L'histoire de LEXI
Récit érotique écrit par Lexi Logos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'histoire de LEXI
A la suite de ma première expérience avec Eric, les érections intempestives s'enchainaient. Il suffisait que je repense, même furtivement, à ce qui s'était passé au cinéma pour que ma verge s'enfle dans le pantalon de treillis. Idem lors de la toilette. Y compris aux douches, pourtant froide !
Le surlendemain, le lieutenant Nicolas me convoqua à son bureau. Après un garde à vous impeccable et une présentation dans les règles, il m’ordonna la position du repos. Sans rien dire, il me regarda longuement, de la tête aux pieds. S’il eut un regard pour mon entrejambe, il ne s’y attarda pas. Après un temps qui me parut long, il lâcha enfin : « Lexi, vous partez outre-mer, en groupement nomade autonome ». Je connaissais vaguement l’existence de ce type d’unité, souvent perdu dans le désert tchadien, djiboutien, mauritanien ou autre. Je savais que les groupe partaient des semaines d’affilée dans le désert sans y rencontrer beaucoup de civilisation. Cela correspondait assez bien à mon envie d’aventure. Quelques secondes après, le lieutenant enchainait « puisqu’une nouvelle ne vient jamais seule, je vous informe également que vous avez réussi votre peloton sous-off. Avec de très bons résultats je dois dire ». Houa ! le compliment n’est pas à négliger venant de lui.
Ce faisant, le lieutenant s’était levé et approché de moi : « Il en est de même pour Eric. J’ai eu une conversation avec lui et vos activités. Si je comprends bien, vous avez encore pas mal à apprendre pour faire face à toute els situation dans votre prochaine affectation ! ». Après quelques instants, il repris : « Je vous attends ce soir chez moi, on prendra l’apéro, compris ! ». Plus qu’une question, il s’agissait d’un ordre. Tout en acquiesçant, je pensais « Ça devient intéressant ! ».
Le soir, je me présentais chez le lieutenant François à l’appartement qu’il avait dans la vielle ville. D’emblée, il me met à l’aise « Ici, c’est François pour moi et toi c’est Lexi, pas de grade entre-nous dans cet appartement ». Et immédiatement ses bras puissants s’emparent de ma taille, me rapproche de lui et sa bouche gourmande envahi la mienne. Immédiatement, tout en ayant un sursaut de surprise qui me fait reculer, je sens ma bite se raidir avec violence. Il me serre plus fermement contre lui. Je sens également sa verge se gonfler dans son futal. « Tus ais que tu me fais bander depuis des semaines ? » je ne sais quoi lui répondre. Il enchaine en m’empalant sa langue dans la bouche. C’est doux, suave, agréable. Il a une langue large, épaisse, chaude et bien salivée. Cela me grise. Ses mains s’activent maintenant à me déshabiller. Maladroitement je tente de lui faire la même chose, à la fois pour me donner une contenance, faire connaitre mon acceptation et tenter de satisfaire ma curiosité.
Je suis bientôt torse nu et lui le pantalon sur les chevilles. D’un mouvement sec et ample à la fois, il se débarrasse de son futal, dans la foulée il éjecte son slip. Il me dévoile une belle bite d’au moins vingt centimètres de long, présentant un bel ovale sur toute sa longueur. Une bite épaisse, bien raide comme mes doigts qui s’en saisissent immédiatement le constatent. Moi je suis torse nu, pour quelques instants seulement. Pendant que sa bouche aspire mes tétons avec gloutonnerie, ses mains s’activent à achever de me dévêtir.
Dans la foulée, il m’entraine sous la douche, chaude, ce qui me change de celle de la caserne qui est toujours froide. Il me savonne, ses doigts rendu glissant par le cométique glisse sur ma peau avec plaisir. Je sens ses doigts passer dans le sillon de mes fesses, s’éloigner, revenir et s’attarder. La pomme de sa main englobe mes couilles avec douceur. L’arrondi de ses doigts épouse la forme de ma verge pour l’accompagne sur sa longueur d’un doux et tendre mouvement coulissant. Je suis dans un état second. Je ne bouge plus, je me laisse posséder. Petit à petit, ses doigts, un, puis deux, puis trois sans doute, pénètrent mon intimité annale avec douceur, constance insistance, dans une démarche de plus en plus intrusive. « Tu me rends fou ». François me lâche ces quelques mots à l’oreille, presque dans un murmure. Soudain, ses deux mains puissantes me saisissent aux hanches, me soulèvent et, sans crier gare, m’assoit sur sa queue qui me pénètre d’un seul mouvement, jusqu’à sa toison pubienne qui vient chatouiller mes fesses. Surpris, je lâche un grand râle que je crains par la suite avoir été entendu par tout l’immeuble. Sa préparation a cependant été bien faite car je constaterai par la suite qu’il ne m’a pas blessé. Seulement dépucelé du cul.
Dans la foulée, il s’allonge sur la descente de bain, un grand drap épais, toujours en me tenant fermement. Je suis maintenant à califourchon sur lui sans pour autant être libre de mes mouvements. Je dois dire que je me comporte en amant soumis, plus soucieux d’épouser ses intentions que de dicter les miennes. Et ses intentions son simple, après un long moment sans bouger autrement que de mêler nos langues et lui sucer les seins, il laisse sa bite en moi bien raide, bien dure, se faires a place. La douleur, forte au départ s’estompe rapidement. Ce n’est d ‘ailleurs pas un problème. Je sens petit à petit le plaisir monter en moi. Jusqu’à une giclée de sperme qui jaillit
Le surlendemain, le lieutenant Nicolas me convoqua à son bureau. Après un garde à vous impeccable et une présentation dans les règles, il m’ordonna la position du repos. Sans rien dire, il me regarda longuement, de la tête aux pieds. S’il eut un regard pour mon entrejambe, il ne s’y attarda pas. Après un temps qui me parut long, il lâcha enfin : « Lexi, vous partez outre-mer, en groupement nomade autonome ». Je connaissais vaguement l’existence de ce type d’unité, souvent perdu dans le désert tchadien, djiboutien, mauritanien ou autre. Je savais que les groupe partaient des semaines d’affilée dans le désert sans y rencontrer beaucoup de civilisation. Cela correspondait assez bien à mon envie d’aventure. Quelques secondes après, le lieutenant enchainait « puisqu’une nouvelle ne vient jamais seule, je vous informe également que vous avez réussi votre peloton sous-off. Avec de très bons résultats je dois dire ». Houa ! le compliment n’est pas à négliger venant de lui.
Ce faisant, le lieutenant s’était levé et approché de moi : « Il en est de même pour Eric. J’ai eu une conversation avec lui et vos activités. Si je comprends bien, vous avez encore pas mal à apprendre pour faire face à toute els situation dans votre prochaine affectation ! ». Après quelques instants, il repris : « Je vous attends ce soir chez moi, on prendra l’apéro, compris ! ». Plus qu’une question, il s’agissait d’un ordre. Tout en acquiesçant, je pensais « Ça devient intéressant ! ».
Le soir, je me présentais chez le lieutenant François à l’appartement qu’il avait dans la vielle ville. D’emblée, il me met à l’aise « Ici, c’est François pour moi et toi c’est Lexi, pas de grade entre-nous dans cet appartement ». Et immédiatement ses bras puissants s’emparent de ma taille, me rapproche de lui et sa bouche gourmande envahi la mienne. Immédiatement, tout en ayant un sursaut de surprise qui me fait reculer, je sens ma bite se raidir avec violence. Il me serre plus fermement contre lui. Je sens également sa verge se gonfler dans son futal. « Tus ais que tu me fais bander depuis des semaines ? » je ne sais quoi lui répondre. Il enchaine en m’empalant sa langue dans la bouche. C’est doux, suave, agréable. Il a une langue large, épaisse, chaude et bien salivée. Cela me grise. Ses mains s’activent maintenant à me déshabiller. Maladroitement je tente de lui faire la même chose, à la fois pour me donner une contenance, faire connaitre mon acceptation et tenter de satisfaire ma curiosité.
Je suis bientôt torse nu et lui le pantalon sur les chevilles. D’un mouvement sec et ample à la fois, il se débarrasse de son futal, dans la foulée il éjecte son slip. Il me dévoile une belle bite d’au moins vingt centimètres de long, présentant un bel ovale sur toute sa longueur. Une bite épaisse, bien raide comme mes doigts qui s’en saisissent immédiatement le constatent. Moi je suis torse nu, pour quelques instants seulement. Pendant que sa bouche aspire mes tétons avec gloutonnerie, ses mains s’activent à achever de me dévêtir.
Dans la foulée, il m’entraine sous la douche, chaude, ce qui me change de celle de la caserne qui est toujours froide. Il me savonne, ses doigts rendu glissant par le cométique glisse sur ma peau avec plaisir. Je sens ses doigts passer dans le sillon de mes fesses, s’éloigner, revenir et s’attarder. La pomme de sa main englobe mes couilles avec douceur. L’arrondi de ses doigts épouse la forme de ma verge pour l’accompagne sur sa longueur d’un doux et tendre mouvement coulissant. Je suis dans un état second. Je ne bouge plus, je me laisse posséder. Petit à petit, ses doigts, un, puis deux, puis trois sans doute, pénètrent mon intimité annale avec douceur, constance insistance, dans une démarche de plus en plus intrusive. « Tu me rends fou ». François me lâche ces quelques mots à l’oreille, presque dans un murmure. Soudain, ses deux mains puissantes me saisissent aux hanches, me soulèvent et, sans crier gare, m’assoit sur sa queue qui me pénètre d’un seul mouvement, jusqu’à sa toison pubienne qui vient chatouiller mes fesses. Surpris, je lâche un grand râle que je crains par la suite avoir été entendu par tout l’immeuble. Sa préparation a cependant été bien faite car je constaterai par la suite qu’il ne m’a pas blessé. Seulement dépucelé du cul.
Dans la foulée, il s’allonge sur la descente de bain, un grand drap épais, toujours en me tenant fermement. Je suis maintenant à califourchon sur lui sans pour autant être libre de mes mouvements. Je dois dire que je me comporte en amant soumis, plus soucieux d’épouser ses intentions que de dicter les miennes. Et ses intentions son simple, après un long moment sans bouger autrement que de mêler nos langues et lui sucer les seins, il laisse sa bite en moi bien raide, bien dure, se faires a place. La douleur, forte au départ s’estompe rapidement. Ce n’est d ‘ailleurs pas un problème. Je sens petit à petit le plaisir monter en moi. Jusqu’à une giclée de sperme qui jaillit
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