L'héritier offre mon cul à ses amis - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Mon employeur a un fils d'une vingtaine d'années, beau comme un dieu. La première fois que je l'ai vu, mon visage s'est empourpré. Il s'en est aperçu. Sans doute avait-il l'habitude, parce qu'il s'est approché de mon bureau. Il s'est adressé à moi : - Vous pouvez me passer le dossier, derrière vous ?
Je me retournai, saisi ce qu'il me demandait et le lui tendit. Il le feuilleta à peine et me demanda celui qui se trouvait sur une étagère, bien plus bas. Je me suis penché vers l'objet demandé. En regardant par dessous mon bras, je vis qu'il avait les yeux braqués sur mon cul. Quand je lui ai remis le dossier, ses doigts s'attardèrent sur ma main.
Le lendemain, il y avait une lettre dans ma case courrier. C'était une invitation à l'en-tête de l'entreprise, me demandant de faire un extra, payé double. Je devais me rendre à une certaine adresse.
Le jour du rendez-vous, je suis allé à l'endroit indiqué. J'ai été reçu par le fils du patron. Nous étions en été, il était en maillot de bain. Il me conduisit derrière la maison, où se cachait une magnifique piscine, entourée de hauts murs, censés la protéger des importuns.
- je suppose que vous n'avez pas emporté de maillot ?
- Je ne pouvais pas savoir !
- Mais, c'était voulu !
- Pourquoi ?
- Vous allez vous baigner nu !
Je restai bouche bée.
- J'ai vu votre cul, l'autre jour, au bureau. Je me suis dit qu'il serait bien plus beau, découvert.
- Qui vous dit que je vais accepter ?
Gabriel, c'est son nom, claqua des doigts. Deux mecs biens baraqués se sont pointés.
- Si tu, on peut se tutoyer maintenant, je disais, si tu n'enlèves pas tes vêtements, ils s'en chargeront, dit-il, en les désignant du bras.
Etant certain qu'il ne plaisantait pas, je me suis déshabillé.
- Je n'ai toujours pas de maillot, fis-je avec ironie.
J'avais déjà compris qu'il voulait voir mon cul.
- Tu n'en n'a pas besoin, dit-il avec un sourire narquois. Je veux voir ton cul !
- Ca, j'avais déjà compris !
- Peut-être, mais tu ne sais sûrement pas ce que je te réserve...T'es pas curieux ? Est-ce que tu te rappelles ce film dans lequel Marion Cotillard se fait fouetter par son mec, pour donner son corps à des inconnus ? Eh bien, le mec c'est moi, et Marion Cotillard, c'est toi. Maintenant, on va rentrer à l'intérieur, tu vas te foutre à poil, je vais te fouetter et tu vas donner ta bouche et ton cul, à nos invités.
Les deux costauds passèrent derrière moi, des fois que je voudrais m'enfuir.
-Maintenant, nous allons entrer. Une fois dans la maison, je vais te présenter deux types. Je vais t'ordonner de te dévêtir, et de les satisfaire. Tu vas refuser. Alors, je vais t'arracher ton maillot et te fouetter en t'ordonnant d'obéir. Tu vas les sucer et leur donner ton cul, autant de fois qu'ils le voudront. Tu vas baigner dans leur foutre. Demain, il y aura 50 000 euros qui t'attendront, si tu viens au bureau sans t'être lavé. Je sais d'avance qu'ils vont te proposer de remettre ça tous les mois. Tu pourras refuser, les 50 000 seront quand même à toi.
Les deux gars m'ont enculé puis fait bouffer leurs bites, pendant plusieurs heures. Ils ont été corrects. La première sodomie fut à sec. Je me suis mordu la lèvre pour ne pas crier. Ils étaient bien fournis, les salauds ! ils sont allés nettoyer leur queue avant de me la fourrer dans la bouche. Une fois bien lubrifiés, leur sexe glissait entre mes fesses.Après une heure de ce régime, j'ai commencé à aimer ça. Puis, je leur ai proposé une version que j'avais vue sur internet : la double. Celui qui avait la plus longue, s'était couché par terre, les cuisses écartées. Je me suis assis sur sa bite. L'autre passa derrière moi. Il me plaqua sur le torse de mon enculeur et se mit à genoux derrière moi. Il pointa son gland entre mes fesses, en contact avec la bite de son copain. Me tenant par les hanches, il poussa sa queue dans mon cul. J'ai joui sur la poitrine de mon premier agresseur. En ce qui me concerne, mon cul était rempli de sperme. J'ai tellement aimé ça, que j'y suis retourné la semaine suivante. Et gratuitement !
Histoire de me dédommager, ils m'ont rabattu plusieurs amis à eux. Aujourd'hui, je sers de gibier tous les mois. Il faut laisser cicatriser !!!