L'éducation de Judith
Récit érotique écrit par Clar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2019 dans la catégorie Plus on est
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L'éducation de Judith
L’éducation de Judith
Je m’appelle Judith. J’ai 38 ans, mariée, mère de deux garçons, mon mari est boulanger. Une vie sans histoire jusqu’à ce que……J’ai connu Christophe mon mari à 18 ans. Il en avait 21. C’était pendant les vacances, au bal des pompiers. Jusqu’à lors, je n’avais connu que deux garçons. Le premier avait été un flirt de vacances, rencontré deux années plus tôt en Vendée où nous passions nos vacances. Il m’avait fait découvrir ce qu’embrasser sur la bouche signifiait, je trouvais ça agréable, et le dernier soir il avait dégrafé mon haut de maillot de bain et caressé mes seins. Le lendemain, nos vacances finies, nous reprenions la direction d’Orléans. J’emportais le souvenir de ses mains sur mes seins, et le soir je me caressais en y repensant. L’été suivant, je rencontrais Loïc, de nouveau quelques jours avant la fin des vacances. Il était entreprenant et dès le deuxième soir, au cinéma, il avait glissé sa main sous ma culotte et m’avait masturbée. Je me souviens du sentiment de honte qui m’avait habité à ce moment-là. Le lendemain, il m’avait entrainé chez lui, m’avait déshabillée et sans préliminaire avait emporté ma virginité. Il paraissait content de lui, je ne garde pas à un souvenir impérissable de ce moment, la douleur ayant été plus importante que le plaisir.
J’ai donc rencontré Christophe au bal des pompiers. Il était en vacances dans notre village, et je m’étais retrouvée à danser avec lui. Nous avions sympathisé, il m’avait appris qu’il était boulanger et grâce à un petit héritage il allait pouvoir acheter une affaire d’ici quelques mois. Nous nous sommes revus, je suis devenue sa petite amie, et quelques mois plus tard nous nous sommes mariés et je suis devenue « la boulangère », celle qui tient la boutique et est au contact des clients. Deux garçons sont nés de notre union, et je me suis petit à petit installée dans une vie monotone : s’occuper des enfants, de la boutique, de la maison, avec en plus un mari adorable mais se couchant vers 20 heures pour se relever à 3 heures. Avec ce rythme, ma libido s’est éteinte progressivement, réveillée de temps à autre pendant les vacances ou par quelques séances de plaisir solitaire dérobés au hasard des circonstances.
C’était un jour de printemps, une de ces premières belles journées où le soleil darde des rayons annonciateurs de l’été. J’avais mis une jupe en jean (j’étais généralement en pantalon), et je ne sais pas pourquoi, je me sentais d’humeur joyeuse. Peu avant midi, Monsieur Guibaud, un client fidèle, vint chercher son pain. C’était un bel homme, d’environ soixante ans, un de ces hommes qui ont une classe naturelle et ont su l’entretenir. Je savais, parce qu’il me l’avait raconté, qu’il était seul, sa femme l’ayant quittée. « Tiens, vous avez meilleure mine aujourd’hui » me dit-il « cela fait plaisir à voir, vous sembliez dépérir ». Il paya son pain, me salua et quitta la boutique. Il venait tous les deux jours, et deux jours plus tard, donc, il me complimenta sur mon sourire. Ses remarques m’étaient agréables, et je me mis à guetter sa venue. Lorsque la boutique était vide, il s’attardait, distillant des compliments à mon égard. Je me sentais flattée et vaguement troublée. Un jour, la boutique était vide, pensant à lui, je sentis des picotements au niveau de mon bas ventre. Je me dirigeai vers l’arrière-boutique, avisai un rouleau à pâtisserie, je retroussai ma jupe et frotta mon sexe contre le cylindre. L’orgasme fut bientôt là et je dus me mordre les lèvres pour ne pas crier. Cinq minutes plus tard, il était là et s’étonna de mes joues rouges et de mes yeux brillants. Mon dieu, lisait-il dans mes pensées ? La semaine suivante, il me proposa de passer chez lui « à l’heure que je voulais, le jour que je voulais, vous me direz quand », il avait un livre de recettes anciennes de pâtisserie qu’il souhaitait de montrer « votre mari pourra peut-être y découvrir de nouvelles recettes ». Sa proposition me troubla plus que de raison. Ce n’était pas convenable, mais je me sentais seule et délaissée. Et puis…je me faisais peut-être des idées…… La boutique était fermée de 13 heures à 16 heures, puis le soir à 20 heures. Involontairement, c’est mon mari qui déclencha la rencontre : « Mardi prochain j’ai rendez-vous à Orléans à 14 heures pour signer avec le centre de formation des apprentis. On en aura un à la rentrée. » Je confirmais alors à Monsieur Guibaud pour le mardi à 14 heures. Ça me laissait une heure de libre.
Devant la penderie, j’hésitais sur la tenue à mettre. Je voulais plaire, mais sans provoquer. Après tout, je me faisais peut-être des idées. Je choisis une jupe s’arrêtant juste au-dessus des genoux, un pull léger rose pâle et des sous-vêtements de dentelle noire. A 14 heures, je sonnais chez Monsieur Guibaud. « Bonjour, merci d’être venue, vous êtes la bienvenue. Vous êtes…ravissante. Mais tout d’abord, appelez-moi Paul. Comme mes amis le font. ». Nous nous installons dans le salon, moi sur le canapé, lui dans un fauteuil en face. « Je vous sers un verre ? j’ai un excellent petit bordeaux blanc, frais et léger ». De peur de passer pour une mijaurée si je refuse, j’accepte, moi qui habituellement bois très peu d’alcool. « Permettez-moi de vous appeler Judith, je ne me vois pas vous donner du madame. ». Paul est un homme charmant, il a de la conversation, du tact, de la culture, il est drôle. Il faut que je me méfie. « Ah oui, j’en oubliais le prétexte de votre venue, le livre de pâtisseries anciennes. Je vais le chercher ». Deux minutes plus tard il revient avec un vieux livre qu’il me présente tout en s’asseyant près de moi.
« 19 ».
« Comment ça 19, que voulez-vous dire monsieur Gui, euh..Paul ? » « 19. Chanel. Votre parfum. Il vous va très bien. On le dirait fait pour vous ».
Je sens son bras passer derrière moi et se poser sur mon épaule, m’attirant doucement vers lui. Je voudrais résister, mais je m’en sens incapable. Un peu de tendresse. Juste un moment. Ça n’ira pas plus loin. Son autre main attrape mon visage et le tourne vers le sien, nos lèvres se rapprochent, je ferme les yeux. Je ne pense plus à rien. J’oublie tout. Mon mari, les enfants, la boutique. Se laisser aller. Sa langue s’introduit dans ma bouche et cherche la mienne. Je réponds à son baiser. Il prend son temps, fouillant ma bouche. Sa main descend sur ma poitrine qu’il flatte par-dessus le pull. Je le laisse faire, c’est si bon. Encouragé par ma passivité, sa main s’insinue sous mon pull, remonte sur mes seins qu’elle empaume tour à tour. Je ne sais comment, il dégrafe mon soutien-gorge en un tour de main, et libère mes seins. Il retire mon pull, Sa main reprend son ballet sur mes seins. Mes têtons se dressent. Il m’embrasse toujours. Je sens sa main descendre sur mon ventre, sur mes cuisses, elle se glisse sous ma jupe, sous ma culotte pour atteindre mon sexe trempé. Il trouve mon bouton. « Attends, je reviens ». Moins d’une minute après il revient, nu, le sexe bandé. Il m’allonge sur le canapé, plonge la tête entre mes cuisses après avoir retroussé ma jupe sur mon ventre et m’emmène aux portes de l’orgasme. Je ne suis plus qu’un sexe, je n’ai plus qu’une envie, jouir. Il se relève, coiffe son sexe d’un préservatif, remonte mes cuisses et s’introduit en moi d’une longue et lente poussée. Son sexe est plus gros que celui de Christophe. Il me remplit. Il entame son va et vient, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement, de plus en plus saccadé. Je me laisse emporter par un torrent de lave en gémissant. Il me suit de peu. Je regarde ma montre. Presque 15 heures. Je n’ai pas vu le temps passer. Il faut que je rentre. « Tu reviendras ? » « Oui ». Un dernier baiser. Dans la voiture qui me ramène à la maison, je réalise que j’ai trompé Christophe pour la première fois, mais que j’avais besoin de me sentir à nouveau femme. Je réfléchis à ce qui sera le plus simple. Rejoindre Paul le soir, une fois que les garçons et que Christophe seront couchés. Des créneaux de deux heures entre 23 heures et 1 heure. C’est ça. Et c’est ainsi que débuta ma liaison avec Paul. Nous nous voyions une fois par semaine, parfois moins, toujours chez lui. Il me comblait à chaque fois, revisitant le kamasoutra et me faisant découvrir des plaisirs insoupçonnés. Lorsque je le rejoignais, je portais des sous-vêtements sexy, des bas tendus par un porte-jarretelle que je gardais lorsque nous faisions l’amour. Il m’arrivait de jouir plusieurs fois de suite. Puis nos rendez-vous s’espacèrent. Je fus néanmoins triste lorsque Paul m’informa qu’il partait 3 mois dans sa maison des Landes pour l’été.
Peu après son départ, le facteur apporta un matin le courrier. Parmi les factures et autres catalogues publicitaires, il y avait une enveloppe brune. Intriguée, je l’ouvris. Ce que je vis me figea. Une liasse de photos où on me voyait avec Paul Guibaud, chez lui, plus déshabillés qu’autre chose, en train de nous livrer à des joutes amoureuses. Un petit mot accompagnait les photos « Bientôt mon tour j’espère. Bisous. » Je remis précipitamment les photos dans l’enveloppe et l’enveloppe dans mon sac. Qui pouvait être derrière tout ça ?
Deux jours plus tard, une nouvelle enveloppe brune. Pas de photo mais une phrase « à partir d’aujourd’hui, plus de pantalon. Des jupes. Et courtes si possible ». Je m’exécutai. De peur que mon maitre-chanteur n’envoie de lettres à mon mari. Qui cela pouvait-il être ? un client ? un voisin ?
La semaine suivante, nouvelle enveloppe brune. Une photo où on me voit en bas et porte-jarretelle en train de sucer Paul. « Tu vois, les bas te vont très bien. Exécution ».
Puis, un peu plus tard nouvelle missive brune « Dis adieu à tes culottes » Je m’exécutais, un peu gênée mais je dois dire de plus en plus excitée. Il y avait juste en période de règles que je me garnissais normalement.
La boulangerie tournait bien. Yvon, l’apprenti était un garçon sérieux et travailleur. J’avais remarqué qu’il jetait de temps en temps des regards dans ma direction. Mon dieu, pouvait-il deviner ? Un jour, à son regard dilaté, je compris qu’il avait dû surprendre, sans doute fugitivement, mes cuises gainées de nylon, et peut-être d’avantage. Loin de m’horrifier, cette idée m’excita.
Ce fut un jeudi, juste avant la fermeture que tout bascula. J’allais fermer quand un jeune homme, un peu métis, qui venait régulièrement à la boulangerie arriva en courant. « Excusez-moi. Je suis en retard. Un pain et un éclair au café s’il vous plait ». Je me tournais pour empaqueter l’éclair. Soudain, je sentis un frôlement dans mon dos. « Ne dis rien. J’ai attendu que ton mari et l’apprenti soient partis. On est bien là tous les deux. Depuis le temps. » Je sentis deux mains s’insinuer sous ma jupe. « C’est bien. Tu n’as pas de culotte. Et je te trouve toute mouillée. Toute frémissante. Ne bouge pas. » J’entendis le rideau de la boulangerie se baisser. « Maintenant on est tranquille. Je m’appelle Karim. Tu me plais. Je veux te baiser depuis pas mal de temps. Mieux que ton Paul. Tu vas aimer, je suis très doué à ce qu’il parait. « Bientôt, je me retrouvais nue dans le magasin. Karim, accroupi devant moi me léchait la chatte. Ses mains pinçaient doucement des mamelons. Il se releva, se déshabilla devant moi. Sa verge pulsait, décalottée. Elle me sembla énorme. Il était un peu plus grand que moi. Il me retourna, appuya mes coudes sur le comptoir et me pénétra en levrette. Je perdais pied. La sensation était plus forte qu’avec Paul.
Il me lima longtemps, me tenant parfois par les hanches, parfois par les seins. Je jouis deux fois de suite. Il continuait à me prendre « alors, c’est mieux qu’avec ton mari ? « « oui » « et mieux qu’avec Guibaud ? « « oh oui, oui, c’est mieux » « tu aimes ma queue ? dis le, je veux t’entendre le dire « oui, j’aime ta queue » « dis moi que tu veux baiser encore avec moi » « ouiiiii je veux…que tu me baises encore… que tu reviennes…. Qu’on aille ailleurs, où tu veux » «Bien, maintenant vide moi dans ta bouche et avale tout ».
Je suçais Karim, il éjacula longuement. Stoïque, j’avalai, alors qu’habituellement je n’aime pas trop ça.
J’étais anéantie. Je réalisais ce qui venait de se passer. Je venais de faire l’amour avec un client dans ma propre boulangerie, à l’endroit même où je travaillais et servais les clients. Et surtout, j’avais aimé. Terriblement. Karim était jeune, mais il faisait divinement bien l’amour. Je savais que j’avais mis le doigt dans une spirale infernale. Karim revint régulièrement. Il profitait qu’il n’y avait pas d’autre client pour m’attirer à lui, retrousser ma jupe et me fouiller avec ses doigts, me laissant à chaque fois pantelante. Il me donnait rendez-vous dans des endroits divers pour me prendre et me combler. Un jour, il m’entraina dans l’église et me retira ma jupe. Il me fit assoir sur un prie-Dieu, dans un coin protégé par un pilier et me prit en levrette. J’entendis la porte de l’église grincer. Il ne ralentit pas sa cadence mais au contraire accéléra ce qui provoqua notre orgasme à tous les deux. J’eus juste le temps de me rajuster avant qu’une grenouille de bénitier passe devant nous, me regardant bizarrement.
Ma relation avec Karim durait depuis plusieurs mois. Il était insatiable. Pour lui plaire, je me parfumais, je mettais du rouge à lèvre. Un soir, mon mari me dit qu’il me trouvait changée, différente et qu’il avait entendu certains bruits me concernant. Je le rassurai et le lendemain je mis fin à ma relation avec Karim. « Nous nous reverrons, ne t’inquiète pas » me dit-il.
J’avais repris une vie normale, monotone, mais j’avais sauvé mon couple. Quelques mois plus tard, Clotilde, une des infirmières de notre petite ville, passa à la boutique chercher son pain. Dans la conversation qui concernait nos vies un peu difficiles elle me glissa « nous avons deux autres points communs : Paul Guibaud et Karim ». Je sursautai. Comment, elle aussi ? je ne l’imaginais pas. Elle m’apprit le lendemain ce qui lui était arrivé, sa liaison avec Paul, le chantage de Karim qui œuvrait pour son patron l’entrepreneur Rocier. Comme je lui faisais part de mon aversion pour ce dernier, un homme rustre et sans éducation, elle me dit qu’il y avait une attirance sexuelle intense entre-eux. J’avais du mal à l’imaginer avec ce type qui me révulsait. Nous sommes devenues amies ce que mon mari voyait favorablement.
Quelques temps plus tard, nous avons été conviées à l’inauguration de la nouvelle maison des associations. Après avoir salué mes clients, j’ai retrouvé Clotilde et nous sommes restées au vin d’honneur qui suivit les discours. Alors que nous discutions, Jacques Rocier est venu nous rejoindre. A peine quelques phrases et il demandait à mon amie si elle avait mis une culotte. Je n’en revenais pas. Rapidement, il nous proposa de le suivre chez lui. J’allais refuser sèchement quand Clotilde accepta pour nous deux. « Ne t’inquiète pas, tu pourras rester en retrait. Mais tu verras c’est une bête de sexe. Tu vois, j’en ai envie, rien que d’y penser je mouille ». Je les suivis sans réfléchir. Je m’étais assise à l’arrière, il me demanda d’écarter les cuisses, et j’obéis, incapable de résister. Arrivés chez lui, Clotilde se planta devant lui et d’un air de défi enleva son pull lui offrant sa poitrine et vint se frotter lascivement contre lui. Il souleva sa jupe, elle semblait aimer cela. J’étais hypnotisée par ce tableau. Je la vis s’agenouiller, baisser son pantalon et le sucer. Elle y prenait plaisir. C’était la première fois que je voyais un couple en action. J’étais à la fois sidérée et excitée. Rocier en profita pour m’attraper par le bras et me retira d’un coup mon pull et mon soutien-gorge, s’emparant de mes seins, me procurant des sensations contradictoires. Clotilde se redressa. Je baissais les yeux. La verge était tendue vers le haut, elle était longue et massive. Je n’en avais jamais vu de semblable. Je me demandai comment un engin de cette taille pouvait pénétrer un sexe féminin sans l’abîmer. J’eus la réponse instantanément, Rocier souleva Clotilde par les fesses et la laissa redescendre sur son sexe. Je vis le gland puis le sexe entier disparaitre dans le sexe fendu de mon amie. Elle donnait des coups de bassin pour accentuer le mouvement. Il entreprit de la pilonner. Les deux y prenaient un plaisir charnel animal. « La belle et la bête » version érotique. Le tableau était irréel. Cet homme rustre auquel mon amie se donnait sans retenue, jouissant par tous les pores de sa peau. L’orgasme la foudroya lui arrachant des cris rauques. Il la reposa, et se dirigea vers moi. Je n’osai bouger. Je me sentis basculer sur le tapis. Il s’allongea sur moi et me prit d’un coup. Je m’attendis à avoir mal, mais j’étais tellement mouillée de désir que j’éprouvai immédiatement du plaisir. Jamais je ne m’étais sentie aussi remplie. Je ne sais combien dura cette étreinte, mais je sentis l’orgasme monter du fond de moi et me ravager tandis que je lui griffais le dos. Se redressant, il éjacula longuement sur mes seins. Un quart d’heure après, il nous relâchait sur le parking, sans un mot. Je gardais l’empreinte de son sexe au fond de moi.
Quelques temps plus tard, il avait convaincu mon mari de me laisser aller à une réunion soi-disant d’embellissement de la ville où la présence de femmes était souhaitée. Dans le même temps, il m’avait demandé de m’habiller très sexy et prévenu que Clotilde serait aussi de la partie. J’avais mis une minijupe et un chemisier presque translucide, sans dessous autre que des bas. Clotilde avait revêtu une simple chemise peu boutonnée laissant voir son sexe nu et ses seins libres. Un appel au viol. Je rentrai la première dans le salon. Rocier était là avec ses cinq employés. Je reconnus des clients parmi eux, que je voyais chaque jour, et je vis leurs yeux s’écarquiller de surprise. Clotilde fit son apparition derrière moi. La femme de Rocier arriva à son tour, sa nudité soulignée par un porte jarretelle et des bas. Six hommes, trois femmes. Rocier édicta la règle du jeu : il nous offrait à ses employés, et nous participerions chacune à son tour au dépucelage du jeune vietnamien, ce jeune homme timide qui baissait les yeux lorsque je lui rendais la monnaie de son pain. Nous nous retrouvâmes bientôt nus et je passais de bras en sexe. Le jeune Minh me prit en levrette. Pourrai-je le regarder à présent lorsqu’il viendrait à la boulangerie ? Son sexe était fin et je pris moins de plaisir qu’avec les autres. Ce soir-là, je découvris l’amour avec un black, l’amour avec deux hommes, la sodomie. Mais ce fut avec Rocier que j’exultai le plus, y prenant un plaisir trouble. Rocier qui imposait ses désirs, son rythme dévastateur. La soirée touchait à sa fin. Clotilde demanda à Rocier de la baiser devant tout le monde. Ces deux-là transpiraient le désir et leur jouissance fut aussi sauvage que leur chevauchée, décuplée par les regards posés sur eux.
Je n’avais qu’une envie : continuer à vivre de pareils moments….
Je m’appelle Judith. J’ai 38 ans, mariée, mère de deux garçons, mon mari est boulanger. Une vie sans histoire jusqu’à ce que……J’ai connu Christophe mon mari à 18 ans. Il en avait 21. C’était pendant les vacances, au bal des pompiers. Jusqu’à lors, je n’avais connu que deux garçons. Le premier avait été un flirt de vacances, rencontré deux années plus tôt en Vendée où nous passions nos vacances. Il m’avait fait découvrir ce qu’embrasser sur la bouche signifiait, je trouvais ça agréable, et le dernier soir il avait dégrafé mon haut de maillot de bain et caressé mes seins. Le lendemain, nos vacances finies, nous reprenions la direction d’Orléans. J’emportais le souvenir de ses mains sur mes seins, et le soir je me caressais en y repensant. L’été suivant, je rencontrais Loïc, de nouveau quelques jours avant la fin des vacances. Il était entreprenant et dès le deuxième soir, au cinéma, il avait glissé sa main sous ma culotte et m’avait masturbée. Je me souviens du sentiment de honte qui m’avait habité à ce moment-là. Le lendemain, il m’avait entrainé chez lui, m’avait déshabillée et sans préliminaire avait emporté ma virginité. Il paraissait content de lui, je ne garde pas à un souvenir impérissable de ce moment, la douleur ayant été plus importante que le plaisir.
J’ai donc rencontré Christophe au bal des pompiers. Il était en vacances dans notre village, et je m’étais retrouvée à danser avec lui. Nous avions sympathisé, il m’avait appris qu’il était boulanger et grâce à un petit héritage il allait pouvoir acheter une affaire d’ici quelques mois. Nous nous sommes revus, je suis devenue sa petite amie, et quelques mois plus tard nous nous sommes mariés et je suis devenue « la boulangère », celle qui tient la boutique et est au contact des clients. Deux garçons sont nés de notre union, et je me suis petit à petit installée dans une vie monotone : s’occuper des enfants, de la boutique, de la maison, avec en plus un mari adorable mais se couchant vers 20 heures pour se relever à 3 heures. Avec ce rythme, ma libido s’est éteinte progressivement, réveillée de temps à autre pendant les vacances ou par quelques séances de plaisir solitaire dérobés au hasard des circonstances.
C’était un jour de printemps, une de ces premières belles journées où le soleil darde des rayons annonciateurs de l’été. J’avais mis une jupe en jean (j’étais généralement en pantalon), et je ne sais pas pourquoi, je me sentais d’humeur joyeuse. Peu avant midi, Monsieur Guibaud, un client fidèle, vint chercher son pain. C’était un bel homme, d’environ soixante ans, un de ces hommes qui ont une classe naturelle et ont su l’entretenir. Je savais, parce qu’il me l’avait raconté, qu’il était seul, sa femme l’ayant quittée. « Tiens, vous avez meilleure mine aujourd’hui » me dit-il « cela fait plaisir à voir, vous sembliez dépérir ». Il paya son pain, me salua et quitta la boutique. Il venait tous les deux jours, et deux jours plus tard, donc, il me complimenta sur mon sourire. Ses remarques m’étaient agréables, et je me mis à guetter sa venue. Lorsque la boutique était vide, il s’attardait, distillant des compliments à mon égard. Je me sentais flattée et vaguement troublée. Un jour, la boutique était vide, pensant à lui, je sentis des picotements au niveau de mon bas ventre. Je me dirigeai vers l’arrière-boutique, avisai un rouleau à pâtisserie, je retroussai ma jupe et frotta mon sexe contre le cylindre. L’orgasme fut bientôt là et je dus me mordre les lèvres pour ne pas crier. Cinq minutes plus tard, il était là et s’étonna de mes joues rouges et de mes yeux brillants. Mon dieu, lisait-il dans mes pensées ? La semaine suivante, il me proposa de passer chez lui « à l’heure que je voulais, le jour que je voulais, vous me direz quand », il avait un livre de recettes anciennes de pâtisserie qu’il souhaitait de montrer « votre mari pourra peut-être y découvrir de nouvelles recettes ». Sa proposition me troubla plus que de raison. Ce n’était pas convenable, mais je me sentais seule et délaissée. Et puis…je me faisais peut-être des idées…… La boutique était fermée de 13 heures à 16 heures, puis le soir à 20 heures. Involontairement, c’est mon mari qui déclencha la rencontre : « Mardi prochain j’ai rendez-vous à Orléans à 14 heures pour signer avec le centre de formation des apprentis. On en aura un à la rentrée. » Je confirmais alors à Monsieur Guibaud pour le mardi à 14 heures. Ça me laissait une heure de libre.
Devant la penderie, j’hésitais sur la tenue à mettre. Je voulais plaire, mais sans provoquer. Après tout, je me faisais peut-être des idées. Je choisis une jupe s’arrêtant juste au-dessus des genoux, un pull léger rose pâle et des sous-vêtements de dentelle noire. A 14 heures, je sonnais chez Monsieur Guibaud. « Bonjour, merci d’être venue, vous êtes la bienvenue. Vous êtes…ravissante. Mais tout d’abord, appelez-moi Paul. Comme mes amis le font. ». Nous nous installons dans le salon, moi sur le canapé, lui dans un fauteuil en face. « Je vous sers un verre ? j’ai un excellent petit bordeaux blanc, frais et léger ». De peur de passer pour une mijaurée si je refuse, j’accepte, moi qui habituellement bois très peu d’alcool. « Permettez-moi de vous appeler Judith, je ne me vois pas vous donner du madame. ». Paul est un homme charmant, il a de la conversation, du tact, de la culture, il est drôle. Il faut que je me méfie. « Ah oui, j’en oubliais le prétexte de votre venue, le livre de pâtisseries anciennes. Je vais le chercher ». Deux minutes plus tard il revient avec un vieux livre qu’il me présente tout en s’asseyant près de moi.
« 19 ».
« Comment ça 19, que voulez-vous dire monsieur Gui, euh..Paul ? » « 19. Chanel. Votre parfum. Il vous va très bien. On le dirait fait pour vous ».
Je sens son bras passer derrière moi et se poser sur mon épaule, m’attirant doucement vers lui. Je voudrais résister, mais je m’en sens incapable. Un peu de tendresse. Juste un moment. Ça n’ira pas plus loin. Son autre main attrape mon visage et le tourne vers le sien, nos lèvres se rapprochent, je ferme les yeux. Je ne pense plus à rien. J’oublie tout. Mon mari, les enfants, la boutique. Se laisser aller. Sa langue s’introduit dans ma bouche et cherche la mienne. Je réponds à son baiser. Il prend son temps, fouillant ma bouche. Sa main descend sur ma poitrine qu’il flatte par-dessus le pull. Je le laisse faire, c’est si bon. Encouragé par ma passivité, sa main s’insinue sous mon pull, remonte sur mes seins qu’elle empaume tour à tour. Je ne sais comment, il dégrafe mon soutien-gorge en un tour de main, et libère mes seins. Il retire mon pull, Sa main reprend son ballet sur mes seins. Mes têtons se dressent. Il m’embrasse toujours. Je sens sa main descendre sur mon ventre, sur mes cuisses, elle se glisse sous ma jupe, sous ma culotte pour atteindre mon sexe trempé. Il trouve mon bouton. « Attends, je reviens ». Moins d’une minute après il revient, nu, le sexe bandé. Il m’allonge sur le canapé, plonge la tête entre mes cuisses après avoir retroussé ma jupe sur mon ventre et m’emmène aux portes de l’orgasme. Je ne suis plus qu’un sexe, je n’ai plus qu’une envie, jouir. Il se relève, coiffe son sexe d’un préservatif, remonte mes cuisses et s’introduit en moi d’une longue et lente poussée. Son sexe est plus gros que celui de Christophe. Il me remplit. Il entame son va et vient, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement, de plus en plus saccadé. Je me laisse emporter par un torrent de lave en gémissant. Il me suit de peu. Je regarde ma montre. Presque 15 heures. Je n’ai pas vu le temps passer. Il faut que je rentre. « Tu reviendras ? » « Oui ». Un dernier baiser. Dans la voiture qui me ramène à la maison, je réalise que j’ai trompé Christophe pour la première fois, mais que j’avais besoin de me sentir à nouveau femme. Je réfléchis à ce qui sera le plus simple. Rejoindre Paul le soir, une fois que les garçons et que Christophe seront couchés. Des créneaux de deux heures entre 23 heures et 1 heure. C’est ça. Et c’est ainsi que débuta ma liaison avec Paul. Nous nous voyions une fois par semaine, parfois moins, toujours chez lui. Il me comblait à chaque fois, revisitant le kamasoutra et me faisant découvrir des plaisirs insoupçonnés. Lorsque je le rejoignais, je portais des sous-vêtements sexy, des bas tendus par un porte-jarretelle que je gardais lorsque nous faisions l’amour. Il m’arrivait de jouir plusieurs fois de suite. Puis nos rendez-vous s’espacèrent. Je fus néanmoins triste lorsque Paul m’informa qu’il partait 3 mois dans sa maison des Landes pour l’été.
Peu après son départ, le facteur apporta un matin le courrier. Parmi les factures et autres catalogues publicitaires, il y avait une enveloppe brune. Intriguée, je l’ouvris. Ce que je vis me figea. Une liasse de photos où on me voyait avec Paul Guibaud, chez lui, plus déshabillés qu’autre chose, en train de nous livrer à des joutes amoureuses. Un petit mot accompagnait les photos « Bientôt mon tour j’espère. Bisous. » Je remis précipitamment les photos dans l’enveloppe et l’enveloppe dans mon sac. Qui pouvait être derrière tout ça ?
Deux jours plus tard, une nouvelle enveloppe brune. Pas de photo mais une phrase « à partir d’aujourd’hui, plus de pantalon. Des jupes. Et courtes si possible ». Je m’exécutai. De peur que mon maitre-chanteur n’envoie de lettres à mon mari. Qui cela pouvait-il être ? un client ? un voisin ?
La semaine suivante, nouvelle enveloppe brune. Une photo où on me voit en bas et porte-jarretelle en train de sucer Paul. « Tu vois, les bas te vont très bien. Exécution ».
Puis, un peu plus tard nouvelle missive brune « Dis adieu à tes culottes » Je m’exécutais, un peu gênée mais je dois dire de plus en plus excitée. Il y avait juste en période de règles que je me garnissais normalement.
La boulangerie tournait bien. Yvon, l’apprenti était un garçon sérieux et travailleur. J’avais remarqué qu’il jetait de temps en temps des regards dans ma direction. Mon dieu, pouvait-il deviner ? Un jour, à son regard dilaté, je compris qu’il avait dû surprendre, sans doute fugitivement, mes cuises gainées de nylon, et peut-être d’avantage. Loin de m’horrifier, cette idée m’excita.
Ce fut un jeudi, juste avant la fermeture que tout bascula. J’allais fermer quand un jeune homme, un peu métis, qui venait régulièrement à la boulangerie arriva en courant. « Excusez-moi. Je suis en retard. Un pain et un éclair au café s’il vous plait ». Je me tournais pour empaqueter l’éclair. Soudain, je sentis un frôlement dans mon dos. « Ne dis rien. J’ai attendu que ton mari et l’apprenti soient partis. On est bien là tous les deux. Depuis le temps. » Je sentis deux mains s’insinuer sous ma jupe. « C’est bien. Tu n’as pas de culotte. Et je te trouve toute mouillée. Toute frémissante. Ne bouge pas. » J’entendis le rideau de la boulangerie se baisser. « Maintenant on est tranquille. Je m’appelle Karim. Tu me plais. Je veux te baiser depuis pas mal de temps. Mieux que ton Paul. Tu vas aimer, je suis très doué à ce qu’il parait. « Bientôt, je me retrouvais nue dans le magasin. Karim, accroupi devant moi me léchait la chatte. Ses mains pinçaient doucement des mamelons. Il se releva, se déshabilla devant moi. Sa verge pulsait, décalottée. Elle me sembla énorme. Il était un peu plus grand que moi. Il me retourna, appuya mes coudes sur le comptoir et me pénétra en levrette. Je perdais pied. La sensation était plus forte qu’avec Paul.
Il me lima longtemps, me tenant parfois par les hanches, parfois par les seins. Je jouis deux fois de suite. Il continuait à me prendre « alors, c’est mieux qu’avec ton mari ? « « oui » « et mieux qu’avec Guibaud ? « « oh oui, oui, c’est mieux » « tu aimes ma queue ? dis le, je veux t’entendre le dire « oui, j’aime ta queue » « dis moi que tu veux baiser encore avec moi » « ouiiiii je veux…que tu me baises encore… que tu reviennes…. Qu’on aille ailleurs, où tu veux » «Bien, maintenant vide moi dans ta bouche et avale tout ».
Je suçais Karim, il éjacula longuement. Stoïque, j’avalai, alors qu’habituellement je n’aime pas trop ça.
J’étais anéantie. Je réalisais ce qui venait de se passer. Je venais de faire l’amour avec un client dans ma propre boulangerie, à l’endroit même où je travaillais et servais les clients. Et surtout, j’avais aimé. Terriblement. Karim était jeune, mais il faisait divinement bien l’amour. Je savais que j’avais mis le doigt dans une spirale infernale. Karim revint régulièrement. Il profitait qu’il n’y avait pas d’autre client pour m’attirer à lui, retrousser ma jupe et me fouiller avec ses doigts, me laissant à chaque fois pantelante. Il me donnait rendez-vous dans des endroits divers pour me prendre et me combler. Un jour, il m’entraina dans l’église et me retira ma jupe. Il me fit assoir sur un prie-Dieu, dans un coin protégé par un pilier et me prit en levrette. J’entendis la porte de l’église grincer. Il ne ralentit pas sa cadence mais au contraire accéléra ce qui provoqua notre orgasme à tous les deux. J’eus juste le temps de me rajuster avant qu’une grenouille de bénitier passe devant nous, me regardant bizarrement.
Ma relation avec Karim durait depuis plusieurs mois. Il était insatiable. Pour lui plaire, je me parfumais, je mettais du rouge à lèvre. Un soir, mon mari me dit qu’il me trouvait changée, différente et qu’il avait entendu certains bruits me concernant. Je le rassurai et le lendemain je mis fin à ma relation avec Karim. « Nous nous reverrons, ne t’inquiète pas » me dit-il.
J’avais repris une vie normale, monotone, mais j’avais sauvé mon couple. Quelques mois plus tard, Clotilde, une des infirmières de notre petite ville, passa à la boutique chercher son pain. Dans la conversation qui concernait nos vies un peu difficiles elle me glissa « nous avons deux autres points communs : Paul Guibaud et Karim ». Je sursautai. Comment, elle aussi ? je ne l’imaginais pas. Elle m’apprit le lendemain ce qui lui était arrivé, sa liaison avec Paul, le chantage de Karim qui œuvrait pour son patron l’entrepreneur Rocier. Comme je lui faisais part de mon aversion pour ce dernier, un homme rustre et sans éducation, elle me dit qu’il y avait une attirance sexuelle intense entre-eux. J’avais du mal à l’imaginer avec ce type qui me révulsait. Nous sommes devenues amies ce que mon mari voyait favorablement.
Quelques temps plus tard, nous avons été conviées à l’inauguration de la nouvelle maison des associations. Après avoir salué mes clients, j’ai retrouvé Clotilde et nous sommes restées au vin d’honneur qui suivit les discours. Alors que nous discutions, Jacques Rocier est venu nous rejoindre. A peine quelques phrases et il demandait à mon amie si elle avait mis une culotte. Je n’en revenais pas. Rapidement, il nous proposa de le suivre chez lui. J’allais refuser sèchement quand Clotilde accepta pour nous deux. « Ne t’inquiète pas, tu pourras rester en retrait. Mais tu verras c’est une bête de sexe. Tu vois, j’en ai envie, rien que d’y penser je mouille ». Je les suivis sans réfléchir. Je m’étais assise à l’arrière, il me demanda d’écarter les cuisses, et j’obéis, incapable de résister. Arrivés chez lui, Clotilde se planta devant lui et d’un air de défi enleva son pull lui offrant sa poitrine et vint se frotter lascivement contre lui. Il souleva sa jupe, elle semblait aimer cela. J’étais hypnotisée par ce tableau. Je la vis s’agenouiller, baisser son pantalon et le sucer. Elle y prenait plaisir. C’était la première fois que je voyais un couple en action. J’étais à la fois sidérée et excitée. Rocier en profita pour m’attraper par le bras et me retira d’un coup mon pull et mon soutien-gorge, s’emparant de mes seins, me procurant des sensations contradictoires. Clotilde se redressa. Je baissais les yeux. La verge était tendue vers le haut, elle était longue et massive. Je n’en avais jamais vu de semblable. Je me demandai comment un engin de cette taille pouvait pénétrer un sexe féminin sans l’abîmer. J’eus la réponse instantanément, Rocier souleva Clotilde par les fesses et la laissa redescendre sur son sexe. Je vis le gland puis le sexe entier disparaitre dans le sexe fendu de mon amie. Elle donnait des coups de bassin pour accentuer le mouvement. Il entreprit de la pilonner. Les deux y prenaient un plaisir charnel animal. « La belle et la bête » version érotique. Le tableau était irréel. Cet homme rustre auquel mon amie se donnait sans retenue, jouissant par tous les pores de sa peau. L’orgasme la foudroya lui arrachant des cris rauques. Il la reposa, et se dirigea vers moi. Je n’osai bouger. Je me sentis basculer sur le tapis. Il s’allongea sur moi et me prit d’un coup. Je m’attendis à avoir mal, mais j’étais tellement mouillée de désir que j’éprouvai immédiatement du plaisir. Jamais je ne m’étais sentie aussi remplie. Je ne sais combien dura cette étreinte, mais je sentis l’orgasme monter du fond de moi et me ravager tandis que je lui griffais le dos. Se redressant, il éjacula longuement sur mes seins. Un quart d’heure après, il nous relâchait sur le parking, sans un mot. Je gardais l’empreinte de son sexe au fond de moi.
Quelques temps plus tard, il avait convaincu mon mari de me laisser aller à une réunion soi-disant d’embellissement de la ville où la présence de femmes était souhaitée. Dans le même temps, il m’avait demandé de m’habiller très sexy et prévenu que Clotilde serait aussi de la partie. J’avais mis une minijupe et un chemisier presque translucide, sans dessous autre que des bas. Clotilde avait revêtu une simple chemise peu boutonnée laissant voir son sexe nu et ses seins libres. Un appel au viol. Je rentrai la première dans le salon. Rocier était là avec ses cinq employés. Je reconnus des clients parmi eux, que je voyais chaque jour, et je vis leurs yeux s’écarquiller de surprise. Clotilde fit son apparition derrière moi. La femme de Rocier arriva à son tour, sa nudité soulignée par un porte jarretelle et des bas. Six hommes, trois femmes. Rocier édicta la règle du jeu : il nous offrait à ses employés, et nous participerions chacune à son tour au dépucelage du jeune vietnamien, ce jeune homme timide qui baissait les yeux lorsque je lui rendais la monnaie de son pain. Nous nous retrouvâmes bientôt nus et je passais de bras en sexe. Le jeune Minh me prit en levrette. Pourrai-je le regarder à présent lorsqu’il viendrait à la boulangerie ? Son sexe était fin et je pris moins de plaisir qu’avec les autres. Ce soir-là, je découvris l’amour avec un black, l’amour avec deux hommes, la sodomie. Mais ce fut avec Rocier que j’exultai le plus, y prenant un plaisir trouble. Rocier qui imposait ses désirs, son rythme dévastateur. La soirée touchait à sa fin. Clotilde demanda à Rocier de la baiser devant tout le monde. Ces deux-là transpiraient le désir et leur jouissance fut aussi sauvage que leur chevauchée, décuplée par les regards posés sur eux.
Je n’avais qu’une envie : continuer à vivre de pareils moments….
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