L'homme de ménage 15 - histoire érotique

Je n'y avais pas pensé, perturbé par tous les événements de la journée et de la soirée et c'est vrai qu'à présent l'idée me taraude... retirer ma cage de chasteté... profiter de cette occasion qui m'est offerte, seul dans cette chambre et la clé à ma disposition...
Je ne réfléchis pas très longtemps. Même si toutes ces humiliations et privations me sont imposées je veux être honnête et fidèle dans ma soumission.
Et puis la perspective d'une deuxième intrusion d'Eva dans la chambre est une éventualité à ne pas négliger! Et il est certain que si ma belle-fille de 18 ans me surprenait débarrassé de ma cage, sa colère serait synonyme d'une nouvelle fessée!
Cette pensée ravive la douleur persistante qui irradie mes fesses... cette gamine n'est pas seulement vicieuse et perverse... elle est sadique! Oui, je suis certain qu'elle prend énormement de plaisir à me punir, à me faire souffrir.
Je repense au gode qu'elle a commandé, les dimensions de cette bite artificielle m'effraient et j'ai peur qu'Eva me prenne sans ménagement, durement.
Je me rassure mentalement en décidant d'en parler à sa mère dès que j'en aurai l'occasion.

L'alarme de mon téléphone sonne, il est 7h. Quand je monte à l'étage je trouve mon épouse endormie. Je l'observe un moment, elle est si belle... Un drap blanc la couvre jusqu'à la taille, ses longs cheveux blonds ondulent sur sa nuque, ses épaules et son dos...
De son visage je ne vois que son nez fin, la moitié d'une joue rosée et sa bouche... ses lèvres...
Un désir irrépressible de la toucher, de l'embrasser, m'envahit... je m'approche du lit, m'assieds puis me tourne légèrement pour caresser ses épaules, ses omoplates... mes doigts glissent sur sa colonne vertébrale, descendent jusqu'au creux de ses reins mais n'osent aller plus bas...
Je me penche et l'embrasse délicatement dans le cou. Mes lèvres restent un instant collées sur sa peau et j'en profite pour prendre une grande et profonde inspiration... je ferme les yeux, je m'enivre de son odeur... son parfum si subtil qui persiste, la caresse de ses cheveux...
Hélas mon extase ne dure pas, mon épouse se réveille en sursaut et s'étonne de ma présence.
Aline:《qu'est-ce que tu fais là Paul?》
Moi:《je suis venu me doucher et prendre des affaires...》《tu es si belle chérie, je n'ai pas résisté à l'envie de t'embrasser...》
Aline:《c'est terminé ça, Paul!》《J'appartiens à Ibra à présent!》
Moi:《mais... chérie...》
Aline coupe court à la discussion, elle ne veut plus me voir dans cette chambre. Elle décrète que je dois vider le dressing de mes affaires et que désormais je n'utilise plus que la salle de bains du rez-de-chaussée.
Je suis dévasté par ce que vient de m'annoncer mon épouse, je comprends que je n'aurai plus  accès à notre lit conjugal. Des larmes me viennent, je ne peux les contenir.
Aline me prend un peu en pitié:《Paul... c'est toi qui a commencé, c'est ton choix, tu dois en assumer les conséquences...》
Moi, plaintif, pleurnichant:《mais chérie il n'a jamais été question que nous fassions chambre à part...》
Aline:《qu'est-ce que tu crois!!!???》《que tu vas sucer des mecs! te comporter comme une lopette! et continuer à partager mon lit!!!???》
Mon épouse finit sa phrase en haussant le ton, je suis debout à côté du lit, elle fixe ma cage de chasteté.
Aline:《et ça!!!???》《c'est pas la preuve de ta soumission!!!???》《t'es plus qu'un cocu Paul... un cocu soumis... un bouffeur de sperme!》《alors ne t'avise plus jamais de m'embrasser!》《dégage de ma chambre! CONNARD!》

Je ne demande pas mon reste, j'attrape quelques affaires dans le dressing et sort précipitamment. Avant que je n'aie pu achever la descente des escaliers, mon épouse m'envoie le coup fatal:《ou CONNASSE plutôt! c'est plus approprié!》

Sur la route qui me mène au travail j'apréhende le moment où je remettrai la clé à Céline, ma collaboratrice. Déjà hier elle ne s'est pas privée de me rabaisser alors devenir ma key-holder lui confèrera encore plus de pouvoir...

A peine suis-je dans mon bureau que Céline rentre sans frapper étonnée de ma présence.
Elle:《tu devais pas prendre quelques jours de repos?》
Moi:《je t'ai dit que ce n'était pas possible Céline...》
Elle:《écoute Paul, si tu ne prends pas seul l'initiative c'est moi qui vais voir Monsieur DURAND (le grand patron) et lui explique la situation!》《crois moi ce ne sera pas à ton avantage...》
Même si je suis le directeur commercial et que j'ai toute la confiance de M. DURAND j'ai conscience que Céline peut me nuire car elle aussi est très estimée.
Ma jeune collaboratrice me regarde sévèrement, inutile d'argumenter, ce serait peine perdue.
Je prends donc l'initiative d'appeler le PDG qui après s'être assuré qu'il n'y avait rien de grave m'assure que je peux m'absenter aussi longtemps qu'il le faudra, qu'il a toute confiance en Céline pour prendre le relais.

Céline est satisfaite, tout sourire.
Elle, d'un air moqueur:《au fait! tu as bien dormi!?》
Je suis étonné par sa question, étonné et gêné.
Elle:《les draps n'étaient pas trop poisseux???》
Ma collaboratrice éclate de rire.
Je suis scandalisé qu'elle soit au courant... elle et mon épouse ont dû s'appeler...
Elle:《tu n'as pas honte?》《te vautrer dans des draps souillés par l'amant de ta femme???》
Si, je suis mort de honte et je regarde autour de moi pour m'assurer que personne ne s'est approché de mon bureau et ait pu entendre...

Je monte dans mon Range, je suis dépité, vidé. À peine ai-je démarré on tape à ma vitre. C'est Céline, elle me fait signe de baisser la vitre.
Elle me présente un trousseau de clé:《tiens petite fiotte, ça t'occupera》《tu vas chez moi et tu fais le ménage!》
A peine ai-je saisi ses clés qu'elle a déjà tourné les talons. Elle ne m'impose pas cette tâche par hasard... je réalise qu'elle doit en savoir long sur ce que je vis depuis quelques semaines chez moi...

Je me sens totalement perdu, je ne sais plus quoi penser, quoi faire. Comment vais-je expliquer à ma femme que je ne travaille pas pendant quelques jours..?
Je reçois un SMS, c'est justement Aline:《tu as donné la clé à Céline?》
Je ne sais pas quoi répondre, je suis embarrassé. Je me concentre sur la conduite de mon 4X4 j'essaie de retrouver l'itinéraire pour me rendre au domicile de Céline.

A peine suis-je rentré dans le bel appartement de ma collègue, mon téléphone bip à nouveau puis encore. Je me sens oppressé.
SMS d'Aline:《j'attends ta réponse mon cocu!》
SMS de Céline:《je veux que tu sois totalement nu pour faire le ménage chez moi!》《vaisselle dans l'évier! machine à vider! linge à étendre! aspirateur à passer dans tout l'appart!》

Avant de me déshabiller je m'installe sur le canapé, j'essaie de reprendre mes esprits... J'envoie un SMS à mon épouse, mon 1er reflexe est de lui mentir mais je me ravise:《je ne peux pas ce matin chérie... je t'expliquerai, je lui donne dès que possible》
J'essaie d'être à ce que je fais et donc de ne pas penser. C'est clair que je suis pitoyable, nu, affublé de cette cage de chasteté, dans l'appartement de ma collègue subalterne, appliqué à faire toutes ces tâches ménagères.

Je regarde l'heure: 11h. Tout est terminé dans l'appartement de Céline. Je lui envoie un SMS pour la prévenir.
SMS de Céline:《c'est bien petite fiotte! tu as quartier libre, je rentrerai à midi pour une inspection!》
J'appelle ma femme, à ma grande surprise elle n'est pas contrariée que je prenne quelques jours de repos et elle trouve tout à fait normal que je serve de 《lopette de ménage》à Céline. Elle en profite pour insister sur la remise de la clé de ma cage de chasteté à ma jeune collègue.

A midi comme prévu Céline est de retour à son domicile. Elle ne rentre jamais chez elle habituellement dans cette tranche horaire.
Je me sens ridicule, nu, avec ma cage de chasteté, au milieu de son salon.
Elle affiche un grand sourire et s'attarde un long moment sur ma petite bite encagée.
Elle:《je suis sûre que tu aimes ça en fait...》《porter cette cage, obéir, servir de soubrette...》Je fuis son regard, j'ai trop honte et une petite voix intérieure me dit que Céline a raison...

Après un rapide contrôle des tâches qu'elle m'avait confiées ma collègue me donne congé sèchement.
Elle:《allez! dégage petite salope!》《tu peux rentrer chez toi!》
Tout en me rhabillant je l'informe qu'à la demande d'Aline je dois lui confier la 2ème clé de ma cage et que je l'ai posée sur la table du salon.
Céline est enthousiaste, elle me demande aussitôt de stopper min rhabillage, elle veut tester la clé!
Je souffle pour montrer mon agacement, ce qui ne plaît pas du tout à la jeune commerciale.
Elle, sévère:《pardon..? y'a un problème Paul..?
En signe de réponse je retire le boxer que je venais d'enfiler.
Elle:《mains croisées dans le dos!》《salope!》
J'obéis. Les doigts fins et gracieux de ma collaboratrice s'affairent alors, saisissant mes testicules, effleurant à travers les barreaux ma verge, saisissant le large anneau qui supporte la serrure...
Tous ses gestes me font de l'effet, un afflux de sang envahit mon bas-ventre provoquant une sensation de chaleur et inévitablement un début d'érection.
Elle:《ça t'excite... hummmmm tu veux bander ma cochonne...》
Mon sexe est contenu, empêché dans sa cage mais se déploie un peu tout de même. J'aide Céline verbalement afin qu'elle comprenne le mécanisme et réussisse l'ouverture sans me blesser.
Enfin ma verge est libre, puis mes bourses. Très vite ma bite prend des proportions plus que honorables, ce qui étonne la jeune-femme de 35 ans.
Elle:《c'est dingue comme elle grossit》
Céline ne cache pas sa surprise et son émerveillement, elle me demande de me branler.
Pour moi c'est une sensation de liberté et de virilité retrouvées, je saisis ma queue à pleine main et commence à me branler face à ma collègue.
Céline s'installe dans un des fauteuils pour m'observer. Ses yeux brillent, ni sévérité ni autorité à présent, son regard n'exprime que du désir et de l'excitation.
Moi aussi je suis très excité de m'exhiber ainsi.
Elle:《t'as une belle bite Paul》《continue! branle toi fort!》
Céline veux que je m'approche, elle me demande de me mettre à genoux face à elle mais cuisses écartées.
Elle:《ouiiii comme ça!!! montre moi ta belle bite bien dressée!!!》
Il est vrai que ma queue a de belles dimensions à présent même si cela reste très en dessous de la bite d'Ibra.
Elle:《mets toi un doigt dans l'cul!》《continue de te branler et doigte toi en même temps!》
Je suis terriblement excité, la demande de ma collègue ne me surprend pas et je m'exécute aussitôt. Je mouille le majeur de ma main gauche et me l'introduis direct entre les fesses.
Elle:《hummmm trop bon!!!》《 Monsieur le directeur se doigte le cul!》《t'es vraiment une grosse salope!!!》
Céline se moque, rit aux éclats.
Les insultes de ma collègue décuplent mon état d'excitation. Je suis sans retenue devant elle, je branle énergiquement ma queue et en même temps fais des va-et-vient avec mon doigt dans mon anus.

Céline veut que je jouisse mais crainte pour son canapé, elle m'ordonne de la suivre dans la cuisine. Je dois me remettre en position et reprendre ma masturbation et mon doigtage. Elle, reste debout, appuyée au plan de travail, fière, souveraine.
Elle:《regarde moi lopette!》
Je redresse aussitôt ma tête vers ma belle collaboratrice. Je ne ressens pas de honte, au contraire j'ai le sentiment de vivre un moment privilégié...
Elle:《t'aimes ça te doigter le cul hein!? SALOPE!》
Je fixe la jeune commerciale et gémit de plaisir en signe de réponse.
Elle:《jouis salope!》《branle toi fort!》《jouis!》
L'attitude dominatrice, les mots, les insultes de Céline me rapprochent de l'orgasme. J'accélère les va-et-vient de ma main sur ma queue et dans un râle d'extrême plaisir plusieurs jets puissants giclent et inondent le carrelage. Je continue de me branler mais à un rythme plus lent pour faire durer ma jouissance et expulser tout ce sperme contenu par des semaines de privation...

Céline est satisfaite et contemple réjouie le sol de sa cuisine.
Elle:《qu'est ce qu'on dit à sa Maîtresse..?》
Je suis surpris qu'elle emploie ce mot. Surpris mais heureux...
Moi, admiratif, reconnaissant:《merci Maîtresse...》
Ma jeune collaboratrice me sourit, me regarde avec bienveillance, comme si elle était ma protectrice.
Elle:《comme tu as été sage je t'autorise à lécher ton sperme》《allez, montre moi comme tu lèches bien...》
Ma Maîtresse me parle si gentiment que je m'empresse de me pencher pour lécher mon propre sperme sur le sol. Me voilà à 4 pattes, m'appliquant à nettoyer le carrelage avec ma langue.
Elle:《hummmm... ouiiiii... c'est bon hein..?》《voilà... lèche bien tout ce foutre... et avale bien surtout...》
Je suis comme une chienne affamée, ce qui provoque les rires de Céline, surprise de me voir aussi soumis et obéissant.