L'ÉCHANGE
Récit érotique écrit par zi [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-08-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L'ÉCHANGE
L’ ÉCHANGE
Est-ce possible de changer sa femme avec un autre pour une nuit ?
C’est de la faute d’une relation bien charpentée, un homme encore jeune que l’idée m’en était venue. Il avait baisé la femme : son médecin qui se préparait à l’ausculter . … sur son bureau, comme ça, à sec …ce Bernard ! Et encore il insistait joyeusement sur ce bon coup.
Sa femme avait un problème de nuque ankylosée, et lors d’une dernière rencontre des couples…chez eux j’avais massé ce cou appétisssant. C’était comme du bois et après le travail elle m’avait très timidement remercié. Mais faute de pouvoir conclure ce jour-là j’avais mis cette possibilité charnelle dans un placard pour plus tard.
Il aimait faire du nouveau…moi aussi !
En poursuivant la conversation sur le médecin baisé, je le branche sur mon projet, « toi chez moi et moi chez toi…une nuit. »
Pas tout-à-fait surpris le Bernard, très heureux de l’idée, on regarde les maniéres d’aboutir… A—à chacun de convaincre sa femme avec ses propres arguments et B--on prévoit les voyages prétextes. Quelques jours aprés Il m’appelle et dit être prêt ! Quelle aubaine ! j’organise de mon côté
On arrive enfin au jour choisi.
Il avait été convenu que l’on se raconterait sa nuit, chacun .
Il arrive chez moi, ma femme chapitrée et consentante ( nos accords) offre le verre de cognac et après émoustillée par les pelotages se dresse en se mettant nue complétement à l’instant comme promis. Il la prend sur le champ, sur le tapis. Ils montent ensuite à toute vitesse dans la chambre pour poursuivre les ébats. Je prend bonne note de la générosité de mon épouse. Je n’en saurais pas plus !
Pour moi c’est mieux préparé. Elle avait organisé un petit diner. Quelques tendres gestes autour des plats. A la fin je propose un bon massage sur le lit de madame. Bonne entrée en matiére !
On monte au premier et elle se met sur le ventre pendant que je me prépare. Vous avez compris le modus vivendi du massage sexuel! Pour la premiére fois de ma vie je touche un cou en bois. Retirer les vétement génants et autres obstacles. Avec les bretelles de soutien-gorge cela me géne , je n’ai pas le parcours libre que jaimerais.
Elle me dit « comme ça cela va ! » me dit-elle en le retirant son soutien-gorge, elle se tourne vers moi pour me les montrer : ses seins tentants.
D’abord ne pas brusquer, échauffer doucement, presque tendrement. Comme de l’amour maintenant. Prendre de la profondeur. De la puissance progressivement. Et là sur les vertébres : débloquer. « clac, clac » en plusieurs endroits…avec le petit craquement délicat. D’immense soupirs de détente accompagnent chacun de ces soins.
On passe progressivement à la suite de plus en plus précise: fort sur les fesses. ferme sur les belles cuisses. Dans les petits endroits secrets même, entre les jambes par exemple…justement elle les écarte spontanément. Le sujet est mûr !
C’est enfin le moment si recherché de la pénétration : sexe à sexe.
Je ne vais pas décrire ce que chacun connaît. Je ne m’attendais pas à une pareille fête. Il n’y pas trop de la nuit pour de si nombreux ébats, comme la position tournante : Au-dessus de moi elle fait un tour sur mon sexe dressé en drapeau, et bien d’autres. J’ai voyagé en Asie, ou on peut en faire de bien salées !
J’en suis encore tout ému !
Le matin, hélas, il vaut se lever, quitter ce bonheur vénal. Je l’embrasse encore profondément de la langue : non sans avoir convenu de refaire un autre massage.
Un matin pas comme les autres pourtant. Je rentre à la maison, tout est en ordre. La journée de travail à domicile reprend …
La rencontre avec Bernard semaine suivante est empli de la narration joyeuse de nos fortunes. Je ne crois pas d’ailleurs que nos femmes en ont parlé entre elles : retenue de bon aloi.
A la différence d’une conversation surprise cette semaine entre quatre belles femmes « cul, con, bite » était leur langage. Un peu tristounet ?
Par la suite, l’attitude des quatre protagonistes de cette nuit est identique comme par leur passé…, pas plus, pas moins. On se connait, on sort ensemble, on s’apprécie, sans geste déplacé, comme si rien de particulier n’avait éxisté
Est-ce possible de changer sa femme avec un autre pour une nuit ?
C’est de la faute d’une relation bien charpentée, un homme encore jeune que l’idée m’en était venue. Il avait baisé la femme : son médecin qui se préparait à l’ausculter . … sur son bureau, comme ça, à sec …ce Bernard ! Et encore il insistait joyeusement sur ce bon coup.
Sa femme avait un problème de nuque ankylosée, et lors d’une dernière rencontre des couples…chez eux j’avais massé ce cou appétisssant. C’était comme du bois et après le travail elle m’avait très timidement remercié. Mais faute de pouvoir conclure ce jour-là j’avais mis cette possibilité charnelle dans un placard pour plus tard.
Il aimait faire du nouveau…moi aussi !
En poursuivant la conversation sur le médecin baisé, je le branche sur mon projet, « toi chez moi et moi chez toi…une nuit. »
Pas tout-à-fait surpris le Bernard, très heureux de l’idée, on regarde les maniéres d’aboutir… A—à chacun de convaincre sa femme avec ses propres arguments et B--on prévoit les voyages prétextes. Quelques jours aprés Il m’appelle et dit être prêt ! Quelle aubaine ! j’organise de mon côté
On arrive enfin au jour choisi.
Il avait été convenu que l’on se raconterait sa nuit, chacun .
Il arrive chez moi, ma femme chapitrée et consentante ( nos accords) offre le verre de cognac et après émoustillée par les pelotages se dresse en se mettant nue complétement à l’instant comme promis. Il la prend sur le champ, sur le tapis. Ils montent ensuite à toute vitesse dans la chambre pour poursuivre les ébats. Je prend bonne note de la générosité de mon épouse. Je n’en saurais pas plus !
Pour moi c’est mieux préparé. Elle avait organisé un petit diner. Quelques tendres gestes autour des plats. A la fin je propose un bon massage sur le lit de madame. Bonne entrée en matiére !
On monte au premier et elle se met sur le ventre pendant que je me prépare. Vous avez compris le modus vivendi du massage sexuel! Pour la premiére fois de ma vie je touche un cou en bois. Retirer les vétement génants et autres obstacles. Avec les bretelles de soutien-gorge cela me géne , je n’ai pas le parcours libre que jaimerais.
Elle me dit « comme ça cela va ! » me dit-elle en le retirant son soutien-gorge, elle se tourne vers moi pour me les montrer : ses seins tentants.
D’abord ne pas brusquer, échauffer doucement, presque tendrement. Comme de l’amour maintenant. Prendre de la profondeur. De la puissance progressivement. Et là sur les vertébres : débloquer. « clac, clac » en plusieurs endroits…avec le petit craquement délicat. D’immense soupirs de détente accompagnent chacun de ces soins.
On passe progressivement à la suite de plus en plus précise: fort sur les fesses. ferme sur les belles cuisses. Dans les petits endroits secrets même, entre les jambes par exemple…justement elle les écarte spontanément. Le sujet est mûr !
C’est enfin le moment si recherché de la pénétration : sexe à sexe.
Je ne vais pas décrire ce que chacun connaît. Je ne m’attendais pas à une pareille fête. Il n’y pas trop de la nuit pour de si nombreux ébats, comme la position tournante : Au-dessus de moi elle fait un tour sur mon sexe dressé en drapeau, et bien d’autres. J’ai voyagé en Asie, ou on peut en faire de bien salées !
J’en suis encore tout ému !
Le matin, hélas, il vaut se lever, quitter ce bonheur vénal. Je l’embrasse encore profondément de la langue : non sans avoir convenu de refaire un autre massage.
Un matin pas comme les autres pourtant. Je rentre à la maison, tout est en ordre. La journée de travail à domicile reprend …
La rencontre avec Bernard semaine suivante est empli de la narration joyeuse de nos fortunes. Je ne crois pas d’ailleurs que nos femmes en ont parlé entre elles : retenue de bon aloi.
A la différence d’une conversation surprise cette semaine entre quatre belles femmes « cul, con, bite » était leur langage. Un peu tristounet ?
Par la suite, l’attitude des quatre protagonistes de cette nuit est identique comme par leur passé…, pas plus, pas moins. On se connait, on sort ensemble, on s’apprécie, sans geste déplacé, comme si rien de particulier n’avait éxisté
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