Le Double Decker
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Le Double Decker
C'était lors d'un voyage à Londres, à bord d'un des célèbres double- deckers. Une grande quantité de passagers se massaient en bas du bus. Nous étions collés les uns contre les autres. Les habitués tanguaient au rythme des passagers qui s'agglutinaient. J'ai essayé d'y grimper. De peur de tomber, je me suis aggrippé aux poignées de cuir accrochées au plafond. Très vite, j'ai senti une main qui me palpait le cul et une autre, la bite. Instinctivement, je me suis mis à bander.
La main sur mon cul continuait à me caresser tandis que l'autre agrippa ma braguette. Lentement, elle la fit glisser vers le bas, et s'introduit dans mon pantalon. Des doigts se glissèrent dans mon slip et se saisirent de mon membre bien raide. L'un d'entre eux était humide et se mit a frotter la petite fente de ma bite. Cette fois, j'étais encore plus que raide. J'ai éjaculé dans ces doigts. Ils ont saisi ma bite et l'on enduite de mon sperme. Ils ont saisi mes couilles et les ont ointes aussi. Comme je ne bougeai pas, un doigt s'est glissé entre mes jambes et s'est faufilé jusqu'à mon anus. L'ongle était coupé pour ne pas blesser. Il s'introduit dans mon cul et commença a remuer. Cette pénêtration m'arracha un soupir. Le gars(du moins, c'est ce que j'ai supposé) se retira de mon cul et me saisit par les hanches. Il referma ma braguette, et me saisit par une main. Il me tira vers lui, et nous nous dirigeâmes vers l'étage supérieur.
Arrivés en haut, des acolytes nous attendaient. Je ne sais pas combien ils pouvaient être. A notre arrivée, l'un d'eux me glissa une cagoule sur le visage. Dans le même temps, des mains ouvrirent mon short et le laissèrent tomber sur mes baskets. Mon slip le rejoignit. Les mêmes mains(ou d'autres) caressèrent mon cul et ma bite. Puis on commença à me branler. Un doigt s'enfonça dans mon cul. Quelqu'un me prit par la taille et me courba vers le plancher. On me glissa un doigt dans la bouche. Bientôt, le doigt fut remplacé par une bite qui glissa sur ma langue. Des mains se posèrent sur mes épaules, et appuyèrent pour me faire mettre à genoux. Pendant un temps interminable, les bites se sont remplacées dans ma bouche. J'ai su qu'elles étaient différentes, d'abord à cause du goût, puis, parce que comme elles ont vidé leur sperme entre mes lèvres(que j'ai été obligé d'avaler), j'ai compris qu'ils étaient plusieurs.
Voyant que je ne me rebellais pas, ils sont passé derrière moi, et ont commencé à m'enculer. Le premier était plutôt gaillard. J'ai réagi bruyamment, attirant l'attention de quelques autres voyageurs. Du coup, pour m'en empêcher, quand l'un d'entre eux se plantait dans mon cul, un autre s'enfonçait dans ma bouche, me bâillonnant.
Pour compléter le tableau, ils avaient organisé un ordre de passage. Celui qui me prenait le cul devait être passé d'abord par ma bouche. Et enfin, quand ils m'eurent tous possédé, ils me déshabillèrent complètement. Le pantalon et le slip sur les chaussures, ils firent le cercle autour de moi, à poil et à genoux,et se mirent à se branler. Enfin, et dans un mouvement d'ensemble, ils se mirent à se branler. Au bout d'un court laps de temps, je fus couvert d'une mare de sperme.
Enfin, ils sont partis. Leur exploit a fait des émules. Durant le même voyage, puis dans celui du retour, j'ai subi le même traitement. Enfin, épuisé, je me suis endormi.
Je me suis réveillé dans Paris, dans le quartier du marais. Là, ils en avaient vu d'autres. Je sentais le fauve. Un clochard m'apostropha : - Encore un qu'a bouffé d'la bite ! C'est mieux que pas bouffer du tout, mais à ce point. Putain, çui-là, y l'a pris sa dose ! Et pis ça cocotte !
Il s'est approché, m'a saisi par l'épaule et m'a secoué : - Eh ! L'artiste ! Murmura-t-il, faut pas rester comme ça ! C'est l'hiver ! Tu vas attraper la mort ! C'est bien beau, le sport ! Mais quand même ! Tu veux un carton ?
- Donnes-y un litron, dit un autre, ça le réchauffera ! Après un tel match, y l'a ben mérité ! Y l'ont quand même bien séché ! C'est dommage quand même, un si joli garçon. T'as vu ce cul ?
- Te fais pas d'bile. C't'engeance, ça a la peau dure, dit un autre en ricanant, surtout celle du cul ! Dans un mois, y r'commence, p'têt même avant. Les bouffeurs de bite se r'mettent rapidos !
Quelques gars de la rue m'ont relevé. On m'a recouvert d'une vieille couverture et conduit dans un bistrot. C'était plein à craquer. On a fini par me trouver une place près d'un vieux, tout seul. Une voix s'est élevée : - Patron ! Cria-t-elle. Un bouffeur de bites ! Il a bien morflé ! Donn'-z-y un noir sur not compt' ! Y l'a bien mérité ! Jamais vu ça depuis qu'è'ques temps ! Bon dieu, y z'étaient au moins douz' ! Après l'noir, y faudrait p'têt' l'am'ner à l'hosto ! Y l'ont drôlement arrangé tout de même. Il a dû les provoquer ! Mais quand même, à ce point ! C'est presque pas humain...Bah ! De nos jours...
Je me suis réveillé dans un lit tout blanc. Un mec, habillé de la même couleur, était debout en face de moi.
- ça y est, on émerge ! dit-il, un sourire aux lèvres. On m'a raconté...Quelle santé ! Ils étaient douze ? T'as de la chance de pas être plus abimé que ça ! Rendors-toi, on va te réparer. Mais, t'inquiètes, on va t'inscrire au livre des records. D'un autre côté, je les comprend, quand on a un cul pareil sous les yeux et les mains, on comprend qu'on y mette aussi la bite.
- Tiens, moi, si j'étais pas méd'cin, je me ferais bien un cul comme le tiens, de temps en temps. Ca doit être jouissif ! Tu te rends compte ? Si ma famille, mes patients ou mes collègues m'entendaient ! Mais enfin, comment on peut avoir un cul aussi sensuel ! J'avoue que pendant les soins, je bandais. J'ai presque failli partir me branler !
Trois semaines plus tard, j'étais sorti. Prêt à recommencer. Le film de mon aventure me trottait dans la tête. A tel point, que j'ai déménagé, et que maintenant j'habite à Londres.
En ce moment, je prospecte les "lieux dédiés", pour loger dans le quartier le plus connu pour la baise entre mecs.
Je ne me fais de souci pour ça, le bruit de mes exploits dans la presse locale, m'a ouvert des chemins insoupçonnés.
Je sens que mon cul n'a pas fini ses aventures !
La main sur mon cul continuait à me caresser tandis que l'autre agrippa ma braguette. Lentement, elle la fit glisser vers le bas, et s'introduit dans mon pantalon. Des doigts se glissèrent dans mon slip et se saisirent de mon membre bien raide. L'un d'entre eux était humide et se mit a frotter la petite fente de ma bite. Cette fois, j'étais encore plus que raide. J'ai éjaculé dans ces doigts. Ils ont saisi ma bite et l'on enduite de mon sperme. Ils ont saisi mes couilles et les ont ointes aussi. Comme je ne bougeai pas, un doigt s'est glissé entre mes jambes et s'est faufilé jusqu'à mon anus. L'ongle était coupé pour ne pas blesser. Il s'introduit dans mon cul et commença a remuer. Cette pénêtration m'arracha un soupir. Le gars(du moins, c'est ce que j'ai supposé) se retira de mon cul et me saisit par les hanches. Il referma ma braguette, et me saisit par une main. Il me tira vers lui, et nous nous dirigeâmes vers l'étage supérieur.
Arrivés en haut, des acolytes nous attendaient. Je ne sais pas combien ils pouvaient être. A notre arrivée, l'un d'eux me glissa une cagoule sur le visage. Dans le même temps, des mains ouvrirent mon short et le laissèrent tomber sur mes baskets. Mon slip le rejoignit. Les mêmes mains(ou d'autres) caressèrent mon cul et ma bite. Puis on commença à me branler. Un doigt s'enfonça dans mon cul. Quelqu'un me prit par la taille et me courba vers le plancher. On me glissa un doigt dans la bouche. Bientôt, le doigt fut remplacé par une bite qui glissa sur ma langue. Des mains se posèrent sur mes épaules, et appuyèrent pour me faire mettre à genoux. Pendant un temps interminable, les bites se sont remplacées dans ma bouche. J'ai su qu'elles étaient différentes, d'abord à cause du goût, puis, parce que comme elles ont vidé leur sperme entre mes lèvres(que j'ai été obligé d'avaler), j'ai compris qu'ils étaient plusieurs.
Voyant que je ne me rebellais pas, ils sont passé derrière moi, et ont commencé à m'enculer. Le premier était plutôt gaillard. J'ai réagi bruyamment, attirant l'attention de quelques autres voyageurs. Du coup, pour m'en empêcher, quand l'un d'entre eux se plantait dans mon cul, un autre s'enfonçait dans ma bouche, me bâillonnant.
Pour compléter le tableau, ils avaient organisé un ordre de passage. Celui qui me prenait le cul devait être passé d'abord par ma bouche. Et enfin, quand ils m'eurent tous possédé, ils me déshabillèrent complètement. Le pantalon et le slip sur les chaussures, ils firent le cercle autour de moi, à poil et à genoux,et se mirent à se branler. Enfin, et dans un mouvement d'ensemble, ils se mirent à se branler. Au bout d'un court laps de temps, je fus couvert d'une mare de sperme.
Enfin, ils sont partis. Leur exploit a fait des émules. Durant le même voyage, puis dans celui du retour, j'ai subi le même traitement. Enfin, épuisé, je me suis endormi.
Je me suis réveillé dans Paris, dans le quartier du marais. Là, ils en avaient vu d'autres. Je sentais le fauve. Un clochard m'apostropha : - Encore un qu'a bouffé d'la bite ! C'est mieux que pas bouffer du tout, mais à ce point. Putain, çui-là, y l'a pris sa dose ! Et pis ça cocotte !
Il s'est approché, m'a saisi par l'épaule et m'a secoué : - Eh ! L'artiste ! Murmura-t-il, faut pas rester comme ça ! C'est l'hiver ! Tu vas attraper la mort ! C'est bien beau, le sport ! Mais quand même ! Tu veux un carton ?
- Donnes-y un litron, dit un autre, ça le réchauffera ! Après un tel match, y l'a ben mérité ! Y l'ont quand même bien séché ! C'est dommage quand même, un si joli garçon. T'as vu ce cul ?
- Te fais pas d'bile. C't'engeance, ça a la peau dure, dit un autre en ricanant, surtout celle du cul ! Dans un mois, y r'commence, p'têt même avant. Les bouffeurs de bite se r'mettent rapidos !
Quelques gars de la rue m'ont relevé. On m'a recouvert d'une vieille couverture et conduit dans un bistrot. C'était plein à craquer. On a fini par me trouver une place près d'un vieux, tout seul. Une voix s'est élevée : - Patron ! Cria-t-elle. Un bouffeur de bites ! Il a bien morflé ! Donn'-z-y un noir sur not compt' ! Y l'a bien mérité ! Jamais vu ça depuis qu'è'ques temps ! Bon dieu, y z'étaient au moins douz' ! Après l'noir, y faudrait p'têt' l'am'ner à l'hosto ! Y l'ont drôlement arrangé tout de même. Il a dû les provoquer ! Mais quand même, à ce point ! C'est presque pas humain...Bah ! De nos jours...
Je me suis réveillé dans un lit tout blanc. Un mec, habillé de la même couleur, était debout en face de moi.
- ça y est, on émerge ! dit-il, un sourire aux lèvres. On m'a raconté...Quelle santé ! Ils étaient douze ? T'as de la chance de pas être plus abimé que ça ! Rendors-toi, on va te réparer. Mais, t'inquiètes, on va t'inscrire au livre des records. D'un autre côté, je les comprend, quand on a un cul pareil sous les yeux et les mains, on comprend qu'on y mette aussi la bite.
- Tiens, moi, si j'étais pas méd'cin, je me ferais bien un cul comme le tiens, de temps en temps. Ca doit être jouissif ! Tu te rends compte ? Si ma famille, mes patients ou mes collègues m'entendaient ! Mais enfin, comment on peut avoir un cul aussi sensuel ! J'avoue que pendant les soins, je bandais. J'ai presque failli partir me branler !
Trois semaines plus tard, j'étais sorti. Prêt à recommencer. Le film de mon aventure me trottait dans la tête. A tel point, que j'ai déménagé, et que maintenant j'habite à Londres.
En ce moment, je prospecte les "lieux dédiés", pour loger dans le quartier le plus connu pour la baise entre mecs.
Je ne me fais de souci pour ça, le bruit de mes exploits dans la presse locale, m'a ouvert des chemins insoupçonnés.
Je sens que mon cul n'a pas fini ses aventures !
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