L'homme de ménage 10 - histoire érotique

Ce mercredi après-midi est compliqué au bureau. Mes fesses sont douloureuses, la correction infligée par Eva a été sévère. Heureusement le large fauteuil de mon bureau de Directeur est confortable mais dès que je bouge la douleur reste vive.
Céline, ma commerciale s'est inquiétée de mon "urgence familiale", j'ai éludé le sujet mais j'ai été très embarrassé quand elle a remarqué ma démarche anormale et mes précautions pour m'asseoir...

Plus tard dans l'après-midi je reçois un SMS de ma belle-fille qui me relance au sujet de la photo que je n'ai toujours pas envoyée.
SMS d'Eva:《alors dad!? cette photo!?》
S'ensuit alors un échange où je supplie ma belle-fille pour que cette épisode de la fessée reste entre nous mais elle reste inflexible. C'est elle même qui choisit la photo, je dois envoyer celle où on voit bien mon cul cambré rouge vif, meurtri par les coups de règle répétés et aussi ma tête dans la poubelle!

La main tremblante, l'angoisse montante, j'obéis. J'envoie cette photo humiliante à mon épouse, ma  belle-fille de 18 ans et Ibra.
Les réactions ne se font pas attendre.
Aline en premier, SMS: 《 c'est dans la chambre d'Eva!》《c'est Eva qui t'a claqué le cul comme ça!!!???》
Puis Ibra, SMS:《c'est toi???》《t'as le cul dans un état ma salope!!!》(smiley MDR)

J'ai du mal à me concentrer sur mon travail le reste de l'après-midi. Fort heureusement, le temps passant, les conséquences de la fessée s'estompent.

Le soir à la maison je suis accueilli par les sourires moqueurs de mon épouse et de sa fille.
À l'étage, en me changeant, j'en profite pour vérifier l'état de mes fesses devant le miroir de la salle d'eau: le rouge vif s'est transformé en rose mais je remarque des traces bleues...
C'est alors que ma femme apparaît dans l'encadrement de la porte.
Elle:《mon pauvre chéri... elle t'a pas loupé...》
Aline entreprend alors de m'appliquer de la biafine sur les fesses. Tout en me prodiguant ce soin elle me glisse à l'oreille.
Elle:《hé bé... je sais pas si tu seras en état de te prendre la bite d'Ibra dans le cul demain...》
J'aperçois son regard moqueur dans le reflet du miroir.

Le lendemain matin je suis rassuré de constater que mon cul ne garde presque plus aucune marques. Seules quelques légères traces bleues subsistent.
Eva aussi s'en préoccupe car alors que je suis entrain de faire son lit et qu'elle s'apprête à partir au lycée elle me demande de baisser pantalon et boxer devant elle.
Les rôles sont vraiment inversés à présent, j'obéis.
Eva:《tu vois? c'était pas si terrible que ça...》《la prochaine fois j'utiliserai autre chose pour te punir!》
Je me sens honteux d'exhiber comme ça mes fesses sur ordre. Ma belle-fille sort de la chambre et pour m'humilier d'avantage exige d'un ton autoritaire que sa chambre soit impeccable!

Plus tard, sur mon lieu travail, mon esprit est accaparé par toutes mes responsabilités et des décisions à prendre. Je ne suis plus le même homme; je retrouve mon autorité, mes collaborateurs et collaboratrices me montrent du respect, voire parfois de l'admiration.

Entre 17h et 18h les bureaux se vident progressivement. Dès le milieu de l'après-midi j'ai commencé à penser à Ibra, sans appréhension. Et plus l'heure avançait plus je ressentais une certaine impatience... En fait j'ai pris conscience que j'attendais sa venue, mentalement des images se sont imposées à moi... son corps, sa couleur de peau, sa bite...

Nous sommes à la fin du printemps,  les journées commencent à être chaudes. Je porte un pantalon beige en coton et une chemise noire par dessus, manches retroussées, je dois reconnaître que j'ai une certaine allure.  Pas celle d'un homme qui s'apprête à se soumettre à un autre en tout cas...
A présent c'est le calme absolu, je suis seul. Toutes mes pensées sont pour Ibra, j'ai même le souci de lui plaire puisque je vais aux toilettes pour vérifier ma coiffure et mon apparence devant le grand miroir.

Peu avant 19h la porte de l'open space à une trentaine de mètres de mon bureau, s'ouvre. Instantanément et de manière incompréhensible, le désir et l'impatience ressenties un peu plus tôt se transforment en crainte.
J'aperçois la grande silhouette de l'homme de ménage mais je plonge immédiatement mon regard vers les dossiers posés sur mon bureau.
Mon rythme cardiaque s'accélère, je m'en veut d'être resté, j'angoisse.

La voix grave d'Ibra se fait entendre.
Lui:《hé!》
Je le regarde, il se tient droit, me fixe.
Je ne sais pas quoi faire, il n'ajoute rien, continuant à me fixer. Je comprends que je dois m'approcher, aller vers lui. C'est ce que je fais, intimidé, la peur au ventre.
Lui:《tu vas m'aider》《prends la poche et fais le tour de toutes les poubelles de bureau》
Ibra s'adresse à moi sans agressivité, son ton naturel tranche avec sa demande totalement inappropriée mais ses directives me soulagent en fait. Le fait de saisir le grand sac noir et de vider une à une les poubelles me permet de retrouver une certaine contenance.
Moi le directeur commercial de cet entreprise me voilà transformé en assistant de cet homme de ménage...

Le bruit du gros aspirateur se fait entendre. Ibra ne prête pas attention à moi, de mon côté je l'observe furtivement. Il porte un short ample aujourd'hui, des claquettes aux pieds et un t-shirt. Je le trouve beau. Quelque soit sa tenue vestimentaire ce mec est beau, quelque chose se dégage de lui..

Ibra m'appelle, il me tend une chiffonnette, je dois aussi nettoyer tous les bureaux pendant que lui passe l'aspirateur.
Un sentiment de crainte m'envahit à nouveau. Mais pas pour la même raison qu'à l'arrivée de l'homme de ménage: et si un ou une employée revenait? et trouver leur directeur entrain de faire le ménage!!!???
Je me sens honteux... comment ai-je pu en arriver là..?

Cela fait une bonne vingtaine de minutes qu'Ibra et moi sommes occupés à faire le ménage. Le bruit de l'aspirateur s'arrête. L'homme de ménage se dirige vers le fond de la pièce puis se retourne et me regarde.
Lui:《t'as fini?》
Moi:《non, il m'en reste deux à faire》
Lui:《dépêche toi》
Depuis qu'il est arrivé Ibra me parle d'un ton calme, posé. Comme si tout ce qu'il me demandait était normal... Je remarque aussi qu'il ne m'a pas insulté.
Je le regarde docilement.
Moi:《oui...》
Lui:《et après tu termines avec l'aspirateur!》
Là le ton est plus sec et il me montre du bout du doigt les endroits où il n'est pas passé.
Moi:《oui Ibra...》
L'homme de ménage me sourit. C'est la première fois que je l'appelle par son prénom...
Un sentiment d'admiration m'envahit, à cet instant j'oublie totalement ma fonction de directeur, je suis heureux d'obéir à cet homme et surtout je veux lui faire plaisir et pire encore... je veux lui plaire...

Ibra se dirige vers les toilettes, de mon côté je continue ma besogne. L'homme de ménage réapparaît alors que je m'affaire avec l'aspirateur, il m'ordonne d'arrêter et de le rejoindre.
Nous sommes à présent dans mon bureau, l'homme noir s'est confortablement installé dans mon fauteuil de Directeur. L'image est singulière, lui affalé, jambes écartées, dans sa tenue négligée, tongs, short et t-shirt.
Lui:《déshabille toi》
Moi:《Ibra... je t'en prie...》《non... pas dans mon bureau...》
Lui:《discute pas》《fous toi à poil!》
J'essaie de négocier, je lui exprime ma crainte que quelqu'un surgisse mais il n'écoute pas mes arguments, il exige que je sois nu et à genoux.

Contraint mais désireux de profiter à nouveau de la virilité de cet homme, j'obéis.
Me voilà donc totalement nu, à genoux entre ses jambes. Ibra ne fait pas de commentaire sur ma petite bite, il plaque aussitôt mon visage contre son entre-jambes. Je sens instantanément son gros membre à travers le tissu du short, il appuie bien avec ses deux mains, ma joue est plaquée contre son sexe qui durcit.
Soudainement l'homme de ménage lâche sa prise.
Lui:《baisse mon short 》
Je me redresse un peu et saisit les deux côté du short pour le faire glisser vers le bas. Ibra soulève légèrement ses fesses du fauteuil pour m'aider.
Lui:《enlève le boxer aussi》
Je crochéte l'élastique du sous-vêtement avec un doigt de chaque côté. Je fais attention de ne pas griffer la peau noire de cet homme fascinant... je baisse le tout doucement... je découvre sa toison drue, puis la base de sa verge. Boxer et short glissent mais la bite n'apparaît pas encore entièrement...
Son sexe n'est pas en érection mais pas mou non plus. Je suis fasciné par ce pénis aux proportions impressionnantes, seul ce magnifique sexe noir compte à présent... c'est comme si je le voyais pour la première fois, mon émerveillement est à chaque fois renouvelé.

Le magnifique membre est maintenant libéré. Short et boxer sont entièrement retirés, Ibra s'est même débarrassé de s'est nu-pieds.
Avant que l'homme de ménage ne me demande quoique ce soit, je prends l'initiative de poser mes mains sur ses cuisses et de les écarter un peu plus. Je plonge immédiatement mon visage entre pour lécher cette belle paire de couilles offerte à mon regard plein d'envie.
Ibra gémit de satisfaction et saisit aussi son gros chibre pour le branler. Ma main droite lâche alors sa cuisse pour s'emparer du gros membre noir. Je veux lécher les couilles de ce mec et le branler en même temps.
L'homme de ménage doit être surpris par tant d'entrain et de bonne volonté de ma part.
Lui:《tu l'aimes ma queue..?》《hein ma salope!?》
Je branle sa grosse bite énergiquement, Ibra bande vraiment à présent! Je gobe chacune de ses testicules l'une après l'autre. Je m'applique, je fais de mon mieux pour procurer le maximum de plaisir à cet homme fascinant.
Ses gémissements se transforment en grognements, l'homme noir se tient fermement aux accoudoirs du grand fauteuil.
Lui:《continue salope!》《continue!》《t'es une vraie pute!》《tu vas me faire jouir!》
Je continue de branler cette queue monstrueuse et de lécher et gober ces grosse couilles en même temps! Je prends énormément de plaisir à le faire! Je veux que ce black jouisse!
Ibra n'est pas de cet avis, il veut diriger. Il saisit mon poignet et ma main et m'ordonne d'arrêter. Il veut que je m'allonge sur le sol! Sur le dos!
Lui:《écarte tes cuisses salope!》《lève les!》
J'obéis, je saisis l'arrière de mes cuisses et les tire vers mon torse. Dans cette position j'exhibe sans pudeur mon anus, mes couilles, ma petite bite!
Ibra s'intéresse à mon pénis ridicule, j'ai relevé la tête pour admirer mon mâle Dominant, il rigole en saisissant avec deux doigts ma petite verge. Avec son autre main il se branle! Sa grosse queue est tendue! Raide! Il la positionne entre mes fesses, je sens son gros gland contre ma rosette.
Lui:《t'es ma femelle!》《je vais te baiser!》
A ce moment là j'ai peur, je réalise que mon petit trou ne pourra jamais encaisser une bite aussi grosse! Au moins 5 cm de diamètre et plus de 20 cm de longueur!
Je supplie Ibra de ne pas me pénétrer, je lui dis que je n'ai jamais fait ça, que son sexe est trop gros!
Lui:《ouvre ta chatte salope!》《ça va rentrer!》《et tu vas aimer!》
L'homme noir lâche ma petite bite, il crache dans sa main et humidifie son gros gland gonflé de sang. Il renouvelle l'opération mais cette fois ci pour lubrifier mon anus. Ibra m'encourage à ouvrir ma chatte, à me relâcher, à davantage ouvrir mes cuisses!
Je veux lui faire plaisir, m'offrir à lui, j'obéis sans délai à ses ordres et conseils.

L'homme de ménage saisis à nouveau sa grosse verge pour la guider vers mon petit trou. Je sens une nouvelle fois son gland appuyer sur ma rosette mais cette fois-ci le gros membre noir semble vouloir rentrer...
Lui:《hummmm ma pute... ma pute...》
Ibra m'ordonne de regarder, j'essaie de pencher ma tête du mieux possible afin de regarder sa bite me pénétrer. En fait seul son gland a forcé le passage. Mon amant pousse sa bite mais le passage est trop étroit. Comprenant qu'il ne pourra pas aller plus loin il se contente de faire des petits va-et-vient avec son gland dans mon cul.
J'ai l'impression d'être dans un rêve, la vision de cette grosse bite noire est magnifique! Et le contraste avec ma petite bite blanche est tellement saisissant qu'il semble surnaturel...

Ibra a envie de jouir mais il sait que la seule pénétration de son gland dans ma chatte anale ne pourra pas lui procurer cette jouissance. Il décide alors de reprendre sa masturbation et m'ordonne de garder mes cuisses bien écartées! Comme une salope! La salope que je suis devenue!
Lui:《tiens bien tes cuisses écartées!》《salope!》
Mon regard est figé sur la bite d'Ibra, je regarde sa main coulisser, il empoigne son gros membre fermement, il le serre! Le mouvement de va-et-vient est rapide, énergique!
Lui:《dis moi que t'es ma pute!》《dis le! dis le!》
Moi avec conviction:《oui je suis ta pute!》《OUI! OUI!》
Lui:《tire la langue salope!》
J'obéis instantanément, je me sens totalement soumis à ce mec, je le fais! Je suis à poil dans mon bureau, à même le sol, dans une position obscène et humiliante! Et en plus je tire ma langue! Cet homme me fait perdre tout amour propre, toute dignité...

Très vite je comprends que l'homme de ménage est au bord de l'orgasme, il se rapproche encore plus de moi. Sa ma gauche attrape ma nuque, il veut que sa bite soit le plus proche possible de ma bouche!
Lui:《t'es qu'une grosse pute!》《tu vas tout prendre dans la bouche!》
A peine a-t-il fini sa phrase qu'une première giclée de sperme vient cogner le fond de mon palais! Puis une deuxième! Une troisième!
Je reçois une quantité de foutre incroyable! Le gland d'Ibra doit être à une vingtaine de centimètres de ma bouche grande ouverte et de ma langue restée tirée. L'homme noir s'applique à déverser tout son jus dans cet orifice disponible et béant!

Je suis contraint de deglutir, j'avale une grosse quantité de sperme.
Ibra s'amuse à frotter sa grosse bite contre mes lèvres, il rigole, il joue à simuler un maquillage avec son gros bâton.
Lui:《avale tout salope!》《n'en perds pas une goutte!》
Je passe ma langue sur mes lèvres puis à l'intérieur de ma bouche, j'avale tout son sperme et j'ouvre grand la bouche en tirant la langue pour lui prouver mon obéissance.

Puis l'homme de ménage se redresse et avant de se "rhabiller" il utilise ma belle chemise noire pour essuyer son sexe et ses couilles. Il  tamponne aussi son beau torse avec, ainsi que ses aisselles et le bas de son dos, sa dépense physique l'ayant fait transpirer...

Une demi heure plus tard je suis de retour à mon domicile. A présent plus de questions de la part de mon épouse, à ses yeux je ne suis plus qu'une lopette sans intérêt et mes joues rouges de  honte ainsi que ma chemise souillée de sperme le confirment.