L'homme de ménage 13 - histoire érotique

Après avoir longuement et soigneusement nettoyé ma femme celle-ci m'informe qu'Ibra reste dormir chez nous et que je devrai me contenter de notre chambre d'amis.
Eva rigole et m'invite à laisser tranquilles sa mère et son amant.
Mon état d'excitation et de soumission s'estompent, je réalise qu'un étranger va dormir dans notre chambre, dans notre lit conjugal...
Je me sens à nouveau ridicule, affublé de cette nuisette et surtout le sexe prisonnier de cette cage métallique...
La chambre d'amis jouxte celle de ma belle-fille. Dans le couloir qui y mène je demande à cette dernière de me retirer la cage. La réponse d'Eva est sans appel.
Eva:《tu gardes ta cage!》《7 jours sur 7!》《24h sur 24!》
Je prends un air dépité.
Moi:《mais Eva... c'est pas possible...》
J'essaie d'argumenter par rapport à mon travail mais aussi l'hygiène: comment me laver? comment faire pipi?
Eva:《tu fais pipi comme une fille!》《assise》
La jeune femme éclate de rire et ouvre la porte des WC.
Eva:《assise la lopette!》《je te regarde!》
Je ne tente même pas de me rebeller, moi, 44 ans, directeur d'entreprise, je relève légèrement ma nuisette en soie noire et m'assieds sur la lunette des WC devant ma belle-fille de 18 ans.
Eva:《allez! fais pipi devant moi...》《t'es une vraie lopette maintenant...》

Épié par ma belle-fille j'ai du mal à me concentrer. Je baisse la tête, je n'arrive pas à faire abstraction de la présence d'Eva mais l'envie l'emporte et le bruit distinctif d'un jet d'urine se fait entendre.
Eva:《tu vois!? t'y arrives!》《c'est très bien! tu fais pipi comme une fille... bravo!》
La jeune femme rigole alors que moi je me sens honteux, humilié.
Elle insiste:《et dehors ce sera pareil!》《quand tu auras envie tu feras accroupi!》
Les rires de ma belle-fille résonnent dans la petite pièce et le couloir.
Pour ajouter à mon humiliation Eva découpe un morceau de papier toilette et me le tend.
Eva:《essuie toi cochonne!》
Je saisis le carré de papier et le glisse entre mes cuisses pour m'essuyer...
Décidément cette gamine m'inflige tous les outrages...

Eva me souhaite bonne nuit d'un air moqueur avant de rejoindre sa chambre.
De mon côté je peine à trouver le sommeil dans ce lit inhabituel. Ce qui doit se passer là haut, dans mon lit conjugal, m'obsède...
Les images de mon épouse totalement soumise à la grosse bite de son amant black tournent en boucle dans ma tête. Le fait que je sois exclu fait toute la différence, je ressens de la jalousie mais surtout j'ai peur, peur de perdre ma femme!

Le lendemain matin je suis rassuré de constater que la voiture d'Ibra n'est plus dans l'allée. Cela me tranquillise d'imaginer qu'il n'a peut-être pas passé la nuit dans le lit conjugal mais je déchante très vite car mon épouse apparaît dans la cuisine et son discours est sans équivoque: elle a passé une nuit de folie avec son amant!
Aline:《ce mec est infatigable et moi je me découvre insatiable》《il m'a encore baisée ce matin juste avant de partir!》
Ma femme me dévisage et éclate de rire.
Elle:《et toi? tu portes toujours ta cage???》
Moi, penaud:《oui, Eva exige que je la garde en permanence...》
Elle, moqueuse: 《elle a bien raison!》《ta petite bite de lopette ne sert à rien de toute façon...》

Au bureau je ne me sens pas bien. Comme si cette chose métallique qui emprisonne mon minuscule pénis me privait aussi de mes capacités de Directeur commercial. Je n'ai plus la même assurance naturelle, je me sens gêné, empêché...
Céline, ma proche collaboratrice, m'interroge:《Paul? quelque chose ne va pas..?》
J'élude sa question tout en faisant mine d'être concentré sur mon travail.
A midi Céline insiste pour que nous déjeunions ensemble, j'accepte son invitation.
Au restaurant j'ai du mal à me détendre, j'essaie de rester dans un registre de conversation professionnelle mais la jeune commerciale est lucide et elle veut savoir ce qui me préoccupe.
Je suis désemparé, je ressens un irrésistible besoin de me confier mais je ne peux pas tout dire.
J'occulte mes aventures avec Ibra, la domination de ma belle-fille et la cage de chasteté. Je lui annonce que ma femme me trompe.
Céline est choquée par cette révélation, jamais elle n'aurait imaginé cela d'Aline... elle se penche légèrement vers moi par dessus la table et pose sa main fine et gracieuse sur mon avant-bras. Ma collaboratrice me regarde avec douceur, son attitude exprime de la compassion, de l'empathie... et je me sens mieux, presque apaisé...
Céline est une jeune femme brune de 35 ans, mince, toujours très élégante mais sans provocation. Elle a rejoint l'entreprise il y a 5 ans et a été très courtisée au début, par le personnel à grande majorité masculine de la société, mais elle a su très vite se faire respecter et ses compétences professionnelles ont fait le reste.

De retour au bureau mon manque de dynamisme et d'assurance me gagnent à nouveau. Les quelques décisions que j'ai à prendre me posent problème. Je perçois de l'étonnement et de la perplexité dans les réactions de mes différents interlocuteurs de l'après-midi.
Céline attend que nous nous retrouvions seuls dans mon bureau pour me faire part de ses inquiétudes.
Elle:《je pense que tu devrais prendre quelques jours de repos Paul...》
Moi, surpris:《c'est impossible Céline, tu connais les dossiers en cours, c'est hors de question》
Elle, plus ferme:《c'est justement parce que tu es incapable de gérer ces affaires importantes que tu dois passer la main!》
Je suis scandalisé par les mots de ma collaboratrice autant que par le ton employé.
Moi:《tu outrepasses tes fonctions Céline!》《je ne te permets pas de me parler ainsi!》
Je suis assis à mon bureau, Céline debout, face à moi. Elle se penche de manière déterminée vers moi en prenant appui avec ses deux mains posées sur le rebord de mon bureau.
Elle, autoritaire:《j'ai appelé ta femme cet après-midi Paul! Je sais tout!》
Cette déclaration me fait l'effet d'une bombe! C'est une immense déflagration dans mon esprit... je suis anéanti! Catastrophé!
Elle:《tu n'es pas seulement cocu Paul...tu es surtout une vraie lopette!》
Le visage de ma collaboratrice est à 30 cm du mien. Son regard est dur, plein de reproches et d'indignation! Je ne peux le supporter... je baisse les yeux, honteux...
Elle:《Je sais tout Paul... je sais même que tu as une petite bite et qu'elle est sous cage...》
Un long silence s'installe et pour prendre définitivement l'ascendant sur moi, la jeune employée modèle exige que je l'attende dans les toilettes à 19h30 quand il n'y aura plus personne dans l'entreprise.

Peu à peu tout le personnel quitte l'entreprise. J'aperçois Céline à son bureau dans l'open space. Je n'arrive pas à réaliser que ma collaboratrice sait tout de ma vie cachée. Autant elle s'apitoyait sur mon sort quand il ne s'agissait que d'être cocu, autant là, découvrant tout de mon côté sombre, tout le respect et l'admiration qu'elle avait pour moi s'est transformé en rejet et colère.

A l'heure convenue Céline passe devant mon bureau et m'adresse un signe de la tête d'un air sévère pour m'indiquer la direction à prendre. Je me découvre sans volonté, décontenancé je me lève mécaniquement et la suit.
Elle rentre dans les toilettes pour femmes sans retenir la porte, fait volte-face, croise ses bras sur sa poitrine et appuie ses fesses contre le meuble supportant les deux lavabos.
Elle, sèche et méprisante:《montre moi ça!》
La honte me submerge, aucun son ne sort de ma bouche.
Elle:《dépêche toi! déshabille toi!》
Quelques secondes plus tard mon pantalon et mon boxer sont au niveau de mes chevilles. Céline m'ordonne d'enlever ma chemise et de me tenir bien droit, mains dans le dos.
Me voilà nu devant ma collaboratrice, exhibant ma petite bite sous cage... je suis mort de honte, humilié à l'extrême.
Elle:《tu m'étonnes que tu sois cocu...》《ta bite est minuscule Paul...》
Céline s'approche, elle saisis mon petit pénis encagé et observe en détail l'objet métallique.
Elle:《et c'est qu'un début ça...》《dans quelques mois il te faudra une cage plus petite...》
La jeune commerciale ricane.
Elle:《moi qui t'imaginais viril...》《quelle déception!》《et tu suces des bites aussi paraît-il!!!???》
Intérieurement je maudis ma femme de lui avoir tout raconté. A présent en plus d'être dominé à la maison par ma belle-fille je vais être aussi à la merci de ma jeune collègue sur mon lieu de travail...
Elle:《rhabille toi petite salope!》《dégage! rentre chez toi!》

Honteux, humilié, je relève mon pantalon et mon boxer puis enfile ma chemise.
Céline est sortie des toilettes promptement et quand je rejoins mon bureau pour récupérer mes affaires je constate qu'elle est partie sans plus de formalités.
C'est la première fois en 5 années de collaboration qu'elle quitte l'entreprise sans me saluer...

Arrivé à la maison je dois essuyer les reproches de ma belle-fille de 18 ans car bouleversé par les événements de la nuit passée j'ai oublié de faire sa chambre.
Eva a cure de mes justifications et m'annonce sèchement que je mérite une bonne punition.
Eva:《va dans ma chambre et attend moi dans la même position que la dernière fois!》
Je cherche mon épouse du regard sans succès, elle doit être à l'étage.
Moi, plaintif:《Eva... laisse moi 2 minutes... j'ai besoin de parler à ta mère...》
La jeune femme me lance un regard sombre et me fixe jusqu'à ce que je baisse les yeux et prenne la direction de sa chambre...