L'éducation de Sylvie
Récit érotique écrit par Clar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'éducation de Sylvie
L’éducation de Sylvie
Je m’appelle Sylvie Rocier. Je suis née il y a 41 ans dans une petite ville des Ardennes. Mon nom de jeune fille est Demarchis, mais il a plu à croire à mes parents que ce nom résultait d’une erreur de copie de l’état civil il y a un siècle, et que notre vrai nom aurait dû être de Marchis. En deux mots. Avec une particule.
C’est donc dans la plus pure tradition de la vieille noblesse française que mes parents nous ont éduqués, mon frère, ma sœur et moi. Mon frère étant né en premier, il pût bénéficier des avantages liés au droit d’ainesse et au fait d’être un garçon. Peu doué pour les études, et ne pouvant prétendre entrer au séminaire comme l’aurait voulu ma mère, il profita de sa majorité pour s’engager dans l’armée et couper un cordon ombilical qu’il jugeait étouffant. Ma sœur, élève brillante, obtint une bourse et partit faire une école d’ingénieurs à Lyon. Elle vit aujourd’hui en Australie avec un mari trouvé dans le bush et cinq enfants. Quant à moi, la troisième de la fratrie, née tardivement, je fus d’emblée considérée comme un cadeau divin.
Dès l’annonce de sa grossesse, ma mère s’était rapprochée de l’église, s’estimant investie d’une mission divine, devenant comme le disait mon père « le bras droit du curé ». Mon père disparut tragiquement moins de deux ans après ma naissance, et je fus donc élevée dans la plus pure tradition catholique. L’école m’intéressait moyennement, mais j’avais compris très vite l’importance des études afin de pouvoir ouvrir plusieurs portes. Je devais avoir huit ans lorsqu’un soir je pris conscience que le contact des doigts sur mon sexe me procurait des sensations agréables. Aussi, pendant les cinq années qui suivirent, je me donnais du plaisir le soir dans mon lit. Un soir, ma mère mit fin à cette pratique, m’ayant surprise dans ma chambre, et me promettant tous les maux de la terre et toutes les maladies honteuses possibles et inimaginables. La leçon avait porté ses fruits, je cessai mon activité masturbatoire. A dix-sept ans, je tombais amoureuse d’un apprenti menuisier. Nous échangeâmes notre premier baiser un lundi, et le mercredi, il m’attira dans sa chambre, défit mon pantalon, retira le sien et se coucha sur moi. Je garde aujourd’hui encore le souvenir d’une douleur et d’une minute pénible avant de sentir un liquide chaud inonder mon ventre. Rentrée à la maison, je dus laver ma culotte tâchée par du sperme et des traces de sang. Qu’importe, j’étais devenue une femme ! Didier (c’était le prénom de ce premier amour) me poursuivait de ses assiduités, mais j’avais bien compris qu’il n’avait aucun sentiment pour moi, voulant juste se servir de mon corps. L’été arrivant, je fus embauchée pour deux mois dans une colonie de vacances en Vendée, ce qui me permit de me soustraire au harcèlement de Didier. De retour à la fin des vacances, je tombais sur Didier qui se pavanait au bras d’une brunette frisée et qui fit semblant de ne pas me voir. Au moins, je serai tranquille, pourvu que leur idylle dure le plus longtemps possible.
L’ambiance à la maison était d’une tristesse sans nom. Ma mère bénissait chaque repas et nous ne pouvions manger qu’après qu’elle ait récité son chapelet de prières. Bien entendu, la messe était l’activité centrale du dimanche. J’y avais pris un certain plaisir, trouvant dans ces moments une quiétude rassurante. Après la messe, nous allions déjeuner avec monsieur le curé, le plus souvent au presbytère. Après déjeuner, je rentrais à la maison pour faire mes devoirs. Ce dimanche de mars, deux dimanches avant la Pâques, je m’aperçus que j’avais oublié mon porte-carte au presbytère. Je partis le chercher et, au moment de m’annoncer, j’entendis un gémissement. Je m’avançais prudemment, pensant que quelqu’un était souffrant. Au moment de demander où ils se trouvaient, j’entendis la voix de ma mère dire « tu aimes ? tu es tout gros, oh c’est bon ». Quand bien même je sois d’une grande naïveté, je compris tout de suite ce qui se passait. A l’abri des regards derrière une tenture, je les trouvais dans le bureau du curé. Ma mère, à moitié dépoitraillée, administrait au saint homme une fellation énergique, tandis qu’il lui malaxait ses seins lourds. Je reçus cette image comme un choc. Immédiatement, une onde de chaleur naquit dans mon ventre. Je plaquais une main sur mon sexe à travers mon jean. Je n’y connaissais rien en amour, mais il me semblait que l’issue n’était pas prochaine. Je faufilais une main dans mon pantalon et entreprit de me masturber en les regardant. Je calquais mon rythme sur le leur. Je jouis en même temps que le curé se répandait dans la bouche de ma mère. J’avais dû me retenir pour ne pas crier de plaisir. Je renonçai à récupérer mon porte-carte, rebroussai silencieusement chemin et rentrai à la maison. Je me jetai sur mon lit, me mit nue, ferma les yeux et me caressai en revivant la scène. Dès lors, je scrutai l’emploi du temps ma mère et pus ainsi les surprendre trois fois en train de faire l’amour.
Mon bac en poche, je partis faire des études de comptabilité puis intégrai les services financiers d’une petite ville du centre de la France. J’y fis la connaissance de Gilles, un gentil garçon, doux, attentionné, mais peu porté sur le sexe. Nos étreintes relevaient plus de l’hygiène que d’autre chose, s’espaçant avec le temps. Le scénario était d’une tristesse totale : lumière éteinte, il s’allongeait sur moi, me pénétrait, se vidait en moi en moins de trois minutes, et encore, quand il était en forme. Mais ceci mis à part, je m’épanouissais dans mon travail et nous habitions une petite maison mignonne. Un peu après, je fus contacté par l’équipe diocésaine qui recherchait une personne pour enseigner le catéchisme le samedi matin. J’acceptai avec joie cette activité qui avait le mérite de me sortir de la monotonie conjugale des weekends.
Il y a cinq ans, et, c’est curieux comme le hasard fait les choses, deux semaines avant Pâques, le maire adjoint vint me trouver en m’expliquant que l’entreprise Rocier avait remporté le marché public concernant l’électricité du chantier de la nouvelle mairie, et que son patron venait signer le contrat dans l’après-midi. Il me chargeait de le recevoir.
A seize heures, Jacques Rocier fit son entrée dans mon bureau et…dans ma vie. C’était un homme de haute taille, musclé, au regard particulier. « Bonjour Monsieur Rocier ». « Ouais, une subalterne de chez subalterne pour me recevoir. En plus, sapée comme l’as de pique. Ils avaient rien d’autre à proposer ? » pour une entrée en matière, c’en était une…. « Monsieur, je ne vous permets pas de me parler sur ce ton. » « Toi, t’es une mal baisée, ça se voit. Si tu veux je peux t’arranger ça. Bon, j’ai pas que ça à faire, je signe quoi ? ».Il ne dit plus un mot et avant de sortir, se retourna et m’adressa un sourire carnassier. « Mais quel con ! quel grossier personnage ». J’en avais les larmes aux yeux.
Deux semaines plus tard, je devais aller visiter le chantier avec le maire adjoint, mais il se fit une sciatique la veille et me demanda d’y aller seule. Je m’attendais à rencontrer le maitre d’œuvre et quelques artisans, mais seul Rocier était présent. « Tiens, voilà la pucelle » Je décidai de ne pas répondre. Alors que nous visitions les locaux techniques, Rocier posa sa main sur mes fesses. Je voulus le repousser, mais il me maintient fermement, m’attirant contre lui. Sa main caressait mes fesses, et malgré moi, je ressentis un frisson me parcourir. J’étais horrifiée et fascinée à la fois. Cette caresse triviale déclenchait un plaisir trouble. Il arrêta sa caresse « J’aime pas les pantalons. La prochaine fois si tu veux que je te baise, mets une jupe. Et ne dis pas que t’as pas aimé, je suis sûr que tu as inondé ta culotte ».
Je me jurai de ne plus croiser son chemin. Et pourtant, quand le maire me demanda de faire le point le lendemain sur l’avancée des travaux avec Jacques Rocier, je me jurais intérieurement de ne pas céder aux caprices de ce rustre. Le lendemain matin, je mis un jean, me ravisai et choisis une jupe ample s’arrêtant au-dessus du genou. Mais je ne céderais pas.
Quand Rocier me vit, il eut un sourire ironique. « Sympa ta jupe. Soulève là que je vois si tu as des dessous qui me plaisent ». « Il n’en est pas question. Je vais raconter vos agissements à monsieur le Maire et vous allez perdre le marché ». Rocier éclata de rire. Il s’avança vers moi et sans que j’esquisse un geste de défense, il retroussa ma jupe sur les reins, m’attira contre lui et insinua ses mains sous ma culotte. Dans le même temps, je sentais une bosse durcir contre mon ventre. Il tira ma culotte vers le bas, caressa ma chatte dégoulinante, se débraguetta et s’enfonça d’un trait en moi en me soulevant comme une brindille. Il me pilonnait sans fioriture, me soulevant et me laissant retomber sur son sexe. Je ne sais combien de temps cela dura. Je jouis une première fois, il ne cessa pas pour autant sa course, et je partis une deuxième fois pendant qu’il éjaculait enfin en moi. Il me reposa au sol. « Bon, la petite crise est passée ? On peut se mettre au travail ? »Un mois plus tard, je quittais Gilles et m’installais chez Jacques Rocier. Deux mois plus tard, nous nous mariâmes. Tout avait été si vite. Pour la petite bourgeoisie locale, j’étais devenue Madame Rocier, la femme d’un des plus gros entrepreneurs de la région. Et en plus, professant le catéchisme, j’avais atteint un haut degré de respectabilité.
Pourtant, si les gens savaient…… Jacques était un amant insatiable. Il lui arrivait de me prendre deux voire trois fois dans la journée. Un soir, pendant qu’il me faisait l’amour, il me demanda si j’aimerais essayer avec un autre homme. Emportée par l’excitation amoureuse, je lui dis oui. Dès lors, il eut de cesse de me dire que je devrais essayer. Un soir, en discothèque, un homme assis près de nous, ne cessait de me jeter des coups d’œil appuyés. Je n’y avais pas vraiment prêté attention. Jacques m’entraina sur la piste. Une série de slows nous jeta dans les bras l’un de l’autre. Ses mains, caressaient le bas de mon dos et mes fesses. Sans que j’y pris garde, il avait remonté doucement ma jupe, dénudant mes cuisses et mes fesses que masquaient à peine un string.
Au bout du deuxième slow, il prétexta une envie d’aller aux toilettes. L’homme assis précédemment à nos côtés m’enlaça. Il se plaqua à moi. Je sentais son sexe déployé contre mon ventre. Il me murmurait des mots doux à l’oreille. La situation me troublait, mais je n’osais pas me laisser aller. Je repoussais même ses avances. Un mélange de colère et d’excitation m’habitaient.
Jacques m’amena lentement à la débauche avec la certitude que j’accepterais…ce qui se produisit…. Un soir, il invita Karim, un de ses ouvriers. Un garçon charmant, mignon et bien bâti. Après le repas, je me retrouvai assise sur le canapé entre eux deux. Leurs mains prirent de concert possession de mon corps et sans que je ne rende compte, je me retrouvai nue, embrassée et léchée de toute part. Karim me prit doucement et m’amena au plaisir. Je ne comptai plus les orgasmes. Mes deux amants m’épuisèrent.
Puis Jacques invita d’autres hommes, des femmes, des couples et je devins libertine presque naturellement. J’y prenais du plaisir. Enormément de plaisir. Même si en ville je gardais l’image d’une femme sérieuse et stricte. S’ils savaient……L’année passée, Jacques rentra un soir excité. Il avait trouvé une clé USB dans le local qu’utilisait Karim. Il l’avait branchée sur son ordinateur et était tombé sur des dossiers photos montrant Paul Guibaud, un notable de la ville parti récemment dans une autre région, et qui fut un de ses bons clients, revisitant le kamasoutra avec diverses partenaires. Il avait fait une copie de la clé et me demanda si je connaissais les heureuses élues. J’y reconnus avec surprise Judith Gaudin, la gentille boulangère de la place de Gaulle. Au vu des photos, elle prenait plaisir à ces joutes avec le beau sexagénaire. Il faut dire qu’être femme de boulanger oblige à passer beaucoup de soirées seule… « Et celle-là c’est qui ? » « Pourquoi ? elle t’intéresse ? » « Elle me fait bander. Je la veux. Je l’aurai ». « C’est Clotilde, une des infirmières du cabinet infirmier ». « Alors démerde toi. Avec Karim, je vous donne carte blanche ».
Le hasard fit bien les choses, quelques jours plus tard, Jacques se blessa à la main, traita sa blessure par le mépris, et dut se résoudre à aller chez le médecin qui diagnostiqua une infection à traiter par des injections antibiotiques intra-musculaires pendant dix jours. Je téléphonais non pas à notre infirmière habituelle, mais au cabinet où travaillait Clotilde. Coup de chance, elle commençait sa semaine le surlendemain. Le piège se mit en place, Karim envoya une lettre à l’infirmière, lui rappelant ses frasques avec Guibaud et la menaçant de diffuser des photos compromettantes. Jacques eut l’idée de remplacer la glace du salon par une glace sans tain, en aménageant un petit espace derrière.
Lundi, l’infirmière a prévenu de l’heure à laquelle elle passerait. Karim et moi, nous cachons derrière la glace sans tain. Jacques accueille l’infirmière, baisse pantalon et slip, se tourne face à la glace. L’infirmière est en pantalon. Rien de bien érotique. Karim me dit que c’est le début.
Mardi, une jupe verte mi-longue. L’infirmière s’accroupit mais on ne distingue rien.
Mercredi, jupe blanche au-dessus du genou. Lorsqu’elle s’accroupit, elle écarte légèrement les cuisses pour garder l’équilibre. Furtivement, on arrive à voir la lisière des bas et la culotte blanche. Jacques n’a de cesse que de la regarder.
Jeudi. Jupe rouge plus courte. Jacques est en slip, il se tourne vers la glace sans tain. Il laisse l’infirmière préparer son injection. Derrière la glace, nous avons pris place avec Karim. « Les choses sérieuses vont commencer » me susurre-t-il à l’oreille. Jacques attend. Il attend que l’infirmière baisse son slip. Elle s’accroupit et tire sur le slip pour dénuder la fesse et faire l’injection. La racine du sexe est visible. Par le reflet de la glace, Clotilde l’a vu et son regard s’y attarde. On voit les cuisses s’ouvrir, d’abord un peu, puis franchement montrant les bas gris, la partie dénudée des cuisses et la culotte blanche moulant le relief de la vulve. Clotilde reste plus que normalement dans cette position. Une tache apparait sur la culotte, traduisant l’excitation de la jeune femme. Jacques a le regard braqué sur l’entre-cuisse de l’infirmière : Son sexe se déploie, engoncé dans le slip. « Ça y est, elle est accrochée » me glisse Karim dont les mains caressent mes seins tendus sous mon pull. L’infirmière termine rapidement son soin et s’en va. On entend sa voiture démarrer. Je sors du réduit et vais vers Jacques. Je m’agenouille devant lui, sors son sexe pour le masturber doucement. « Avant la fin de la semaine, je me la fais cette salope ».
Vendredi. Nous savons que Karim ne l’a pas appelée. Elle est en pantalon et se contente de faire le soin de manière purement professionnelle.
Samedi. Jupe et bas. Le regard de l’infirmière est brillant. Celui de Jacques également. Elle s’accroupit et tire un peu plus sur le slip. La verge est à moitié découverte, déjà en début d’érection. L’infirmière pique et écarte largement les cuisses laissant voir un sexe lisse et brillant. Jacques a fait semblant de fermer les yeux mais il profite du spectacle. Karim retrousse ma jupe, abaisse mon string et frotte sa verge tendue contre mes fesses. Je regarde la vulve brillante en me disant que bientôt elle sera transpercée par le glaive bouillonnant de mon Jacques.
Dimanche. J’arrive au réduit derrière la glace. Karim me rejoint. Il est nu. Sa bite est tendue. « Tu vas voir, aujourd’hui, elle passe à la casserole. Branle-moi doucement. ». Karim glisse sa main sous ma jupe et enfonce un doigt dans ma fente mouillée. Deux minutes plus tard, l’infirmière arrive. On la voit poser une veste dans le corridor. Elle porte une jupe noire très courte. Jacques se tourne vers la glace, descend son slip de manière à ce que seul le gland ne soit pas visible. Il bande.
L’infirmière se place de trois-quarts pour préparer l’injection. Elle se penche en avant ce qui fait remonter sa jupe et dénude le bas des fesses. Jacques la regarde, les yeux exorbités. Je sais le désir qui le tenaille. Elle se tourne, s’accroupit, et le regard vissé au sexe de son patient, elle ouvre largement le compas de ses cuisses. Son sexe est ouvert et laisse sourdre une cyprine abondante. Elle aussi semble en crever d’envie. Jacques n’a d’yeux que sur cette chatte ouverte. Clotilde désinfecte lentement la zone où elle va piquer. La queue de Jacques est tendue, mais le gland est encore dissimulé par le slip. Je vois la main de l’infirmière attraper le slip et le tirer franchement vers le bas. Le slip tombe au sol. Le sexe de Jacques est au zénith et est agité de mouvements saccadés. L’un regardant le sexe offert de l’autre le temps de la piqure. Comme une automate, l’infirmière masse doucement le point d’injection. Jacques se tourne vers elle. L’infirmière rampe vers lui et approche sa bouche, langue sortie, du sexe bandé. Tremblant de désir, elle l’engloutit et lui prodigue une fellation enflammée. Karim m’a dénudée entièrement et me pénètre doucement, s’enfonçant au fond de moi , calquant son rythme sur celui de la bouche. « Regarde-les » me souffle-t-il dans l’oreille. Je vois Jacques se crisper et projeter son bassin vers l’avant en grondant. Son visage se déforme sous la jouissance. L’infirmière se relève et se dirige vers la salle de bain. « Suis-moi, ne fais pas de bruit » me murmure Karim « j’en peux plus, elle m’excite trop ». La salle de bain est dans la pénombre. Karim se glisse derrière Clotilde, abaisse sa robe qui tombe au sol et la prend debout en la besognant virilement, tandis que ses mains agacent les pointes de ses seins, l’amenant à l’orgasme. Karim fait durer son plaisir, profitant des chairs offertes et consentantes. Il continue de la pilonner. Je les regarde, tremblante d’envie. Mes seins sont durs, mon sexe ruisselle. L’infirmière halète à chaque coup de rein. Nous battons en retraite derrière le refuge de la glace sans tain. Karim ne débande pas. Il se colle à moi, m’investit et se vide rapidement en moi, m’entrainant dans le gouffre du plaisir.
Le lendemain Karim me confie qu’il a revu l’infirmière et qu’il lui a fait l’amour. « A son cabinet. Elle s’est déshabillée. Elle n’avait pas mis de soutif ni de culotte. Elle savait que j’allais la baiser. C’est un canon cette fille. Elle est faite pour baiser. Je crois que ton Jacques va s’éclater avec elle ».
La semaine suivante, un soir, Jacques me demande de le suivre. Nous nous faufilons dans la maison de Paul Guibaud. D’une chambre filtrent des halètements de moins en moins discrets. Jacques se déshabille. Il est en érection. Il rentre dans la pièce. L’infirmière est couchée nue sur Karim qui la laboure sans ménagement. Jacques entre dans la pièce et lui caresse les fesses, elle tourne la tête, sourit et le prend dans sa bouche. Je vois Jacques s’allonger sur le lit, elle se couche sur lui, écartant largement les cuisses, ouvrant l’accès à son sexe. Il s’introduit d’une traite en elle lui arrachant un long feulement. Karim s’allonge à son tour sur elle et enfonce sa verge dans son anus. Un gros quart d’heure plus tard, le trio atteint un orgasme dévastateur. Karim se relève et quitte la pièce. Il me rejoint, sexe toujours au garde à vous. Debout dans le couloir, il me prend en levrette. Nous regardons discrètement le couple qui s’ébat sur le lit.
Clotilde veut se lever, Jacques la retient par le bras, il l’allonge sur le lit, lui relève les jambes et présente sa queue à nouveau bandée à la porte de la vulve. Il en force à nouveau l’entrée. L’assaut dure plus d’une demi-heure. Clotilde n’est plus qu’une poupée dédiée au stupre, submergée par des orgasmes successifs, plus forts les uns que les autres. Jacques s’épanche enfin en elle. Je réalise que sur le plan sexuel, ces deux-là viennent de découvrir qu’ils sont faits l’un pour l’autre. Les voir ensemble m’excite au plus haut point. Nous jouissons presque en même temps. Pendant que le couple récupère, je m’éclipse discrètement.
Un peu plus tard, lors de l’inauguration de la maison des associations, retenue par le maire et le prêtre, j’observe de loin Jacques qui s’avance vers l’infirmière. Elle discute avec la boulangère. Deux minutes plus tard, je les vois disparaitre tous les trois. Je me doute de ce qu’il va advenir. Moins d’une heure après, je vois Jacques revenir seul, un sourire aux lèvres. Le soir, en me prenant avec fougue, il me racontera comment il a attiré les deux femmes à la maison et les a baisées à tour de rôle les faisant follement jouir.
De temps à autres il me raconte ses rencontres furtives avec l’infirmière et la jouissance qui les terrasse à chaque fois. Je ne suis pas jalouse. Je sais que ce n’est que du sexe. Et en me racontant ses rencontres, il me prend avec force et tendresse.
Quelques temps plus tard, il m’annonce qu’il a organisé une petite fête avec ses ouvriers et qu’l a invité les deux femmes. Nous serons trois femmes pour six hommes, la soirée s’annonce chaude. Et elle le sera. Mais vous le savez déjà si vous avez lu les autres récits de cette saga.
Que de chemin parcouru……
Je m’appelle Sylvie Rocier. Je suis née il y a 41 ans dans une petite ville des Ardennes. Mon nom de jeune fille est Demarchis, mais il a plu à croire à mes parents que ce nom résultait d’une erreur de copie de l’état civil il y a un siècle, et que notre vrai nom aurait dû être de Marchis. En deux mots. Avec une particule.
C’est donc dans la plus pure tradition de la vieille noblesse française que mes parents nous ont éduqués, mon frère, ma sœur et moi. Mon frère étant né en premier, il pût bénéficier des avantages liés au droit d’ainesse et au fait d’être un garçon. Peu doué pour les études, et ne pouvant prétendre entrer au séminaire comme l’aurait voulu ma mère, il profita de sa majorité pour s’engager dans l’armée et couper un cordon ombilical qu’il jugeait étouffant. Ma sœur, élève brillante, obtint une bourse et partit faire une école d’ingénieurs à Lyon. Elle vit aujourd’hui en Australie avec un mari trouvé dans le bush et cinq enfants. Quant à moi, la troisième de la fratrie, née tardivement, je fus d’emblée considérée comme un cadeau divin.
Dès l’annonce de sa grossesse, ma mère s’était rapprochée de l’église, s’estimant investie d’une mission divine, devenant comme le disait mon père « le bras droit du curé ». Mon père disparut tragiquement moins de deux ans après ma naissance, et je fus donc élevée dans la plus pure tradition catholique. L’école m’intéressait moyennement, mais j’avais compris très vite l’importance des études afin de pouvoir ouvrir plusieurs portes. Je devais avoir huit ans lorsqu’un soir je pris conscience que le contact des doigts sur mon sexe me procurait des sensations agréables. Aussi, pendant les cinq années qui suivirent, je me donnais du plaisir le soir dans mon lit. Un soir, ma mère mit fin à cette pratique, m’ayant surprise dans ma chambre, et me promettant tous les maux de la terre et toutes les maladies honteuses possibles et inimaginables. La leçon avait porté ses fruits, je cessai mon activité masturbatoire. A dix-sept ans, je tombais amoureuse d’un apprenti menuisier. Nous échangeâmes notre premier baiser un lundi, et le mercredi, il m’attira dans sa chambre, défit mon pantalon, retira le sien et se coucha sur moi. Je garde aujourd’hui encore le souvenir d’une douleur et d’une minute pénible avant de sentir un liquide chaud inonder mon ventre. Rentrée à la maison, je dus laver ma culotte tâchée par du sperme et des traces de sang. Qu’importe, j’étais devenue une femme ! Didier (c’était le prénom de ce premier amour) me poursuivait de ses assiduités, mais j’avais bien compris qu’il n’avait aucun sentiment pour moi, voulant juste se servir de mon corps. L’été arrivant, je fus embauchée pour deux mois dans une colonie de vacances en Vendée, ce qui me permit de me soustraire au harcèlement de Didier. De retour à la fin des vacances, je tombais sur Didier qui se pavanait au bras d’une brunette frisée et qui fit semblant de ne pas me voir. Au moins, je serai tranquille, pourvu que leur idylle dure le plus longtemps possible.
L’ambiance à la maison était d’une tristesse sans nom. Ma mère bénissait chaque repas et nous ne pouvions manger qu’après qu’elle ait récité son chapelet de prières. Bien entendu, la messe était l’activité centrale du dimanche. J’y avais pris un certain plaisir, trouvant dans ces moments une quiétude rassurante. Après la messe, nous allions déjeuner avec monsieur le curé, le plus souvent au presbytère. Après déjeuner, je rentrais à la maison pour faire mes devoirs. Ce dimanche de mars, deux dimanches avant la Pâques, je m’aperçus que j’avais oublié mon porte-carte au presbytère. Je partis le chercher et, au moment de m’annoncer, j’entendis un gémissement. Je m’avançais prudemment, pensant que quelqu’un était souffrant. Au moment de demander où ils se trouvaient, j’entendis la voix de ma mère dire « tu aimes ? tu es tout gros, oh c’est bon ». Quand bien même je sois d’une grande naïveté, je compris tout de suite ce qui se passait. A l’abri des regards derrière une tenture, je les trouvais dans le bureau du curé. Ma mère, à moitié dépoitraillée, administrait au saint homme une fellation énergique, tandis qu’il lui malaxait ses seins lourds. Je reçus cette image comme un choc. Immédiatement, une onde de chaleur naquit dans mon ventre. Je plaquais une main sur mon sexe à travers mon jean. Je n’y connaissais rien en amour, mais il me semblait que l’issue n’était pas prochaine. Je faufilais une main dans mon pantalon et entreprit de me masturber en les regardant. Je calquais mon rythme sur le leur. Je jouis en même temps que le curé se répandait dans la bouche de ma mère. J’avais dû me retenir pour ne pas crier de plaisir. Je renonçai à récupérer mon porte-carte, rebroussai silencieusement chemin et rentrai à la maison. Je me jetai sur mon lit, me mit nue, ferma les yeux et me caressai en revivant la scène. Dès lors, je scrutai l’emploi du temps ma mère et pus ainsi les surprendre trois fois en train de faire l’amour.
Mon bac en poche, je partis faire des études de comptabilité puis intégrai les services financiers d’une petite ville du centre de la France. J’y fis la connaissance de Gilles, un gentil garçon, doux, attentionné, mais peu porté sur le sexe. Nos étreintes relevaient plus de l’hygiène que d’autre chose, s’espaçant avec le temps. Le scénario était d’une tristesse totale : lumière éteinte, il s’allongeait sur moi, me pénétrait, se vidait en moi en moins de trois minutes, et encore, quand il était en forme. Mais ceci mis à part, je m’épanouissais dans mon travail et nous habitions une petite maison mignonne. Un peu après, je fus contacté par l’équipe diocésaine qui recherchait une personne pour enseigner le catéchisme le samedi matin. J’acceptai avec joie cette activité qui avait le mérite de me sortir de la monotonie conjugale des weekends.
Il y a cinq ans, et, c’est curieux comme le hasard fait les choses, deux semaines avant Pâques, le maire adjoint vint me trouver en m’expliquant que l’entreprise Rocier avait remporté le marché public concernant l’électricité du chantier de la nouvelle mairie, et que son patron venait signer le contrat dans l’après-midi. Il me chargeait de le recevoir.
A seize heures, Jacques Rocier fit son entrée dans mon bureau et…dans ma vie. C’était un homme de haute taille, musclé, au regard particulier. « Bonjour Monsieur Rocier ». « Ouais, une subalterne de chez subalterne pour me recevoir. En plus, sapée comme l’as de pique. Ils avaient rien d’autre à proposer ? » pour une entrée en matière, c’en était une…. « Monsieur, je ne vous permets pas de me parler sur ce ton. » « Toi, t’es une mal baisée, ça se voit. Si tu veux je peux t’arranger ça. Bon, j’ai pas que ça à faire, je signe quoi ? ».Il ne dit plus un mot et avant de sortir, se retourna et m’adressa un sourire carnassier. « Mais quel con ! quel grossier personnage ». J’en avais les larmes aux yeux.
Deux semaines plus tard, je devais aller visiter le chantier avec le maire adjoint, mais il se fit une sciatique la veille et me demanda d’y aller seule. Je m’attendais à rencontrer le maitre d’œuvre et quelques artisans, mais seul Rocier était présent. « Tiens, voilà la pucelle » Je décidai de ne pas répondre. Alors que nous visitions les locaux techniques, Rocier posa sa main sur mes fesses. Je voulus le repousser, mais il me maintient fermement, m’attirant contre lui. Sa main caressait mes fesses, et malgré moi, je ressentis un frisson me parcourir. J’étais horrifiée et fascinée à la fois. Cette caresse triviale déclenchait un plaisir trouble. Il arrêta sa caresse « J’aime pas les pantalons. La prochaine fois si tu veux que je te baise, mets une jupe. Et ne dis pas que t’as pas aimé, je suis sûr que tu as inondé ta culotte ».
Je me jurai de ne plus croiser son chemin. Et pourtant, quand le maire me demanda de faire le point le lendemain sur l’avancée des travaux avec Jacques Rocier, je me jurais intérieurement de ne pas céder aux caprices de ce rustre. Le lendemain matin, je mis un jean, me ravisai et choisis une jupe ample s’arrêtant au-dessus du genou. Mais je ne céderais pas.
Quand Rocier me vit, il eut un sourire ironique. « Sympa ta jupe. Soulève là que je vois si tu as des dessous qui me plaisent ». « Il n’en est pas question. Je vais raconter vos agissements à monsieur le Maire et vous allez perdre le marché ». Rocier éclata de rire. Il s’avança vers moi et sans que j’esquisse un geste de défense, il retroussa ma jupe sur les reins, m’attira contre lui et insinua ses mains sous ma culotte. Dans le même temps, je sentais une bosse durcir contre mon ventre. Il tira ma culotte vers le bas, caressa ma chatte dégoulinante, se débraguetta et s’enfonça d’un trait en moi en me soulevant comme une brindille. Il me pilonnait sans fioriture, me soulevant et me laissant retomber sur son sexe. Je ne sais combien de temps cela dura. Je jouis une première fois, il ne cessa pas pour autant sa course, et je partis une deuxième fois pendant qu’il éjaculait enfin en moi. Il me reposa au sol. « Bon, la petite crise est passée ? On peut se mettre au travail ? »Un mois plus tard, je quittais Gilles et m’installais chez Jacques Rocier. Deux mois plus tard, nous nous mariâmes. Tout avait été si vite. Pour la petite bourgeoisie locale, j’étais devenue Madame Rocier, la femme d’un des plus gros entrepreneurs de la région. Et en plus, professant le catéchisme, j’avais atteint un haut degré de respectabilité.
Pourtant, si les gens savaient…… Jacques était un amant insatiable. Il lui arrivait de me prendre deux voire trois fois dans la journée. Un soir, pendant qu’il me faisait l’amour, il me demanda si j’aimerais essayer avec un autre homme. Emportée par l’excitation amoureuse, je lui dis oui. Dès lors, il eut de cesse de me dire que je devrais essayer. Un soir, en discothèque, un homme assis près de nous, ne cessait de me jeter des coups d’œil appuyés. Je n’y avais pas vraiment prêté attention. Jacques m’entraina sur la piste. Une série de slows nous jeta dans les bras l’un de l’autre. Ses mains, caressaient le bas de mon dos et mes fesses. Sans que j’y pris garde, il avait remonté doucement ma jupe, dénudant mes cuisses et mes fesses que masquaient à peine un string.
Au bout du deuxième slow, il prétexta une envie d’aller aux toilettes. L’homme assis précédemment à nos côtés m’enlaça. Il se plaqua à moi. Je sentais son sexe déployé contre mon ventre. Il me murmurait des mots doux à l’oreille. La situation me troublait, mais je n’osais pas me laisser aller. Je repoussais même ses avances. Un mélange de colère et d’excitation m’habitaient.
Jacques m’amena lentement à la débauche avec la certitude que j’accepterais…ce qui se produisit…. Un soir, il invita Karim, un de ses ouvriers. Un garçon charmant, mignon et bien bâti. Après le repas, je me retrouvai assise sur le canapé entre eux deux. Leurs mains prirent de concert possession de mon corps et sans que je ne rende compte, je me retrouvai nue, embrassée et léchée de toute part. Karim me prit doucement et m’amena au plaisir. Je ne comptai plus les orgasmes. Mes deux amants m’épuisèrent.
Puis Jacques invita d’autres hommes, des femmes, des couples et je devins libertine presque naturellement. J’y prenais du plaisir. Enormément de plaisir. Même si en ville je gardais l’image d’une femme sérieuse et stricte. S’ils savaient……L’année passée, Jacques rentra un soir excité. Il avait trouvé une clé USB dans le local qu’utilisait Karim. Il l’avait branchée sur son ordinateur et était tombé sur des dossiers photos montrant Paul Guibaud, un notable de la ville parti récemment dans une autre région, et qui fut un de ses bons clients, revisitant le kamasoutra avec diverses partenaires. Il avait fait une copie de la clé et me demanda si je connaissais les heureuses élues. J’y reconnus avec surprise Judith Gaudin, la gentille boulangère de la place de Gaulle. Au vu des photos, elle prenait plaisir à ces joutes avec le beau sexagénaire. Il faut dire qu’être femme de boulanger oblige à passer beaucoup de soirées seule… « Et celle-là c’est qui ? » « Pourquoi ? elle t’intéresse ? » « Elle me fait bander. Je la veux. Je l’aurai ». « C’est Clotilde, une des infirmières du cabinet infirmier ». « Alors démerde toi. Avec Karim, je vous donne carte blanche ».
Le hasard fit bien les choses, quelques jours plus tard, Jacques se blessa à la main, traita sa blessure par le mépris, et dut se résoudre à aller chez le médecin qui diagnostiqua une infection à traiter par des injections antibiotiques intra-musculaires pendant dix jours. Je téléphonais non pas à notre infirmière habituelle, mais au cabinet où travaillait Clotilde. Coup de chance, elle commençait sa semaine le surlendemain. Le piège se mit en place, Karim envoya une lettre à l’infirmière, lui rappelant ses frasques avec Guibaud et la menaçant de diffuser des photos compromettantes. Jacques eut l’idée de remplacer la glace du salon par une glace sans tain, en aménageant un petit espace derrière.
Lundi, l’infirmière a prévenu de l’heure à laquelle elle passerait. Karim et moi, nous cachons derrière la glace sans tain. Jacques accueille l’infirmière, baisse pantalon et slip, se tourne face à la glace. L’infirmière est en pantalon. Rien de bien érotique. Karim me dit que c’est le début.
Mardi, une jupe verte mi-longue. L’infirmière s’accroupit mais on ne distingue rien.
Mercredi, jupe blanche au-dessus du genou. Lorsqu’elle s’accroupit, elle écarte légèrement les cuisses pour garder l’équilibre. Furtivement, on arrive à voir la lisière des bas et la culotte blanche. Jacques n’a de cesse que de la regarder.
Jeudi. Jupe rouge plus courte. Jacques est en slip, il se tourne vers la glace sans tain. Il laisse l’infirmière préparer son injection. Derrière la glace, nous avons pris place avec Karim. « Les choses sérieuses vont commencer » me susurre-t-il à l’oreille. Jacques attend. Il attend que l’infirmière baisse son slip. Elle s’accroupit et tire sur le slip pour dénuder la fesse et faire l’injection. La racine du sexe est visible. Par le reflet de la glace, Clotilde l’a vu et son regard s’y attarde. On voit les cuisses s’ouvrir, d’abord un peu, puis franchement montrant les bas gris, la partie dénudée des cuisses et la culotte blanche moulant le relief de la vulve. Clotilde reste plus que normalement dans cette position. Une tache apparait sur la culotte, traduisant l’excitation de la jeune femme. Jacques a le regard braqué sur l’entre-cuisse de l’infirmière : Son sexe se déploie, engoncé dans le slip. « Ça y est, elle est accrochée » me glisse Karim dont les mains caressent mes seins tendus sous mon pull. L’infirmière termine rapidement son soin et s’en va. On entend sa voiture démarrer. Je sors du réduit et vais vers Jacques. Je m’agenouille devant lui, sors son sexe pour le masturber doucement. « Avant la fin de la semaine, je me la fais cette salope ».
Vendredi. Nous savons que Karim ne l’a pas appelée. Elle est en pantalon et se contente de faire le soin de manière purement professionnelle.
Samedi. Jupe et bas. Le regard de l’infirmière est brillant. Celui de Jacques également. Elle s’accroupit et tire un peu plus sur le slip. La verge est à moitié découverte, déjà en début d’érection. L’infirmière pique et écarte largement les cuisses laissant voir un sexe lisse et brillant. Jacques a fait semblant de fermer les yeux mais il profite du spectacle. Karim retrousse ma jupe, abaisse mon string et frotte sa verge tendue contre mes fesses. Je regarde la vulve brillante en me disant que bientôt elle sera transpercée par le glaive bouillonnant de mon Jacques.
Dimanche. J’arrive au réduit derrière la glace. Karim me rejoint. Il est nu. Sa bite est tendue. « Tu vas voir, aujourd’hui, elle passe à la casserole. Branle-moi doucement. ». Karim glisse sa main sous ma jupe et enfonce un doigt dans ma fente mouillée. Deux minutes plus tard, l’infirmière arrive. On la voit poser une veste dans le corridor. Elle porte une jupe noire très courte. Jacques se tourne vers la glace, descend son slip de manière à ce que seul le gland ne soit pas visible. Il bande.
L’infirmière se place de trois-quarts pour préparer l’injection. Elle se penche en avant ce qui fait remonter sa jupe et dénude le bas des fesses. Jacques la regarde, les yeux exorbités. Je sais le désir qui le tenaille. Elle se tourne, s’accroupit, et le regard vissé au sexe de son patient, elle ouvre largement le compas de ses cuisses. Son sexe est ouvert et laisse sourdre une cyprine abondante. Elle aussi semble en crever d’envie. Jacques n’a d’yeux que sur cette chatte ouverte. Clotilde désinfecte lentement la zone où elle va piquer. La queue de Jacques est tendue, mais le gland est encore dissimulé par le slip. Je vois la main de l’infirmière attraper le slip et le tirer franchement vers le bas. Le slip tombe au sol. Le sexe de Jacques est au zénith et est agité de mouvements saccadés. L’un regardant le sexe offert de l’autre le temps de la piqure. Comme une automate, l’infirmière masse doucement le point d’injection. Jacques se tourne vers elle. L’infirmière rampe vers lui et approche sa bouche, langue sortie, du sexe bandé. Tremblant de désir, elle l’engloutit et lui prodigue une fellation enflammée. Karim m’a dénudée entièrement et me pénètre doucement, s’enfonçant au fond de moi , calquant son rythme sur celui de la bouche. « Regarde-les » me souffle-t-il dans l’oreille. Je vois Jacques se crisper et projeter son bassin vers l’avant en grondant. Son visage se déforme sous la jouissance. L’infirmière se relève et se dirige vers la salle de bain. « Suis-moi, ne fais pas de bruit » me murmure Karim « j’en peux plus, elle m’excite trop ». La salle de bain est dans la pénombre. Karim se glisse derrière Clotilde, abaisse sa robe qui tombe au sol et la prend debout en la besognant virilement, tandis que ses mains agacent les pointes de ses seins, l’amenant à l’orgasme. Karim fait durer son plaisir, profitant des chairs offertes et consentantes. Il continue de la pilonner. Je les regarde, tremblante d’envie. Mes seins sont durs, mon sexe ruisselle. L’infirmière halète à chaque coup de rein. Nous battons en retraite derrière le refuge de la glace sans tain. Karim ne débande pas. Il se colle à moi, m’investit et se vide rapidement en moi, m’entrainant dans le gouffre du plaisir.
Le lendemain Karim me confie qu’il a revu l’infirmière et qu’il lui a fait l’amour. « A son cabinet. Elle s’est déshabillée. Elle n’avait pas mis de soutif ni de culotte. Elle savait que j’allais la baiser. C’est un canon cette fille. Elle est faite pour baiser. Je crois que ton Jacques va s’éclater avec elle ».
La semaine suivante, un soir, Jacques me demande de le suivre. Nous nous faufilons dans la maison de Paul Guibaud. D’une chambre filtrent des halètements de moins en moins discrets. Jacques se déshabille. Il est en érection. Il rentre dans la pièce. L’infirmière est couchée nue sur Karim qui la laboure sans ménagement. Jacques entre dans la pièce et lui caresse les fesses, elle tourne la tête, sourit et le prend dans sa bouche. Je vois Jacques s’allonger sur le lit, elle se couche sur lui, écartant largement les cuisses, ouvrant l’accès à son sexe. Il s’introduit d’une traite en elle lui arrachant un long feulement. Karim s’allonge à son tour sur elle et enfonce sa verge dans son anus. Un gros quart d’heure plus tard, le trio atteint un orgasme dévastateur. Karim se relève et quitte la pièce. Il me rejoint, sexe toujours au garde à vous. Debout dans le couloir, il me prend en levrette. Nous regardons discrètement le couple qui s’ébat sur le lit.
Clotilde veut se lever, Jacques la retient par le bras, il l’allonge sur le lit, lui relève les jambes et présente sa queue à nouveau bandée à la porte de la vulve. Il en force à nouveau l’entrée. L’assaut dure plus d’une demi-heure. Clotilde n’est plus qu’une poupée dédiée au stupre, submergée par des orgasmes successifs, plus forts les uns que les autres. Jacques s’épanche enfin en elle. Je réalise que sur le plan sexuel, ces deux-là viennent de découvrir qu’ils sont faits l’un pour l’autre. Les voir ensemble m’excite au plus haut point. Nous jouissons presque en même temps. Pendant que le couple récupère, je m’éclipse discrètement.
Un peu plus tard, lors de l’inauguration de la maison des associations, retenue par le maire et le prêtre, j’observe de loin Jacques qui s’avance vers l’infirmière. Elle discute avec la boulangère. Deux minutes plus tard, je les vois disparaitre tous les trois. Je me doute de ce qu’il va advenir. Moins d’une heure après, je vois Jacques revenir seul, un sourire aux lèvres. Le soir, en me prenant avec fougue, il me racontera comment il a attiré les deux femmes à la maison et les a baisées à tour de rôle les faisant follement jouir.
De temps à autres il me raconte ses rencontres furtives avec l’infirmière et la jouissance qui les terrasse à chaque fois. Je ne suis pas jalouse. Je sais que ce n’est que du sexe. Et en me racontant ses rencontres, il me prend avec force et tendresse.
Quelques temps plus tard, il m’annonce qu’il a organisé une petite fête avec ses ouvriers et qu’l a invité les deux femmes. Nous serons trois femmes pour six hommes, la soirée s’annonce chaude. Et elle le sera. Mais vous le savez déjà si vous avez lu les autres récits de cette saga.
Que de chemin parcouru……
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