Mon supérieur a pris ma bouche, mon cul, et maintenant, il me manque !
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon supérieur a pris ma bouche, mon cul, et maintenant, il me manque !
Il y a quelques années, je travaillai dans un centre de tri postal, à Paris. Comme jeune postier, mon boulot, c'était de trier le courrier ramassé par les véhicules jaunes de la poste, dans les boîtes de la même couleur, disséminées dans toute la ville. Ce courrier déposé par les particuliers, était destiné à d'autres particuliers. Il fallait donc trier les lettres par rues, puis par numéros, puis les remettre aux facteurs qui les déposeraient dans les boîtes aux lettres privées de leurs destinataires.
Comme nouvel arrivant, j'étais sous les ordres d'un plus ancien que moi. Une fois le tri terminé, je devais aller aider cet ancien à remettre les paquets de lettre aux facteurs. Nous nous tenions derrière un comptoir, devant lequel les facteurs venaient récupérer leurs paquets. Mon supérieur était quelque peu "précieux" comme on dit. Des rumeurs couraient à son sujet. Son élocution le trahissait quelque peu.
A un moment, il se colla contre moi, et se frotta contre ma cuisse. Surpris, j'y ressenti un drôle de trouble. Presque du plaisir. Devant mon manque de réaction, il posa sa main sur mes fesses. Toujours pas de réaction. La fois suivante, ce fut carrément une caresse. Il insinua un doigt dans ma raie. Cette fois, j'étais en érection.
Une fois notre vacation terminée, il m'invita à l'accompagner chez lui. Une fois la porte refermée, il commença à me déshabiller. Il baissa mon pantalon, puis mon slip. Ma bite était raide comme la justice. Il s'agenouilla et la pris dans sa bouche. Au moment de l'éjaculation, il se retira. Il se releva, et me prit par les épaules. Une légère pression me fit comprendre que je devais m'agenouiller. Il me tendit sa bite que j'embouchais. Au moment de son éjaculation, il passa ses mains derrière ma tête, et maintint sa bite dans ma bouche afin que j'avale sa semence. Ensuite, il me fit mettre à quatre pattes et me sodomisa. Là aussi, il éjacula en moi. J'ai voulu lui rendre la pareille, mais il s'est déffilé.
Il me dit : -Je suis marié. J'aime aussi faire l'amour avec des garçons. Je ne sais pas vraiment ce que je veux ! Mais, je sais ce que je ne veux pas. Jamais je ne donnerais mon cul !
Il me dit que pour des commodités pour ses enfants, il travaillait en brigade inverse avec sa femme. Du coup, quand il travaillait le matin, l'après-midi, il était libre et on pouvait se voir tous les jours, une semaine sur deux. Je ne sais pas pourquoi j'étais excité par lui, mais j'y suis allé, tous les jours. Et, à chaque fois, il me faisait boire son sperme, et me sodomisait. Chaque jour, je prenais plus de plaisir.
Puis,un jour, j'ai rencontré sa femme. J'ai alors compris pourquoi il s'interrassait aux hommes. Elle était énorme. Je crois que je n'aurais pas pu me mettre au lit avec elle. Ce qui le retenait de rester avec elle, c'était l'ambition. Ils rêvaient tous les deux de devenir cadres, voire plus.
Chaque fois qu'on se voyait, le rituel était le même. Il me déshabillait entièrement. Puis, il me faisait m'allonger sur le sol. Il se masturbait et éjaculait sur mon corps. Il s'agenouillait et m'enduisait de son sperme, des deux côtés. Puis, il me faisait mettre à genoux et m'obligeait à le sucer. Il éjaculait une nouvelle fois, mais là, c'était dans ma bouche, et je devais avaler son sperme. Quelque part, il était puissant, parce qu'il pouvait éjaculer trois fois d'affilée, et tous les jours. La troisième fois, c'était dans mon cul.
Puis, un jour, je suis rentré chez moi. Je vivais seul. J'ai été muté dans un bureau près de mon domicile. Quelle ne fut pas ma surprise de retrouver mon suborneur. Il n'avait pas changé. J'ai renoué le contact et il m'a appris qu'il habitait, non loin de chez moi. Il m'a invité à reprendre nos rendez-vous, et, jusqu'à ce que je prenne ma retraite, je me rendait chez lui, pour qu'il revisite ma bouche et mon cul.
Quand j'ai quitté la poste, j'ai commencé à faire des rêves, durant lesquels cet homme se servait de mon corps. Et, 20 ans plus tard, j'ai le sentiment qu'il me manque.
Sentir ses mains qui me caressent, qui me déshabillent. Sa queue qui pénêtre ma bouche et mon cul. Son sperme qui me parfume, qui coule dans ma bouche et mon cul. J'ai envie de crier. Je suis en manque...
Comme nouvel arrivant, j'étais sous les ordres d'un plus ancien que moi. Une fois le tri terminé, je devais aller aider cet ancien à remettre les paquets de lettre aux facteurs. Nous nous tenions derrière un comptoir, devant lequel les facteurs venaient récupérer leurs paquets. Mon supérieur était quelque peu "précieux" comme on dit. Des rumeurs couraient à son sujet. Son élocution le trahissait quelque peu.
A un moment, il se colla contre moi, et se frotta contre ma cuisse. Surpris, j'y ressenti un drôle de trouble. Presque du plaisir. Devant mon manque de réaction, il posa sa main sur mes fesses. Toujours pas de réaction. La fois suivante, ce fut carrément une caresse. Il insinua un doigt dans ma raie. Cette fois, j'étais en érection.
Une fois notre vacation terminée, il m'invita à l'accompagner chez lui. Une fois la porte refermée, il commença à me déshabiller. Il baissa mon pantalon, puis mon slip. Ma bite était raide comme la justice. Il s'agenouilla et la pris dans sa bouche. Au moment de l'éjaculation, il se retira. Il se releva, et me prit par les épaules. Une légère pression me fit comprendre que je devais m'agenouiller. Il me tendit sa bite que j'embouchais. Au moment de son éjaculation, il passa ses mains derrière ma tête, et maintint sa bite dans ma bouche afin que j'avale sa semence. Ensuite, il me fit mettre à quatre pattes et me sodomisa. Là aussi, il éjacula en moi. J'ai voulu lui rendre la pareille, mais il s'est déffilé.
Il me dit : -Je suis marié. J'aime aussi faire l'amour avec des garçons. Je ne sais pas vraiment ce que je veux ! Mais, je sais ce que je ne veux pas. Jamais je ne donnerais mon cul !
Il me dit que pour des commodités pour ses enfants, il travaillait en brigade inverse avec sa femme. Du coup, quand il travaillait le matin, l'après-midi, il était libre et on pouvait se voir tous les jours, une semaine sur deux. Je ne sais pas pourquoi j'étais excité par lui, mais j'y suis allé, tous les jours. Et, à chaque fois, il me faisait boire son sperme, et me sodomisait. Chaque jour, je prenais plus de plaisir.
Puis,un jour, j'ai rencontré sa femme. J'ai alors compris pourquoi il s'interrassait aux hommes. Elle était énorme. Je crois que je n'aurais pas pu me mettre au lit avec elle. Ce qui le retenait de rester avec elle, c'était l'ambition. Ils rêvaient tous les deux de devenir cadres, voire plus.
Chaque fois qu'on se voyait, le rituel était le même. Il me déshabillait entièrement. Puis, il me faisait m'allonger sur le sol. Il se masturbait et éjaculait sur mon corps. Il s'agenouillait et m'enduisait de son sperme, des deux côtés. Puis, il me faisait mettre à genoux et m'obligeait à le sucer. Il éjaculait une nouvelle fois, mais là, c'était dans ma bouche, et je devais avaler son sperme. Quelque part, il était puissant, parce qu'il pouvait éjaculer trois fois d'affilée, et tous les jours. La troisième fois, c'était dans mon cul.
Puis, un jour, je suis rentré chez moi. Je vivais seul. J'ai été muté dans un bureau près de mon domicile. Quelle ne fut pas ma surprise de retrouver mon suborneur. Il n'avait pas changé. J'ai renoué le contact et il m'a appris qu'il habitait, non loin de chez moi. Il m'a invité à reprendre nos rendez-vous, et, jusqu'à ce que je prenne ma retraite, je me rendait chez lui, pour qu'il revisite ma bouche et mon cul.
Quand j'ai quitté la poste, j'ai commencé à faire des rêves, durant lesquels cet homme se servait de mon corps. Et, 20 ans plus tard, j'ai le sentiment qu'il me manque.
Sentir ses mains qui me caressent, qui me déshabillent. Sa queue qui pénêtre ma bouche et mon cul. Son sperme qui me parfume, qui coule dans ma bouche et mon cul. J'ai envie de crier. Je suis en manque...
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