L'éducation d'Oscar
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'éducation d'Oscar
Un immense portail métallique au milieu duquel s’ouvre un fenestron au milieu d’une porte. Stéphane donne le mot de passe et on nous ouvre.
- Voilà ! C’est lui. Dit-il en me poussant devant lui.
- Enlève tout tes vêtements ! Me dit l’homme qui nous accueille. Ici, tu vivras nu jusqu’à ton départ !
Je me remémorais Histoire d’O et je me déshabillais immédiatement. Stéphane les prit et repartit immédiatement. On me mit une cagoule sur la tête avec seulement des trous pour la bouche et le nez.
Un collier de cuir autour du cou avec une chaîne pour me conduire. Une tape sur la fesse puis :
- A genoux ! Ordonna une voix. Chaque fois qu’on te touchera de cette manière, tu te mettras à genoux et tu ouvriras la bouche pour sucer la queue qui s’y introduira. Une main sur la nuque signifiera que tu donnes ton cul. Tu ne dois jamais te dérober quelque soit la circonstance.
Je suis resté dans cette école pendant deux ans. On m’a fait faire du sport, de la musculation, des massages et des régimes alimentaires. On m’a même fait porter des vêtements spéciaux pour modeler mon corps. Maintenant j’ai le torse musclé, pas un brin de graisse, des fesses rondes et bombées.
Sans que je le sache, Stéphane venait de temps en temps, pour voir l’évolution de mon éducation.
Pendant ces deux années, j’ai du être sodomisé un bon millier de fois. Quand mon cul fut bien cambré, on m’a tatoué les initiales de Stéphane, une sur chaque fesse. Avec mon accord, bien entendu.
Maintenant, Stéphane me rend visite à sa guise. Quelquefois, quand il a des invités, il veut que je reste chez lui. Dans un premier temps, il veut que je porte un pantalon très ajusté avec une fermeture à glissière dans le dos. Mes fesses cambrées invitent les caresses. Je me promène parmi les invités afin de me faire voir. Quand tout le monde passe à table, je me retire. Au dessert, je porte un autre pantalon dont le fond a été coupé de la ceinture à la naissance des cuisses. Mon cul est exposé à la vue de tous.
Aujourd’hui, pour la première fois, j’ai été enculé en public. Un invité s’est levé et m’a pris par le bras. Il m’a poussé devant lui. Il a passé ses bras devant moi et a défait ma ceinture.
Il m’a courbé en avant, le torse couché sur la table. Il a écarté mes fesses, posé son sexe sur mon anus et s’est enfoncé dans mon cul. Il m’a baisé jusqu’à m’inonder de sperme. Pendant ce temps-là, un autre des invités, émoustillé par le spectacle, s’était levé et avait fait le tour de la table. Tirant sur mes cheveux, il releva ma tête et présenta son sexe à mes lèvres. Une fois le gland entré dans ma bouche, il me prit par les oreilles et enfonça sa queue toute entière. Les autres, spectateurs, furent charmés de me voir avaler sa semence quand il jouit.
Stéphane a réaménagé sa maison. Maintenant, pour aller au salon ou à la salle à manger, on doit passer par une pièce où trône un immense lit garnit de draps en satin rose, et au milieu, moi, totalement nu et offert.
- Voilà ! C’est lui. Dit-il en me poussant devant lui.
- Enlève tout tes vêtements ! Me dit l’homme qui nous accueille. Ici, tu vivras nu jusqu’à ton départ !
Je me remémorais Histoire d’O et je me déshabillais immédiatement. Stéphane les prit et repartit immédiatement. On me mit une cagoule sur la tête avec seulement des trous pour la bouche et le nez.
Un collier de cuir autour du cou avec une chaîne pour me conduire. Une tape sur la fesse puis :
- A genoux ! Ordonna une voix. Chaque fois qu’on te touchera de cette manière, tu te mettras à genoux et tu ouvriras la bouche pour sucer la queue qui s’y introduira. Une main sur la nuque signifiera que tu donnes ton cul. Tu ne dois jamais te dérober quelque soit la circonstance.
Je suis resté dans cette école pendant deux ans. On m’a fait faire du sport, de la musculation, des massages et des régimes alimentaires. On m’a même fait porter des vêtements spéciaux pour modeler mon corps. Maintenant j’ai le torse musclé, pas un brin de graisse, des fesses rondes et bombées.
Sans que je le sache, Stéphane venait de temps en temps, pour voir l’évolution de mon éducation.
Pendant ces deux années, j’ai du être sodomisé un bon millier de fois. Quand mon cul fut bien cambré, on m’a tatoué les initiales de Stéphane, une sur chaque fesse. Avec mon accord, bien entendu.
Maintenant, Stéphane me rend visite à sa guise. Quelquefois, quand il a des invités, il veut que je reste chez lui. Dans un premier temps, il veut que je porte un pantalon très ajusté avec une fermeture à glissière dans le dos. Mes fesses cambrées invitent les caresses. Je me promène parmi les invités afin de me faire voir. Quand tout le monde passe à table, je me retire. Au dessert, je porte un autre pantalon dont le fond a été coupé de la ceinture à la naissance des cuisses. Mon cul est exposé à la vue de tous.
Aujourd’hui, pour la première fois, j’ai été enculé en public. Un invité s’est levé et m’a pris par le bras. Il m’a poussé devant lui. Il a passé ses bras devant moi et a défait ma ceinture.
Il m’a courbé en avant, le torse couché sur la table. Il a écarté mes fesses, posé son sexe sur mon anus et s’est enfoncé dans mon cul. Il m’a baisé jusqu’à m’inonder de sperme. Pendant ce temps-là, un autre des invités, émoustillé par le spectacle, s’était levé et avait fait le tour de la table. Tirant sur mes cheveux, il releva ma tête et présenta son sexe à mes lèvres. Une fois le gland entré dans ma bouche, il me prit par les oreilles et enfonça sa queue toute entière. Les autres, spectateurs, furent charmés de me voir avaler sa semence quand il jouit.
Stéphane a réaménagé sa maison. Maintenant, pour aller au salon ou à la salle à manger, on doit passer par une pièce où trône un immense lit garnit de draps en satin rose, et au milieu, moi, totalement nu et offert.
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