L' esthéticienne (suite la kiné) - histoire érotique

Je note donc "Hélène" au jour et à l'heure convenue dans mon agenda informatique pro. Ce qui me gêne c'est que tout le monde à l'agence, peut consulter l'agenda de tout le monde dans un souci d'organisation. Je comprends qu'Edwige veut m'infliger une humiliation de plus, mes employées s'interrogeront très certainement sur l'objet d'un tel rendez-vous pour leur patron.

La sensation de la cage de chasteté que je porte à présent est désagréable, surtout en position assise. J'ouvre un tiroir de mon bureau et je constate que l'emballage de la cage y est. Une bouffée d'angoisse m'envahit, je m'empresse de dire à Edwige qu'il faut s'en débarrasser car si la boîte ne trahit rien, à l'intérieur par contre il y a un petit feuillet avec la photo de la cage, sa référence et une notice.
Ma collaboratrice n'est pas de cet avis, elle tient absolument à ce que cette boîte reste à sa place!

Le week-end se passe normalement hormis bien-sûr cet objet métallique que je porte désormais  en permanence. Désormais les 3 femmes qui dirigent ma vie n'échangent avec moi plus que sur l'application Whatsapp. Je présume qu'ainsi elles entretiennent sur moi une emprise plus forte.
Zoé: alors petite fiotte? Ça y'est? Ta petite bite est prisonnière?
Magalie: interdiction de faire pipi debout à partir de maintenant! Tu pisses assise salope! Tu verras c'est plus pratique de toute façon avec ta cage...
Les 3 dominatrices envoient à la volée des smileys ptdr, mdr... Elles me rappellent en permanence ma condition de lopette encagée et me font comprendre que je dois être parfaitement obéissant...

Le jour de mon rendez-vous chez l'esthéticienne arrive, je suis à l'agence. L'heure approche, bien-sûr je porte toujours ma cage donc je demande discrètement à Edwige de me confier la clé afin de la retirer dans les toilettes.
Edwige: il n'en est pas question! (ma collaboratrice hausse le ton et je prends peur craignant que  les 2 autres employées et la stagiaire encore présentes remarquent quelque chose)Je la supplie à voix basse en lui expliquant que je ne peux pas me présenter ainsi devant Hélène, que c'est suffisamment humiliant d'être nu devant elle, que c'est inconcevable qu'elle découvre mon sexe prisonnier  dans une cage de chasteté...
Edwige est intransigeante et elle me répond fermement: écoute petite salope, non seulement tu vas te présenter encagé devant Hélène mais en plus c'est elle qui délivrera ta petite bite de lopette!
Sur ces mots ma collaboratrice me confie une des clés de la cage et me prévient que si je ne vais pas au rendez-vous ou que j'enlève moi-même la cage avant, je serai très sévèrement puni!

Pendant que je me rends à pieds au salon d'esthétique qui n'est distant que de 200 ou 300 m de mon lieu de travail, la honte me submerge... Tout cela me semble irréel... Comment vais-je pouvoir me présenter nu devant Hélène, que je connais depuis des années, une commerçante du quartier... Et puis surtout affublé de cette cage de chasteté...

Je rentre dans l'institut de beauté. Hélène m'accueille avec le sourire mais je sens tout de suite chez elle une différence d'attitude à mon égard. Une de ses employées est présente également, occupée à faire les ongles d'une cliente. Moi contrairement à ma nature je suis intimidé et anxieux...
Hélène: rentre dans la salle sur ta gauche et déshabille toi Alex, j'arrive.
Je rentre dans la pièce, elle est de taille moyenne, 20 m2 à peu près. Au milieu il y a ce que je devine être la table d'épilation. La déco est dans un style zen, une douce musique se fait entendre. Je me déshabille et pose mes affaires sur un petit banc en bois exotique, je garde sur moi mon boxer.

Le temps me paraît long puis j'entends des voix derrière la porte et je comprends que la cliente est partie. Encore de l'attente puis c'est au tour de l'employée de saluer sa patronne pour prendre sa pause déjeuner.

Hélène rentre dans la pièce et me trouve assis sur le banc. Son regard se porte tout de suite sur mon boxer et son attitude devient sévère.
Elle: Qu'est-ce que tu attends pour enlever ton boxer Alex!?

Sa question n'appelle aucune réponse ou justification. Je me lève et retire maladroitement mon sous-vêtement, gêné...
Je sens le regard insistant de l'esthéticienne, instinctivement je pose mes main sur mon petit sexe emprisonné...
Hélène: redresse toi Alex et mets plutôt tes mains derrière ton dos. Laisse moi profitez de ce joli spectacle... Le bel agent immobilier nu comme un ver! exhibant sa petite bite sous cage!
Je suis mort de honte mais je n'ai d'autre choix que de lui obéir.
Je vois alors un large sourire s'afficher sur le visage de la belle quadragénaire...

Hélène: je pensais qu'Edwige exagérait quand elle m'a décrit ta petite bite... mais non! elle est vraiment minuscule! moi qui t'ai toujours perçu comme un homme viril... là... (et l'esthéticienne ricane en fixant mon petit sexe encagé).
Elle poursuit: je comprends mieux pourquoi tu portes cette cage de chasteté... une si petite bite ne sert à rien...
Moi je suis toujours debout, nu, les mains derrière le dos, la tête légèrement baissée pour éviter le regard d'Hélène. Je sens de la chaleur dans mes joues, elle doivent être rouges.
Elle: tu n'as pas quelque chose pour moi?
Moi, timidement: oui...
Je fais 2 pas pour attraper mon pantalon, en retire la petite clé du fond d'une poche et la tend à l'esthéticienne.
Elle: bien, installe toi sur la table, jambes pliées, cuisses écartées.
J'obéis, me voilà à présent dans cette position obcène, forcé d'exhiber mon petit sexe cerclé de métal.
Elle: hummmm... intéressant... t'obéis vite quand il s'agit d'écarter les cuisses ma salope...
Depuis quelques semaines que je suis régulièrement humilié par 3 femmes dominantes j'ai pris l'habitude d'être insulté mais là, cette injure, dans la bouche d'Hélène, provoque chez moi une réaction de surprise et d'indignation!
Hélène me remet tout de suite à ma place: Quoi!? T'es pas une salope!? Tu aurais le toupet de le nier!?
Bien-sûr je ne réponds rien. Hélène s'empresse d'enchaîner: t'es même une GROSSE SALOPE d'après ce que m'a raconté Edwige! Tu veux que je te remémore la fois où tu t'es fait doigter par ta p'tit' kiné dans ta voiture!?
Je suis révolté d'entendre qu'Hélène est au courant de cet épisode mais en même temps submergé par la honte. J'ai le réflexe d'allonger mes jambes et resserrer mes cuisses.
L'esthéticienne intervient: remets toi en position salope! cuisses écartées!

J'obéis à nouveau.
Hélène: regarde moi salope!
Je lève les yeux.
Elle: t'es une grosse salope qui se fait doigter le cul Alex! alors ne t'avise plus à te rebeller! tu as bien reçu la consigne d'être docile et obéissant avec toutes les femmes il me semble... non?
Moi (d'une voix à peine audible): oui...
Elle: bien. alors je veux l'entendre. tu vas me dire de suite que t'es une grosse salope...
Hélène a toujours ses yeux dans les miens, elle me regarde d'un air dur.
J'hésite, je n'ose prononcer ces mots, je me sens terriblement gêné et honteux.
Elle: tu veux que j'appelle mon employée Alex? tu veux que ce soit elle qui t'épile!?
Cette menace a l'effet escompté, ma langue se délit.
Moi (le regard perdu dans celui d'Hélène): je suis une grosse salope...

Hélène: ne bouge pas ma grosse salope, je vais libérer ta petite bite.
Je garde donc les jambes pliées, les cuisses largement écartées. L'esthéticienne attrape mes couilles d'une main par dessous et relève un peu l'ensemble de mes parties génitales comme pour soupeser le tout.
Elle: ça pèse pas bien lourd tout ça... même avec le poids de la cage...
Hélène introduit alors la clé miniature dans la petite serrure de la cage et libère ma petite bite de lopette. Le métal a provoqué une marque à la base de mon petit pénis. L'esthéticienne me le fait observer et prend l'initiative de masser légèrement à l'endroit concerné puis 2 doigts glissent sur ma minuscule verge et la saisissent.
Elle: hummm... c'est bien ce que me disait Edwige... 2 doigts suffisent pour branler ta petite bite... ( et elle entreprend aussitôt de me masturber en riant ).
Elle: allez! à toi! branle toi devant moi pétasse! Oui comme ça, voilà! continue! branle ta petite bite de lopette!

Me voilà donc dans ce salon esthétique, à 200 m de mon lieu de travail, nu, les cuisses largement ouvertes, entrain de me masturber avec seulement 2 doigts, devant une commerçante connue depuis plusieurs années. Cette dernière ne voit maintenant en moi qu'une lopette bonne à être humiliée et rabaissée.
Elle m'encourage de la voix à me branler mieux, plus vite, plus fort! Elle veut m'entendre gémir!
Hélène: oui!!! comme ça!!! allez couine! couine petite pute!

Très vite l'excitation l'emporte, je gémis, j'ouvre encore plus mes cuisses, je m'abandonne au plaisir d'être exhibé et insulté. Mon sexe commence a avoir des proportions respectable. Je cesse alors cette masturbation à 2 doigts et je tiens ma verge à pleine main! Je me branle énergiquement, cuisses écartées et relevées, je me sens salope et j'aime ça!

Hélène: stop salope! tu arrêtes ça de suite! tu sais bien que tu n'as plus le droit de bander connasse! de toute façon il est grand temps de commencer ton épilation.
J'arrête immédiatement de me branler, l'esthéticienne se concentre alors sur mes aisselles où elle applique de la cire puis des bandelettes qu'elle tire d'un coup sec. Je suis très peu poilu de nature donc ce n'est pas douloureux. Vient le tour des tétons puis le ventre, la belle quadragénaire s'étonne de la finesse de mes poils et de leur rareté.

Mon pubis est bien sûr plus fourni mais là encore l'épilation est quasi sans douleur. Ce n'est qu' au moment où Hélène élimine les poils de mes testicules que je serre les dents pour ne pas exprimer ma douleur... Bien-sûr ma verge a repris son volume ridicule et l'esthéticienne ne s'est pas privé de la tenir avec 2 doigts lorsque cela était nécessaire pour l'application de la cire et des bandelettes.
Elle: hummmm tu sais ce que j'adorerais Alex..? la prochaine fois que tu viens que ce soit Alexandra, mon employée, qui t'épile...
Moi: oh Hélène... non, je t'en prie, pas ça... c'est déjà tellement humiliant d'être nu devant toi...
Elle: moi je trouve que ce serait très amusant! Alexandra te complimente à chaque fois qu'elle te voit passer dans ton Range devant le salon... une gamine de 22 ans, tu te rends compte? Qui t'admire... quelle rigolade si elle voyait ta petite bite! et avec ta cage de chasteté en plus! (sur ces mots Hélène éclate de rire).
Elle: bon, retourne toi pouffiasse! je vais m'occuper de tes fesses maintenant!

Me voilà à présent allongé sur le ventre sur la table d'épilation.
Hélène: hummm t'as un joli pti cul de lopette! allez! fais ta salope! écarte moi ces fesses avec tes 2 mains! Montre moi ta raie!
L' ordre est humiliant mais j'obéis instantanément.
Hélène: voilà... bonne chienne... t'obéis au quart de tour toi quand il s'agit de montrer ton cul!

L'esthéticienne s'attarde alors sur l'épilation de mon sillon fessier, je la soupçonne de prendre tout son temps pour m'infliger de rester le plus longtemps possible dans cette position très humiliante.
Elle: hummm... oui... imagine que t'écartes tes fesses comme ça devant Alexandra... hummm la honte...
Je ne réponds pas mais je sens mon sexe durcir sous mon ventre... Force est de constater qu'être humilié de la sorte m'excite plus que ne m'effraie...
Elle: oui... et elle verrait aussi ta petite bite sous cage! là je pense qu'elle serait tout de suite moins admirative! (sur ces mots Hélène éclate de rire).

L'épilation se poursuit, je sens la chaleur de la cire entre mes fesses puis la petite douleur des bandes de tissu que l'esthéticienne tire d'un coup sec. Puis comme sur les autres parties de mon corps épilées, Hélène applique une huile pour adoucir et apaiser la peau.
Elle: voilà ma lopette! tu es parfaitement épilée à présent!
Je cesse alors de tenir mes fesses écartées mais mon esthéticienne me rappelle très vite à l'ordre!
Elle: garde tes fesses écartées salope! Je vais faire une photo pour Edwige!
Je repositionne donc mes 2 mains sur mes fesses et les écarte.
Elle: mieux que ça salope! montre moi bien ta chatte!
J'obéis, j'écarte mes fesses au maximum. Je devine Hélène positionnée dernière moi, s'appliquant à réaliser la photo...