L'éducation parisenne de Sylvain
Récit érotique écrit par Lexi Logos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'éducation parisenne de Sylvain
Voila maintenant plusieurs mois que Sylvain a emménagé chez Alphonse. Il n’a fait qu’un bref passage chez ses parents et à tourné le dos à son adolescence sans le moindre remord et très peu d’hésitation ! Alphonse se montre gentil, attentif avec Sylvain. Agent commercial indépendant, il fait inscrire Sylvain en formation alternance dans ce domaine d’activité et assume du coup la fonction de maitre de stage.
Sylvain et Alphonse se sont vite compris et entendu. Le premier est avide d’apprendre, autant en matière de métier que de sexe, le second est pressé de tout donné de son savoir également dans les deux domaines. Il forme maintenant un couple atypique dans l’immeuble. Il y a bien le râleur du 1er qui se répand en insinuations douteuse mais depuis que Sylvain l’a coincé, comme par inadvertance, dans l’escalier de la cave, il se fait beaucoup plus discret. Il y a aussi Eléonore, la femme de ménage d’Alphonse, la petite trentaine, qui vient une fois par semaine faire le grand ménage. Elle douce, gentille, assez garçonne par sa coupe de cheveux, toujours un mot pour rire et, parfois, un regard langoureux en direction de Sylvain qui semble de ne rien voir.
Mais, et cela questionne Sylvain, il est toujours vierge du cul. Bizarrement, Alphonse refuse de lui faire l’amour de cette façon en prétextant que chaque chose arrive le moment venu pour qui sait attendre.
Pour autant, coté sexe, les deux amants sont très actifs : chaque soir, Alphonse fait progresser Sylvain en termes de découvertes sexuelles, de maitrise de son corps et de ses orgasmes, des milles et une façon de faire souffrir son amant de plaisir ….
Sylvain est à rester quatre heures en érection sans éjaculer. Alphonse le « dresse » dans tout les sens du terme, moralement, psychologiquement, seulement, physiquement. Et à chaque nouveau savoir maitrisé, il demande à Sylvain de lui faire bénéficier de son tout nouveau savoir.
« Sylvain, cela te dit que je te dresse les seins ce soir ? … ». Alphonse vient de rentrer du travail, Sylvain a quitté ses cours une bonne heure plus tôt. Il en a profité pour préparer le diné. Selon la règle établie, il s’arrange pour toujours être en érection sous son petit tablier de « bonne ». Cela l’oblige à puiser dans toutes les ressources de sa libido, à frôler tout ce qui peut maintenir en état son excitation. Immanquablement, sa mouille inonde le petit tablier ! Ce qui permet à Alphonse, au premier coup d’œil de s’assurer que le contrat a bien été respecté. Ce qui ne manque pas de se produire. Immédiatement l’œil d’Alphonse s’allume. Il se met à genou devant Sylvain et s’applique à lécher consciencieusement la cyprine qui inonde le tissu. Ceci fait, sa langue va cherche sous le tablier la verge de Sylvain qu’il nettoie de sa mouille. Ce dernier doit se faire violence pour ne pas éjaculer. « Arrête de te tortiller du cul comme ça, je n’arrive pas à la garder en bouche ! ». Le ton est moqueur. Il sait le supplice qu’il inflige à son jeune amant puisqu’il n’a pas le droit d’éjaculer avant qu’Alphonse le lui permette ! Ce faisant, le doigts d’Alphonse remontent le long du torse de Sylvain. Rapidement, ils arrivent au mamelon et commencent à en taquiner les tétons. Sylvain a maintenant des pointes de seins qui feraient la fierté de plus d’une femme ! Il faut dire que quasiment chaque soir, Alphonse lui travaille les bout, jusqu'à faire jouir Sylvain uniquement en le pelotant des tétons. Le supplice dure depuis quinze minutes maintenant. Alphonse sens que Sylvain va exploser. Sa verge est gonflée comme rarement elle l’a été. Il ne faudrait sans doute pas un coup de langue supplémentaire pour que le foutre du jeune male inonde le visage de son compagnon. « Allons diner, nous continuerons ensuite ! » Si le ton d’Alphonse est doux, posé, il en émane une autorité naturelle qu’il ne viendrait pas à l’idée de Sylvain de contester !
Entre les sushis et les légumes crus qui les accompagnent, chacun raconte sa journée, ses observations, ses envies, ses déceptions et ses plaisirs. Aujourd’hui, il n’y a rien eu de remarquable pour aucun des deux. Le diné se termine. Alphonse attaque une banane qu’il entreprend de libérer de sa peau en regardant Sylvain droit dans les yeux. Sur le moment, Celui-ci ne prête pas attention à ce nouveau jeu, puis le regard fixe attire son attention « … oui ? », Alphonse lui souri et posément « Ce soir, je t’encule ». Les termes provoquent une déflagration chez Sylvain : jamais Alphonse n’a employé de termes aussi crus. Dans le même temps, il sens son corps le trahir avec une onde de plaisir qui le submerge de ses couilles jusqu’au ventre et une sensation nouvelle l’envahir coté « pile ». Ses sphincters se contractent plusieurs fois violemment provoquant ce qu’il croit bien être une jouissance. Immédiatement sa bite, qui s’est encore plus dressée, libère deux jets de foutre qui viennent lui inonder le dessous du menton. Alphonse se penche tendrement à travers la table et lui dépose un long baiser sur les lèvres « je savais que cela te ferait plaisir, mais pas à ce point ! tu aurais pu m’attendre ! ». Encore une fois, Sylvain note dans le brouillard qui a envahi le cerveau, qu’Alphonse est tout en douceur, avec une once de moquerie. Il entend encore « vient, le moment est venu de faire de toi à la fois un homme accompli et une femme sensuelle ». Et ce faisant, les mains d’Alphonse aide Sylvain à trouver le chemin de la couche où il s’accomplira.
Sylvain et Alphonse se sont vite compris et entendu. Le premier est avide d’apprendre, autant en matière de métier que de sexe, le second est pressé de tout donné de son savoir également dans les deux domaines. Il forme maintenant un couple atypique dans l’immeuble. Il y a bien le râleur du 1er qui se répand en insinuations douteuse mais depuis que Sylvain l’a coincé, comme par inadvertance, dans l’escalier de la cave, il se fait beaucoup plus discret. Il y a aussi Eléonore, la femme de ménage d’Alphonse, la petite trentaine, qui vient une fois par semaine faire le grand ménage. Elle douce, gentille, assez garçonne par sa coupe de cheveux, toujours un mot pour rire et, parfois, un regard langoureux en direction de Sylvain qui semble de ne rien voir.
Mais, et cela questionne Sylvain, il est toujours vierge du cul. Bizarrement, Alphonse refuse de lui faire l’amour de cette façon en prétextant que chaque chose arrive le moment venu pour qui sait attendre.
Pour autant, coté sexe, les deux amants sont très actifs : chaque soir, Alphonse fait progresser Sylvain en termes de découvertes sexuelles, de maitrise de son corps et de ses orgasmes, des milles et une façon de faire souffrir son amant de plaisir ….
Sylvain est à rester quatre heures en érection sans éjaculer. Alphonse le « dresse » dans tout les sens du terme, moralement, psychologiquement, seulement, physiquement. Et à chaque nouveau savoir maitrisé, il demande à Sylvain de lui faire bénéficier de son tout nouveau savoir.
« Sylvain, cela te dit que je te dresse les seins ce soir ? … ». Alphonse vient de rentrer du travail, Sylvain a quitté ses cours une bonne heure plus tôt. Il en a profité pour préparer le diné. Selon la règle établie, il s’arrange pour toujours être en érection sous son petit tablier de « bonne ». Cela l’oblige à puiser dans toutes les ressources de sa libido, à frôler tout ce qui peut maintenir en état son excitation. Immanquablement, sa mouille inonde le petit tablier ! Ce qui permet à Alphonse, au premier coup d’œil de s’assurer que le contrat a bien été respecté. Ce qui ne manque pas de se produire. Immédiatement l’œil d’Alphonse s’allume. Il se met à genou devant Sylvain et s’applique à lécher consciencieusement la cyprine qui inonde le tissu. Ceci fait, sa langue va cherche sous le tablier la verge de Sylvain qu’il nettoie de sa mouille. Ce dernier doit se faire violence pour ne pas éjaculer. « Arrête de te tortiller du cul comme ça, je n’arrive pas à la garder en bouche ! ». Le ton est moqueur. Il sait le supplice qu’il inflige à son jeune amant puisqu’il n’a pas le droit d’éjaculer avant qu’Alphonse le lui permette ! Ce faisant, le doigts d’Alphonse remontent le long du torse de Sylvain. Rapidement, ils arrivent au mamelon et commencent à en taquiner les tétons. Sylvain a maintenant des pointes de seins qui feraient la fierté de plus d’une femme ! Il faut dire que quasiment chaque soir, Alphonse lui travaille les bout, jusqu'à faire jouir Sylvain uniquement en le pelotant des tétons. Le supplice dure depuis quinze minutes maintenant. Alphonse sens que Sylvain va exploser. Sa verge est gonflée comme rarement elle l’a été. Il ne faudrait sans doute pas un coup de langue supplémentaire pour que le foutre du jeune male inonde le visage de son compagnon. « Allons diner, nous continuerons ensuite ! » Si le ton d’Alphonse est doux, posé, il en émane une autorité naturelle qu’il ne viendrait pas à l’idée de Sylvain de contester !
Entre les sushis et les légumes crus qui les accompagnent, chacun raconte sa journée, ses observations, ses envies, ses déceptions et ses plaisirs. Aujourd’hui, il n’y a rien eu de remarquable pour aucun des deux. Le diné se termine. Alphonse attaque une banane qu’il entreprend de libérer de sa peau en regardant Sylvain droit dans les yeux. Sur le moment, Celui-ci ne prête pas attention à ce nouveau jeu, puis le regard fixe attire son attention « … oui ? », Alphonse lui souri et posément « Ce soir, je t’encule ». Les termes provoquent une déflagration chez Sylvain : jamais Alphonse n’a employé de termes aussi crus. Dans le même temps, il sens son corps le trahir avec une onde de plaisir qui le submerge de ses couilles jusqu’au ventre et une sensation nouvelle l’envahir coté « pile ». Ses sphincters se contractent plusieurs fois violemment provoquant ce qu’il croit bien être une jouissance. Immédiatement sa bite, qui s’est encore plus dressée, libère deux jets de foutre qui viennent lui inonder le dessous du menton. Alphonse se penche tendrement à travers la table et lui dépose un long baiser sur les lèvres « je savais que cela te ferait plaisir, mais pas à ce point ! tu aurais pu m’attendre ! ». Encore une fois, Sylvain note dans le brouillard qui a envahi le cerveau, qu’Alphonse est tout en douceur, avec une once de moquerie. Il entend encore « vient, le moment est venu de faire de toi à la fois un homme accompli et une femme sensuelle ». Et ce faisant, les mains d’Alphonse aide Sylvain à trouver le chemin de la couche où il s’accomplira.
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