L'ÉDUCATION ANGLAISE - Éloge de la Candeur (10)

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Auteur homme.
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Récit libertin : L'ÉDUCATION ANGLAISE - Éloge de la Candeur (10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L'ÉDUCATION ANGLAISE - Éloge de la Candeur (10)
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L'ÉDUCATION ANGLAISE - Éloge de la Candeur (10)

Résumé des chapitres précédents : Sandy, une jeune femme, mariée à un rustre est déniaisée par Paul qui a presque le double de son âge. Entrainée chez un couple de quadras, Jacques et Corinne, qui, avec Maud, leur soubrette de dix-huit ans, elle assiste à leur débauche débridée et se retrouve à son grand étonnement à participer à cette orgie. Initiée à la sodomie par Paul, elle accepte de se faire prendre en double par les deux hommes. Sur la route du retour, elle s’exhibe sur l’autoroute et se fait prendre par un motard qui l’a quelque peu martyrisée, à la grande surprise de Paul qui découvre les dispositions masochistes de sa compagne. D’ailleurs, celle-ci, s’essaie seule, dans la salle de bains de l’hôtel à se suspendre attachée pour que Paul lui supplicie sa chatte et ses seins. Au restaurant de l’hôtel, ils font connaissance d’un couple d’anglais, Edward et Diana qui occupent la chambre voisine de la leur. Ils se retrouvent tous quatre pour boire un verre.

Les deux couples prennent donc place dans les deux fauteuils qui équipent la chambre. Sandy s'est assise sur les genoux de Paul alors que Diana se laisse tomber dans un des fauteuils, pendant que son époux sort de ses bagages une mallette contenant des verres et du vieux whisky. Paul, malicieux, infiltre une main sous la jupe de sa compagne tout en la caressant furtivement. Bien qu'il le fasse avec discrétion cela n'a pas échappé aux regards de nos anglais. La belle Diana, enfoncée dans son fauteuil, alors que son mari s'est disposé sur un des bras, laisse entrevoir à travers sa jupe fendue qui s'est écartée comme par inadvertance, son entrejambe gainé de bas blancs. Paul et Sandy aperçoivent sous la jupe entrebâillée le porte-jarretelles blanc, ainsi que le début d'une culotte de même couleur. Paul en profite pour relever un peu la jupe de sa compagne, ne laissant rien ignorer aux Anglais de ce qu'il lui fait subir en fourrageant dans l’entrejambe gainé de bas sombres. C'est d'ailleurs, dans l'esprit d'Edward, cette attitude quelque peu équivoque du couple qui lui a offert le gîte, qui l'incite à tenter une expérience. Aussi, s'adressant à son épouse, il lui dit très froidement.

- Ma chère, vous savez sans doute, que votre étourderie va vous occasionner la correction à laquelle vous avez droit.

Puis, se tournant vers Paul et Sandy, il se justifie.

- Mes chers amis, en Grande-Bretagne, vous savez sans doute que depuis des temps immémoriaux, nous appliquons aux jeunes gens des châtiments corporels qui sont acceptés de bon gré. Dans notre famille, nous n'échappons pas à la règle et nous poursuivons cette coutume, même dans le mariage. C’est ainsi que Diana va recevoir sa punition devant vous et avec votre concours si vous le désirez. Est-ce que cela n'est pas trop choquant pour vous Français ?

Paul assure qu'il faut respecter les usages de chacun et que si Diana est d'accord, il serait curieux d'assister à cette "éducation anglaise", si prisée Outre Manche, et dont on entend tant parler en France. Diana en entendant ces propos insidieux a un petit sourire polisson. Elle se lève aussitôt et enlève sa veste de tailleur, puis, retroussant d'elle même sa jupe elle laisse apparaître de très jolies jambes gainées de nylon blanc, découvrant par la même occasion un porte-jarretelles de même couleur et une culotte gaine en satin et en dentelle blanche. Paul et Sandy avaient bien entrevu la couleur des dessous que portait la jolie rousse. Celle-ci se place d'elle même à genoux sur le lit, se penchant en avant, faisant ainsi ressortir ses fesses qui gonflent sa culotte. Le tableau est charmant, mais Edward sortant de son bagage une garcette et un martinet s'adresse cette fois directement à Sandy.

- Ma chère, auriez-vous l'obligeance de retirer la culotte de mon épouse, car il va me falloir la châtier sur ses fesses mises entièrement à nu.

Sandy s'est empourprée, légèrement embarrassée par la tâche qu'elle va devoir accomplir sur cette femme d’environ cinquante ans, à la distinction certaine. Bien que perplexe, elle se dégage du fauteuil tout en s'approchant du lit. Quoiqu'elle ait scrupule à déculotter cette ravissante femme qui s'offre avec complaisance et soumission aux désirs pervers de son époux, elle se décide à détacher délicatement les jarretières, puis à prendre à deux mains la gaine en la faisant glisser jusqu'aux genoux, découvrant de la sorte un postérieur admirable à la peau très blanche et dont les fesses charnues paraissent bien délicates. Edward, lui demande alors d'aller plus loin.

- Voyons Sandy. Vous permettez que je vous appelle Sandy n'est ce pas ma chère ? Il faut lui enlever sa culotte complètement, et, si vous le voulez bien, écarter par la même occasion les globes de ses fesses pour que je puisse aussi atteindre ses endroits les plus tendres.

La jeune femme, commence à être excitée par ce que ce noble Lord lui demande de faire, percevant dans sa vulve des picotements précoces, annonciateurs des sécrétions qui irriguent déjà sa moule. Elle retire donc la culotte qui entrave les jambes de l'anglaise, et, ce faisant, elle écarte les cuisses qui tressaillent sous la paume de ses mains pour que le vagin, qui est recouvert d'une touffe abondante de poils roux, se trouve bien dégagé. Elle ne peut s'empêcher au passage d'effleurer avec ses doigts l'entrecuisse si tentant, faisant sursauter la femme, qui sous la main qui cajole ses parties intimes, ne peut s'empêcher de frémir. Sandy s'enhardissant, ose pencher sa tête et humer le parfum épicé qui s'échappe de la cavité vaginale de la rousse, puis, introduisant sa langue, elle lèche brièvement les chairs qui commencent à s'humecter, provoquant un gémissement de volupté que Diana ne peut s'empêcher d'émettre.

Mais Edward veut éviter que son épouse puisse se soustraire au châtiment qu'il lui réserve, surtout qu'il précise à ses deux spectateurs que Diana adore être flagellée. Aussi, écartant Sandy avec courtoisie, il entreprend de fouetter les fesses blanches et dodues avec le martinet, calmement dans un premier temps, puis de plus en plus vite et de plus en plus fort. Les globes charnus sont bientôt striés de traînées rouges, et, même un peu de sang perle aux endroits les plus sensibles. Diana tressaute à chaque coup que son mari lui applique, mais elle ne laisse fuser que de rares geignements, agitant tout de même son derrière lorsque les coups deviennent trop précis. Puis, l’Anglais prenant la garcette, en donne quelques coups violents dans l'entrejambe, fouillant la vulve et arrachant cette fois, quelques glapissements de douleur à son épouse suppliciée.

Paul, sent dans son pantalon sa verge qui bande diablement et Sandy est toute trempée. Edward a bien vu les yeux brillants d'excitation des deux amants ainsi que la bosse qui déforme le pantalon de Paul. Aussi il propose à celui-ci de prendre sa place, après, ce sera au tour de Sandy de fustiger la femme rousse qui étrangement ne proteste pas et tend sa croupe aux coups qui ne tardent pas à pleuvoir sur ses fesses endolories. Lorsque Sandy, corrige à son tour le derrière de la belle anglaise, elle prend un plaisir sadique à fouetter cette femme si séduisante et si charmante, qui se laisse faire en poussant des petits gémissements de détresse et d'exaltation.

Lorsqu'elle s'arrête, Diana s'allonge de tout son long sur le lit, et, toute dignité envolée, elle sanglote, anéantie par cette triple correction à laquelle, tout de même, elle ne doit pas être habituée. Edward, aidé de Paul, lui applique une pommade calmante qui fait rapidement de l'effet, car la jolie Lady cesse de sangloter, et, entourant de ses bras le cou de son mari, elle l'embrasse avec passion. Cependant, Paul qui enduit les parties intimes de l’aristocrate anglaise avec de l'huile que son mari lui a confiée à cet effet s'aperçoit que la vulve de la belle Diana est détrempée, car apparemment elle vient de jouir intensément de la dégelée qu'elle vient de recevoir. Puis, se tournant vers Sandy qui s'est allongé dans un fauteuil, il constate que son élève, excitée par ce qu'elle vient de voir et de faire, a retroussé sa jupe et qu'elle se masturbe, les yeux révulsés dans un état second. Il s'adresse alors au couple enlacé, leur suggérant de s'occuper maintenant de sa compagne.

- Regardez chers amis, ma Sandy se fait jouir toute seule. Vous ne croyez pas que cela mérite une punition pour ne pas nous avoir associés à son plaisir ? Surtout qu'elle ne connaît pas encore le bonheur d'être fouettée.

Edward acquiesce avec empressement, car il avait bien escompté qu’en corrigeant son épouse, il aurait aussi l'occasion d'admirer et de fustiger les fesses de cette jeune femme qui lui paraît particulièrement libertine.

- Mon cher, vous avez raison, mais peut-être devrions-nous l'attacher, car si elle n'a jamais été flagellée, elle risque de se révolter ?

Paul se lève, et avant que Sandy ait pu réagir, il l'empoigne, aidé par Edward, tout en lui arrachant sa jupe. La jeune femme qui ne porte plus de culotte depuis que Paul l'en a dissuadée, se retrouve à moitié nue, vêtue seulement de son porte-jarretelles et de ses bas noirs. Les deux hommes malgré ses protestations, la font s'agenouiller sur le fauteuil, et ils lui attachent les mains derrière le dossier avec des liens qu'Edward a retirés de son bagage. Ensuite, tenant fermement ses cuisses tout en les écartant, ils les fixent aux bras du fauteuil avec des gros rubans. C'est ainsi que le dos, le fessier et les cuisses de la pauvre Sandy, sont totalement exposés aux regards et surtout disponibles aux manœuvres sadiques de ses tortionnaires. Sa position permet en outre d'accéder à sa vulve béante et à la rosace de son œillet anal. Son effroi, à la pensée de la punition qu'elle va recevoir, lui procure étrangement des frissons délectables.

Edward, est, bien entendu, le premier à débuter la séance de flagellation. S'armant d'un martinet à sept lanières en cuir, il commence à corriger les très belles fesses de Sandy, appuyant à peine pour les premiers coups qu'il donne sur le derrière charnu de la belle. Cela ne lui a pas fait vraiment mal, mais elle a été surprise et a poussé un petit cri. Progressivement les coups deviennent plus douloureux. Aussi elle essaie de se mettre dans un état second, de ne plus penser à la douleur insinuante qui envahit son corps martyrisé. Elle supporte stoïquement la correction, ne voulant rien dire, alors que l'anglaise suppliciée est restée silencieuse. Paul prend à son tour une cravache de jockey, fustigeant par quelques coups anodins la croupe déjà rougie par la flagellation du martinet, qu'il cingle ensuite régulièrement, pour finir par une bastonnée violente qui empêche presque Sandy de respirer, tellement sa douleur est effroyable. Puis, sadiquement, Paul lui enfonce d'un seul coup le manche de sa cravache dans l'orifice de son rectum, lui arrachant un hurlement effroyable.

- Oooooooooooh..........! Mon Dieu ! Tu m'as transpercée. Oh ! J'ai mal. Retire-la je t'en supplie. Oh ! Non arrête, tu me fais trop mal. Ahhhhrrrrrrrrrrr......

Paul en effet agite dans tous les sens le pommeau en cuivre de la cravache dans le pauvre derrière dévasté, puis, le retirant d'un trait, il laisse sa place à Diana qui, s'armant d'une chambrière avec une longue mèche au bout, vient frapper la vulve et brûle les muqueuses si sensibles de la suppliciée. Ses fesses deviennent vite rouges, laissant du sang perler parfois des zébrures. Elle laisse éclater ses sanglots, mais à aucun moment elle ne proteste contre sa tortionnaire. Elle ne sait pas pourquoi, mais elle ne peut pas lui en vouloir. De temps en temps, le fouet vient s'enrouler dans sa raie culière, la mèche cinglante venant lui meurtrir le vagin trop exposé. Sandy ne peut s'empêcher de laisser de sourdes plaintes s'échapper de sa gorge lorsque les lanières s'enroulent dans son entrecuisse, surtout quand les mèches cinglent méchamment son clitoris et les chairs entrouvertes de sa vulve. Elle a une furieuse envie de crier, mais se retient, des larmes coulant seulement à grosses gouttes sur son visage.

Elle est heureuse de pouvoir résister à la douleur affreuse que lui administre l'élégante Anglaise, mais soudain, elle sent que son vagin laisse s'écouler une mouille abondante et une volupté intense s'empare d'elle. Elle ne veut pas non plus crier sa joie, car elle a peur que sa tortionnaire ne sache plus s'arrêter, aussi, elle se laisse aller dans un semi coma bienfaisant. Edward, qui a dégainé une imposante verge de son pantalon, tout en se branlant, regarde avec des yeux exorbités le spectacle qu'offre la jeune femme qui reçoit cette volée mémorable. Paul lui propose d'enculer sa compagne. Sans plus hésiter, l'Anglais s'approche des fesses sanguinolentes et écartant les globes d'une main, il pointe son phallus sur la pastille brune, perçant l'œillet sans coup férir et s'enfonçant au plus profond du cul, réveillant brutalement la pauvre suppliciée qui pousse un hurlement inhumain, surprise par l'intromission féroce de cette pine énorme dans son postérieur. À ce moment, Paul lui présente sa verge à sucer, elle la prend instinctivement, la pompant avec beaucoup d'ardeur, pleurant et riant à la fois, se soumettant sans réserve aux exigences de son "maître". Elle pressent que cette nuit, elle sera encore prise par tous ses orifices de nombreuses fois, mais qu'importe, elle va jouir, jouir, jouir. Il n'y a plus que cela qui compte désormais dans sa vie.

Lorsque les deux hommes, ont déchargé leur foutre dans la croupe et dans la gorge de Sandy et qu'ils se retirent assouvis, Diana détache immédiatement la pauvre suppliciée et l'aide à s'étendre sur le lit. Puis, elle applique sur ses plaies des crèmes adoucissantes et cicatrisantes. Elle passe ensuite entre ses cuisses une éponge et un linge pour nettoyer la vulve imbibée de foutre et de mouille. Enlevant le corsage et le soutien-gorge de la jeune femme, elle constate avec effroi l'état de ses seins affreusement torturés précédemment par le motard et par Paul. Elle les soigne avec une grande douceur tout en l'embrassant passionnément sur la bouche.

A suivre……………

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Merci vieux loup pour ce récit que même le "divin marquis" aurait pu apprécier à sa juste valeur !

A bientôt...

Didier

J'ai adoré ce récit dans lequel Sandy va de découverte en découverte
Comme toujours, l'écriture de Vieulou est de grande qualité et son récit parfaitement bien monté

Histoire Erotique
Comme d'habitude avec Vieulou, c'est parfaitement ficelé - un peu comme une caméra cachée dans cette chambre d'hôtel. Je pense que Sandy comme Diana devraient peu dormir(d'autant qu'Edward a sans doute apporté d'autres joujoux pour exciter les orifices de ces dames).

Merveilleusement conté bien que le sujet ne soit pas "my cup of tea", mais Vielou le sait.

Histoire Erotique
Super séance de délectation que vous nous dispensez là dans une écriture égale à vous

congratulations

B.



Texte coquin : L'ÉDUCATION ANGLAISE - Éloge de la Candeur (10)
Histoire sexe : Une rose rouge
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