une jupe en cuir noire à mi-cuisse et un chemisier jaune. Mes jambes étaient couvertes de bas auto fixant couleur chair et mes dessous étaient blancs. On peut avoir ses règles et être sexy. Arrivés à la soirée, Kevin repéra tout de suite une place à côté de son patron. Il s’excusa mais l’occasion était trop belle et je me retrouvais donc seule et m’installais au hasard. J’avais un couple à ma droite et un homme à ma gauche. J’appréciais car aucun ne parlait boulot. D’ailleurs, ils ne connaissaient pas particulièrement Kevin. Après une courte explication, l’homme qui s’appelait Cédric compris mieux pourquoi Kevin m’avait laissé seule. Après l’apéro et un verre de vin, je sentis une main, cachée par la nappe blanche, se poser sur mon genou. Je le regardai dans les yeux et lui souris. Je laissais sa main remonter sur la cuisse et la caresser. Mais, il ne pouvait pas monter trop haut car ma jupe faisait barrage. Le repas se poursuivit et je vis Kevin me faire un signe qui me fit comprendre que ça se passait bien pour lui. A la fin du repas, le patron nous informa qu’il y avait dans la salle d’à côté une soirée dansante. Kevin vint me voir pour me dire d’aller m’amuser car lui, devait continuer à travailler le patron.
Cédric ne me lâchait pas d’une semelle mais ça ne me dérangeait pas. Puis, les lumières se sont tamisées et une série de slow a commencé. Evidemment, Cédric me prit dans ses bras. Il avait les mains sur mes hanches et moi autour de son cou, la tête sur l’épaule. Sas mains allaient de mon dos à mes fesses. Allumeuse, j’ai commencé à faire des mouvements de mon bassin m’écartant puis allant jusqu’à me coller à la bosse qui s’était formé dans son pantalon.
- Tu m’excite, j’ai envie de toi.
- Désolé, j’ai mes règles mais je crois que sinon…- Sinon quoi ?
- On se serait surement éclipsé.
On continua à s’exciter mutuellement par des caresses. Lorsqu’il me caressa un sein, je me suis lancée.
- Connais-tu un coin discret ?
- Oui, suis-moi.
Il avait les clés de la pièce où les affaires des gens étaient entreposées. Il m’embrassa tout de suite et je répondis à son baiser. Puis je me suis écartée pour dégrafer mon chemisier et sortis mes seins des balconnets. Pendant qu’il me les caressait, me mordillait les tétons, j’ai dégrafé son pantalon et après avoir descendu son boxer, je saisis son sexe que j’ai caressais. Je me suis accroupi pour le sucer. Quel dommage de ne pouvoir faire plus car je trouvais que sa bite était belle. Lorsqu’il a été sur le point de jouir, je l’ai dirigé sur mes seins et j’ai senti son sperme chaud. Il me donna un mouchoir et je me suis essuyée. Lorsque nous sommes revenus, les lumières étaient toujours tamisées. Personne n’avait rien vu. Je suis retourné à ma table pour me désaltérer.
Kevin est venu me rejoindre et a voulu me présenter à son patron.
- Je vous présente ma femme, Chloé- Vous ne m’aviez pas dit que vous aviez une femme si ravissante.
- Merci monsieur- Appelez-moi Jean - Merci Jean. Excusez-moi, je vais chercher nos affaires- Je vous en prie, ChloéDe retour avec nos affaires, le patron me serra la main et je sentis une carte que je prie discrètement. Nous sommes rentrés et j’avais dans mon sac deux numéros de téléphone. Kevin avait eu tort de me laisser seule car le besoin d’aller voir ailleurs revint dans mon esprit. Un été, un amant de passage m’avait dit qu’avec un si joli minois et un corps pareil, il ne fallait surtout pas laisser un seul homme en profiter et depuis c’est devenu ma maxime.
Par principe, j’ai toujours pensé que ce n’était pas à moi d’appeler.
Kevin avait obtenu le poste et était maintenant amener à avoir des déplacements, quelques fois de plusieurs jours.
Son patron profita d’une de ces absences pour appeler sur notre téléphone fixe.
- Bonjour Chloé, c’est Jean le patron de votre mari- Bonjour, mais Kévin n’est pas là- Oui, je le sais il est en déplacement. C’est à vous que je souhaitais parler.
- Ah- Je voudrais vous inviter dans ma maison de campagne- Non, ça ne va pas être possible. Vous profitez de l’absence de mon mari- C’est vrai, excusez-moi. Vous ne m’en voulez pas trop, j’espère.
- Non, ça va- Puis je vous rendre visite pour me faire pardonner.
- Vous voulez m’offrir des fleurs- C’est exactement ça- Bon, pourquoi pas.
- Dans une heure, ça vous va.
- Je suis folle d’accepter. Dans une heure alors.
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai pris une douche et j’ai revêtu une petite robe d’été, un léger maquillage pour recevoir un homme d’environ 30 ans de plus que moi. Je savais très bien pourquoi il venait et j’allais tester ma résistance malgré l’abstinence du fait de l’absence de Kevin.
- Bonjour Chloé.
- Oh merci, elles sont magnifiques.
- Vous êtes d’une beauté éclatante.
- Mais entrez, je vous débarrasse.
- Merci.
- Installez-vous. Je vous sers quelque chose.
- Un whisky glace, si vous avez.
Je me suis servi un gin tonic puis avec les deux verres, je me suis assise à côté de lui. Nous avons trinqué et il a engagé la conversation me questionnant sur nos dernières vacances. Il me laissait parler et enchainait sur une nouvelle question. Puis, il m’a parlé de la soirée entreprise m’interrogeant sur le fait d’avoir été toute seule. Il fit le geste que j’avais prévu. Il posa sa main sur le haut de ma cuisse. Tout en continuant à parler, j’ai posé ma main sur la sienne sans la lui retiré. Je me suis dit intérieurement qu’au final, j’attendais ce geste. Comme je n’exerçais pas de pression sur sa main, il pouvait remontait sur ma cuisse et la caresser. J’avais les jambes croisées et il posa sa main sur l’autre cuisse. Ma main n’a pas suivi en restant sur ma cuisse. Il forçait légèrement sur ma cuisse pour que je la décroise. J’ai, dans un premier temps, résisté tout en ma caressant la cuisse. De son expérience, il devinait que j’étais sur le point de répondre à ses attouchements. Lorsqu’il a forcé une nouvelle fois, j’ai décroisé mes jambes. Sa main est rapidement remontée sur le derrière de ma cuisse passant sous ma robe. A cet instant, le silence était troublant. Il délaissa ma cuisse pour prendre mon visage. Lorsque sa bouche s’est approchée de la mienne, j’ai ouvert la mienne pour accueillir son baiser. Nos langues se sont mêlées et sa main s’est posée sur un sein qui n’était couvert que du tissu de ma robe. Il a fait glisser une bretelle et découvrit un sein qu’il caressa à même la peau. De mon côté j’avais toujours une main sur ma cuisse qui avait remonté le bas de ma robe. Il abandonna ma bouche pour embrasser mon sein et mordiller mon téton. Son autre main s’est posée entre mes cuisses pour accéder à ma culotte sous ma robe. J’ai écarté mes jambes, lui laissant accès à mon sexe. Sa bouche sur mon sein et une main dans ma culotte m’ont fait lâcher un gémissement. Les événements se sont accélérés. Lorsqu’il a attrapé les côtés de ma culotte, j’ai soulevé les fesses pour qu’il me la retire. Il s’est installé entre mes cuisses, la robe relevée et a mordillé mon clitoris, lécher mon sexe le pénétrant de sa langue. Je lui tenais la tête, bougeant mon bassin au-devant de sa bouche. Puis il s’est relevé et face à moi à dégrafer son pantalon, baissa son boxer et me présenta un sexe droit comme un i. Je me redressai et le suça avec envie et lui rentre le plaisir qu’il venait de me donner. Je m’efforçais à le prendre le plus profond possible. Il en profita pour se défaire de tous ses vêtements. Comme il ne pouvait retirer son pantalon à cause de ses chaussures, j’ai arrêté ma fellation. Pendant qu’il retire le reste de ses affaires, j’ai retiré mes chaussures et ma robe. Je me suis allongé sur le canapé et dans une position impudique, écarta les jambes. Il est venu sur moi et me regardant dans les yeux présenta son sexe face au mien. Il me pénétra que de son gland, le retirant puis entreprit le même mouvement en s’enfonçant de plus en plus. Puis il me pénétra énergiquement, ce qui me faisait gémir et sortir des « oh oui », « c’est bon ». Si moi je prenais réellement mon pied, je voyais qu’il prenait vraiment plaisir à me prendre. Il s’occupait toujours de mes seins ce qui décuplait ma jouissance. Il me retourna et à genoux sur le canapé, il me prenait en levrette. Evidemment, il essaya de détendre mon p’tit cul qui s’ouvrait naturellement. Lorsqu’il voulut me sodomiser, je lui ai dit- Pas maintenantJ’attendais la limite de mon orgasme pour prendre le maximum de plaisir. Après quelques minutes de son traitement, je lui dis de me sodomiser. Il s’enfonça dans mon p’tit cul sans difficulté et me fit atteindre un orgasme extraordinaire. Comme il n’avait pas encore jouit, je me suis agenouillée entre ses cuisses et les branler face à ma bouche. Lorsque j’ai senti qu’il allait éjaculer, j’ai approché ma bouche, tirais la langue et reçu son sperme chaud dans ma gorge et sur ma langue. J’ai dégluti et tout avalé. Tous les deux nus sur le canapé, nous récupérions.
- Vous êtes formidable, Chloé. Vous êtes si belle et si bonne à baiser, sans tabous.
- Je savais en vous faisant venir que vous alliez me baiser et j’avoue que je ne regrette pas. Merci de me laisser maintenant.
- Puis-je vous rappeler ?
- Peut-être que c’est moi qui vous téléphonerais.
- Bonne soirée Chloé.
- Embrassez-moi avant de partir.
C’est ainsi que ce termina la soirée. Chloé s’est endormie rapidement.

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