Le dépucelage de Sylvain - histoire érotique

Sylvain est maintenant endormi profondément. Sion souffle est calme et régulier. Un léger sourire épanoui son visage. Il est repu. Alphonse est allongé derrière lui, son torse collé aux épaules de son amant, le bassin encore collé aux fesses de son giron. Doucement ses doigts effleurent un des tétons quand l’autre main, formée en coquille enserre délicatement les couilles de son jeune amant.

Voila maintenant plus d’une heure que les deux homes sont ainsi.

Après avoir mené Sylvain à la couche, Alphonse s’est employé longuement à le préparer à cette forme de nuit nuptiale. Tout d’abord, une fois allongé sur le dos Sylvain a vu, ressenti, joui de la langue d’Alphonse partout sur son corps. Celle-ci s’est d’abord employée à essuyer la moindre des traces de foutre que l’éjaculation intempestive de Sylvain avait laissé sur son menton, puis coulé sur son torse, à l’annonce de la nuit à venir. Puis la langue d’Alphonse s’était faite plus insinueuse, curieuse jusqu’à explorer les lobes d’oreilles, la langue, les tétons, les couilles et enfin chacun des doigts de pieds succès longuement. Tout cela avait procuré un subtil et lent plaisir à Sylvain qui découvrait l’art sexuel de son mentor sous un nouveau jour. Sylvain présentait une excitation des meilleurs jours, sa bite lui en faisait mal tellement l’érection était forte et permanente. « Prends-moi, vite … ! » Sylvain n’en pouvait plus de jouir sans jouir. Son corps demandait l’apothéose tellement il se sentait agonir d’un plaisir lancinant mais inabouti. « Nous avons le temps, je te prépare à me recevoir sans artifice et dans le plaisir » lui répond Alphonse en relevant à peine la tète de sa succion précise et lente d’une des burnes de Sylvain.

Après une bonne heure de ce traitement, Sylvain se sentait couvert de la salive d’Alphonse. La langue de ce dernier se faisait maintenant plus intrusive en s’insinuant dans le fessier. Tout en entretenant une légère excitation au niveau des tétons par de légères caresses des doigts, la langue tournait autour des plis serrés de l’anus de Sylvain. Ce trou en devenir présentait de fines rides bien serrée s avec une corolle de poils légers soigneusement rangés en étoile autour de ce qui sera dans quelques minutes le calice de sa verge. Alphonse apprécia l’ordonnancement naturel de cette pilosité anale.

La langue d’Alfonse continue à exciter la rondelle de Sylvain. Celle-ci commence à démontrer son excitation par de petites contractions incontrôlables. Sylvain se cabre de plus en plus souvent sous l’effet de l’excitation de ses sens qu’il endure depuis presque trois heures maintenant. « Je n’en peux plus, fini moi, je t’en supplie … » Sylvain en implore maintenant son amant tant l’excitation devient insupportable pour ce corps encore vierge de toute défloration. ‘On y vient lui souffle Alphonse à l’oreille » tout en calant Sylvain contre un coussin, les jambes bien relevées, le cul offert, la rondelle dégoulinant se salive. Alphonse se place maintenant entre les jambes de son jeune amant. Il guide Sylvain pour que celui-ci se tienne les chevilles et ramène les jambes le plus possible en arrière, bien écartée. Le sexe d’Alphonse frotte l’anus de Sylvain, à chaque passage il dépose un peu plus de liqueur siminale. Alphonse à un sexe modeste en taille, sans doute circonférence et en longueur. C’est peut-être pour cela qu’il est dur comme un bâton. Maintenant, Sylvain donne des coups de reins pour rechercher la pénétration. Alphonse complète la préparation d’un jet de salive bien placé. Délicatement, il saisi du bout des doigts les tétons de Sylvain tourne et les fait rouler entre ses doigts tout en tirant dessus. Un violent orgasme saisi alors Sylvain qui sent une onde de plaisir partir de ses tétons et descendre en spasmes incontrôlés jusqu’à son bassin. En amant expérimenté, Alphonse pousse sa verge sur la rondelle au moment où le plaisir fait relâcher les sphincters de Sylvain après la violente contraction qui les a saisis avec l’orgasme. « Haaa …. » Sylvain pousse un râle puissant sous l’effet de l’intrusion. Alphonse et Sylvain se regardent yeux dans les yeux, une larme coule sur la joue de Sylvain qui se sent envahi par un membre dur comme un bâton. Le cul le brule. Alphonse reste sans bouger. Doucement, il se penche vers les lèvres de son jeune amant qu’il vient butiner. Par s a première poussée, Alphonse a entré entièrement son gland dans le cul de Sylvain. Il reste ainsi à la porte, sans se retirer et sans aller plus loin. Longuement, sa langue fouille la bouche de Sylvain. Le plat des pouces caresse les tétons … Alphonse n’est pas pressé, il a tout son temps. Il laisse Sylvain s’approprier son gland, gérer la douleur de la défloration, notamment la brulure fortement ressentie au rectum.
Sylvain se détend progressivement, son bassin tend maintenant vers la verge d’Alphonse mais celui-ci recule pour ne pas brusquer les choses. « Quand tu te sentiras prêt, donne un coup de bassin pour prendre ce que tu veux de ma bite ». Après une brève hésitation, Sylvain donne une violent coup de rein qui projette son bassin qui fait avaler à son cul le reste de la bite d’Alphonse qui attendait encore au portillon. « Haaaa … » une nouvelle fois, Sylvain lâche un râle autant de douleur que de plaisir. Il reste plusieurs minutes sans bouger, comme pour bien s‘approprier la bite de son mentor. Puis doucement Sylvain, commence un lent va et vient avec ses fesses, ses hanches. Il s’arrête juste avant que la bite d’Alphonse ne ressorte de sa chatte anale. Il relance ensuite ses hanches en avant pour réjouir pleinement de la pénétration. « Resserres ton trou, contracte ton muscle du trou, lorsque tu te retires … » Alphonse guide l’apprentissage de son jeune amant. Sylvain fait du mieux qu’il peut, il a le sentiment d’être défoncé, ce qui est tout relatif au vu de la taille pénienne modeste d’Alphonse. Mais cette première sodomie ne lui donne pas encore de repères comparatifs …. Sylvain, à force d’application, réussi à maitriser les contactions de son trou du cul et procure ainsi à Alphonse un plaisir qui ne tarde pas à produire ses effets. « Je vais bientôt partir … » averti Alphonse, « Oui, je te sens te raidir dans moi » lui précise Sylvain. « Lâche toi, vas-y à fond », à peine inviter à prendre son plaisir, Sylvain lance ses hanches en avant pour s’empaler pleinement sur la bite d’Alphonse. La cadence s’accélère. Alphonse reste toujours sans bouger pour que Sylvain soit maitre de sa première sodomie. La bite de Sylvain, qui avait perdu de sa vigueur à la défloration, reprends a maintenant retrouvé toute sa raideur. Ses couilles se contractent de plus en plus violemment. « Fais nous jouir ensemble » lui demande Alphonse. Sylvain entend à peine tout tendu à rechercher la jouissance pour mettre fin à ce supplice qu’est l’excitation de son sexe, de son cul et de toutes les sensations nouvelles qui découlent de cette pénétration. Les mouvements du bassin de Sylvain sont maintenant frénétiques, à la limite d’être désordonnés. Il veut que cela cesse mais il veut que ce soit dans la jouissance. Au point qu’Alphonse à parfois des difficultés à garder l’équilibre pour que son pieu de chair soit bien en place face à la chatte anale de Sylvain que ce dernier est avide de ressentir au plus profond de lui.

Sans prévenir, de violentes contractions des sphincters enserrent la verge d’Alphonse. Ces contractions s’accompagnent d’une abondante éjaculation de Sylvain qui se déverse sur son propre torse de puissants jets de sperme. La jouissance de Sylvain entraine quais immédiatement elle d’Alphonse qui se vide entre les fesses de Sylvain.

Les deux amants tombent dans les bras l’un l’autre et restent ainsi longuement, tétanisés par le plaisir pris. A demi comateux, Sylvain tente l’inventaire de ce qu’il a ressenti sans pouvoir aller au bout de sa réflexion. Alphonse le place sur le coté et s’installe contre lui. Tout deux s’endorme, repu de plaisir et de jouissance. « Tu es maintenant autant un homme qu’une femme mon amour, et ce n’est qu’un début » susurre Alphonse à l’oreille de Sylvain qui n’entend déjà plus rien tellement anéanti par la fatigue de son dépucelage.