LA PENETRANTE - histoire érotique

HIST

LA PENETRANTE
IL regardait intensément les jambes de ma femme, par dessous la table dans le grand restaurant de l’hotel.

On voit bien que son petit équipement féminin , léger, vaporeux … surtout très court l’éxcitait. ……. Un bel homme blond , bien mis. Un grand !

J’ai eu soudain envie de me payer une bonne tranche de Candaulisme dans cet hotel sympa. Je songe à cela pour le prochain repas.

En effet pour le soir , j’avais préparé ma femme à faire l’amour avec lui. Elle a bien compris ce que je désirais. Je mérite bien ces faveurs spéciales. On avait décidé que je demanderais fermement qu’elle fasse l’amour avec un étranger et qu’elle ne pourrait qu’accepter. Deux fois on avait déjà fait cela, mais c’était dans un sauna public en France.

Je lui ai donc fait mettre un petit short court, et moulant… ses grandes et belles jambes feraient bien le reste.

Dans 2 tables salle à manger on était vraiment empli de désirs sexuels. Le blond n’en pouvait plus de la désirer. Ma femme avait accepté de baiser selon sa promesse , mais se demandait quand et ou ?

A la fin du repas , à ma demande, elle rentre dans notre chambre, me laissant seul organiser la suite.

Je me lève vers la table du blond , comme pour une conversation entre amis . Je m’assoie devant lui ; on cause gentiment de l’essentiel : les femmes. Dans la conversation je lui demande d’une voix neutre , si il n’aimerait pas faire l’amour avec ma femme qu’il désirait semble t’il.
Un immense sourire accompagne sa réponse en Anglais. Une acceptation joyeuse qui ne demande que l’action.

Je lui propose de faire cela maintenant disons dans un quart d’heure ; la rencontre est prévue aussitôt dans notre chambre. Pour sceller l’accord on commande un petit verre de cognac.
On boit aussitôt comme 2 complices heureux d’un bon coup, et je remonte.

Je la trouve en train de se préparer mentalement , encore toute habillée ;
Cela frappe enfin à notre porte.
Le blond, souriant d’une pareille aubaine, lui plaque un baiser sur le front.
et je lance la séance en retirant son soutien-gorge, elle avait en effet aussitôt son arrivée enlevé son corsage.

Je charge le grand blond de la suite : la caresser de la main droite du haut du dos jusqu’au bas des fesses, la main gauche descend sur son ventre et entre comme l’autre dans la petite culotte qui n’avait jamais vu ça avant.
C’est un grand frisson pour elle qui accompagne ces gestes audacieux et coordonnés de lubricité.
Elle n’en peut plus ! Aie ! Et la petite culotte tombe !

Il met ma femme en appui sur le lit les pattes écartées et entre son pénis. Il s’enfonce fiéveusement dans son vagin, en la bousculant vers l’avant. On connaît la répétition de ces attaques lorsque les seins se balancent sensuellement d’avant en arriére !

Maintenant, collé à ses fesses nues , Il agrippe la partenaire par ses deux seins, affirme ainsi sa force de mâle, sa sensualité et compléte son plaisir . Les pénétrations se multiplient. C’est pour moi un grand moment de félicité que je savoure avec un bonheur extrême.

Après quelque temps ils émettent les soupirs du coït…ils jouissent en fin… tous les deux.
Toujours en Anglais, le blond me demande de poursuivre et de la coucher sur le lit, j’accepte avec plaisir!
Soumise, elle se place sur le dos au milieu du lit conjugal , se repose un moment, puis sérieusement écarte les jambes pour l’acte.
Les yeux fermés elle reçoit la bite du grand et s’en repais en se tortillant
sensuellement, la sarabande recommence !

Les mouvements s’accélèrent graduellement , vont même grand train. Tout son vagin est empli de ce gros sexe inconnu .

Recevoir un si gros poids sur soi , écrasée de luxure, dominée par l’homme , tout cela produit un sentiment puissant, tonique en même temps ; elle est prête à soulever la montagne. Je me régale et admire !
Maintenant il retire son pénis doucement pour ne pas rompre la douceur de la sexualité de ce bon moment.

Elle est heureuse mais n’en peut plus …. je décide d’arrêter.
Je le remercie de ses efforts, et clos en Anglais cette belle séance… Avec un sourire partagé , il ouvre la porte à regret , et s’enfuis avec un petit signe de reconnaissance.

Ma femme se couche, elle se repose longtemps puis... se pelotonne contre moi ; elle s’endort avec le sentiment d’un agréable devoir accompli pour plaire à son mari .

Il faut absolument renouveler ces rencontres ! Mais toujours trouver de beaux étalons et d’un certain niveau n’est pas la chose la plus aisée.