L' esthéticienne 2
Récit érotique écrit par Inavouable [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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L' esthéticienne 2
La photo de mon petit trou parfaitement épilé est faite, Hélène me confirme qu'elle vient de l'envoyer à Edwige. N'ayant pas reçu l'ordre de me relever je reste dans cette position humiliante et obcène, fesses écartées, cul offert.
L' esthéticienne se place devant moi et me présente la photo sur l'écran de son téléphone.
Elle: regarde salope... t'es une véritable petite pute Alex... le cul tout lisse comme ça! bien ouvert!
Je relève la tête et regarde la photo, sans commentaire.
Elle: parfait tu peux descendre de la table.
Hélène me donne ensuite comme consigne de rester debout au centre de la pièce, mains derrière le dos. Je m'exécute.
L' esthéticienne remet alors ma petite bite en cage. Elle s'acroupit devant moi, je la vois sourire en positionnant le piège métallique puis elle introduit la clé et verrouille.
Elle: voilà! t'es une lope parfaite à présent! toute lisse et encagée! il te manque juste un bon plug dans le cul!
Sur ces mots Hélène éclate de rire et me met une claque sur les fesses en m'ordonnant de me rhabiller.
Elle: dépêche toi pouffiasse! si tu ne veux pas qu' Alexandra voit la lopette que tu es en réalité! elle ne devrait plus tarder à arriver...
Hélène sort de la salle d'épilation, je la rejoins quelques minutes plus tard. Je m'apprête à payer mais elle me dit qu'on verra ça une autre fois, que je dois me dépêcher, qu'Edwige m'attend à l'agence.
J'hésite devant le comptoir qui nous sépare, l'esthéticienne m'interroge du regard...
Moi, hésitant: heu... Hélène... tu ne m'as pas rendu la clé...
Elle en me regardant droit dans les yeux: quelle clé Alex?
Je regarde alors la belle quadragénaire d'un air ahuri comprenant qu'elle joue de la situation.
Elle: quelle clé Alex? celle de ta cage? celle qui emprisonne ta petite bite de lopette?
L'esthéticienne me regarde d'un air de défi, je baisse les yeux, penaud.
Elle: je t'ai dit de te dépêcher connasse! ne te préoccupe pas de la clé!
Me voilà de retour à l'agence, Edwige est seule, il est 13h30, les autres employées reviendront à 14h. Ma collaboratrice me regarde d'un air supérieur.
Elle: va dans la salle de repos, tu te fous à poil, à 4 pattes et tu m'attends! cul tourné vers la porte salope!
Moi qui pensais m'accorder une courte pause déjeuner, me voilà contraint d'obéir à ma Dominante. Je suis en position, telle une chienne quand elle me rejoint. J'entends le bruit de ses talons sur le sol puis je sens le frottement d'un objet sur mes fesses...
Edwige ne dit pas un mot puis un grand clac se fait entendre et aussitôt la douleur.
Les coups s'enchaînent à un rythme régulier, sur chaque fesse en alternance! Je cris, chaque coup me fait de plus en plus mal. Mes cris n'arrêtent pas Edwige, au contraire, elle frappe plus fort!
Elle: alors petite fiotte! tu as osé bander à nouveau!? et devant Hélène en plus!
Ses coups redoublent de force en même temps qu'elle me fait ces reproches. Je souffre terriblement, je comprends que ma collaboratrice me corrige avec ma règle de bureau. J'ai très mal, je la supplie, mais rien n'y fait, elle continue de me punir avec rage et détermination.
Elle: sale pute! je vais te passer l'envie de bander moi! et de te branler! connasse! pouffiasse!
Les coups pleuvent, la douleur est insupportable, je me réfugie toujours à 4 pattes, sous la table.
Edwige éclate de rire.
Elle: grosse pute! mauviette! t'es pitoyable... allez, sors de là dessous et rhabille toi avant que tout le monde arrive.
Je sors de ma cachette improvisée et me redresse devant ma Dominante, bien-sûr je n'ose affronter son regard que je devine sévère et méprisant.
Elle: avant de te rhabiller va au coin mains sur la tête pouffiasse!
J'obéis instantanément. Edwige en profite pour faire une photo.
Elle: hummmm les copines vont bien se marrer en voyant ton cul marqué comme ça...
Je me rhabille enfin, la douleur est encore vive, Edwige m'a bien cinglé le cul à coups de règles...
Quelques minutes après je suis dans mon bureau avec ma collaboratrice autoritaire.
Sonia la secrétaire, Eva la stagiaire et Céline la commerciale ne tardent pas à arriver.
Edwige prend soin de fermer la porte de mon bureau puis m'annonce qu'elle va organiser une réunion, qu'il est temps de mettre en place une nouvelle organisation.
Elle: tu ne peux plus diriger l'agence Alex, c'est plus possible.
Je regarde ma collaboratrice incrédule, mes yeux exprimant mon incompréhension...
Je cherche mes mots mais Edwige ne me laisse pas le temps de répondre, elle enchaîne aussitôt: l'agence ne peut pas être dirigée par un faible Alex, tu as perdu toute autorité ici. C'est moi qui vais prendre les choses en mains. Tu vas me nommer Directrice de l'agence aujourd'hui même et tu diras que tu souhaites prendre un peu de recul. Je prendrai ensuite la parole.
Moi (tête basse): oui Edwige...
Elle: pour ton information Céline est au courant pour ta cage!
Moi (effaré): Edwige?! c'est pas possible?! tu ne lui as pas dit???!!!
Elle: ferme la connasse! elle a vu la boite dans le tiroir, voilà, et elle m'en a parlé...
Je baisse la tête sans répondre, anéanti par cette révélation.
Elle: de toute façon c'est mieux comme ça, je préfère que toutes les filles sachent que t'es devenu une lope soumise. Ainsi elles comprendront plus facilement pourquoi tu es relégué à des tâches subalternes...
Un long silence s'installe, je sens le poids du regard de ma future directrice.
Elle: comment va ton cul salope?
Je lui avoue avoir mal, la position assis est douloureuse.
Elle: c'est le but d'une correction! et j'espère que tu auras encore mal tout l'après-midi! et surtout pendant la réunion... ça t'aidera à admettre que tu n'es qu'une salope punie et te sentir inférieur à toutes ces femmes qui t'entourent...
Moins d'1 heure après cette discussion la réunion débute. Nous sommes installés autour d'une grande table ovale. Seule Edwige est debout. Sonia la secrétaire, Céline la commerciale, Eva la stagiaire et moi même sommes assis.
Alors qu'Edwige expose les grandes lignes de la réorganisation, mon regard croise à plusieurs reprise celui de Céline qui est assise en face de moi. Je détourne mes yeux à chaque fois car je constate qu'elle maintient son regard. Je m'aperçois également qu'elle sourit comme si cela était pour elle une petite victoire de voir son patron baissait les yeux devant elle.
Cette belle jeune femme blonde de 32 ans sait que je porte désormais une cage de chasteté, pour elle je ne mérite plus ni respect ni considération, son attitude me le fait savoir.
Edwige explique qu'un système gynarchique est instauré au sein de l'agence dès aujourd'hui. Sonia et Céline sourient et leur regard convergent instantanément vers moi. Eva la jeune stagiaire de 22 ans, elle, s'interroge. La nouvelle Directrice autoproclamée s'aperçoit de son incompréhension et lui explique que la Gynarchie est un système où seules les Femmes dirigent. Et pour s'assurer qu'Eva ait bien compris elle insiste en confirmant que toutes les femmes ici présentes ont autorité sur moi, que je dois leur obéir et que désormais toutes les tâches subalternes me seront réservées.
Céline et Sonia y vont de leurs petits commentaires moqueurs à mon sujet. Eva comprend alors l'ampleur de tous ces changements annoncés par Edwige...
Sonia me fixe et annonce en souriant: et si tu allais nous faire des cafés Alex?!
Je reste figé, incrédule. Edwige me sort de ma stupeur en m'ordonnant de me dépêcher et que pour elle ce sera juste un verre d'eau.
La jeune stagiaire aussi se manifeste: pour moi aussi, un verre d'eau s'il vous plait.
Edwige intervient aussitôt: Eva, à partir d'aujourd'hui tu ne vouvoies plus Alex. tu le tutoies et c'est lui qui te doit respect et obéissance.
Je suis de retour avec les boissons quand la porte de l'agence s'ouvre. Je reconnais Alexandra, la jeune employée d'Hélène l'esthéticienne. Edwige lui fait signe de rentrer dans mon bureau où nous sommes encore tous réunis.
Alexandra salue tout le monde, Eva lui fait un petit signe complice qui me fait supposer qu'elles sont amies. La jeune esthéticienne tend la main à Edwige et je remarque qu'en fait elle remet la petite clé de ma cage...
En apercevant la petite clé une bouffée de chaleur m'envahit, je sens le rouge montait à mes joues. Edwige remercie Alexandra et pose la petite clé devant elle, sur la grande table, à la vue de toutes ces femmes qui m'entourent. Ma gêne et mon embarras sont à leur paroxisme et la toute nouvelle Directrice m'enfonce d'avantage encore dans cet état en me questionnant: et bien Alex? tu es rouge comme une pivoine... qu'est-ce qui t'arrive?
Moi: euh... non... rien...
Automatiquement 5 paires d'yeux féminins sont tournés vers moi, ce qui amplifie mon malaise...
Je remarque le sourire moqueur de Céline, heureusement qu'elle et Edwige sont les seules à connaître l'utilité de cette clé...
Edwige ne tarde pas à annoncer la fin de la réunion. Sonia, Céline et Eva rejoignent donc leur poste respectif.
Alors qu'Alexandra s'apprête à partir, Edwige fait exprès de la retenir pour un sujet futile et en profite pour m'humilier devant la jeune femme en m'ordonnant de débarrasser tasses et verres et de faire la vaisselle.
Malgré tout cet ordre me soulage car il me permet de quitter la pièce et d'échapper à l'atmosphère pesante qui y régnait...
Quand je suis de retour dans mon ex bureau, devenu celui de la nouvelle Directrice, celle-ci m'informe que ma place est désormais dans la réserve, aux archives, et que je dois me tenir prêt à répondre à toutes ses demandes ainsi qu'à celles de toutes les employées.
Edwige m'ordonne d'emporter mes affaires personnelles dans mon nouveau "bureau" et, un sourire moqueur aux lèvres, me conseille de consulter mon téléphone.
Plusieurs messages sont en attente de lecture sur mon compte Whatsapp. Deux photos y sont publiées, celle prise par Hélène sur la table d'épilation lorsque je présente mes fesses écartées et celle prise par Edwige où l'on voit mon cul puni à la règle. Toutes les femmes appartenant au groupe y vont de leurs commentaires...
Magalie, la prof de sport écrit: une vraie pouffiasse la chatte bien lisse!
Zoé, ma kiné: hâte qu'elle soit à 4 pattes devant moi cette salope!
Edwige, la nouvelle Directrice d'agence: cette grosse pute avait oublié de mettre son string aujourd'hui!
Je suis stupéfié de découvrir un commentaire d'Hélène, je comprends alors qu'elle aussi a intégré notre groupe Whatsapp, l'esthéticienne écrit: je propose qu'il soit régulièrement plugué! comme une vraie lopette!
Plus tard dans l'après-midi Edwige me rejoint dans la réserve, mon nouveau bureau...
Elle: je ne tolèrerai plus que tu te pointes à l'agence en caleçon ou boxer Alex! Je te veux fesses nues ou en string sous ton pantalon! tu as bien compris?!
Moi, tête basse: oui Edwige...
Elle: bien... Hélène t'attend à l'institut, dépêche toi d'y aller.
Arrivé au salon esthétique je n'aperçois pas Hélène. C'est sa jeune employée, Alexandra, qui est derrière le comptoir, elle me sourit.
J'hésite à dire que je viens régler mon épilation mais la jeune femme est au courant.
Elle: oui, Hélène m'a dit qu'elle vous avez fait le maillot intégral, c'est 45€.
Je ne peux cacher ma gêne en lui présentant ma carte bleue.
Manifestement Hélène tenait à me mettre dans l'embarras car après avoir envoyé son employée ramener la clé de ma cage de chasteté à Edwige voilà qu'elle s'est arrangée pour que ce soit Alexandra qui encaisse le prix de mon épilation. Si la jeune esthéticienne de 22 ans ne savait pas à quoi pouvait servir la clé elle sait parfaitement à présent que mon sexe et mon sillon fessier sont lisses...
De retour à l'agence c'est au tour de Céline de venir me voir aux archives.
Elle, d'un air moqueur: alors Alex? pas trop pénible le port de la cage?
Moi: ok Céline tu es dans la confidence... mais ce n'est peut être pas la peine d'en rajouter...
Elle, en haussant le ton: écoute petite fiotte! je rajoute ce que je veux! d'ailleurs tu vas baisser ton pantalon de suite et me montrer ta petite bite encagée!
Moi, surpris et outré: mais... heu... Céline..?
La jeune commerciale répond à ma plainte par une gifle!
Elle insiste: à poil salope!
Sans résistance je me lève alors derrière mon bureau, ouvre mon pantalon et baisse mon boxer.
L' esthéticienne se place devant moi et me présente la photo sur l'écran de son téléphone.
Elle: regarde salope... t'es une véritable petite pute Alex... le cul tout lisse comme ça! bien ouvert!
Je relève la tête et regarde la photo, sans commentaire.
Elle: parfait tu peux descendre de la table.
Hélène me donne ensuite comme consigne de rester debout au centre de la pièce, mains derrière le dos. Je m'exécute.
L' esthéticienne remet alors ma petite bite en cage. Elle s'acroupit devant moi, je la vois sourire en positionnant le piège métallique puis elle introduit la clé et verrouille.
Elle: voilà! t'es une lope parfaite à présent! toute lisse et encagée! il te manque juste un bon plug dans le cul!
Sur ces mots Hélène éclate de rire et me met une claque sur les fesses en m'ordonnant de me rhabiller.
Elle: dépêche toi pouffiasse! si tu ne veux pas qu' Alexandra voit la lopette que tu es en réalité! elle ne devrait plus tarder à arriver...
Hélène sort de la salle d'épilation, je la rejoins quelques minutes plus tard. Je m'apprête à payer mais elle me dit qu'on verra ça une autre fois, que je dois me dépêcher, qu'Edwige m'attend à l'agence.
J'hésite devant le comptoir qui nous sépare, l'esthéticienne m'interroge du regard...
Moi, hésitant: heu... Hélène... tu ne m'as pas rendu la clé...
Elle en me regardant droit dans les yeux: quelle clé Alex?
Je regarde alors la belle quadragénaire d'un air ahuri comprenant qu'elle joue de la situation.
Elle: quelle clé Alex? celle de ta cage? celle qui emprisonne ta petite bite de lopette?
L'esthéticienne me regarde d'un air de défi, je baisse les yeux, penaud.
Elle: je t'ai dit de te dépêcher connasse! ne te préoccupe pas de la clé!
Me voilà de retour à l'agence, Edwige est seule, il est 13h30, les autres employées reviendront à 14h. Ma collaboratrice me regarde d'un air supérieur.
Elle: va dans la salle de repos, tu te fous à poil, à 4 pattes et tu m'attends! cul tourné vers la porte salope!
Moi qui pensais m'accorder une courte pause déjeuner, me voilà contraint d'obéir à ma Dominante. Je suis en position, telle une chienne quand elle me rejoint. J'entends le bruit de ses talons sur le sol puis je sens le frottement d'un objet sur mes fesses...
Edwige ne dit pas un mot puis un grand clac se fait entendre et aussitôt la douleur.
Les coups s'enchaînent à un rythme régulier, sur chaque fesse en alternance! Je cris, chaque coup me fait de plus en plus mal. Mes cris n'arrêtent pas Edwige, au contraire, elle frappe plus fort!
Elle: alors petite fiotte! tu as osé bander à nouveau!? et devant Hélène en plus!
Ses coups redoublent de force en même temps qu'elle me fait ces reproches. Je souffre terriblement, je comprends que ma collaboratrice me corrige avec ma règle de bureau. J'ai très mal, je la supplie, mais rien n'y fait, elle continue de me punir avec rage et détermination.
Elle: sale pute! je vais te passer l'envie de bander moi! et de te branler! connasse! pouffiasse!
Les coups pleuvent, la douleur est insupportable, je me réfugie toujours à 4 pattes, sous la table.
Edwige éclate de rire.
Elle: grosse pute! mauviette! t'es pitoyable... allez, sors de là dessous et rhabille toi avant que tout le monde arrive.
Je sors de ma cachette improvisée et me redresse devant ma Dominante, bien-sûr je n'ose affronter son regard que je devine sévère et méprisant.
Elle: avant de te rhabiller va au coin mains sur la tête pouffiasse!
J'obéis instantanément. Edwige en profite pour faire une photo.
Elle: hummmm les copines vont bien se marrer en voyant ton cul marqué comme ça...
Je me rhabille enfin, la douleur est encore vive, Edwige m'a bien cinglé le cul à coups de règles...
Quelques minutes après je suis dans mon bureau avec ma collaboratrice autoritaire.
Sonia la secrétaire, Eva la stagiaire et Céline la commerciale ne tardent pas à arriver.
Edwige prend soin de fermer la porte de mon bureau puis m'annonce qu'elle va organiser une réunion, qu'il est temps de mettre en place une nouvelle organisation.
Elle: tu ne peux plus diriger l'agence Alex, c'est plus possible.
Je regarde ma collaboratrice incrédule, mes yeux exprimant mon incompréhension...
Je cherche mes mots mais Edwige ne me laisse pas le temps de répondre, elle enchaîne aussitôt: l'agence ne peut pas être dirigée par un faible Alex, tu as perdu toute autorité ici. C'est moi qui vais prendre les choses en mains. Tu vas me nommer Directrice de l'agence aujourd'hui même et tu diras que tu souhaites prendre un peu de recul. Je prendrai ensuite la parole.
Moi (tête basse): oui Edwige...
Elle: pour ton information Céline est au courant pour ta cage!
Moi (effaré): Edwige?! c'est pas possible?! tu ne lui as pas dit???!!!
Elle: ferme la connasse! elle a vu la boite dans le tiroir, voilà, et elle m'en a parlé...
Je baisse la tête sans répondre, anéanti par cette révélation.
Elle: de toute façon c'est mieux comme ça, je préfère que toutes les filles sachent que t'es devenu une lope soumise. Ainsi elles comprendront plus facilement pourquoi tu es relégué à des tâches subalternes...
Un long silence s'installe, je sens le poids du regard de ma future directrice.
Elle: comment va ton cul salope?
Je lui avoue avoir mal, la position assis est douloureuse.
Elle: c'est le but d'une correction! et j'espère que tu auras encore mal tout l'après-midi! et surtout pendant la réunion... ça t'aidera à admettre que tu n'es qu'une salope punie et te sentir inférieur à toutes ces femmes qui t'entourent...
Moins d'1 heure après cette discussion la réunion débute. Nous sommes installés autour d'une grande table ovale. Seule Edwige est debout. Sonia la secrétaire, Céline la commerciale, Eva la stagiaire et moi même sommes assis.
Alors qu'Edwige expose les grandes lignes de la réorganisation, mon regard croise à plusieurs reprise celui de Céline qui est assise en face de moi. Je détourne mes yeux à chaque fois car je constate qu'elle maintient son regard. Je m'aperçois également qu'elle sourit comme si cela était pour elle une petite victoire de voir son patron baissait les yeux devant elle.
Cette belle jeune femme blonde de 32 ans sait que je porte désormais une cage de chasteté, pour elle je ne mérite plus ni respect ni considération, son attitude me le fait savoir.
Edwige explique qu'un système gynarchique est instauré au sein de l'agence dès aujourd'hui. Sonia et Céline sourient et leur regard convergent instantanément vers moi. Eva la jeune stagiaire de 22 ans, elle, s'interroge. La nouvelle Directrice autoproclamée s'aperçoit de son incompréhension et lui explique que la Gynarchie est un système où seules les Femmes dirigent. Et pour s'assurer qu'Eva ait bien compris elle insiste en confirmant que toutes les femmes ici présentes ont autorité sur moi, que je dois leur obéir et que désormais toutes les tâches subalternes me seront réservées.
Céline et Sonia y vont de leurs petits commentaires moqueurs à mon sujet. Eva comprend alors l'ampleur de tous ces changements annoncés par Edwige...
Sonia me fixe et annonce en souriant: et si tu allais nous faire des cafés Alex?!
Je reste figé, incrédule. Edwige me sort de ma stupeur en m'ordonnant de me dépêcher et que pour elle ce sera juste un verre d'eau.
La jeune stagiaire aussi se manifeste: pour moi aussi, un verre d'eau s'il vous plait.
Edwige intervient aussitôt: Eva, à partir d'aujourd'hui tu ne vouvoies plus Alex. tu le tutoies et c'est lui qui te doit respect et obéissance.
Je suis de retour avec les boissons quand la porte de l'agence s'ouvre. Je reconnais Alexandra, la jeune employée d'Hélène l'esthéticienne. Edwige lui fait signe de rentrer dans mon bureau où nous sommes encore tous réunis.
Alexandra salue tout le monde, Eva lui fait un petit signe complice qui me fait supposer qu'elles sont amies. La jeune esthéticienne tend la main à Edwige et je remarque qu'en fait elle remet la petite clé de ma cage...
En apercevant la petite clé une bouffée de chaleur m'envahit, je sens le rouge montait à mes joues. Edwige remercie Alexandra et pose la petite clé devant elle, sur la grande table, à la vue de toutes ces femmes qui m'entourent. Ma gêne et mon embarras sont à leur paroxisme et la toute nouvelle Directrice m'enfonce d'avantage encore dans cet état en me questionnant: et bien Alex? tu es rouge comme une pivoine... qu'est-ce qui t'arrive?
Moi: euh... non... rien...
Automatiquement 5 paires d'yeux féminins sont tournés vers moi, ce qui amplifie mon malaise...
Je remarque le sourire moqueur de Céline, heureusement qu'elle et Edwige sont les seules à connaître l'utilité de cette clé...
Edwige ne tarde pas à annoncer la fin de la réunion. Sonia, Céline et Eva rejoignent donc leur poste respectif.
Alors qu'Alexandra s'apprête à partir, Edwige fait exprès de la retenir pour un sujet futile et en profite pour m'humilier devant la jeune femme en m'ordonnant de débarrasser tasses et verres et de faire la vaisselle.
Malgré tout cet ordre me soulage car il me permet de quitter la pièce et d'échapper à l'atmosphère pesante qui y régnait...
Quand je suis de retour dans mon ex bureau, devenu celui de la nouvelle Directrice, celle-ci m'informe que ma place est désormais dans la réserve, aux archives, et que je dois me tenir prêt à répondre à toutes ses demandes ainsi qu'à celles de toutes les employées.
Edwige m'ordonne d'emporter mes affaires personnelles dans mon nouveau "bureau" et, un sourire moqueur aux lèvres, me conseille de consulter mon téléphone.
Plusieurs messages sont en attente de lecture sur mon compte Whatsapp. Deux photos y sont publiées, celle prise par Hélène sur la table d'épilation lorsque je présente mes fesses écartées et celle prise par Edwige où l'on voit mon cul puni à la règle. Toutes les femmes appartenant au groupe y vont de leurs commentaires...
Magalie, la prof de sport écrit: une vraie pouffiasse la chatte bien lisse!
Zoé, ma kiné: hâte qu'elle soit à 4 pattes devant moi cette salope!
Edwige, la nouvelle Directrice d'agence: cette grosse pute avait oublié de mettre son string aujourd'hui!
Je suis stupéfié de découvrir un commentaire d'Hélène, je comprends alors qu'elle aussi a intégré notre groupe Whatsapp, l'esthéticienne écrit: je propose qu'il soit régulièrement plugué! comme une vraie lopette!
Plus tard dans l'après-midi Edwige me rejoint dans la réserve, mon nouveau bureau...
Elle: je ne tolèrerai plus que tu te pointes à l'agence en caleçon ou boxer Alex! Je te veux fesses nues ou en string sous ton pantalon! tu as bien compris?!
Moi, tête basse: oui Edwige...
Elle: bien... Hélène t'attend à l'institut, dépêche toi d'y aller.
Arrivé au salon esthétique je n'aperçois pas Hélène. C'est sa jeune employée, Alexandra, qui est derrière le comptoir, elle me sourit.
J'hésite à dire que je viens régler mon épilation mais la jeune femme est au courant.
Elle: oui, Hélène m'a dit qu'elle vous avez fait le maillot intégral, c'est 45€.
Je ne peux cacher ma gêne en lui présentant ma carte bleue.
Manifestement Hélène tenait à me mettre dans l'embarras car après avoir envoyé son employée ramener la clé de ma cage de chasteté à Edwige voilà qu'elle s'est arrangée pour que ce soit Alexandra qui encaisse le prix de mon épilation. Si la jeune esthéticienne de 22 ans ne savait pas à quoi pouvait servir la clé elle sait parfaitement à présent que mon sexe et mon sillon fessier sont lisses...
De retour à l'agence c'est au tour de Céline de venir me voir aux archives.
Elle, d'un air moqueur: alors Alex? pas trop pénible le port de la cage?
Moi: ok Céline tu es dans la confidence... mais ce n'est peut être pas la peine d'en rajouter...
Elle, en haussant le ton: écoute petite fiotte! je rajoute ce que je veux! d'ailleurs tu vas baisser ton pantalon de suite et me montrer ta petite bite encagée!
Moi, surpris et outré: mais... heu... Céline..?
La jeune commerciale répond à ma plainte par une gifle!
Elle insiste: à poil salope!
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